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Séduction, amour et soumission

Chapitre 14

SM / Fétichisme
Séduction, amour et soumission Chapitre 14
Claire resta dans ma chambre pour la nuit mais, avant de s’endormir elle avait mis une alarme tôt par discrétion. -Tu crois que je devrais dire quelque chose aux autres ?-C’est à toi de décider ; tu imagines bien que ça ne me pose pas de problème.-Voilà où mes pulsions et ta séduction m’ont amenées !-Tes pulsions personne ne te les reprochera, même pas Victoire. Pour le reste, c’est gentil mais reconnais que je n’ai pas eu à déployer beaucoup d’efforts.-Tu n’as pas tort et c’est sûr que j’aimerais recommencer mais je n’ai pas envie de te priver de Blanche en tous cas. On ne va quand même pas faire ça…Elle laissa sa phrase en suspens.-Blanche n’est ni jalouse ni exclusive, n’y vois pas un obstacle. Si tu préfères en rester là, je comprendrais.-Je ne sais pas ; ça en ferait des pas à sauter, si vite.-Je ne vais pas te donner ma position, tu la connais.-Libertine, toujours libertine !-Oui mais surtout toujours à la recherche du plaisir.-On va dormir maintenant mais on pourrait se caresser avant.Il y avait quelque chose de touchant chez elle ; la découverte de nouveaux plaisirs qu’elle avait du mal à accepter comme celle d’autres perspectives encore plus éloignées de sa propre construction. Plonger mes doigts dans la profondeur de sa fente avait un parfum de nouveauté pour moi, une anatomie encore jamais rencontrée. Lorsque je prolongeai ma caresse, plus bas, elle ne rejeta ni ne commenta mon geste, elle se laissa aller à son plaisir. Celui-ci ne lui était peut-être pas inconnu. -Tu aimes cette caresse ! -Si tu savais !Je lui souris dans la pénombre de la chambre.-Et toi, si tu savais comme je la partage avec toi !Il était trop tard pour m’harnacher ; de nos doigts nous partageâmes une douce sodomie.A six heures je l’entendis à peine se lever pour rejoindre sa chambre.
Levées tard, notre petit déjeuner s’étendit ; c’était un jour gris et rien ne nous pressait. Fille de la mode avant tout Victoire proposa d’aller faire du shopping à San Sebastian, une suggestion immédiatement acceptée.J’adorais cette ville, ses ponts baroques et colorés, la baie sublime et la vieille ville où les bras chargés de sacs nous allâmes de bar à tapas en bar à tapas en fin d’après-midi. En charge du volant, j’étais la seule qui n’avait pas bu. Les bouteilles de Txakoli s’étaient enchaînées et une belle cacophonie régnait dans la voiture au son des tubes de notre adolescence entonnés en chœur ; ces chansons qui font un peu honte que seule notre intimité de filles nous permettait de chanter sans retenue.
-Moi j’aimerais qu’on fasse une soirée « dance floor », je n’étais pas là l’autre soir et je veux voir ça.Joyeuse mais intrigante après notre nuit précédente, je rebondis sur la proposition de Claire.-Yes ! Avec moi aux mojitos, comme d’habitude.Blanche enthousiaste et toujours prête à tout se lança.-Alors c’est Marianne et moi qui allons faire un duo de Lap dance !Je ne savais que trop où elle voulait en venir. -Et si on faisait plutôt un trio pour Claire ? -Et moi je ferai quoi à part vous regarder ?Blanche provocatrice : « Toi tu nous feras un strip-tease ! »-Chiche !-Claire, tu vas nous faire ça sur Lauryn Hill-Quelle chanson ?— “Can’t take my eyes from you” bien sur!-“Muy caliente” la soirée! A son ton et à ses yeux, Blanche avait des idées en tête, comme toujours ; elles n’étaient pas non plus absentes de mon esprit !Chacune partit se préparer. A mon tour j’avais envie de provoquer et je choisis une culotte de latex chair, fendue devant que j’avais prise en prévision de mes ébats avec Blanche. En jupe et débardeur, elle me rejoignit la première pour répéter. Les seins libres, il était inutile de vérifier qu’elle n’avait pas de culotte ; la prestation de Victoire qui venait d’arriver lui avait donné des idées.La musique retentit dans ma chambre, et alignées en rang d’oignons nous suivions les instructions de notre « maitresse de ballet ». Ni Blanche, ni moi n’étions aussi souples et gracieuses que Victoire mais ce n’était pas un concours ! Ce qui était certain, c’est que nous allions nous amuser ; nous comptions aussi voir à quel point Claire serait choquée, ou pas !Perfectionniste, Victoire nous donnait ses conseils. Toutes les quatre dans nos tenues provocantes dans le salon, nous grignotions des zakouskis arrosés de notre cocktail fétiche.-C’est vous qui commencez ! Sur un ton d’ironie et de dérision Claire ajouta : « Je serais le clou de la soirée »Si notre chorégraphie était loin d’être parfaite, nos tenues n’avaient qu’un objet, tester ses réactions ; à chaque mouvement, les larges décolletés et l’ampleur de nos débardeurs ne cachaient rien de nos seins. Claire assistait interdite à notre spectacle.Lorsque vint la scène « fatale », nous défilâmes l’une après l’autre devant ses yeux ; j’avais choisi d’être la dernière pour ménager mes effets.-Marianne, tu portes une culotte ? Toi ?Je repris la pause. Elles me regardaient tétanisées, seule Blanche savait de quoi il s’agissait. -Vous n’avez jamais vu une culotte fendue ? -Je pensais que ça vous plairait !-Tu n’es pas possible ! Tellement vicieuse !-Ce n’est pas un scoop, non !Elles riaient toutes les trois.Pour son numéro, Claire avait accumulé quelques couches de petits hauts et portait une jupe fendue.Lorsque retentit la belle voix de Lauryn Hill, Claire désinhibée débuta son effeuillage sous nos applaudissements ; à chaque vêtement jeté, nos cris l’encourageaient. Seins nus, elle imita le mouvement des strip-teaseuses en les faisant bouger au rythme de la musique ; elle faisait ça très bien et aucune de nous n’y était insensible.Elle fit glisser sa jupe pour dévoiler un petit short très moulant en lycra noir, ses mouvements de hanche provocateurs et lascifs imposèrent notre silence ; l’expression de son visage concentré mais rieur ne trompait pas, elle prenait plaisir à s’exhiber devant nous et, elle devait s’en douter, à nous exciter. Quand son short roula lentement le long de ses cuisses, ce fut pour découvrir un string blanc ajusté en dentelle transparente. Le dos tourné, ses fesses ondulaient devant nous tandis qu’elle faisait jouer la ceinture élastique de ce seul vêtement qui la couvrait encore. En se retournant, j’admirais le bombé de son sexe dont l’importance ne pouvait échapper à mes compagnes. Doux souvenirs de la nuit dernière. Elle remonta sa culotte qui pénétra sa fente et découvrit ses lèvres charnues. J’observais Victoire, un peu crispée, le regard fixe ; Blanche, silencieuse et concentrée devait échafauder des plans, je n’en doutais pas.Claire fit enfin voler le petit morceau de tissu et se retourna.Les applaudissements crépitèrent accompagnés de vivas auxquels Claire répondit par une révérence aussi amusante que déplacée. Elle enfila sa jupe et un T-shirt pour venir nous rejoindre.-Où as-tu appris ça ? C’était génial !-Après votre numéro, que pouvais-je faire d’autre ?-Là tu nous as bien excitées, Bravo ! Dans un éclat de rires communicatif elle lâcha : « Voilà où j’en suis réduite pour mes vacances, exciter une bande de lesbiennes ! »-Moi je ne suis pas lesbienne !En écho à Victoire, Blanche lança-Moi non plus mais j’aime tout !Claire s’aventurait sur un terrain difficile dont j’étais la seule à détenir le secret.-Bon d’accord, je retire mes mots, il n’y a que Marianne qui le soit !-Après ce que j’ai vu, bien que je ne sois pas lesbienne, j’aimerais beaucoup te caresser les fesses et le reste dit Blanche en pouffant.Victoire enchaîna -Moi aussi, tu étais tellement sexy !-Ah oui ? Même toi Victoire ?Je choisis de laisser les échanges s’installer avant de m’immiscer. -Pourquoi pas moi ? -Tu as raison, pourquoi pas toi ! -Tu nous montres encore tes fesses ? Blanche, toujours Blanche !Après une légère hésitation, Claire se leva et devant nous, dos tourné, releva sa jupe. Je rentrai dans la conversation.-Claire tu es d’accord pour faire un jeu ? -Lequel ?-On caresse tes fesses à tour de rôle et tu dois deviner à qui appartiennent les mains.-Qu’est ce qu’il y a à gagner ou à perdre ?-Si tu as au moins deux bonnes réponses, tu choisis le jeu suivant, si tu n’as qu’une seule bonne réponse, c’est nous qui choisissons.-J’accepteA tour de rôle nos mains caressèrent les jolies fesses de Claire qui étrangement donna trois bonnes réponses. -Bravo Claire ! Quel jeu choisis-tu ?-Je veux que ce soit Victoire qui devine maintenant.Sa réticence de façade ne résista pas à notre insistance. Moins chanceuse, elle perdit. -Je propose qu’on fasse le même jeu avec tes seins, yeux bandés bien sûr.Agenouillée devant nous, un foulard attaché sur les yeux, l’une après l’autre nous palpèrent ses petits seins. Elle perdit de nouveau.-Éliminée Victoire ! -Donnez-moi encore une chance !Elle était entrée dans le jeu sans grande surprise mais je m’interrogeais encore sur Claire ; jusqu’où était-elle prête à aller ? Je lançais une nouvelle épreuve que j’espérais décisive.-OK on te donne une dernière chance, tu vas deviner qui t’embrasse.Claire me regarda avec une ombre d’hésitation ; mon baiser sur les lèvres de Victoire suivit celui de Blanche. Claire se décida et déposa un baiser aussi appuyé que les nôtres.-Je vais vous dire, Blanche suivie de Marianne puis Claire.-Tu as gagné ! -Marianne tu nous prépares un dernier pichet de Mojito, j’ai la gorge sèche après ces jeux. C’est tout ce que j’ai de sec d’ailleurs !Ma Blanche ! Elle avait cet art de détendre une atmosphère devenue un peu lourde et ambiguë avec le mot qu’il fallait, amusant mais plein de sous-entendus.La tension ajoutée à son humour nous entraîna dans un fou rire ; les cocktails aidant, au son d’une playlist très « lounge » les mains se touchèrent, les corps se frôlèrent.Je pris l’initiative, je me levai, pris la main de Claire pour l’entraîner vers ma chambre sans qu’elle résiste. Blanche qui enlaçait Victoire me laissa partir ; elle avait compris qu’un début d’intimité lui était nécessaire.Allongées, bouche contre bouche, nos mains parcourant nos corps, Claire s’attarda sur la matière élastique qui couvrait mes fesses.-Je peux la regarder, te l’enlever.-Oui, fais-la rouler.Sa tête entre mes cuisses, elle dessina de ses doigts le contour échancré de ma culotte, passa la main le long de mes chairs nues et enfin fit rouler la mince pellicule.J’imaginai sans peine son cheminement depuis hier et si je la sentis prête, il fallait y mettre les formes ; Claire se doutait, savait que nos deux amies nous rejoindraient. C’est en échangeant un nouveau baiser, collées l’une à l’autre que le bruit léger de leurs pieds nus sur le sol les signala. Claire couchée sur moi ne bougea pas. Je saisis ses fesses pour les ouvrir.-Laisse-toi faire, laisse-toi aller.Blanche complice avait compris mon geste et vint poser sa bouche là où mes doigts l’avaient longuement pénétrée hier soir.D’elle-même elle s’agenouilla, sa tête posée sur mon ventre pour que cette langue encore inconnue lui prodigue cette caresse intime.Victoire, surprise de voir Claire se plier à ces jeux, nous observait, indécise. Je tournais mon regard vers elle et d’un geste l’invitais.-Viens, viens au-dessus de moi.Docilement elle vint s’accroupir au-dessus de ma bouche m’offrant ses fesses que je dévorai. J’étais presque fière de l’avoir convertie à ce nouveau plaisir.Blanche se releva.-Marianne, je peux prendre tes jouets ?Personne ne fut choqué de la voir déposer sur le lit, plug, godes et harnais. Elle prit le premier qu’elle introduisit avec patience mais sans difficultés dans le cul de Claire ; le plaisir, le simple plaisir prenait le pas et sous les mains expertes de Blanche, le cône allait et venait. Son visage posé sur mon ventre, ses fesses pointées en l’air, Claire se laissait aller à cette pénétration qu’elle avait eu la faiblesse de m’avouer. Le mouvement de ses hanches sans équivoque ne pouvait qu’inciter Blanche à aller plus loin ; par provocation autant que par vice elle saisit le gode-ceinture le plaça sur son sexe et là, tournée vers Victoire lui demanda de le fixer. Incapable de réagir sinon en obéissant, Victoire s’empressa ; découvrir ce soudain abandon de Claire et son goût pour le plaisir anal la déroutait autant que l’excitait. Lorsqu’harnachée, Blanche sortit le plug pour positionner son « membre », Victoire vint s’écraser sur mon visage et posa les mains sur mes seins. Avec douceur mais fermeté, Blanche s’enfonça dans la chatte de Claire et ressortit pour aller et venir par petits mouvements ; nous aimions l’une comme l’autre ces légères pénétrations qu’accompagnaient ce clapotis doux et involontaire. Elle fit durer ce plaisir sans permettre à Claire de jouir et brisa le tabou de la parole. -Tu entends le bruit de ta chatte qui coule ?Claire ne répondit pas.-Mon gode dégouline de ta mouille.-Pardonne-moi Blanche, je suis une salope.-Oui tu es une salope mais rien à pardonnerJe saisis la tête de Claire pour l’enfouir entre mes cuisses ; Blanche qui poursuivait avec son langage cru sortit son gode qu’elle pointa sur son petit trou.-Là tu es bien humide et ouverte.-Non pas ça ! Pas ça !Le ton était aussi peu convaincant que son cul pointé en l’air l’était.Lentement Blanche débuta sa pénétration aidée par les mouvements que Claire imprimait à ses hanches.-Tu vois, tu en as envie, tu veux que je te remplisse le cul !-Pas ça, oui, oui, pas ça, oui viens, viens, plus loin !-Mais oui, je sais que tu aimes ça, toutes les salopes aiment ça !Je me libérai de la bouche de Claire qui, toute à son plaisir, m’avait oubliée. Même Victoire toujours accroupie au-dessus de ma bouche était transformée, immobile et muette ; elle observait fascinée.Agenouillée, je pris sa bouche pour un baiser volcanique, mes doigts plongés dans sa chatte.-Tu voudrais me faire la même chose Marianne ?-Tu en as envie ?-Je ne l’ai jamais fait.-Je sais mais tu en as envie ?-Je crois, oui. -Je serai douce et patiente pour toi-Toi aussi tu aimes ?-Tellement ma chérie !Je déplaçai mes doigts plus haut vers cet orifice longuement léché ; les siens prirent le même chemin après qu’elle les eut longuement enduits de ma cyprine.Les râles de Claire qui envahissaient la chambre agissaient comme un puissant aphrodisiaque sur chacune de nous ; lorsqu’à ces cris on la devina au sommet de son plaisir, Blanche s’enfonça dans sa chatte. Son visage trempé de sueur, ses bruits, ses mots incompréhensibles, Claire eut un long orgasme avant de s’aplatir sur le lit comme endormie.Déharnachée et heureuse d’avoir procuré tant de plaisir, Blanche vint s’affaler près de nous.-J’ai tellement envie les filles, Claire m’a rendue folle. -Viens ma Blanche, je ne pense pas qu’elle sera jalouse ! C’est dans un magnifique triangle que se mêlèrent bouches et sexes ; inondée par l’excitation, je dévorai la vulve de Blanche qui jouit presque immédiatement. Les paroles de Victoire ne lui avaient pas échappées et ses doigts s’étaient déjà emparés de son petit trou. Sans qu’une parole soit prononcée ou qu’un geste soit esquissé, elle se mit à quatre pattes, la bouche de Blanche fichée sur son sexe. Ma pénétration fut lente, très lente tandis que la langue agile qui était posée sur sa vulve s’agitait.-Ton clito est bien dur, tu as envie, hein, très envie ?-Oui, doucement Blanche, laisse-moi m’ouvrir.Mon gode maintenant bien enfoncé glissait sans beaucoup de difficultés, sous le regard de Blanche.-Là ton cul est bien ouvert, Marianne va te défoncer.-C’est la première fois mais c’est bon, tellement bon !Mes mouvements se firent plus pénétrants, plus profonds alors que son petit trou était offert et dilaté ; j’accélérai sans violence au rythme de ses halètements. -Marianne, Marianne, je vais jouir, je vais jouir…Je la laissais aller vers son plaisir amplifié par la caresse de Blanche pour terminer en m’enfonçant dans sa chatte que je pilonnai sans retenue. Un clapotis inattendu accompagna ma pénétration ; Victoire, abandonnée répandit un jet sur le visage de Blanche qui s’agitait pour lécher son jus. Lorsque je me retirai, Victoire secouée par des spasmes, sanglotait.-Merci, pardon, pardon Blanche, je suis désolée. Comme pour la libérer de cette honte déplacée, je vins à mon tour laper sa chatte mêlant ma langue avec celle de Blanche.
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