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Séduction délicate de la soeur de ma mère

Chapitre 5

Inceste
En milieu d’après-midi, nous arrivions à Biarritz et Yan nous accueillit chaleureusement. Ma tante très bourgeoise s’adaptait facilement à tout type de situation.Mon vieux copain nous fit visiter les lieux.Il s’agissait d’une vaste demeure sur deux niveaux et mon ami ne nous avait pas mentis. La salle à manger était immense et nous apercevions la piscine avec mes potes et copines allongés sur des transats.Une fois les présentations effectuées, Yan nous montra notre chambre pour se mettre en maillot. Il avait déjà prévu une séance de surf le lendemain matin.
— Suivez-moi, je vous montre votre suite ! S’exclama-Yan en empruntant l’escalier, enthousiaste de me voir.
Nous avions une chambre au 1er étage avec une salle de bains indépendante. La fenêtre donnait sur la piscine avec à l’horizon un bout de l’océan. Ma tante défaisait nos valises et durant ce temps, Yan me faisait comprendre que nous étions dans la maison d’un de ses amis, parti en Espagne. Avant de rejoindre les autres, il me fit un coup d’œil signifiant qu’il avait tout prévu pour faire la fête.
— Super ! On te rejoint en bas ! Luis dis-je.— Ok ça roule les amoureux…Lança-t-il en plaisantant.
Véro ne le montrait pas, mais elle était relativement bouleversée par les évènements. Je commençais à bien la connaître et son attitude fut sans équivoque. Elle était un brin nerveux de se mettre en maillot de bain devant des jeunes, notamment des jeunes filles d’une vingtaine d’années.Pourtant les présentations s’étaient déroulées sans anicroches. Nous nous étions mis d’accord, comme quoi Véro était ma copine âgée de 32 ans et que notre rencontre avait eu lieu lors d’une inauguration. Nous étions ensemble depuis 6 mois et nous eûmes droit à la même ritournelle, comme quoi nous formions un couple harmonieux. Certains allèrent à admettre qu’avec mon mètre 80 et ma tante mesurant un peu plus d’un 1m70, nous étions faits l’un pour l’autre. C’était presque le compliment de trop au regard de ma tante, manifestement confuse par de tels propos.Véro sortit de la salle de bains, elle était en bikini blanc.
— Oh la vache, tu en jettes ! Lui fis-je observer, stupéfié devant le charme érotique qu’elle dégageait.— Tu ne crois pas que ça fait un peu trop sexy ? S’inquiéta-t-elle perchée sur ses escarpins blancs également.— Mais non, normalement avec les talons ça fait vulgaire mais entre jeunes, c’est fun et t’es simplement parfaite. Allez viens ma copine ! Ironisai-je en la serrant contre moi.— Tu me fais faire de ces trucs, moi ta tante je suis maintenant ta copine attitrée ! J’ai dû mal à réaliser la situation…S’émut-elle en m’enlaçant.— Bon allons-y, ils nous attendent et on va faire la fiesta ! Terminai-je en lui faisant un petit smack.— Déjà ? mais il est 16 heures. S’esclaffa-t-elle.— On s’en fout ! on va rigoler… Lui dis-je en lui mettant une tape au cul.— Patrick ! Quand même… S’étonna-t-elle en se retournant tout sourire.
Nous étions quatre couples et sans énoncer tous les prénoms, les trois jeunes filles âgées de 22 à 25 ans étaient déjà en forme comme on dit. Joyeuses dans la piscine, elles s’éclaboussaient…comme des gosses.Mais trois potes se retournèrent à l’arrivée de Véro, il est vrai qu’elle avait forte allure et égalait sans mal la plastique des trois autres baigneuses. Sa silhouette gracile avec ses jambes interminables et sa poitrine bien maintenue lui donnaient ce charme si fragile qu’entretienne certaines femmes avec aisance. Ma tante faisait partie de ce cercle restreint et malgré ses 42 ans, elle pouvait se narguer dans paraître 10 de moins.Yan très à l’aise engagea la conversation avec elle.
— Alors Véro, ça te plait l’endroit ?— Oui c’est bien et on est au calme. Répondit-elle timidement.— Alors ça fait 6 mois que vous êtes ensemble, sacré veinard ce Patrick ! Et tu bosses dans quoi ?— Dans l’immobilier, pour un promoteur et toi ?— Ah je termine comme Patrick, dernière année !— Alors après, la vie active comme on dit.— Ouais ! Tu veux boire un coup ? J’ai fait un cocktail avec de menthe fraîche, vodka et jus d’orange. Lui proposa Yan en me faisant ses fameux clins d’œil.— Ah je veux bien goûter.
J’accompagnais Yan vers la cuisine pour l’aider à amener les verres. En prenant le plateau, il ne pouvait s’empêcher de me faire l’éloge de ma somptueuse partenaire, sans être dupe de notre différence d’âge.
— Putain elle vachement bonne mon salaud et à 32 balais elle est au top !— Eh Adeline n’est pas mal non plus. Rétorquai-je.— Et elle a un de ses culs ! Tu l’as déjà prise par derrière ? Dit-il désireux de connaitre ma réponse.— Oh merde Yan…Pas encore et je ne sais pas si elle aime. Bon on y va ?— Yes mec ! S’esclaffa-t-il.
Yan était mon meilleur ami et même si on se disait tout, je ne pouvais lui avouer la vérité, lui dire que ma copine était en fait ma tante âgée de 42 ans.Dans la foulée, il prenait du tabac à rouler pour selon lui se détendre profondément. J’avoue que je n’avais rien contre mais une crainte se fit jour en pensant à Véro, assez vieux jeu de ce côté.
Les filles sortaient de l’eau et goûtaient sans retenue la préparation de Yan qui, en gentleman amena le cocktail à ma tante. Certes l’attention était délicate de sa part, mais assez agaçante de le voir tourner autour de ma promise. Fou de jazz, un de ces potes nous faisait écouter ses meilleurs morceaux et invitait ma tante, enfin ma copine Véro à faire quelques pas de danse. J’enchainais une sorte de rock improvisée avec la copine de Yan dans la foulée.De temps à autre, une cigarette circulait entre les convives et fatalement, l’une des jeunes filles en proposa à ma tante, essoufflée de sa dernière danse.Elle se contentait de refuser poliment mais vue l’insistance de "la troupe", elle prenait finalement quelques bouffées avec prudence.
— Allez Véro, ça va te faire du bien ! Déclara Adeline la copine de Yan.— Alors Patrick ? Elle est cool ta copine, elle aime le surf ? Demanda un autre copain.— Je crois qu’elle se contentera de nous voir chevaucher les vagues ! Bon j’ai faim ! A la bouffe !! Hurlai-je en mimant un haut-parleur.
Tout le monde éclata de rire et les filles filèrent en cuisine tandis que Yan, les autres et moi fumions à tour de rôle en se passant notre pseudo cigarette. Elles avaient enfilé pour certaines un tee-shirt et pour d’autres, dont ma tante un pull. L’air se rafraîchissait et l’eau de la piscine se faisait calme, voire apaisante à regarder avec son éclairage nocturne.Puis elles amenèrent une plâtrée de spaghettis.Yan passait les assiettes tandis que je les remplissais en les nappant d’une sauce à la tomate. Nous mangions de bon cœur et Véro s’était mise près de moi, tout en bavardant allégrement avec Adeline de choses et d’autres.La conversation allait bon train et les bouteilles se vidaient à tour de rôle. Les langues se déliaient pour partir dans de grands délires philosophiques et de petits groupes se formaient au bord de la piscine.
— Pour moi le sexe dans un couple est fondamental, pas vrai Véro ? Prétendit Julien en s’adressant à ma tante.— Ouh la…pas de sexe ! Pas de couple ! S’exclama-t-elle.— Ah enfin une femme comme j’aime…
Véronique me jeta un regard complice avec un sourire affichant une fierté intérieure. Elle se montrait à la hauteur et ne réalisait pas elle-même le plaisir qu’elle prenait à se faire passer pour ma copine. Julien enchaînait les questions.
— Mais dis donc Véro, t’as l’air super heureuse avec mon copain Patrick. Tu es du coin ?— Non je suis de Bordeaux et c’est là-bas que l’on s’est connus.— Et depuis on ne se quitte plus ! On s’engueule jamais et on est d’accord sur tout ! Déclarai-je.— C’est cool ce que tu dis et Véro ne le prend pas mal mais plutôt comme un compliment, savoir que vous êtes ensemble depuis 6 mois…c’est son record ! Dit-il en partant dans un grand éclat de rire.— Tire une taffe ma très chère…Rajouta Yan.— Euh…je reste au Bordeaux qui est très bon.— Allez ça va te faire du bien…Insista encore une fois mon ami.
Ma tante ne pouvant refuser se résignait à tirer quelques bouffées. Aussitôt, elle buvait un coup avec la gorge qui brûle et me fit un sourire, comme ça, pour le plaisir.Yan haussa les sourcils me signifiant le désir visible que me portait ladite copine de 32 ans. Je voyais à son comportement son orgueil de se savoir être devenue l’espace de quelques jours la copine de Patrick. Elle était assez observatrice pour s’apercevoir que Yan et moi étions les chefs du groupe et que certaines copines…de mes copains n’étaient pas insensibles au charme des leaders. Elles le firent savoir indirectement en s’adressant à ma tante.
— Wouah, tu en as de la chance d’avoir un mec beau et intelligent ! T’as intérêt à faire gaffe…Lui souffla l’une des convives.— Patrick comme Yan, ils ont les filles à leurs genoux…surtout Patrick ! Rajouta une autre.— Je le connais depuis qu’il est petit…alors aucune chance les filles ! Leurs fit remarquer Véro dans cette phrase habile.
Les éclats de rire fusaient mais il se fit tard.Jeunesse oblige, l’une d’entre elles proposa un bain de minuit uniquement pour les filles !Aussitôt, les filles enlevaient pulls ou tee-shirts pour se retrouver en maillot. Je voyais la tête déconfite de ma tante, pudique de nature.
— Allez tous à l’eau ! Cria Adeline en enlevant le haut.— Eh Véro ? Tu ne fais pas bande à part ! Lui lança une autre.— Non non…Je viens. Répondit-elle sans conviction.
Les trois copines étant déjà à poil, mes potes et moi n’avaient d’yeux que pour ma tante, notamment Yan.Le pull enlevé, elle dégrafait le haut et se mît de dos pour ôter le bas, face à la piscine. Le temps de se mettre à l’eau, les regards étaient fixés sur elle, au plutôt le bas de son dos. Elle était debout et se dirigea vers les escaliers de la piscine avec sa démarche féline. Je me considérais presque privilégié de la savoir chaque soir dans mon lit en apercevant mes potes, fixés sur sa plastique irréprochable.
— Patrick, ta gonzesse a un cul à tomber. Me murmura Yan béat d’admiration.— Merci je suis au courant. Répliquai-je agacé.— Eh ! s’il y a du gaz entre vous, tu me fais signe. C’est le genre de nana que j’adore ! Ah mon salaud, tu dois pas t’emmerder au lit !— Bah elle assure pas mal, tu me connais et de toute façon elle est raide dingue de moi. Lui confiai-je en la voyant se fondre dans la piscine.— Et que penses-tu d’Adeline ?— Je préfère Véro, c’est une vraie femme mais Adeline est une jolie gamine.
Yan me regarda et explosa dans un grand fou rire. À mon tour, je le rejoignais dans son délire.
— Je suis un pervers sexuel…Articula-t-Il avec peine.— Quoi…— Je me tape une enfant de 22 ans…Continua-t-il plié en deux.
Dix minutes plus tard, les sirènes sortaient de l’eau et se séchaient mutuellement. Chacune rejoignit son homme pour se faire cajoler. Véronique n’avait remis que le bas et enfilé uniquement un pull pour également se faire prendre dans mes bras.Avec les remarques précédentes sur mon côté tombeur de nanas, je ne sais pas ce qu’il lui prit, mais elle se colla contre moi. Sans se soucier des autres, elle saisissait ma main pour la passer sous son pull. Elle avait la peau encore fraîche et les tétons de ses seins bien endurcis. Je pelotais ma tante pour lui amener de la chaleur tandis qu’elle plongeait sa langue dans mon palais.Cela n’échappait à personne qu’elle affichait sa volonté de monter que j’étais son homme, avec un baiser sans aucune retenue. Avec ses cheveux humides, ses seins en émoi et sans absence de parfum, elle représentait la femelle mûre qu’on a envie de baiser, je n’en pouvais plus.
Après quelques bavardages, il était près de 2 heures du matin et d’un commun accord, nous décidions d’aller nous coucher pour se donner rdv à 7 heures pour une séance de surf. Certains étaient un peu "out" pour regagner leurs chambres et à l’aide de Yan, nous n’avions pas d’autre choix que de les aider à retrouver…la bonne chambre. Une fois cette besogne terminée, je retrouvais ma tante papotant avec Adeline, seules sur la terrasse.
— Bon il faudrait songer à se coucher, vous avez vu l’heure les filles ? Leurs lançai-je.— On parlait si bien avec Adeline. Répondit Véro sur un ton attendrissant.— Patrick a raison et demain matin, on se lève de bonne heure, enfin pas moi, je reste au lit ! S’exclama Adeline.— Et bien nous serons deux et nous pourrons déjeuner tranquillement. Ajouta ma tante en guise de conclusion.— On fume une petite dernière. Dis-je à mon copain.— Patrick tu fermes la porte de la terrasse à clef et bonsoir les tourtereaux. Me dit Yan en prenant Adeline par la main.
Ils fermèrent les volets en laissant la porte-fenêtre ouverte, ainsi nous étions les seuls à rester, les autres étant couchés. La piscine éclairée était silencieuse et les trois petites lanternes nous amenaient une lumière tamisée.Ma tante dont le pull recouvrait la moitié de ses fesses allumait une cigarette et me fixait intensément. Dire qu’elle était excitante relevait de l’euphémisme dans pareille situation.Je bandais comme un beau diable et la voir avec ses jambes interminables attiser mon désir. J’eus cette impression ridicule de me retrouver avec elle, comme si cela avait été la première fois. Mon sexe faisait des siennes et j’avoue avec humilité que l’envie de lui sauter dessus me passa par l’esprit.
— Ils sont sympas tes copains et j’apprécie Adeline, elle est charmante par contre tes copines n’ont d’yeux que pour toi !— T’es toujours autant sexy. Répondis-je en changeant de sujet.— Bah il faut que je sois à la hauteur, je suis ta copine dorénavant !
L’envie de voir ma tante me faire du bien faisait son bonhomme de chemin. Elle si réservée m’avait tendu une sorte de perche. J’amorçais le sujet en lui parlant de notre couple factice en dévorant sa bouche.
— Tout le monde te prend pour ma copine, ça marche impeccable, moi je trouve ça fort excitant, pas toi ma chérie ?— Oh ma chérie…En privé je reste Véro et en effet ça ne me déplait pas, bien au contraire.— Tu m’excites Véro. Lui murmurai-je.— Et si je te dis que j’éprouve malgré moi des sentiments pour toi, qu’en penses tu ?— Que c’est fort réciproque et que j’aime te regarder.
Ma tante croisait et décroisait sans cesse ses jambes, elle était quelque peu nerveuse.Sa cigarette terminée, elle se pencha pour m’embrasser et plongea sa langue dans ma bouche. Toujours silencieuse après notre baiser, elle m’adressait un petit sourire.
— Quoi ? Lui demandai-je.— Rien, je suis bien avec toi, très bien. Soupira-t-elle en haussant les épaules.
Elle m’avait enfin avoué éprouver des sentiments et j’en déduisais fort logiquement que c’était donc le signal comme quoi elle était fin prête pour me satisfaire.Sans un mot et avouons-le, mon membre en feu, je me levais contre toute attente pour me mettre face à elle. Je n’avais qu’un maillot faisant office de short.
La situation était encore une fois risquée même si normalement tout le monde dormait. Et même si quelqu’un nous surprenait, qu’y avait-il de mal ? Véronique était bien ma copine et pouvait fort bien se laisser aller à une petite fantaisie !
Avec lenteur, je baissais mon maillot et mon sexe rugissant se dressait face au visage de ma tante.Je l’observais, elle était embarrassée d’être ainsi face à son neveu et me le fit comprendre.
— Patrick, ça me gêne terriblement et si quelqu’un nous voyait ! S’alarma-t-elle.— Tu en as envie. La rassurai-je en caressant sa chevelure.— Oui j’y pense depuis un moment. Me confia-t-elle.
Mon sexe était une fois de plus au bord de l’implosion, mais mon pouls s’accéléra subitement lorsque je me rendis compte de l’instant présent.Voir ma tante assise entre mes jambes relevait de l’impensable et je mesurais à quel point je ne m’étais pas trompé sur ses aptitudes.
Une brise légère s’était levée, aussi elle passait machinalement ses mains dans les cheveux pour remettre ses mèches derrière les oreilles.
— Approche tes lèvres Véronique. Murmurai-je en pointant mon sexe face à sa bouche.— Je suis devenue complètement folle avec toi…
Je me taisais devant la réalité de ses propos et je ne pensais plus à rien.Ses doigts fins caressèrent ma verge puis elle approcha sa bouche. Un peu récalcitrante, sa langue tournoyait sur mon gland et mon rêve intime se concrétisait.Ses lèvres si belles - adjectif banal mais si parfait pour les définir - venait de se poser sur mon gros sexe. Je caressais son menton en l’invitant à progresser dans son début de fellation.
— Patrick, tu sais ça n’est pas évident pour moi, même si j’en ai très envie. Dit-elle en suçant mon gland timidement.— Je comprends… Poursuivis-je en lui caressant à nouveau les cheveux en guise d’encouragement.— Patrick, ça me gêne un peu que ce soit moi qui te le fasses. Poursuivit-elle en me gardant dans sa bouche.— Au contraire on devient encore plus proche.— Tu es tout de même mon neveu de 23 ans, tu pourrais être mon fils… Insinua-t-elle en glissant mon gland luisant sur ses lèvres quasi-parfaites.
Au fond de moi, je savais que Véro avait un potentiel sexuel au-delà de la moyenne, alors avec des années d’abstinence ce potentiel ne pouvait être que décuplé.Mon sexe se noya progressivement dans les profondeurs de son palais.Je contemplais mon rêve en la regardant avec ses lèvres somptueuses se mettre à sucer ma verge, brillante de sa salive déposée. Elle fit une pause en faisant parcourir mon gland le long de sa bouche pour s’adresser à moi.
— Oh Patrick…Qu’est-ce que je suis en train de faire ? Me demanda-t-elle en me caressant les fesses vigoureusement.— Continue doucement ! Répondis-je en lui passant la main dans ses mèches en folie.— Ca faisait longtemps que je…enfin bref je le fais comme tu aimes ? Rajouta-t-elle en accolant sa bouche contre mon gland.— Oui.— En principe je ne parle pas mais je suis un peu tendue, alors en parlant ça me détend, tu comprends ? Dit-elle en prenant le temps de suçoter mon sexe.— J’adore te voir avec mon sexe dans ta bouche ! M’exclamai-je en voyant avec quelle dextérité elle alternait ses mouvements.— J’aime aussi…Me rétorqua-t-elle, le temps de laisser mon membre à l’air libre, pour ensuite se l’approprier dans la fièvre de son palais.
Je ne voulais pas fermer les yeux, ma tante exerçait une succion exceptionnelle à tel point que je crus que mon sexe allait fondre dans la fournaise de sa bouche !Je scrutais aux alentours, personne. Nous étions seuls, ma tante assise prenant soin de moi. Je sentais sa langue adroite enroulant ou tournoyant sur mon pénis, lequel se préparait à inonder son palais bouillonnant.
— Euh Véro tu veux aller au bout ?— Avec toi…oui. Dit-elle catégorique.— Eh bien tu t’y prends si bien que…— Je sens que tu vas venir. Sourit-elle en reprenant mon sexe à pleine bouche et en faisant un va et vient paresseux, terriblement jouissif.
Voir ses lèvres épouser l’ensemble de mon membre atteignait mon fantasme le plus fou.Le plaisir total se fit jour à la lueur des lanternes. Je pris la tête de Véro dans mes mains, ses mèches blondes volant dans tous les sens. Elle aspirait mon sexe en creusant ses joues qui se gonflait de sa semence. Ma belle Véro le savait fort bien et m’entrainait dans une cadence lente et savoureuse vers l’explosion tant attendue.
— Oh oui !! M’écriai-je en pleine jouissance.— Humm…Fit-elle en me suçant tel un métronome.— Oh bordel…N’arrête plus…
Véro me pompait comme une folle, avalant à pleine gorgée ma substance par saccades.Dans l’instant présent, aucun mot ne me venait à l’esprit face au plaisir hors norme que je subissais, tout comme elle, transcendée par cette expérience nouvelle qui plus est avec son propre neveu.
— Aaah c’est si merveilleux que ce soit toi. M’exclamai-je en retrouvant mes esprits.— J’aime ! Rajouta-t-elle le temps de lever la tête puis de me sucer à nouveau.
Voir ses lèvres sensuelles glisser le long de mon gland était féerique, grandiose…Puis au bout de plusieurs minutes d’une fellation quasi parfaite, ma tante se reprenait pour me faire un immense sourire de satisfaction, tout en gardant sa bête à plaisir à portée de bouche. Je vacillais sur mes jambes face au trop plein d’émotions reçues.
— Alors ? M’interrogea-t-elle pour connaître l’effet de sa prouesse.— Fantastique Véro !— J’adore te le faire mon Patrick. Rajouta-t-elle avec émotion, accolant à nouveau ses lèvres au bout de mon gland.— T’es…très douée.— Euh…j’aime te faire jouir et puis c’est bon, c’est chaud, ça vient de toi…S’exclama-t-elle me prouvant que c’était bien une véritable renaissance pour elle, tout en faisant glisser ses lèvres somptueuses sur mon gland.— Tu as aimé à ce point ? Lui demandai-je si surpris de la voir aussi radieuse.— J’ai déjà fait ça, mais j’avais 20 ans à l’époque et j’étais follement amoureuse et puis une autre fois avec mon ex, il y a très longtemps. Avoua-t-elle en jouant avec sa langue sur la pointe de mon sexe.— Dis donc c’est un sacré compliment de ta part, alors si je te rejoins, t’es dans une phase amoureuse ?
Véro devint confuse et emportée par sa fougue, elle venait de m’avouer une partie de ses sentiments et s’en rendit compte instantanément.Elle vit volte-face devant l’énormité d’un tel aveu.
— Oh Patrick…c’était purement physique et je ne vais pas tomber amoureuse de mon neveu, c’est déjà complétement fou ! Dit-elle en caressant mon sexe comme s’il lui appartenait.— Enfin c’était purement génial et surtout venant de toi. Avouai-je.— Quand je pense que je suis ta tante et maintenant je te suce, je me sens honteuse. Dit-elle prise de remords mais gardant son objet précieux au bord de ses lèvres.— Pas moi nous sommes adultes et nous prenons du plaisir et c’est réciproque, non ? La rassurai-je en caressant son menton pour l’inviter à poursuivre sa fellation.— Oui je dois avouer que c’est plutôt pas mal. Conclut-elle en faisant glisser mon sexe entre ses belles dents blanches.— Faudra recommencer ma belle Tatie, t’es trop douée !— Attends, je suis un peu désorientée…
En guise d’épilogue, elle termina en accolant ses lèvres contre mon gland pour y déposer une sorte de baiser…par tendresse ou par amour ? J’optais pour la deuxième supposition.En voyant avec quelle dextérité et quel plaisir elle m’avait sucé, j’en conclus définitivement que ma tante aimait le sexe, qu’elle avait été frustrée ou privée peu importe, de plaisir, de jouissance brute durant sa vie de femme jusqu’à présent. A moi de réparer le passé.
Durant cet instant elle en oublia qu’elle était ma tante, mais la fin de notre discussion était révélatrice de ce sentiment de remords qu’elle s’accaparait, comme si c’était elle la principale investigatrice de notre relation incestueuse.
Véronique se leva et la voir ainsi alimentait une fois de plus mon appétence pour ma tante, si désirable avec ce long pull. Une sorte de malaise s’emparait d’elle, un mal être palpable du fait de cet acte.Ma tante m’avait sucé comme une reine et je savais désormais que la perfection de la fellation existait. Mais sa fierté du moment disparaissait pour laisser place à un sentiment honteux, sans doute pensait-elle à ma mère.Je faisais comme si de rien n’était et une fois arrivés dans notre chambre, je me glissais sous le drap.C’était mon moment préféré depuis que je sautais ma tante. Je savourais l’instant de l’attendre dans le lit et de la savoir venir me rejoindre et qu’elle se glisse à son tour, nue près de moi. Combien de fois ai-je idéalisé ce moment où ma tante viendrait se mettre à poil dans mon lit…C’est bien ce qu’elle fit, mais pour m’avouer son désespoir en se penchant sur moi.
— Oh Patrick…quand je pense à ce que l’on vient de faire, je n’ose pas y croire. Dit-elle perdue dans ses remords inutiles.
Ma tante avait un besoin irrémédiable de tendresse, qu’elle se fasse plaindre mais de quoi ? Je me prêtais de bonne grâce à son jeu dans l’idée de la baiser à nouveau. Me la prendre par derrière fut envisagée mais vite oubliée, de crainte d’essuyer un refus. Ce serait pour plus tard, pensais-je.
— Je me trouve moche et j’ai honte vis à vis de toi. Se lamenta-t-elle.— Tu ne penses pas ce que tu dis et tu sais très bien que tu me plais. Répondis-je en la serrant contre moi.— Si j’ai honte de te l’avoir fait. Je pense à Anne, ma sœur enfin ta mère et je n’arriverai plus à la regarder en face.— Véronique, tu m’as sucé avec plaisir, avoue-le. Lui demandai-je en caressant ses hanches et la base de ses fesses.— Oui Patrick, j’ai beaucoup aimé mais si c’était à refaire…— Tu le referais avec le même plaisir, tu adores m’en procurer et ça t’excite au fond de toi de me faire jouir. Tu me possèdes dans cette situation et nous sommes si proche désormais. Argumentai-je.— C’est vrai ce que tu dis et tu as raison, depuis tout à l’heure, je me sens encore mieux avec toi. Oh c’est fou avec toi et en plus j’ai adoré le faire parce que c’était toi, parce que tu es mon neveu…— Et moi j’étais aux anges que ce soit enfin ma belle Tatie qui me le fasse. Dis-je évitant le verbe sucer dans ma réponse.
Elle était mélancolique et moi réaliste en voulant la baiser de nouveau. Tout en palpant sa poitrine, je reprenais cette conversation certes passionnante et ô combien constructive pour la suite. J’enchaînais en la complimentant.
— Tu ne regrettes pas d’être venue et tu vois, je dois t’avouer que j’en oublie ton âge, tu te fonds dans le groupe et tu es si jeune d’esprit.— Tu es si gentille avec moi et je suis si bien quand tu es près de moi, comme en ce moment. Me confia-t-elle en se laissant caresser assidûment les seins.— Alors comme ça, on éprouve des sentiments envers son neveu. Ma belle Tatie serait-elle tombée amoureuse ? Terminai-je en glissant ma main entre ses cuisses.— Oh ne raconte ça à personne ! Et même si tu disais vrai, je ne te le dirai pas ! Et on me prendrait pour une folle. Murmura-t-elle.— Tu n’es pas folle et moi non plus. Et si je te dis que toi aussi tu m’as fait un bien fou, que je me sens heureux près de toi. Avouai-je en l’embrassant dans le cou.— Patrick, j’aime ce que tu fais. Soupira-t-elle en s’étirant sensuellement.— Tu n’es pas fatiguée on dirait ? Dis-je en parcourant ses lèvres intimes s’offrant naturellement.— Non ça va très bien. Me sourit-elle avec ses yeux de biche.
Ma tante n’en demandait pas tant et se laissa embrasser d’une manière langoureuse. La tendresse disparaissait peu à peu pour faire place à un acte purement sexuel entre nous. Véronique avait soif de se faire baiser et oublia vite fait ses remords stupides.Je descendis au bas du lit en dépliant le drap.Comme dit précédemment lorsque j’attendais ma tante dans le lit, j’avais également un autre plaisir tout aussi personnel.Je me délectais de la voir à poil devant moi et de la savoir gênée de me dévoiler son intimité et cela devenait d’autant plus jouissif sachant que j’allais la baiser. C’était Véronique, la sœur de ma mère, celle sur laquelle j’avais tant fantasmée étant ado qui se retrouvait nue, belle, prête pour se faire baiser.
— Patrick…Soupira-t-elle en gardant les jambes repliées prise d’une pudeur soudaine.— Oui ma belle Tatie ? Lui demandai-je mes mains posées sur ses genoux.
C’était l’instant fatidique, Véronique se montrait à chaque fois hésitante pour écarter ses jambes longilignes. Une sorte de malaise se créa au moment même où elle dispersa le voile sur sa source à plaisir. Sachant cette gêne, je me montrais volontairement provocateur pour la dévergonder en passant mes doigts sur ses lèvres intimes et en abusant d’un langage châtié.
— Véro, t’es une véritable fontaine, on dirait que tu n’attendais plus que ça… Lui fis-je remarquer en tourbillonnant près de son point culminant sans le toucher.— Patrick j’ai horreur que tu me regardes quand je suis dans cette position ! S’insurgeât-elle les jambes écartées avec mon sexe attentiste.— J’aime te regarder nue, la vache ! Qu’est-ce que tu peux me plaire, y a pas à dire, t’es bigrement bien foutue avec ta belle chatte. Ajoutai-je en cajolant son sexe aux lèvres idéales.— Bon tu viens… M’implora-t-elle en cédant à ma requête, les mains posées à l’intérieur de ses cuisses écartées.
La position prise par ma tante relevait plus des films pornos que d’une comédie érotique. Elle incarnait la femelle mature, toute disposée à copuler.Vue l’heure et notre envie respective, je m’activais pour plonger mon sexe en colère dans la quiétude de sa source. Je débutais comme on dit des va et vient langoureux sous les gémissements de satisfaction de Véronique.Je ne pouvais m’empêcher de lui avouer à mon tour les sentiments ressentis.
— A chaque fois que je te saute Véronique, c’est comme un rêve. Dis-je en passant ma main sur son front.— Oh oui continue…— Comme c’est bon de te baiser ma belle Tatie. Rajoutai-je en agitant mon sexe dans sa fournaise.— Oui j’aime avec toi… Me souffla-t-elle entre deux baisers.— Je devine tes désirs. Dis-je en imposant un rythme de cavalerie.— Ouiiii…T’es un amant parfait. Gémit-elle face à ma charge imposante.
Ma belle Véro se crispa longuement, ressentant mon bien être l’envahir de tout son corps. Puis elle exultait une nouvelle fois de ce bonheur retrouvé.
— Oh Patrick…Tu m’emportes ! S’exclama-t-elle.
Je faisais vivre une expérience à ma tante peu commune, lui procurer une telle jouissance pour lui faire avouer son amour. Je voulais que ces mots insensés sortent de sa bouche, qu’elle me le dise dans l’espoir de passer à l’ultime étape.Véro subissant mes assauts lâchait totalement prise.
— Oh ouiii…Gémit-elle profondément.— T’es ma Véro à moi. Lui confiai-je en lui laissant le temps de se consommer dans sa jouissance.— Ouii..Dit-elle en m’offrant ses lèvres, ivre du plaisir de ressentir ma présence en elle.— Dis-moi que tu m’aimes… Ajoutai-je en échangeant un baiser sensuel.— Hum…— Lâche prise et avoue ce que tu penses ! Murmurai-je avec une voix imposante en la culbutant magistralement.— Salaud ! Tu fais tout ce que j’aime !— Je te connais si bien…
Baignant dans son orifice dilaté, vaincu par un plaisir charnel, je savourais cet instant sachant que je vivais une expérience limitée dans le temps. Je n’allais pas baiser ma tante éternellement, même si l’idée était fort séduisante à concevoir. Nous étions vaincus d’avoir tout donné, tout partagé encore une fois. Elle vint se blottir contre moi, telle une femelle à la recherche de son mâle.
— Comme tu sens bon…— Et comme ça peut être génial de te baiser Véronique.— Oui ça me paraît complètement dingue que ce soit avec toi quand même !— Heureusement que ma mère n’est pas fille unique ! Ironisai-je en lui caressant les hanches.— Tu sais…je suis toujours ta tante ! Répliqua-t-elle en échangeant un baiser.— Mais tu adores te faire sauter par moi…et en plus tu es amoureuse, pas vrai ? Lui demandai-je— Patrick… J’éprouve simplement des sentiments.— Yan m’a raconté ta façon de me regarder pendant toute la soirée, c’était sans équivoque pour lui.— Il n’est pas psy ! Bon j’admets que je t’aime beaucoup…
Véro n’eut pas le temps de finir sa phrase, je lui roulais une telle pelle que l’on se serait déboîter la mâchoire !Toute émoustillée de mon geste, bouleversée dans ses pensées, elle me fixait de ses yeux bleus.
— Yan a un peu raison, ça te convient ? Finit-elle par m’avouer.— C’est super d’être ensemble et en réalité c’est génial que tu sois ma tante.— Ah bon pourquoi ?— En réalité, c’est hyper excitant ce que l’on fait ensemble. Tu es la sœur de ma mère et jamais je n’aurais pensé le faire avec toi. Tu saisis que je réalise un rêve d’ado en couchant avec toi, on devient proche, nous sommes fusionnels, tu ressens tout cela toi aussi ?— Oui je ne vais pas te contredire, je suis en train de vivre une période folle de mon existence avec toi, c’est presque imaginaire, invraisemblable… Dit-elle bouleversée de cette situation peu commune.— Pour moi aussi c’est particulier et je t’aime plus qu’une tante.Véro posait sa tête contre mon torse et me caressait le bas du corps. Elle était pensive avec ma dernière phrase. A mon tour je lui confessais indirectement que je l’aimais, en stipulant que je la considérais bien plus que ma propre tante. Elle faisait la part des choses pour résumer la situation à sa manière.— Tu m’aimes plus qu’une tante… C’est beau à entendre et tu vois en ce moment, même si je te l’ai déjà dit, je me sens apaisée quand je suis près de toi. C’est comme si un nouveau départ commençait pour moi et tu as raison, je suis plus qu’une tante, je suis devenue ta copine maintenant. Affirma-t-elle en se tournant vers moi.— Oui t’es ma copine, la plus belle de celle que j’ai pu connaître !En guise de conclusion, Véro s’approchait pour me tendre ses lèvres à la recherche d’un baiser. Tout en l’embrassant, mes mains parcouraient son dos, ses hanches, ses cuisses pour la faire frissonner encore et encore.Cette fois ma tante était à moi et même si elle me l’avait dit à demi-mot, cela me donnait des battements de cœur. Désormais elle m’était conquise…puisqu’amoureuse.
A 7h pile, nous partions pour dompter les vagues. Avec un ciel capricieux, nous présumions une belle séance de surf et nous ne fûmes pas déçus. Excellent surfer, Yan éblouissait la galerie en multipliant les figures.Fatigués mais satisfaits, nous décidions de plier bagages et l’arrivée des premiers touristes nous invitait à déguerpir, de peur de blesser des nageurs, d’autant plus que le soleil fit son apparition.Les femmes avaient préparé le déjeuner et dès notre arrivée, chacun prit sa douce dans ses bras. Véro sans complexe m’embrassait avec une fougue que je ne lui connaissais pas en public.Les blagues dont certaines douteuses fusaient à table. L’alcool consommé en rendait plus d’un joyeux et ma tante ne se privait pas pour en faire partie. La voir joyeuse entourée de toute ma bande de copains me procurait une joie insoupçonnée et bien quelle fut ma tante, je la considérais désormais comme ma copine à part entière.La soirée se termina bon enfant et toute la bande se mettait d’accord pour fixer une date début août. Bien entendu, Adeline, aidée de ses deux copines insistaient pour nous revoir. Véro émettait quelques réticences vite effacées par l’enthousiasme général.
Le lendemain matin, nous repartions avec des au revoir très chaleureux, ma tante émue ne pouvait s’empêcher d’essuyer une larme discrètement.Au retour, nous eûmes une longue conversation.
— Ils sont super tes amis, ça m’a fait un bien fou ! Patrick, comment m’as-tu trouvée ?— A la hauteur et même au-delà, j’avoue que tu m’as épaté. Je n’ai vu aucune différence d’âge avec ces jolies filles !— Ouh le beau compliment. S’émut ma tante.— Alors tu vois, quand je pense que tu ne voulais pas venir ! Tu aurais manqué quelque chose. Non vraiment j’étais fier de toi et fier que tu sois ma copine.— Oh quand j’y pense Patrick, on est un peu dingue nous deux, faire un truc pareil et personne n’a rien vu, tu te rends compte ? S’interrogea-t-elle en me passant amoureusement la main sur la joue.— Je te l’ai dit 100 ou 200 fois Tatie tu ne fais pas ton âge et nous formons un très beau couple, rappelle-toi de ce qu’elles disaient…
Cette dernière phrase embarrassait Véronique l’espace de quelques minutes, puis elle renchérit.
— Oui bon disons qu’on s’accorde bien.— J’ajouterai "très"…Dis-je évasif.
En guise de réponse, ma tante m’adressait un large sourire et me caressa le bras. Je prenais sa main et la portais à ma bouche pour y déposer un baiser.
— T’es très affectueux avec moi et dire que dans une semaine, ce sera fini. Se lamenta-t-elle.— Et alors ? Je pourrai revenir, n’oublie pas que j’ai une copine à Bordeaux et que nous avons promis de revenir début août ! Renchéris-je habilement.— Ah oui la copine fantôme…Il faudra que je fasse gaffe avec Anne, enfin ta mère. Il ne manquerait plus que Je parle de surf par exemple. Oh qu’est-ce qu’on invente comme mensonges !— Et alors, c’est marrant, ce sont nos petits secrets.
J’adorais discuter avec ma tante mais j’évitais les sujets ou plutôt le sujet sensible.L’aspect sexuel de notre relation ne fut pas évoqué, volontairement. Cela aurait été déplacé d’en parler.Ma tante était rieuse et heureuse de rentrer chez elle. Elle me donnait des preuves d’amour en me faisant des petites caresses de temps à autre.Il n’empêche, le temps du voyage, je ne pouvais m’ôter de l’esprit sa paire de fesses majestueuse lors de son bain de minuit, avec mes copains admiratifs de cette belle plante comme diront certains, même si le terme me déplaisait profondément en parlant d’une femme, qui plus est ma tante, ma copine, ma maîtresse depuis près d’une semaine.J’attendais de rentrer pour passer justement à cette ultime étape, tel un joaillier face à sa pierre précieuse prêt à la polir.
Les diamants sont éternels, mais je n’étais pas James et le temps m’était compté. Véronique avec ses airs décontractés était une bourgeoise et le type de pratique que je concevais avec elle allait à l’encontre de sa morale, voire des mœurs de la société en générale.Je couchais avec ma tante, je pouvais pousser plus loin, plus haut encore, mais fallait-il la convaincre, la séduire de cette expérience unique et impensable entre une tante et son neveu.
Bref, la balle était dans mon camp et je crevais d’envie de parachever cette étape.
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