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Séduction délicate de la soeur de ma mère

Chapitre 11

Scène érotique

Inceste
Si vous avez manqué le début.Je m’appelle Patrick et je suis en vacances pour deux semaines à Bordeaux chez ma tante Véronique très bcbg, sœur de ma mère Anne.Elle a 42 ans, divorcée, 2 enfants, 1m72 pour 55 kg et moi, 23 ans 1m80 pour 75 kg étudiant.Depuis son divorce, ma tante a du mal à joindre les 2 bouts. J’ai contacté un ami qui m’a indiqué une sorte de cercle très fermé en Suisse. Nous devons participer à une sorte de spectacle en faisant l’amour devant un père richissime pour inciter son fils à passer à l’acte plus aisément, du fait de notre relation incestueuse. Nous devons prendre l’avion pour Genève…
Ma tante avait appelé son ex pour garder ses enfants à partir du vendredi jusqu’au lundi. Il avait accepté sans broncher et les avait cherchés. De ce côté-là, nous étions enfin libres et j’avais cherché les billets en classe affaire pour atterrir à Genève. Décidément les organisateurs ne reculaient devant rien et annonçaient la couleur.Le vol étant prévu pour samedi matin, nous eûmes une conversation poussée dès le vendredi soir pour notre pseudo spectacle devant un type et son fils et échafauder un scénario pour être crédible.
— Mais pourquoi un père veut il montrer à son fils un ébat incestueux ? Se demanda-ma tante.— J’en sais rien, vraisemblablement pour le rassurer et nous aurons un couple qui joueront le rôle de mes parents. Tu seras à la hauteur mais laisse-moi te diriger.— Alors là compte sur moi, je suis morte de trouille et quand je pense qu’il faut le faire durant quatre heures ! S’indigna-t-elle.— N’oublie pas que nous devons dialoguer, je te parlerai comme quand je t’avais rejoint dans ta chambre avec mes parents au fond du couloir le mois dernier.— Mais nous n’avions rien fait à cette époque !— Et bien il faudra se mettre dans le contexte et pense au paquet de fric à la clef. Lui dis-je en l’encourageant.— Bon on va se coucher et on reste calme, il faut que tu sois en pleine forme demain. 
J’étais couché dans son lit et ma tante me rejoignit en nuisette, toujours aussi pétillante. Au moment de se glisser sous le drap, elle se mettait néanmoins nue pour venir se réconforter contre moi. Je caressais sa peau douce et après d’un long baiser, nous nous endormions tel un vieux couple.Nous n’emportions qu’une petite valise pour deux et Véro, superbe dans son tailleur chic montra des signes d’inquiétude. A notre arrivée, nous fûmes accueillis par un grand type pour nous emmener à l’extérieur de la ville. A l’arrière, ma tante me prit la main et la serra durant tout le voyage. Un grand manoir imposant situé au bord du lac Léman nous ouvra ses portes et la femme à l’accent allemand nous y attendait sur le perron.
— Bonjour, votre voyage s’est bien déroulé ?— Bonjour, oui sans problème. Répondis-je, ma tante restant muette pétrifiée de trouille.— Alors suivez-moi que je vous montre votre chambre.
Nous parcourions le hall d’entrée et la bâtisse située sur deux niveaux était véritablement immense. Au passage, elle nous montra une grande pièce avec une scène et deux lits séparés d’un paravent. Je remarquais également une sorte de salle à manger sur la même scène avec quatre chaises, sans doute pour faire office de préambule à notre spectacle. La femme nous fit visiter notre chambre, enfin notre suite avec une salle de bain royale. Je voyais ma tante rester bouche bée devant un tel luxe, puis nous eûmes droit aux recommandations d’usage.
— D’abord vous serez servis ici pour midi et vous porterez ces tenues dans le dressing. Nous vous laissons l’après-midi pour vous préparer et prenez un bon bain, cela vous donnera des forces. — Et après ? Osa demander Véronique.— Madame, nous viendrons vous cherchez pour 20 heures et soyez prêts. D’autres questions ?— Pas d’autres questions. Conclus-je.
Je détaillais la chambre avec d’amples rideaux, une moquette beige et l’ensemble du mobilier type Louis XV. Véro se pâmait devant la vue du lac Léman bordé de ses sapins, tout nous semblait grandiose idem quand une femme, semblablement la gouvernante nous amena notre repas succulent. L’après-midi fut courte mais nous prîmes notre temps pour nous retrouver dans un bon bain ensemble. La réjouissance de voir ma tante nue se mettre dans la baignoire me donna des petites émotions et en regardant ses courbes se fondre dans la mousse, je crus rêver. Je prenais mon pied pour la laver en lui passant du gel douche un peu partout, puis le temps passant il était grand temps de nous habiller. Pour moi, un simple jeans avec une chemise blanche et pour elle, une robe longue noire du meilleur goût. Véro se maquillait consciencieusement en mettant en valeur ses yeux bleus et ses lèvres. Nous parlions peu puis ma tante se présenta en sortant de la salle de bain.
— Dis-donc, ça me fait un sacré décolleté ! — Tu n’es pas sexy mais juste très élégante, raffinée et tu sens bon. On va bien s’amuser Tatie. Insinuai-je pour la rassurer.— Patrick j’ai une de ces trouilles, tu ne me quittes pas d’une semelle. Dit-elle en se serrant contre moi.
On toqua à la porte, il était l’heure de passer aux choses sérieuses. Dans le long couloir qui nous menait à cette grande pièce, j’observais ma tante de derrière avec des faux airs de Mireille Darc du fait de son décolleté dans le dos. La femme fit une pause avant de s’apprêter à ouvrir une grande porte en bois massif.
— Bien je vois que vous êtes bien préparés. Nous annonça la femme.— Alors on commence ? Demandai-je en prenant la main de ma tante.— Oui mais gardez une distance entre vous et vous allez diner avec les parents de Patrick. Avec l’argent que l’on vous donne nous prenons un risque, mais votre ami Yan m’a dit du bien de vous ainsi que de vos talents de comédien. Quant à vous Madame, soyez naturelle, c’est très important pour notre client et son fils. Termina-t-elle sur ton ferme.— Oui Madame. Dit-elle timidement.
La lumière était tamisée sauf pour la scène avec un éclairage impressionnant et une moquette pour les chambres factices ainsi que du plancher pour le coin salle à manger. Un couple d’une cinquantaine d’années, certainement de vrais comédiens nous interpellèrent dès le départ au moment de nous mettre à table.
— Véronique, installe-toi en face de ton neveu, depuis le temps que tu ne l’avais pas vu. Dit la femme, disons ma mère de substitution.— D’accord Anne. Véro jouant le jeu en appelant la femme par le prénom de ma mère.— Véro j’ai préparé la chambre d’amis, tu verras la nouvelle literie, c’est le top.— Ah oui tu vas nous en dire des nouvelles et ton boulot ? Demanda mon père.— Ca va. 
Ma tante ne décrochait pas un mot, il me fallait intervenir au plus vite et elle me faisait du pied désespérément.
— Véronique, tu sais que je dois faire un stage et j’ai postulé auprès d’une société dans ta région.— Ah ce serait remarquable de vous retrouver ensemble, Véro est un peu mélancolique depuis son divorce. Ajouta ma mère.— Ca n’est jamais évident mais le principal, c’est les enfants. Dit mon père en servant un verre de vin à ma tante.— Non mais si tu trouves un stage, ma porte est grande ouverte ! S’exclama enfin ma tante.— Attends, rien n’est fait. Maman, c’est absolument délicieux et j’ai hâte d’être au dessert !
Ma pseudo mère disparaissait pour revenir flanquée de quatre assiettes avec une crème anglaise assortie d’une tranche de cake. L’alcool aidant, Véronique se mît à bavarder de plus belle et en fin de repas, elle alluma une cigarette puis m’en proposa une par la suite. En coulisse si je puis dire, la femme, enfin l’allemande me faisait de grands signes pour que je me retire.
— Bien, je vous dis à demain.— Bonne nuit mon grand ! Me lança mon père.
Je me dérobais en regardant la scène ainsi que les deux spectateurs impossibles à voir avec l’éclairage. Comme chez mes parents, Anne faisait un brin de causette avec sa sœur puis au bout de dix bonnes minutes, elle rejoignit mon père dans le lit d’à côté. J’entrais à nouveau en scène. J’ouvrais la porte factice à la demande de Véronique en chemise de nuit.
— Patrick…Patrick… Chuchota ma tante à travers sa porte factice.— Que se passe-t-il ? Lui demandai-je en me présentant en boxer.— Je ne veux pas déranger ta maman qui dort surement, j’ai des fourmis dans le bas des jambes et elle m’a dit qu’elle avait une pommade pour apaiser la douleur mais je ne sais pas où elle se trouve, je n’arrive pas à dormir.— Oui elle a une pommade, je vais la chercher et j’arrive.— Ah t’es super Patrick ! Bon je vais m’en mettre et j’espère que ça va me soulager. Dit-elle dans une nuisette bien transparente choisie par les organisateurs.— Bah Tatie, ce serait préférable que je te l’étale. J’y arriverai mieux que toi et tu as mal jusqu’à hauteur des genoux ?— Oui mais je ne veux pas t’embêter. Écoute je suis en chemise de nuit, alors ne regarde pas trop ! Je ne suis plus comme les filles de ton âge… Dit-elle en s’allongeant sur le lit.— Tu es dure avec toi ! Je commence par tes pieds qui sont superbes et je remonte le long de tes mollets.— Ah oui ça me fait un bien fou Patrick.
Véro comme moi, nous nous prenions au jeu en faisant abstraction de la scène. Je devinais en elle ce désir inconscient qu’elle aurait réellement voulu vivre pareille situation. Les interdis, le suspense…tous ces ingrédients stimulaient les neurones de ma tante. Pour elle tout comme moi, nous étions chez mes parents qui dormaient au bout du couloir et Véro vivait cette situation, en grande comédienne dira-t-on ou en plein délire dirai-je. J’adorais autant cette mise en scène que la séduction mutuelle qui s’opérait entre nous, ainsi que de lui passer de la pommade sur ses pieds ravissants.
— Voilà, j’ai fini. Dis-je avec une belle érection à la clef.— Merci Patrick les fourmis ont disparu mais pas mon mal de dos ! Bon je ne vais pas t’ennuyer plus longtemps.— Sacrée Tatie ! Tu me réclames un massage le long de tes vertèbres et tu as envie de te faire dorloter par ton neveu.— Je ne dirai pas non mais dis-donc tu n’as pas froid torse nu ? — Non, redresse toi et mets-toi en tailleur sur le lit.— D’accord alors commence par les épaules et vers le haut de la nuque. Dit-elle en se tenant bien droite.— Oui mais retire un peu ta chemise de nuit, il faut que je sente tes contractions. — Je n’ai pas envie d’être toute nue devant mon neveu quand même !— Ne crains rien et même si t’es à poil, tu n’es plus comme les filles de mon âge ! En massant délicatement ses épaules graciles.— Ah tu sais parler aux femmes ! Quel tact…— C’est ce que tu penses de toi, tu me l’as dit tout à l’heure. En poursuivant mon massage vers le haut de sa nuque.— Oui enfin j’ai encore de beaux restes comme vous dites, vous les garçons.— Je n’ai jamais dit le contraire ! Attends ta chemise me gêne pour les omoplates. Bon Véronique je peux l’enlever de toute façon tu es de dos. Dis-je en laissant glisser sa nuisette le long de ses bras.— Oui enfin me voilà à poil Patrick !— Allez Tatie, on est entre nous et tu m’as connu bébé… — Je vais me montrer indiscrète mais tu as une copine ?— Non depuis près d’un mois et toi depuis ta séparation, rien ? En passant mes doigts vers le bas de son dos en massant ses hanches.— Non rien. Répondit-elle avec fermeté.— Eh ça va faire plus d’un an que tu n’as…enfin que tu n’as plus baisé ?— Quelle conversation ! Oui cela fait un an…. Bon c’est très agréable Patrick ce que tu fais.— Oh mais je ferai n’importe quoi pour ma Tatie. Terminai-je en lui faisant de lentes caresses sur ses cuisses onctueuses.— Bon tu me relaxes mais il est tard et si Anne nous trouve comme ça, tu t’imagines ? S’inquiéta-t-elle.
Ma tante se lâchait peu à peu et mon massage s’apparentant à des caresses prenait une autre tournure. A l’entame de lents passages le long de ses cotes puis sur de son ventre ferme, je la câlinais affectueusement en la serrant contre moi. 
— Patrick, il va être temps de se coucher. Sentant ma déviance sexuelle.— Ah non je commence à te faire du bien et en plus ton corps se détend au niveau de ton sternum. Lui dis-je en l’enlaçant pour lui faire un baiser sur sa nuque élancée.
Ma tante reprit sa chemise de nuit puis se retourna accroupie face à moi. Sans avoir pris le temps de la boutonner, je devinais aisément sa poitrine et la naissance de son sexe.
— Écoute ne le prends pas mal Patrick mais je suis ta tante, pas ta copine.— Qu’est-ce qui ne va pas ? Lui demandai-je en passant mes mains sur ses avant-bras.— Mais c’est très gênant cette situation, tu es insistant et je ne sais pas comment le prendre. Me répondit-elle en baissant les yeux.— Prends le comme tu le sens, je te trouve si belle Tatie. Allez ! Je t’enlève ta chemise… En prenant sans mal sa nuisette-chemise de nuit.— Patrick ! S’emporta-t-elle entièrement nue en me dévisageant du regard.— Oh la vache ! T’es super bien gaulée et tu t’épiles la chatte ! La complimentai-je en effleurant du bout des doigts la base de sa poitrine.— Oh tu m’embarrasses de parler ainsi et de mon sexe…. Je croyais que j’étais trop vieille pour toi et te voilà en train de me peloter les seins et dire que je te laisse faire… Ajouta-t-elle avec cette fois mes mains lui faisant de beaux câlins sur sa poitrine resplendissante.— T’es superbe à regarder et comment me trouves-tu, je te plais ?— Euh…Tu es plutôt beau garçon je dois dire mais là tu me gênes terriblement. Avoua-t-elle en pleine confusion.— Décontracte-toi Véro. En passant désormais entièrement mes mains sur ses superbes nibards en forme de poire comme j’aime.— C’est très gênant pour moi ce que tu fais Patrick…
Il fallait accélérer un peu, l’heure tournait et je décidais de passer à l’étape suivante en me levant pour ôter mon boxer. Véronique jeta un coup d’œil indiscret sur mon membre très en forme mais s’indigna.
— Mais t’es devenu complètement dingue ! Rhabille toi tout de suite Patrick !— Oh ne me dis pas que je te laisse indifférente, ça fait plus d’un an que tu n’as pas fait l’amour. On peut se laisser aller un peu…Allez quoi… Argumentai-je en m’asseyant au bord du lit.— Excuse-moi Patrick je suis maladroite, je n’ai plus l’habitude mais quand même, tu te mets tout nu devant moi ! En se mettant près de moi pour me prendre la main en guise d’excuse si on peut dire.— Tu veux bien que je m’allonge près de toi, juste cinq minutes.— Oui mais tu es nue et ça me dérange….Bon je t’accorde cinq minutes et après tu t’en vas.
Une fois étendue sur son lit, je me retrouvais en regardant le plafond en compagnie de mon sexe tendu. Ma tante ne savait plus quoi faire et restait allongée à mes côtés en se couvrant la poitrine.
— Ma belle Tatie, tu peux me caresser un peu ?— Patrick, tu es beau garçon alors qu’est-ce que tu attends de moi ? On ne va pas faire n’importe quoi !— Allez caresse mon beau sexe… Insistai-je.— Bon je ne suis pas à l’aise du tout et si je te caresse je ne pourrais plus regarder ta mère en face et puis je suis ta tante enfin ! …Patrick tu perds le sens des réalités.— Mais elle dort et personne ne le saura et fais toi plaisir, tu en meurs d’envie. Rajoutai-je en posant ma main sur sa cuisse.— J’en meurs d’envie ! C’est toi qui le dis, j’avoue que tu es plutôt bien bâti de ce côté-là. Admit-elle.— Essaie un peu et si t’aimes pas tu arrêtes.— Dire que je t’ai connu gosse et tu veux que je te caresse, c’est n’importe quoi ! Tu me fais faire de ces trucs…Je te caresse juste la poitrine.
Timidement, hésitante ses doigts fins effleurèrent mon torse. Sans un mot, elle posa sa main sur ma cuisse puis se décida à toucher enfin mon sexe. Véro ne me regardait pas, se sentant honteuse de ce qu’elle faisait au fils de sa sœur. Progressivement sa main enveloppa mon sexe affamé pour me branler avec une infinie douceur. 
— Véronique, tu as des doigts de fée.— Oui mais tu abuses de ma situation et tu te doutes bien que je ne suis pas insensible à un jeune gars comme toi. Dit-elle en jouant avec son index sur la pointe de mon sexe.— Profite-en, fais-toi du bien Tatie comment en ce moment.— Ca n’est pas évident Patrick.  — Viens sur moi, je sais que tu en crèves d’envie. En soulevant mon bassin avec mon sexe ardent pour l’aguicher.— Oh non ! Là tu exagères, on ne va pas faire l’amour ensemble. Tu es mon neveu et ça ne se fait pas. Répliqua-t-elle en continuant de me branler avec aisance.— T’es belle comme une fleur et je te plais alors pourquoi te priver ? — Mais je n’ai pas dit non, simplement je te répète que tu es mon neveu et je suis la sœur de ta maman. On ne peut pas coucher ensemble Patrick, ça s’appelle de l’inceste tout simplement. Répondit-elle en cajolant mon sexe de plus en plus demandeur de tendresse.— Allez Tatie, juste une fois…Viens t’étendre sur moi et je te ferai des caresses, d’ac’ ?— Je vais me sentir honteuse de me mettre toute nue sur toi… Dit-elle en me branlant toujours remarquablement.— Tu peux mettre ta chemise si ça t’ennuie à ce point, moi ça ne me dérange pas. Tu fais comme tu en as envie.— Déjà que je te caresse, tu m’en demandes beaucoup et ça m’ennuie de mettre sur toi, qu’est-ce que tu vas penser de moi ? Demanda-t-elle inquiète avec ses doigts habiles de plus en plus habitués à longer ma verge gonflée.— Que tu es juste super et qu’en ce moment, c’est plus que plaisant de sentir tes doigts sur mon sexe. Allez viens…— Bon juste des caresses alors… Répondit-elle quelque peu embarrassée en se plaçant enfin sur moi et finalement à poil.— T’as des fesses bien fermes et tu sens bon, je t’adore ma belle Véronique. En faisant des gestes doux pour effleurer l’ensemble de son corps.— J’aime aussi ce que tu fais, ça me fait un bien fou. Ca faisait tellement longtemps…Oh Patrick… Soupira-t-elle.
Bien entendu je n’avais qu’une envie, celle de pétrir ses belles fesses galbées. Mais au regard de ses hésitations, il fut plus prudent de l’amadouer. J’en profitais pour lui susurrer à l’abri des regards ce que voulait nos spectateurs peu communs.
— Véro, tu n’oublies pas qu’ils veulent la position d’Andromaque.— Heureusement que tu me le dis. Murmura-t-elle.
Je reprenais notre conversation sous un flot de caresses sans fin sur ses courbes finement dessinées.
— Véronique, j’ai très envie de toi…— Patrick tu m’as dit juste des caresses.— Laisse-toi un peu aller…Cela fait si longtemps pour toi. En passant ma main dans la raie de ses fesses plus que parfaites.— Euh… c’est pas très prudent avec tes parents au bout du couloir. Dit-elle en me faisant un baiser dans le cou.— Redresse toi ma belle Tatie que je puisse admirer ton corps. — Oh y a pas de quoi fouetter un chat ! J’ai 42 ans Patrick, tu as tendance à l’oublier. En se redressant telle une cavalière avec ses mains plaquées sur mon torse.— Oh la vache ! T’as peut-être 42 ans mais t’es super bien foutue ma toute belle ! En passant mes mains sur ses cuisses pour remonter à hauteur de ses nibards en alerte.— Tu me fais faire des drôles de choses. Tu te rends compte que je suis à poil sur toi dorénavant ? Dit-elle en attrapant ma main pour porter mon index à sa bouche.— T’es ma Tatie à moi… 
Véronique me sourit, creusa ses joues et aspira mon doigt entre ses lèvres pulpeuses pour le sucer généreusement en me fixant du regard. J’avais l’impression de jouer une pièce de théâtre et l’allemande en coulisses leva son pouce en guise de satisfaction. Véro se prêtait au jeu merveilleusement. 
— Mets-toi en moi Véronique…— Patrick, je te préviens, on le fait juste une fois et tu me promets de n’en parler à personne. M’avertit-elle en soulevant le bas de son corps.— Oui Véronique… Répondis-je sentant ses mains saisir ma verge gonflée à bloc.— Oh là là mais qu’est-ce que je suis en train de faire… Se lamenta-t-elle en positionnant mon gros sexe à l’entrée de sa plantureuse intimité.— Oh oui glisse toi en moi… M’émerveillai-je, mes mains frôlant la base de ses seins pour attraper ses mamelons durcis sous l’effet de son désir dissimulé.— Je suis certaine de faire une belle connerie en ce moment avec toi, mais tu insistes tellement et tu ne me laisses pas le choix. Me confia-t-elle.— Ca faisait si longtemps que j’attendais ce moment Véronique. — Ne parle pas si fort, j’ai peur qu’ils nous entendent… Chuchota-t-elle 
Une lente pénétration dans les profondeurs de son corps débuta, je ne manquais rien du spectacle en observant mon gros sexe s’enfoncer dans l’orifice resplendissant de ma tante.Elle me fixait des yeux et je voyais l’inconcevable avec mon sexe disparaissant entre ses lèvres, comme ces plantes exotiques qui vous absorbent avec leurs feuilles veloutées. Je n’adorais plus, j’exultais ce moment aux allures magiques, Véro me caressait le torse savourant elle aussi cet instant impensable entre une tante et son neveu. Elle était dans ses pensées, éloignée de la réalité du moment, elle vivait notre accouplement comme pour une première fois entre nous. Elle ne savait plus où elle en était et j’avoue que je me perdais moi aussi entre la réalité et notre jeu de scène. Je réalisais une sorte de vieux fantasme, baiser ma tante avec justement mes parents juste à côté. L’aspect de l’interdit le plus élevé possible me procurait une part d’excitation indescriptible.
— Oh oui…Gémit-elle en se prenant la tête pour mieux se délecter de mon sexe dressé à l’intérieur de son vagin.— Oui balance toi bien Véronique. — Je suis folle de faire ça avec toi ! — Oui t’es folle mais tu aimes te faire baiser en ce moment. Insinuai-je en lui caressant ses hanches.— Tu me fais du bien Patrick… En faisant des mouvements langoureux pour mieux ressentir mon sexe parcourir son vagin.— Oh bordel comme t’es belle, épanouie. Je ne pensais pas que tu me plairais à ce point ! M’exclamai-je en l’observant se laisser consommer par mon sexe en elle.— Oui…Toi aussi tu es un très beau garçon et faire l’amour depuis si longtemps en plus avec toi, j’aime…Oh oui…Viens maintenant… M’implora-t-elle en oscillant habilement son bassin.— Tu me plais Tatie ! Tu me plais… Tandis que ma verge se gonflait dans son canal et que je lui donnais de violents coups de reins.— Oui je le sens ! Oh j’aime…— Je reste ?— Oui reste je me protège…Mais Viens…viens… M’implora-t-elle en s’abandonnant progressivement.— Ah oui ! M’écriai-je en la saisissant par la taille pour la serrer contre moi.— Hum…Hummm… En se retenant de crier ce plaisir retrouvé de peur d’être entendue.
Véro ne s’arrêtait plus, de gémissements en soupirs elle m’étalait sa jouissance brutale. Elle se pencha pour venir plonger sa langue dans ma bouche avec frénésie. Je ne savais plus si nous étions dans notre comédie ou dans son propre ressenti du moment. J’optais volontiers pour la deuxième hypothèse au regard de ses baisers criants de sincérité.Notre étreinte prit fin, ma cadence se dissipait pour faire place à des mouvements lancinants. Véronique reprenait instantanément sa chemise de nuit en remettant ses mèches en place. Le malaise était palpable de son côté. J’étais au bord du lit, elle vint se serrer contre moi avide d’être rassurée, presque consolée.
— C’était cool, non ?— Oui c’était très très bien Patrick mais je crois que l’on a fait assez de bêtises pour aujourd’hui et il vaudrait mieux que tu regagnes ta chambre en douce…— T’es un amour Véronique ! Lui déclarai-je en palpant ses seins aux tétons pointus.— Oh tu peux le dire mais pour l’instant j’ai un peu de mal à admettre ce que je viens de faire avec toi, même si c’était tout simplement merveilleux, vraiment merveilleux. Ajouta-t-elle pensive.— Moi aussi Véronique, mais je ne le regrette pas depuis le temps que j’y pensais. En la pelotant assidument.— Ah tu pensais qu’un jour tu me ferais l’amour ? Demanda-t-elle étonnée.— J’en rêvais de te baiser Véronique !— Et bien tu l’as fait et très bien même !… Va te coucher maintenant. En me faisant un smack au passage.
La lumière de la scène se tamisa et l’allemande nous interpella en venant à notre rencontre, toute joviale. Elle nous expliqua brièvement que nos deux spectateurs avaient fortement apprécié la première scène, notamment les dialogues et les positions. Ils attendaient avec une impatience certaine la suivante. J’interrogeais l’allemande sur la soumission, elle évacuait le sujet en me disant de continuer comme nous le sentions et que désormais, nous allions nous retrouver pour le petit-déjeuner. Elle fit comprendre à ma tante qui me tenait par le bras, qu’il fallait au regard de la situation qu’elle reste en immersion totale dans son rôle, la jugeant parfaite dans ses dialogues. Véronique m’adressait un regard rempli de fierté et se retrouva en robe de chambre prête pour le second acte, avec néanmoins une pause d’une bonne trentaine de minutes avec une toilette minimaliste. L’autre couple alias mes parents se joignit à nous pour préparer la suite de ce scénario improvisé. Ma tante leurs donnait deux ou trois détails pour rendre plus crédible notre petit-déjeuner factice. Bien entendu, je mettais un certain temps pour rejoindre la pièce salle à manger- petit déjeuner dans laquelle ma mère avec sa sœur terminaient leurs cafés, mon père s’étant absenté pour une partie de pêche.
— Ah te voilà Patrick ! Tu as passé une bonne nuit ?— Oui Maman, j’ai très bien dormi, Papa est déjà parti. Bonjour Véronique.— Bonjour Patrick. Dit-elle embarrassée de me voir face à sa sœur.— Bonjour Tatie ! En lui faisant la bise sur le coin de sa bouche.— Patrick, je te sers un café et je fonce prendre une douche. Véro, on se fait un coup de shopping ce matin ?— Ah oui j’ai vu un chemisier qui me plait, alors je te rejoins dès que j’ai terminé mon café.— A tout de suite. Lança ma mère en disparaissant de la scène.
Nous étions en pleine lumière ce qui déplaisait fortement à ma tante. J’avoue que le matin, en guise de petit-déjeuner un café me contentait, mais voir ma tante en chemise de nuit avec sa robe de chambre entre-ouverte aiguisait mon appétence à son encontre. En croisant ses jambes, elle me laissait apprécier ses mollets fins et galbés sans le savoir. Elle était préoccupée par notre coït inconcevable d’hier soir, enfin d’il y a moins d’une heure.
— Patrick, je ne sais ce qu’il m’a pris hier soir. J’avais besoin de tendresse et tu étais là. Dit-elle en jouant avec son rond de serviette.— Ca t’a fait du bien, tu as apprécié et tu te sens mieux ?— Oui enfin je me sens mieux est un grand mot. Me lança-t-elle le regard hagard.— Bon viens sur mes genoux trente secondes que je te fasse un câlin.— Ah non ! Anne est en haut dans la salle de bain et hier je t’avais dit que je le ferai qu’une fois. S’énerva-t-elle.— Allez ne sois pas sotte et viens un peu, je sais que tu en as envie. Tu as tellement aimé hier…— T’es chiant Patrick ! Tu as toujours tout ce que tu veux ! En se levant.— Attends, enlève ta robe de chambre et ouvre ta chemise de nuit.— Oh… Soupira-t-elle excédée.
Ma tante se prêta de bonne grâce à notre petit manège mais quand elle se mit sur mes genoux, elle eut le temps de me chuchoter à l’oreille.
— Patrick, il y a au moins huit personnes qui nous regardent, la femme nous à mentis.— Ca te gêne beaucoup ? Lui demandai-je en passant ma main sur ses seins redevenus souples.— Oui un peu.— Concentre toi sur ce que je vais te faire.— Pour l’instant tu me caresses la poitrine et c’est très agréable… Chuchota-t-elle en m’enlaçant tendrement.— Lève-toi.
Oubliant notre public, elle quitta sa position en se tenant bien droite face à moi. Nous sachant observés, je préservais sa pudeur en conservant sa chemise de nuit tout en lui roulant une bonne pelle. En effleurant son entre-jambe, je constatais que sa libido était toujours présente. Elle avait les mèches défaites, les seins reposés quoique fermes et le visage absent de traces de maquillage. Ma tante me plaisait diablement et l’envie de la baiser à nouveau fit à nouveau surface. D’un mouvement rapide je la soulevais pour l’avoir dans mes bras, étonnée elle me demanda mes intentions. 
— Euh je peux savoir ce que tu comptes faire ?— J’ai une petite fringale ma chère Tatie. En la posant délicatement sur la table.— Patrick je te répète que nous ne sommes pas seuls, ta maman est sous sa douche et nous l’avons fait déjà une fois. Insista-t-elle étendue à moitié nue face à moi.— Véro, t’es tellement bandante le matin et je sais que tu ne vas pas me dire non. En baissant short et boxer, le sexe pointé en direction de sa chatte apaisée.— Et bien je ne veux pas ! Grogna-t-elle en se relevant, les fesses posées sur la nappe cirée.— Ah ah… Chuchotai-je en plaquant ma main contre ses lèvres intimes.— Patrick arrête, j’ai déjà fait une connerie avec toi hier, alors arrête…Arrête… En s’efforçant de parler.— Tatie chérie tu aimes et ne me dis par le contraire. En agitant mon doigt à l’orée de sa somptueuse intimité.— Oui…oui j’aime mais Anne…tu penses à ta mère et si elle nous voyait… Dit-elle peinant à articuler ses bouts de phrases en se rallongeant.— Pense à toi, regarde le plaisir que je te donne…laisse-moi te faire jouir. Terminai-je par de lents mouvements en tournoyant à l’entrée de son vagin.— Hum…Oh c’est pas possible Patrick… Il ne faut plus recommencer… Ca n’est pas bien ce que tu fais…— Tu penses le contraire et tu mouilles Tatie parce que t’en as encore envie, t’as envie de te faire baiser encore. Insinuai-je en débutant une promenade dans sa rivière matinale.— Patrick… T’es vache ! T’es en train de m’exciter et tu t’y prends très bien en plus. En écartant ses jambes fuselées.
Mes doigts dans la fournaise de son corps eurent raison d’elle, mes mouvements dans son bas ventre la firent se cambrer, se tortiller. Je donnais un orgasme à ma belle Véro et dans l’instant, j’abusais de la situation en continuant à lui procurer du plaisir. Face à sa belle chatte et du bout des doigts, je prenais ses lèvres luisantes pour les entrouvrir. Je ne savais plus où j’en étais ne réalisant même pas que j’allais faire un cunnilingus à ma tante, femme de tous mes fantasmes sexuels. 
— Je vais te lécher ta belle chatte ma Véronique.— Patrick tu sais qu’il ne faut pas… Dit-elle dans un soupir de consentement.
Un lent coup de langue sur sa belle fente et je sentis les deux mains de ma tante me tenir la tête, tel un étau. J’en déduisis qu’elle tenait absolument à se faire bouffer la chatte par son neveu de 23 ans. Ainsi je me mis à déguster posément Véro, lui léchant ses lèvres roses, s’épanouissant à chacun de mes passages. Je lapais doucement son sexe de bas en haut, je n’avais nullement besoin d’humidifier mes lèvres, tant les siennes regorgées déjà de sa propre liqueur. Mes mains se posèrent sur ses seins, immédiatement rejointes par les siennes.
— Oh c’est trop bon Patrick, tu sais t’y prendre avec moi. Admit-elle.— Savoure Véronique, savoure.— Oui…Ooh ouii… 
J’atteignis son crépuscule avec lequel un jeu subtil s’imposa entre mes passages sur ses grandes lèvres et cette partie érogène de son anatomie. Je relevais la tête et Véro me regardait fixement. J’appliquais ma langue contre sa vulve et lui aspirais ses lèvres en faisant doucement pour ne pas la brusquer. Je sentais ses lèvres à l’intérieur de mon palais, je les susurrais avec une infinie tendresse. Elle ferma les yeux en gémissant profondément, j’avalais le précieux nectar s’écoulant de sa source et je ne pus m’empêcher de m’enthousiasmer d’un tel résultat.Je bandais comme un turc, mon sexe en feu réclamant l’anatomie de ma tante.
— Putain que c’est bon Véro ! M’exclamai-je.— Oui Patrick…c’est fantastiquement bon… Chuchota-t-elle enivrée par mon léchage intempestif sur son beau sexe éveillé.
La voir allongée ainsi face à moi, son corps transpirant de plaisir me donnait des palpitations jusqu’alors insoupçonnées.Pure splendeur de voir ainsi ma tante s’offrir à moi.Je m’apprêtais à remplir de plaisir ma belle Véronique. J’étais excité comme un beau diable à la vue de cette femelle mûre, sensuelle, attirante, sexy comme je l’avais imaginée.Tout à coup, je réalisais la situation, nous étions en scène et je m’étais perdu dans ce jeu inouï. Véro elle aussi réalisa et me chuchota.
— Tu vas trop vite, continue à me lécher…tu me fais perdre la tête.— Non suce moi.— C’est trop tôt… Murmura-t-elle réaliste.— Alors insiste ! Dis que tu ne veux pas te faire sauter tout de suite.— D’ac’…Mais lèche moi les pieds.— Toi alors !!!
Je reprenais mon cunnilingus tout en caressant ses chevilles et sa voute plantaire.
— Patrick, tu me fais des choses insensées et si tes parents le savaient, tu te rends compte de ce qu’ils penseraient de moi ? Reprit-elle essoufflée de sa jouissance reçue.— Tu as de si jolis pieds…— Que vas-tu faire encore ? Dit-elle en se montrant faussement inquiète.— Détends toi tu vas encore aimer. Lui dis-je en prenant sa cheville et déposant un baiser sur le dessus de ses orteils où sa peau était d’une indéfinissable douceur.— Arrête… M’implora-t-elle tandis que je couvrais ses pieds de mes lèvres pour les lécher savamment.
Véronique gémissait à nouveau, je savais qu’elle adorait se faire embrasser ses pieds. Je les avais en bouche telle une gourmandise et mon envie de la baiser devint omniprésente. Elle avait les jambes en l’air et sa fente était fin prête à me recevoir. Je délaissais ses merveilleux orteils en m’apprêtant à la baiser.Ma tante me jeta un regard me signifiant qu’elle était toute disposée à avoir une nouvelle relation incestueuse avec son neveu. Le fait de la voir nue en se tortillant, de savoir que j’allais enfin la baiser me rendit presque nerveux.
— Mon dieu que tu es belle ! Dis-je en caressant son ventre lisse et ses côtes naissantes.— Je ne sais pas ce que l’on fait Patrick…— On se fait du bien. Dis-je en appliquant ma main contre son sexe trempé.— Oui mais ça reste une belle connerie ! S’exclama-t-elle.— Tu mouilles ma belle, tu mouilles comme une femelle en chaleur ! — Patrick comment tu me parles… Soupira-t-elle en glissant sa main sur mon avant-bras.— T’en as follement envie à ce que je vois…— Oui follement…Tu vois bien ! Répondit-elle à la fois embarrassée et énervée de me montrer son désir.
Ma tante jouait parfaitement le jeu, nous étions en parfaite harmonie.
— Viens Patrick…viens. Dit-elle en gémissant.— T’as une chatte magnifique ! Dis-je en lui caressant ses lèvres intimes, hâtives de recevoir l’intrus tant désiré.— Oui mais viens…Répéta-t-elle sans prêter attention à mes mots crus.
J’approchais mon sexe de sa fente adorée, mon gland lécha ses lèvres et se positionna face à l’entrée de son intimité ruisselante.Nos regards, nos yeux se collèrent entre eux en oubliant les spectateurs.
— C’est carrément génial Véro ce que l’on fait là, maintenant. Dis-je sans cacher mon émotion.— Je ne sais pas quoi dire Patrick. Dit-elle émue en se laissant paisiblement envahir par mon sexe généreux.
Ma progression atteignit le fond de son intimité pour prendre le chemin du retour sous les yeux brillants de ma partenaire qui succombait sous les vagues de plaisir de son neveu. La sentant réceptive, je lui murmurais des mots d’amour qu’elle écoutait attentivement. Plus rien n’existait dans cette grande pièce, juste une femme copulant avec un jeune homme. De mouvements doux berçant ma tante, j’accélérais sur un rythme nerveux, violent même. La tendresse disparaissait faisant place à un acte de pure sexualité. Véro se fit câline, docile en multipliant ses caresses, puis ses jambes lâchèrent prise sous mes bourrasques et ses pieds séduisants trouvèrent refuge en se posant sur mon torse. Mes actes brutaux s’amplifièrent pour la plus grande joie de ma tante qui en ferma les yeux, sentant une jouissance commune. Les yeux clos, la bouche ouverte, elle émit quelques mots.
— Ouiii…Oooooh ouiiii…Gémit-elle de plaisir.— Lâche-toi Véro ! Lui ordonnai-je.— Oh oui tu me fais jouir petit salaud ! Raide dans sa jouissance.
Je poussais ma tante dans ses derniers retranchements en lui inculquant de véritables ruades, je sentais ses ongles se planter dans mes avant-bras tant son orgasme devint puissant.
— Encore Patrick…encore…Enragea-t-elle comme une damnée.— Oui ma Véro, ça n’est pas fini.— Continue…Oh Patrick…Mon Patrick… Me supplia-t-elle la chatte en feu.— Je jouis Véro ! Dis-je dans un état de transe.— Ooooh…Ooooh c’est bon…si bon. Répondit-elle en soulevant son bassin désireux de se faire pénétrer plus profondément.— Je veux t’entendre jouir Véronique. Lui soufflai-je.— C’est trop bon…Oui…Encore mon chéri…Ouiii… Dit-elle baignant dans sa jouissance.— Tu m’appelles mon chéri ?— On s’en fout ! Continue j’adore trop avec toi…Huuummm…. Gémit-elle profondément.
Je hurlais intérieurement, continuant mes coups de butoirs dans son antre, sentant son souffle haletant et ses petits cris étouffés. Peu à peu la tendresse prit le pas sur notre acte charnel.J’avais emmené ma tante dans un rapport sexuel endiablé, je ralentissais ma cadence. Je poursuivais mes caresses le long de ses cuisses en laissant un dernier baiser sur ses orteils raffinés.
— Oh Véronique !— Je n’arrive pas à le croire. Avoua-t-elle essoufflée.— C’est génial, je t’adore.— Oui moi aussi j’avoue que tu m’as emmenée très loin Patrick, mais on va stopper on a suffisamment pris de risques. Ajouta-t-elle en me caressant le torse.
Nos corps trempés se firent complice, complice de l’interdit mais d’un plaisir absolu. Nous ne regardions plus le temps passer.Je restais dans la chaleur de ma tante malgré ma jouissance terminée et quelques va et vient langoureux alimentèrent des gémissements flâneurs, comme si je la faisais voyager dans une douce rêverie érotico-sensuelle.Puis elle quitta la table pour me faire un baiser dans le cou et me rouler une pelle mémorable. Nos langues habituées s’enroulèrent avec une facilité déconcertante.
— Merci Patrick. Me chuchota Véro dans le creux de l’oreille.— T’es merveilleusement belle. Lui dis-je sentant mon sexe retrouver de la vigueur.— C’est gentil mais j’ai l’impression que tu n’es pas rassasié de ta tante. Dit-elle un brin joyeux d’une telle situation.— Putain qu’est-ce que tu me plais ! Tout en palpant ses seins enflammés.— Tu ne vas pas recommencer ? Dit-elle à la fois étonnée et ravie de se savoir tant désirée.— Chut ma belle Tatie…j’entends du bruit.
Ma mère arriva et la fin de l’acte prenait fin. L’allemande nous dirigea pour un entracte. Près de trois heures s’étaient écoulées et force fut d’avouer je ne voyais pas le temps passé. Nous avions quitté la scène et Véro étant restée en nuisette, je la trouvais toujours autant charmante. La scène finale nous fut imposée par les commanditaires. Ils étaient désireux de voir ma tante se soumettre à mes caprices, mes désirs. A la demande de Véro, nous exigeâmes une vraie pause, le temps de retrouver notre chambre pour une douche salvatrice. L’allemande exauça notre souhait.De retour à l’étage pour reprendre des forces, ma tante se précipita dans la salle de bain. Je restais pensif pour cette ultime scène, bien loin de me déplaire. J’avais ainsi le libre choix de faire ce que je voulais d’elle, endossant le rôle de la femelle mûre soumise à son jeune mâle…
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