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Séduction délicate de la soeur de ma mère

Chapitre 12

Fin du spectacle

Inceste
Si vous avez manqué le début.Je m’appelle Patrick et je suis en vacances pour deux semaines à Bordeaux chez ma tante Véronique très bcbg, soeur de ma mère Anne.Elle a 42 ans, divorcée, 2 enfants, 1m72 pour 55 kg et moi, 23 ans 1m80 pour 75 kg étudiant.Depuis son divorce, ma tante a du mal à joindre les 2 bouts. J’ai contacté un ami qui m’a indiqué une sorte de cercle très fermé en Suisse. Nous participons à une sorte de spectacle en faisant l’amour devant un père richissime pour inciter son fils à passer à l’acte plus aisément du fait de notre situation incestueuse. Nous sommes à la fin dudit spectacle avec l’ultime scène dans laquelle ma tante doit se soumettre à mes exigences.
Véronique sortit de la salle de bain pour m’y laisser entrer. Elle n’était qu’en peignoir et rien qu’à l’idée de la regarder j’échafaudais un futur scénario pour notre retour sur scène.Fraîchement maquillée avec sa robe longue noire, elle avait une sacrée gueule et une fierté intérieure s’empara de moi, sachant qu’elle me considérait comme son mec. Je pouvais la baiser quand ça me chantait et cette soirée si particulière me donnait l’occasion d’assouvir de nouveaux fantasmes.
— Ca va Patrick, tu tiens le coup ? Dit-elle en se tenant bien droite face à moi.— Ne t’inquiète pas pour moi, rien qu’en t’écoutant j’ai déjà envie de te rouler une pelle et de te sauter ma chérie !— Oui bon… Tu vas en avoir l’occasion, on y va. Enchaîna-t-elle à la fois gênée par mes remarques déplacées vis à vis d’elle mais ravie de se savoir autant désirée par son jeune mâle, enfin son neveu.— J’ai réfléchi à un truc. Lui confiai-je en descendant l’escalier.— Euh tu me fais pas faire n’importe quoi devant ces personnes ? S’inquiéta-t-elle légitiment.— Tu es ravissante avec cette robe, toute ta silhouette est mise en valeur et tu es à poil en dessous. Dis-je en l’attrapant par la taille dans le couloir.— Tu as toujours aimé, ça t’excite de me savoir nue sous ma robe et savoir que tu vas m’avoir rien que pour toi…
Ma tante avait vu juste avec les vrais mots. Voir ses tétons pointer à travers son décolleté et son cul se balader sans culotte était en effet fort séduisant voire enivrant en pensant à ce que j’allais faire d’elle, ma femelle mûre docile et bien dressée rien que pour moi. L’allemande, sorte d’organisatrice en chef nous mit en une nouvelle fois en garde. Ma tante devait se plier à mes désirs et peu importe qu’elle fût ma tante et notre différence d’âge. Le repas du soir fut vite expédié avec la comédienne jouant le rôle de ma mère.
— Patrick, nous avons fait une journée de shopping et je suis fatiguée. Ton père ne rentre que demain alors je vous laisse fumer votre cigarette habituelle. Bonne nuit à vous deux.— Oui Maman à toi aussi. Répondis-je pour jouer le jeu.— Dors bien Anne. Souhaita ma tante à ma mère de substitution.
Véronique somptueuse dans sa robe longue alluma une cigarette et sa manière de rejeter la fumée la rendait très hautaine. Elle ne savait que faire, en attente en quelque sorte de mes ordres. Je m’en amusais en la voyant tortiller une de ses mèches dans ses doigts, mal à l’aise dans pareille situation. Nous étions devant des inconnus et son amour propre était mis à rude épreuve en se sachant obéissante. Elle finit par éteindre sa cigarette et engagea la conversation.
— Alors Patrick et ta journée ? 
— Rien de bien extraordinaire, tu es très en beauté ce soir. Tu me plais beaucoup dans cette robe mais je te préfère en robe de chambre.— Le temps que ta Maman s’endorme, je peux me changer si tu veux et je serai déjà en chemise de nuit.— Oui mais ne mets pas de pantalon dans ce cas et reviens avec tes nu-pieds.— Ah on veut chouchouter sa Tatie ! Dit-elle en quittant la pièce.
Véro ne s’attarda point et dès son retour, elle avait mis sa robe de chambre en laissant volontairement ouverte sa chemise de nuit. Elle était à nouveau ma tante du matin, avec laquelle je mettais inventé un tas d’histoires étant ado en la voyant déjeuner avec ma vraie mère. Les jambes croisées, je me plaisais à contempler ses mollets galbés aux chevilles épurées, en finissant par ses orteils soignés recouverts d’un vernis rouge du plus bel effet. Véro en avait abusé en se débarrassant de ses patins, me sachant friand de cette partie de son anatomie.
— Comment te sens-tu là, maintenant ?— Très bien Patrick, je suis détendue avec toi.— Maman dort en haut, j’ai entendu la porte de sa chambre. Alors on peut un peu parler de nous.— De nous ? Mais que veux-tu entendre à propos de nous ? Demanda-t-elle intriguée.— Tu as déjà fait l’amour avec d’autres hommes, alors comment je me situe dans ta hiérarchie ? Demandai-je très décontracté.— Oh je ne m’attendais pas à cette question et tu sais fort bien qu’avec toi c’est totalement différent. Tu es inclassable Patrick. Tu ne veux pas que je te donne une note, je ne te le montre pas mais cette situation me tracasse toujours autant. Termina-t-elle en balançant sa jambe.— Evite de te poser ce genre de questions… J’ai envie de faire des choses avec la petite sœur de ma mère mais en a-t-elle envie avec son neveu ? — Tu peux toujours demander, on commence à se connaitre toi et moi.— Véronique, j’adore te baiser et tu le sais. Et toi ? — Comme tu peux être direct et où veux-tu en venir exactement ? Oui j’aime beaucoup ta façon de me faire l’amour si tu veux savoir et je ne dirai pas non, même si hier je t’ai dit qu’on ne le ferait qu’une fois et bien je me suis trompée, voilà c’est tout. Euh…tu aimerais aller dans ma chambre ? 
Ma tante ne pouvait pas cacher son jeu bien longtemps. Son envie de se faire baiser l’emportait, mais le fait de me le demander à moi son neveu la mettait en porte à faux. Elle manipulait son paquet de cigarettes avec nervosité en me jetant un de ses petits regards coquins. Une fois encore je restais de marbre excepté faite de mon entrejambe. 
— Non pas tout de suite, lève-toi que je puisse te regarder et ouvre grand ta robe.— Patrick tu m’as vue déjà nue… Dit-elle blasée en se mettant debout pour afficher son corps étincelant.— Approche et mets-toi à genoux Véronique.— Tu exagères quand même… Je vois ce que tu veux et je ne le fais que très rarement voire jamais pour ainsi dire Patrick.
Elle avait les traits fatigués et nous étions à la fin de cette espèce de spectacle. Ma tante avançait néanmoins avec assurance, son charme de la quadra opérant sur moi un effet irrésistible. J’avais toujours projeté cette image de voir la sœur de ma mère se mettre à mes pieds, à mes genoux en robe de chambre. C’est ce qu’elle fit.
— Et maintenant, je suppose que tu aimerais enlever ton pantalon ? — Ah mais si tu le demandes ! M’exclamai-je en me soulevant pour faire jaillir mon phallus imposant.— Ouf ! Toi qui me demandais la hiérarchie dans les hommes que j’ai connus… Et bien de ce côté-là je te décerne la palme d’or ! S’extasia-t-elle en se tenant bien droite.— La dernière fois, tu l’as fait quand ? — Alors là… Une dizaine d’années au moins.—  Et c’est ton truc ?— Oh Patrick, tu me poses de ces questions, moi qui suis ta tante ! C’est pas ma tasse de thé sauf quand c’est un homme qui me plait et que j’aime. Et puis je dois t’avouer que cette position me gêne vis à vis de toi. Me confia-t-elle en débutant des caresses à l’intérieur de mes cuisses.— Je trouve ça fort excitant, tu as tes lèvres à quelques centimètres de mon beau sexe, tu ne vas pas te plaindre ? Dis-je en posant ma main sur la sienne.— Nous sommes dans la salle à manger avec ta Maman en haut, tu aimes le risque… En finissant par apposer sa main sur mon membre.— Sois câline, sois amoureuse dans tes gestes. Lui suggérai-je en passant ma main sous son menton.— Chut… Ne dis plus rien dorénavant et j’ai déjà honte de te le faire quand je pense que je suis ta tante… Murmura-t-elle 
Véronique, après de belles promesses avec ses mains tira sa langue rose pour venir à la conquête de mon sexe. Je crus bien m’évanouir au moment où ses lèvres englobèrent silencieusement mon gland, se laissant choyer à l’intérieur de son palais.
— Ouh c’est bon… Tu suces super bien ! En passant ma main le long de sa joue.— En principe c’est pas mon truc Patrick… Murmura-t-elle le temps de baisser la tête.— T’es une vraie reine et tu es habile avec ta langue, un vrai régal ! Tandis qu’elle fit visiter mon pénis dans tous les recoins de l’intérieur de sa bouche. — N’en rajoute pas, je suis assez gênée de te le faire. Quand je pense que je suce mon neveu ! Se lamenta-t-elle avec mon gland posé sur sa lèvre inférieure.— T’es super cool. — Avec toi je perds le sens des réalités. Termina-t-elle en remettant au chaud mon sexe à l’intérieur de son palais.
Ma tante me caressait le torse tout en poursuivant sa fellation parfaite. La voir ainsi en robe de chambre à genoux en train de me sucer me procura un sentiment d’orgueil intérieur. Orgueil se renforçant quand je la vis tapoter mon sexe contre ses lèvres et qu’elle me fit un sourire en enfournant sa bête à pleine bouche. Elle me suçait avec une lenteur désarmante mais je me devais d’intervenir avant qu’il ne soit trop tard, ma tante étant si experte en la matière.Délicatement je l’invitais à abandonner son œuvre.
— Quoi Patrick ? Tu ne veux pas que j’aille au bout ? En suçotant mon gland comme son pouce.— Non tu pourrais aller te mettre dans le lit, j’ai une petite idée pour te faire plaisir.— Bon… Alors d’accord. 
Robe et chemise de nuit se retrouvèrent au sol et Véro s’allongea sur le lit, prête pour un cunnilingus en ouvrant de manière impudique ses jambes élancées, fuselées en arborant son intimité déjà luisante.
— C’est ce que tu veux, me bouffer la chatte comme tu dirais ?— Non je veux te bouffer entièrement. En plongeant directement ma tête entre ses cuisses galbées.— Tu n’y vas pas par quatre chemins… En me regardant posée sur ses coudes.— Oh comme tu dégoulines de bonheur.— C’est que tu me fais de l’effet… Dit-elle ravie de ma remarque.— Tatie tu sais que tu commences à me plaire de plus en plus ? En fourrant ma langue dans les parois roses de son vagin.— Patrick…Que veux-tu que je te réponde… ? Peina-t-elle à dire en se raidissant.— Allez viens ma belle, viens jouir dans ma bouche. En lui écartant ses grandes lèvres.— Oooh j’adore…Oh Patrick… Gémit-elle en me serrant les bras ma langue léchant les parois de son vagin suintant.— Oui… L’encourageai-je en écartant ses grandes lèvres roses.— Han…han…han… Fit-elle en jouissant sans aucune pudeur, faisant abstraction de nos spectateurs.
Je mesurais mon influence grandissante sur sa personne. Elle qui me disait que nous commencions à mieux nous connaitre avait le souffle court. En l’espace de 24 heures, je savais comment lui procurer du plaisir avec une telle facilité que j’en fus presque le premier surpris. Certes elle n’avait plus eu de rapports depuis près d’une année entière, mais était-ce notre consanguinité qui nous rendait si proche ? J’en oubliais la réponse pour glisser mes mains sous ses fesses, elle souleva son bassin pour continuer à se faire bouffer la chatte. Tantôt je batifolais vers le haut de son sexe, tantôt je m’aventurais dans sa source abondante. Ma tante s’y perdait…
— Han…Hannnn… — C’est bien… Doucement… En lui caressant son ventre à la peau lisse pour l’apaiser.— Ouiii… Soupira-t-elle sous ma langue devenue sage, léchant son sexe au ralenti.— Ca va ma jolie Véronique ? — Attends un peu, laisse-moi retrouver mes esprits. Tu sais Patrick, tu…enfin oui tu me fais jouir si facilement, je m’abandonne à toi, j’ai un peu honte quand tu me vois dans cet état. — Avoir honte ? T’es si belle en pleine jouissance Véronique.— Oh et puis zut ! Je suis bien avec toi ! Bien avec mon neveu à moi ! S’écria-t-elle en levant les bras.— Oui bah un peu de calme et retourne-toi.
A l’instant où je prononçais cette phrase, ma tante eut un petit rictus. Ma belle quadra se mît dans la position de soumission totale, ses fesses bombées bien à l’air. Je marquais un temps d’arrêt pour la contempler. Elle avait une gueule folle avec ses seins flottants, sa cambrure parfaite et son port de tête majestueux. J’aurais pu passer des heures à la caresser dans cette position qui reflétait à merveille ses courbes. Sa silhouette devenait à mes yeux la définition que je me faisais d’une femme, de la femme aux mensurations idéales. Sans le savoir, j’idéalisais ma tante tant j’étais tombé sous son charme.
— Nom de dieu, t’es vraiment superbe ! En passant ma main sur sa croupe, comme si elle m’appartenait.— Ta tante te plait toujours autant ? Ajouta-t-elle en tortillant son cul ferme aux fesses harmonieuses.— Laisse toi faire ma belle Tatie, reste bien câline. La rassurai-je en convoitant ses lèvres intimes comme pour les allaiter.— Oh oui… C’est trop bon… Grogna-t-elle en se laissant aspirer une partie de son sexe dans ma bouche.— Dis-moi si tu aimes. En débordant mes lèvres sur son second orifice.— J’adore Patrick, j’adore tout ce que tu fais de moi… En se cambrant davantage pour se faire lécher le cul.— On dirait que tu aimes ! En posant mes mains sur chacune de ses fesses.— Oui…
Je m’employais à domestiquer son petit derrière en le lapant avec bienveillance. Sans doute ma tante se disposait à m’accueillir naturellement, mais j’avais pour but de m’emparer de son cul souverain aux formes royales. Sans lubrifiant, je redoublais de précautions en m’aidant de sa précieuse liqueur associée à ma salive. Je passais à l’étape peu romantique en appliquant mon doigt à l’entrée de ce canal étroit.
— Ah tu veux me prendre par là ? Demanda-t-elle surprise.— Oui j’en ai très envie avec toi, tu aimes cette façon ?— Je l’ai fait une fois Patrick et ça me fait peur et puis tu ne crois pas qu’on aille un peu vite ? On aurait pu en parler et on fait l’amour ensemble, c’est déjà pas mal non ?— Oui c’est bien mais on peut aller plus loin et j’aurais pu t’en parler… Laisse-moi faire, tu vas voir… En glissant timidement mon index.— Patrick… Est-ce ce que tu réalises ce que nous sommes en train de faire ? Ce que tu veux faire avec moi qui suis ta tante ? Tandis que mes deux doigts amadouaient avec subtilité cet orifice tant capricieux.— T’as un cul de rêve Véronique, tu me fais confiance ? Demandai-je tout en continuant à la relaxer.— Enfin tu t’apprêtes à me prendre par derrière, cette fois tu vas trop loin Patrick ! S’emporta-t-elle légitimement.— Reste calme Véronique, ça va être somptueux avec toi. En retirant les deux intrus après un bon travail pour dilater le capricieux.— Je n’arrive pas à le croire, tu ne vas pas me baiser par derrière ? En se faisant lécher le cul une dernière fois.— Aie confiance… Murmurai-je avec mon sexe humide flirtant avec la pureté de son anus.— Oh Patrick je deviens folle avec toi. Bon je veux bien que tu essaies mais tu sais, j’ai un peu peur… Me souffla-t-elle craintive.— J’y vais doucement, sens moi entrer en toi ma chérie. En insérant mon gland dans son anneau récalcitrant.
En osant l’appeler ainsi, je faisais voler en éclat notre relation incestueuse, ou du moins un court instant. Véro loin d’être dupe réalisa l’impensable de notre situation, de mes idées voire pratiques dérangeantes. 
— Oh si Anne me voyait… Lâcha-t-elle désemparée.— Détends toi, tu es si belle, respire profondément. Dis-je pendant que mon sexe se contentait de longer son canal à un train de sénateur.— Oui je respire et tu ne me fais pas mal. Ajouta-t-elle superbement cambrée.— C’est bien, détends-toi, sens moi te prendre délicieusement. Ajoutai-je en la maternant.— Oui je sens Patrick et ça va pour l’instant…. Bredouilla-t-elle fébrile.— J’y suis presque Véronique. — Patrick…Je ne sais plus quoi penser de moi en ce moment.— Dis-toi que tu es ma Tatie à moi… En pétrissant son beau derrière dans lequel mon sexe se noyait irrésistiblement.— Tu es gentil et si délicat…et je suis à toi… Dit-elle presque pour se rassurer.
Mon sexe persévérait dans sa progression volontairement paresseuse entre ses fesses à la peau blanche. Je n’avais pas encore atteint le septième ciel mais j’avoue que je tirais une certaine fierté de pouvoir sodomiser ma tante contre son gré. Connaissant son potentiel sexuel, il fut évident qu’elle y prendrait goût et atteindrait le septième niveau avec brio.Fort de l’avoir pénétrée, je débutais par de légers mouvements pour éveiller cet orifice peu habitué à de telles sollicitudes. 
— Alors Véro, que ressens tu ? En la regardant du bas de son dos jusqu’à ses épaules graciles.— Ne bouge plus. Dit-elle sèchement en contractant son sphincter.— Tu es bien ? Demandai-je mon sexe figé en elle.— Attends… 
Véro posée sur ses coudes commença à mouvoir son corps, créant un mouvement léger que j’assimilais à ces vagues échouant sur le rivage. Elle releva la tête poursuivant son amplitude en se cambrant davantage. Je ne contrôlais plus rien, observateur de ma tante dont le souffle saccadé s’accentuait avec l’amplification de ses mouvements toujours plus lancinants.
— C’est somptueux ce que tu fais. Lui dis-je à proprement étonné d’un tel comportement de sa part.— Oui… À toi maintenant Patrick…
Véro étala son visage à même le drap, un geste hautement symbolique de sa part. J’eus le temps de voir son visage de profil, elle avait la bouche entre ouverte et les yeux mi-clos. Visiblement elle était en attente, en attente de se faire culbuter par son neveu, en attente de recevoir un plaisir interdit par la société voire tabou dans son cercle d’amis ou le clan familial. Ma tante n’en avait que faire, elle ne s’en privait pas pour me le faire savoir et ce malgré la présence de personnes inconnues.
— Baise moi depuis que tu attends ça, baise ta Véronique ! En se pâmant d’une joie que je ne lui connaissais pas.— Tu es ma Véronique, celle que j’attendais depuis si longtemps. En glissant ma main sous son torse pour lui pincer ses tétons durcis.— Han…Comme tu restes attentionné avec moi, fais-moi jouir comme j’aime. En se trémoussant sous les impulsions de mon sexe dont le gland repoussait sans cesse les limites de ses profondeurs.— Reste câline, docile, laisse-toi faire. En lui infligeant des coups de reins plus fermes qui claquaient contre ses fesses.— Oh ouii… Approuva-t-elle en recevant mon membre tendu lui caressant ses parois intimes à chaque passage.
A chacune de mes poussées, elle contractait son sphincter me prouvant qu’elle maîtrisait la situation. Ce fut comme une sorte de jeu entre nous, jeu très jouissif puisqu’il me fallait l’exciter en pressant mes va et vient à chaque fois plus puissants, plus furieux en elle. Mais ma jolie proie lâchait peu à peu prise, ses contractions s’estompèrent pour faire place à de petits cris aigus. Véro s’ouvrait à chacun de mes passages longeant sa chair chaude et humide, sentant mon sexe avide de la combler. J’entendis son souffle saccadé puis des gémissements devenus des cris rauques, tandis que la sève montait inexorablement le long de ma verge saillante.
— Oh je viens Véronique…Je viens…Lui annonçai sentant mon corps se contracter violemment.— Viens mon amour. Exhala-t-elle oubliant le sens des mots, oubliant cette scène et ses spectateurs.
Nous avions transgressé tous les codes, nous étions allés au-delà de la morale. Non seulement j’entretenais des relations incestueuses avec ma tante mais de plus je la sodomisais en public et à mon grand étonnement, elle ne s’en souciait guère. Je la transperçais de bonheur par un râle puissant suivi du sien, se comparant à une sorte de cri primitif discontinu. 
— Oh ma Véro. Hurlai-je en contractant mon corps puissamment dans sa chair avec des spasmes frénétiques.— Han… Lâcha-t-elle envahie par mon jet brûlant au fond de son orifice vaincu.— Oh bordel c’est fantastique avec toi… En m’échouant sur son corps, vidé de ma substance répandue dans ses chairs transpirants de plaisir.— Patrick…Patrick… Geignit-elle dans une plainte languissante.— T’es ma Véro à moi…à moi… Immobile dans son corps enlaçant sa poitrine conquise.— Oui je suis à toi.
Nous venions de vivre une ivresse hors limite. Ma tante allongée reprenait son souffle à mes côtés en caressant mes cuisses machinalement. La lumière de la scène se fit peu à peu absente nous signifiant la fin définitive de notre spectacle.De petits applaudissements éphémères apparurent, Véro et moi étions partagés entre un sentiment de consternation vis à vis de nous même ou une reconnaissance de notre talent. Après un bref échange de regards, la volonté de passer à autre chose prit immédiatement le pas sur nos sentiments partagés entre honte et orgueil.
— Bravo ! Bravo ! S’écria l’allemande.— On dirait que ça a plu. Dis-je vêtu de mon boxer.— Rendez-vous compte…c’est la première fois que cela arrive, ils ont applaudi. S’exclama-t-elle en faisant la bise à Véronique en pleine euphorie.— Bon nous pouvons regagner notre chambre ? Demanda-t-elle d’un ton anéanti.— Oui oui ! Je vous souhaite bonne nuit et vous aurez un petit déjeuner royal servi en chambre.
Chacun à notre tour, nous primes une douche pour enfin nous allonger pour de vrai sur un vrai lit, loin des regards indiscrets. Véro se lova contre moi en posant sa main sur mon torse, sa tête sur mon bras.
— Quelle soirée, je ne suis pas prête de l’oublier !— Bah…tu n’es pas la seule. Ok c’était super mais c’était une expérience unique que nous ne renouvèlerons pas ma chère Tatie. — Je suis vidée Patrick, vidée.— Vidée ? Là tu exagères… Plaisantai-je.— Gros cochon et tu me fais rire en plus ! Dit-elle en me faisant un baiser léger.— On va voir demain en tout cas, chapeau Madame ma tante. Tu t’es débrouillée comme une chef notamment dans la dernière scène quand tu faisais semblant comme si c’était la première fois.— Bah c’est la troisième fois que tu me prends ainsi et tu as profité de ta tante durant quatre bonnes heures. Tu ne t’es pas gêné pour que je me soumettre à tous tes fantasmes. Notamment la scène du petit déjeuner, tu aimes quand je suis en robe de chambre. Insinua-t-elle en s’étendant sur moi.— Je ne t’ai pas vue te plaindre… Pour la robe de chambre ? Tu m’as toujours fait craquer le matin en papotant avec Maman et comme je vois que tu apprécies, je réalise mon fantasme. Je saute ma belle Tatie au petit dej’ ! En promenant mes mains sur ses deux dunes toujours aussi savoureuses à caresser.— Patrick ?— Oui Véronique.— Je me sens très proche de toi, même si ça n’est pas pour la vie je suis contente d’être dans tes bras. Murmura-t-elle en me fixant des yeux.— Ne dis pas des trucs pareils et pour mon stage, c’est presque fait. Je serai à environ 20 minutes de Bordeaux.— Mais tu ne dois pas passer un entretien ?— Si pour la forme mais je t’avais dit que j’avais un contact sûr donc ma cher Tatie, il faudra m’accueillir pour presque une année. — Et tes parents ? Que vont-ils penser ? En se remettant subitement à mes côtés.— Je ne vois pas ce qu’il y a de mal à vivre chez toi un certain temps et tu t’inventeras un amant !— T’es fou Patrick…
Nous n’avions pas envie de baiser, juste envie de parler. Très vite j’entendis le souffle apaisé de ma tante qui dormait sur le côté. À mon tour je sombrais en réfléchissant à demain.La chaleur des rayons du soleil me réveilla, nous n’avions même pas pris la peine de fermer les volets la veille. Véronique ne dormait que d’un sommeil léger et semi-consciente elle se retourna pour se mettre sur le dos, sa main trainant vers le bas de mon ventre. Elle émit un soupir agréable et d’un geste discret, je sentis la douceur de ses doigts fins voguer sur la raideur de mon membre. J’avais dressé ma belle femelle de quarante piges sans qu’elle le sache en tombant amoureuse de moi. Elle se montrait docile comme je l’avais toujours souhaité et m’attira sur elle en m’enlaçant tendrement.
— T’es belle le matin Véronique. En m’étendant sur elle.— Tu me le dis sans cesse. En me faisant un baiser dans le cou le temps de disperser ses cuisses gracieuses.— J’aime le matin, j’aime te sentir. 
Véro passa ses mains le long de mon dos puis me serra intensément en me recevant progressivement. J’adoptais des mouvements à l’amplitude savoureuse en me délectant de sa chaleur intime. Je la limais avec lenteur, mon sexe prenant possession de son vagin se dilatant au fil de ma cadence.
— Oui…Oui… Murmura-t-elle en multipliant avec frénésie ses caresses sur le bas de mon dos.— C’est bon ma toute belle ? En l’interpellant avec de longues ruades inattendues dans son sexe avide de se faire lécher ses parois bien huilées.— Oh oui… Continue… Souffla-t-elle en respirant profondément.— Alors viens avec moi ! Lui dis-je en plongeant ma langue pour rejoindre la sienne avec nos lèvres collées dans un pur bouche à bouche.— Han…Han… Émit-elle en guise de réponse victime d’une contraction croissante synonyme du début de sa jouissance.— Oui Véronique…Jouis…Jouis avec moi mon amour… Dis-je ma verge se gonflant de semence dans son bas ventre.— Hannnn… Fit ma tante en recevant ma liqueur chaude par saccades, se faisant bouffer de plaisir en gémissant telle une bête blessée.— Oh bordel c’est inouï avec toi ! M’écriai-je transpercé par les flèches de ses cris tantôt aigus tantôt rauques.— Han…Han… Haleta-t-elle jouissant à tout va, submergée par mes vagues déferlantes en pleine tempête orgasmique. — C’est bien, jouis doucement ma belle… Lui dis-je en calmant le jeu, mon sexe flottant dans son intimité inondée.— Oui. Soupira-t-elle baignant dans son euphorie matinale.
La suite de notre étreinte fut dévouée à de longs baisers remplis de la tendresse qui nous avait fait tant défaut durant la soirée d’hier. Je restais en elle plus que de raison au gré de la fantaisie de nos langues entremêlées.Le petit déjeuner fut royal comme promis et face à ma tasse de café, j’observais ma tante cette fois nue sous sa robe de chambre. L’envie de la sauter une seconde fois m’effleura l’esprit mais l’envie de partir au plus vite prit le dessus. En tailleur impeccable, ma tante avait fière allure perchée sur ses escarpins mettant en valeur ses mollets galbés. La femme allemande nous attendait dans le hall et après avoir échanger quelques amabilités, elle rentra dans le vif du sujet.
— Notre client a été plus que satisfait de votre prestation, pour le plus grand plaisir de son fils. En disant ces derniers mots, Véro baissa la tête gênée de s’être donnée en spectacle devant des inconnus, qui plus est un jeune garçon.— Bien, vous avez opéré un virement comme prévu ? Lui demandai-je ma tante se refusant de prendre la parole.— Oui oui ! Et vous aurez droit à un petit bonus, je dois ajouter que son fils vous a trouvée très belle Madame.— Je vois que tout est réglé donc nous allons prendre congé.— Vous aurez sans doute de nos nouvelles, nous aurons besoin de vous enfin si vous êtes d’accord bien entendu. — Que voulez-vous dire ? Demanda ma tante à la fois inquiète et curieuse.— Je vous l’ai dit, vous plaisez à son fils qui n’a jamais connu l’amour alors peut-être…Enfin vous recevrez un mail à ce sujet.
Ma tante bouillait intérieurement et je la pris par la main afin de rejoindre la limousine nous attendant dans la cour en saluant la femme au passage. Véro regardait le paysage défiler à travers la vitre de sa portière, bien songeuse au futur et à ce que nous allions décider de faire ensemble.Le soir même nous étions sur sa terrasse, ses enfants ne rentrant que le lendemain Véro avait pris ses aises en se mettant directement en chemise de nuit revêtue de son immanquable robe de chambre. Elle s’était démaquillée auparavant en me demandant la permission, ce à quoi je lui avais répondu qu’elle était entièrement libre de ses choix. C’était en fait un gros sous-entendu pour la rendre responsable de ses gestes faisant suite à notre épopée en Suisse. Nous avions jeté un coup d’œil sur le compte bancaire en arrivant et la somme de 125.000 euros était créditée. Ma tante dans un élan de spontanéité m’embrassa fougueusement, débarrassée de sa dette envers Patricia. Mais la lecture du fameux mail la plongea dans un lourd dilemme. Le mail était plus qu’explicite. Le type par le biais de l’organisation s’adressait directement à moi uniquement. Par de belles formules il m’engageait à poursuivre nos activités dans une de ses nombreuses résidences et par la même, de convaincre ma tante d’avoir des rapports avec son fils vierge de toute relation. Bien entendu l’aspect financier fut évoqué sommairement mais pour une telle prestation, nous étions à des kilomètres de la somme reçue. Ma belle Véronique en fut toute retournée, considérant que ce type la considérait comme une pute selon ses propres termes. 
— Je n’en reviens pas, quel toupet ! Franchement Patrick, pour qui me prend-t-il ? Ah évidemment comme je couche avec mon neveu, il me prend pour une dévergondée ! S’emporta-t-elle à juste titre.— J’en sais rien, là je ne peux pas te conseiller. Le gamin est puceau et quand il a vu la façon dont tu te faisais baiser…bah ça lui donne envie de faire la même chose.— Merci pour ton pseudo conseil, si je comprends bien je peux me faire sauter par n’importe quel gamin ! — D’abord c’est pas n’importe qui et il allonge une sacrée somme de blé pour juste un soir, adieu les fins de mois difficiles et si le môme met une capote…Regarde ce que j’ai fait avec Patricia, je n’en ai pas fait une maladie.— Oh c’était loin de te déplaire d’après ce qu’elle m’a dit, elle a pris son pied et m’a même dit que j’étais bien chanceuse d’avoir un pareil neveu. Ajouta-t-elle en se servant un verre de rosé.— Bon il faut réfléchir à tête reposée. M’abstenant de commenter sa dernière phrase.— Patrick, avec Patricia s’était totalement différent, tu n’avais pas le choix. J’ai l’impression d’être une pute, juste une pute.— Ah tu remets ça ! Arrête un peu et ne pars pas dans l’excès. En plus le gosse est vierge…— Et toi, ça ne te dérange pas que je me fasse sauter devant toi ! Car je te rappelle que le père veut que tu l’assistes auprès de moi, je trouve tout cela terriblement malsain.— Du moment qu’il met une capote. — Oh tu m’emmerdes avec ta capote ! Je vais aller me coucher, tout cette histoire est grotesque. Je ne pensais pas tomber aussi bas.— Véronique, les 125.000 balles sur le compte, tu ne craches pas dessus ? Et on ne te demande pas de faire l’amour avec un vieillard ! Si j’étais dans ton cas, je réfléchirais à deux fois. Pense à tes enfants et à l’avenir que tu leurs réserves avec une telle masse de fric et je te répète, c’est juste un soir. Argumentai-je.— Bon n’en parlons plus et trinquons à notre expédition helvétique. En esquissant un sourire forcé.
Ma tante desserra sa ceinture bêtement serrée puis déboutonna le haut de sa chemise en m’exposant le début de sa poitrine. Elle ne se rendit pas compte qu’elle m’aguicher furieusement, sans doute le verre de rosé bu cul sec lui donnait des vapes. En saisissant son paquet puis en allumant sa cigarette elle avait cette fois sa belle paire de seins à l’air et à mon regard, elle comprit immédiatement la situation.
— C’est pas la première fois que tu me voies à poil ? J’ai juste un peu chaud et avec toi je ne vais ma faire de manière. Se justifia-t-elle.— Ne te gêne pas pour moi, les garçons viennent à quelle heure demain ? Lui demandai-je avec une trique du diable.— Leur père les ramène en fin de matinée, j’ai hâte de les voir. Je ferai tout pour mes gosses, dès qu’ils ne sont plus là je n’existe plus, enfin c’est une façon de parler. Heureusement que tu es là toi aussi et puis ton stage débute en octobre, donc tu viendras loger chez moi pendant neuf mois environ. Dit-elle en s’apaisant, en se faisant plus câline.— Oui le temps de te faire un bébé Tatie.— Ah ça y est tu as réussi à me faire rire ! Ah si je n’étais pas ta tante… Patrick, j’aimerais te poser une question. Dit-elle en manipulant son briquet.— Oh je m’attends à tout, allez pose moi cette question.— Justement, si je n’étais pas ta tante et malgré notre différence d’âge, tu envisagerais d’avoir un enfant avec une femme telle que moi ? Demanda-t-elle attentive à ma réponse.— Ouf…pas facile de répondre. L’emmerdement, c’est mon attirance pour toi parce que tu es ma tante. Je ne sais pas si c’est lié au fait que tu es la sœur de ma mère mais je ressens une telle proximité avec toi, je devine tes désirs, je lis presque sur ton visage ce que tu penses. Je me pose pas la question avec une autre femme mais avec toi Véronique. — Quoi ? Tu aimerais un enfant de moi ? T’es devenu malade Patrick et en plus je suis bien trop vieille.— Avoue que ce serait génial de te mettre enceinte… Rien que d’y penser et…— Et tu aimerais t’entrainer pour faire un bébé avec moi ! Je commence à te connaître et j’ajouterai que tu souhaiterais commencer dès maintenant ! En plus je suis en robe de chambre, ta tenue fétiche et j’ai les seins à l’air. Alors que demander de plus ? Ah j’oubliais, je vais ôter mes chaussons pour que tu puisses regarder mes pieds si extraordinaires… Termina-t-elle en les posant sur mes genoux. — Tatie… mais tu n’as pas mis le bas ?— Et c’est maintenant que tu t’en aperçois… Décidément tu ne me regardes plus. Ironisa-t-elle en me faisant ses yeux de biche.— Mais si ma Tatie. En enveloppant ses pieds fins dans mes mains.— Sérieusement Patrick, tu aimerais un enfant de moi si je n’étais pas ta tante ?
La question de Véronique n’était pas anodine, elle cherchait à savoir si je la désirais au point de procréer avec elle. Elle jouait habilement comme à son habitude, au jeu du chat et de la souris avec moi. Mais à sa façon de me le demander, elle se trahissait elle-même puisque je lisais dans ses pensées, tout en restant humble à ce propos. Elle détourna son regard, se sentant subitement stupide de poser une telle question à son neveu. Elle réalisait l’énormité de ces paroles en me demandant de l’engrosser purement et simplement, enfin de lui faire un enfant. 
— Un enfant de toi ? Répétai-je omettant de souligner dans sa question si elle n’avait pas été ma tante.— Oui…enfin je sais pas pourquoi je te pose la question tout à coup. Dit-elle embarrassée.— Véronique, tu es ma tante et tu prends la pilule mais je te retourne la question et si je n’étais pas ton neveu, tu accepterais un enfant de moi ? En caressant ses orteils raffinés.— En y réfléchissant, la question est délicate et puis j’ai 42 ans, tu as tendance à l’oublier. — Tu rigoles, on te donne 30 ans à te voir et un jour, malgré Oscar et Jules tu m’as dit que tu désirerais un troisième enfant. Affirmai-je en passant mes lèvres le long de ses doigts de pieds.— Oui je sais mais bon, je me lance. Eh ben si tu n’étais pas mon neveu, je ne dirais pas non, voilà tu sais tout ! S’exclama-t-elle un peu confuse.— On s’entend super bien, on fait super bien l’amour ensemble, on rigole tout le temps, mes cousins m’adorent… Dis-je s’en finir ma phrase.— Oui enfin Patrick, tu m’imagines enceinte de toi ? Tu me vois enceinte de toi, mon neveu et Anne, tes parents, te rends-tu compte du scandale ? En se laissant peu à peu conquérir avec l’un de ses pieds au bord de ma bouche.— Qui le saura ? Ce serait fantastique mais bon… Pensons à cette histoire avec le jeunot.
Ma tante était perturbée. Elle avait déjà commis l’impensable en couchant avec moi et désormais, de fil en aiguille, nous en étions venus à parler de faire un enfant. Certes elle se montrait réticente mais au fond d’elle-même, l’idée la séduisait. Ne pensait-elle pas qu’avoir un enfant à son âge avec un jeune mâle comme moi lui donnerait une seconde jeunesse ?Fatigués, nous montions finalement nous coucher sous la couette…
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