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Séduction délicate de la soeur de ma mère

Chapitre 26

Les contradictions

Inceste
Si vous avez manqué le début.
Je m’appelle Patrick, je travaille en Allemagne à Hambourg. J’entretiens depuis plus d’un an une relation intime avec ma tante Véronique, très bcbg, sœur de ma mère Anne.Elle a 43 ans, divorcée avec 2 enfants de 9 et 11 ans, elle mesure 1m72 pour 55 kg et moi, 25 ans 1m80 pour 75 kg.Je l’ai mise enceinte et elle a accouché d’un petit garçon prénommé Hugo en décembre. Elle a intégré la même boite que moi, avec un poste d’assistante de direction et nous avons vu mes parents en mai. Au retour et par téléphone, je les ai mis au courant, omettant de révéler que Hugo était mon fils. Ma mère, choquée d’apprendre la vérité rejette la responsabilité sur ma tante. Désarmée et se culpabilisant, elle se refuse à moi depuis près d’un mois. Ma patience atteignant ses limites, notre première dispute a éclaté. Nous voici fin juin, je viens de claquer la porte d’entrée pour rejoindre mon bureau le matin-même.
Ma tante arriva selon ses propres habitudes, à neuf heures. Vêtue d’une jupe moulante, elle se dirigea directement vers son bureau, sans prêter attention à moi. J’avais déversé mon trop plein au petit-déjeuner, mon ras-le-bol de cette attitude devenue désinvolte, depuis l’annonce faite à mes parents. Anne, ma mère lui avait balancé des vérités, dures, difficiles à admettre. J’allais avoir 26 ans, mais qu’importe, ma tante avec ses 43 ans s’était vue signifier par ma mère, qu’elle avait l’âge pour être…ma mère et que je n’avais aucun avenir avec elle. De toute la journée, nous n’eûmes aucun échange, nous ignorant l’un et l’autre.
Le soir venu, Oscar me demanda de l’aide pour un devoir de math. Une fois fini, il se mit à table avec son petit frère. Les deux gamins ne dirent pas un mot, sentant une tension palpable entre leur mère et moi. Ma tante monta les coucher et leurs donna la permission de jouer jusqu’à 21 heures à leur jeu vidéo, installé sur la télé située dans la chambre du grand. J’avais loué un duplex, ainsi une fois les garçons en haut, nous étions au calme pour dîner. Véro redescendit au bout d’une dizaine de minutes et petite surprise, elle s’était changée comme par le passé. Elle s’affichait dorénavant avec ce que j’avais appelé ma tenue fétiche. En robe de chambre avec sa chemise de nuit, le tout parfaitement noué, elle mît au micro-onde des lasagnes. Le temps de faire chauffer le plat, elle se recoiffa brièvement et s’assit face à moi.
— Je ne vais pas revenir sur ce matin, ton comportement a été odieux et je tiens à te rappeler que je suis ta tante, tu n’as pas à me parler sur ce ton. Tu m’as fait beaucoup de peine en me disant que j’étais lâche. Dit-elle en se levant pour nous amener le plat avec sa ceinture se desserrant.— Je t’ai dit ce que je pense, j’aurais dû peut-être y mettre les formes, mais tu sais que je n’ai pas tort. En lui servant une portion de pâtes.— Peut-être, mais je ne suis pas lâche comme tu le prétends et puis n’en parlons plus, je n’ai pas envie qu’on s’engueule à nouveau. — Alors n’en parlons plus et oublions ? Lui demandai-je en la regardant débarrasser nos deux assiettes, sa robe de chambre désormais ouverte.— Oui si tu veux. Ajouta-t-elle en se rasseyant, songeuse.
J’avais eu ma mère une nouvelle fois au téléphone dans l’après-midi et devant le manque de joie de vivre, le manque d’entrain de ma douce compagne, j’hésitai à aborder le sujet. Mais notre relation étant basée sur une profonde sincérité, je ne pus résister à lui cacher les propos de cette conversation.Attentive, Véro écouta les reproches formulés par sa grande sœur. Les rôles furent inversés, ainsi j’étais devenu le pestiféré de la famille. Ma mère avait retourné sa veste, elle n’accusait plus sa sœur, mais moi. J’étais devenu celui qui l’avait pervertie dans la luxure, qui avait abusé de ses faiblesses. Certes elle ne pardonnait pas à sa sœur, mais voyait en moi l’investigateur de notre acte immoral. Je terminai en lui expliquant qu’elle m’avait raccroché au nez.
— Elle a coupé brusquement, mais pourquoi ? S’interrogea-t-elle en allumant sa première cigarette.— Je lui ai dit que j’en avais rien à foutre et que… — Que quoi Patrick ?
— Que j’avais des sentiments très forts pour toi. Bon je parle trop. Rajoutai-je exprès, afin de voir sa réaction.— Euh non…non tu parles bien. Si je comprends bien, nous ne sommes plus les bienvenus chez tes parents. Remarqua-t-elle à juste titre en tapotant sur sa cigarette avec ses doigts fins.— C’est ma mère ! Elle est comme elle est et ça n’est pas moi qui vais la changer. — Au moins ce soir, tu te montres doux et compréhensif avec moi. Patrick je traverse une passe très difficile moralement et j’ai quelque chose à te dire. En se passant la main dans les cheveux, comme pour les aérer.
Ce fut un geste très sensuel et malgré sa robe de chambre ouverte, Véro se montra peu disposée à faire autre chose. A vrai dire, elle ne s’en aperçut même pas en étant ailleurs.Soigneusement, elle éteignit sa cigarette et se leva. Toujours aussi superbe, elle ordonna à ses enfants, du bas de l’escalier, d’aller se coucher sans faire de bruit afin de ne pas réveiller Hugo. De retour à table et en pliant sa serviette pour mieux la déplier, elle me fixa du regard avec ses yeux bleus, ses mèches éparses sur ses épaules graciles, conservant son air songeur.Je n’eus qu’une idée en tête, la prendre sur mes genoux et la peloter de toute part. L’idée, quoique fort séduisante à mon goût, s’envola aussi vite quand elle enchaîna avec une longue tirade.
— Ta mère m’a fait du mal, tu n’imagines pas à quel point. Elle reporte sa haine sur toi, mais ça n’est que passager. Je souffre Patrick, je souffre avec ce qu’elle a dit et au fond, elle n’a pas tort. Je suis en train de te gâcher ta vie, je te vole ta jeunesse et en plus nous avons fait un bébé ensemble, nous voilà liés en quelque sorte. Cette idée m’est devenue insupportable, tout comme le fait qu’elle soit au courant pour nous deux. Alors voilà, j’ai bien réfléchi et…— Arrête ! Tu pars dans un vrai délire. En lui coupant la parole.— Laisse-moi finir Patrick. Tout ça ne mène à rien et ne me dis pas le contraire. Je ne suis pas ton avenir, je ne suis que ton fantasme réalisé et tu as toujours rêvé de faire l’amour avec moi. Je t’ai avoué que moi aussi j’éprouvais une attirance pour toi, mais maintenant ça va trop loin. Tu m’as fait l’amour, très bien je dois dire, mais je ne serai jamais ta copine, je resterai ta tante quoiqu’il advienne. Je suis trop âgée et je pourrais être ta mère (long silence).Regardons la réalité en face et ne nous voilons pas la face, mes enfants ne comprennent plus rien, tes parents me rejettent et nous ne pourrons jamais vivre comme un couple normal. Je sais qu’à mon tour, je te fais du mal en t’avouant tout cela. J’ai mûrement réfléchi et j’en suis profondément désolée, mais il faut qu’on arrête. Conclut-elle dans un sanglot.
J’étais dans un autre monde, en apesanteur. Tout s’écroulait d’un coup. Véro avait trouvé les mots, des mots justes, si réalistes face à notre relation devenue de ce fait stérile, sans avenir.Dix minutes auparavant, elle me parlait d’une réflexion, pour finir par m’annoncer notre séparation. Je n’y comprenais plus rien et je n’avais rien vu venir. Je venais de prendre un coup de massue et face à ses arguments imparables, aucun mot ne me vint à l’esprit, juste une question.
— Et Hugo, tu as pensé à Hugo ? — Oui j’y ai pensé, tu le verras de temps en temps. De toute façon, tu ne vas pas le prendre un week-end sur deux, nous ne sommes pas mariés. Répondit-elle du tac au tac.— Bref je ne verrai plus mon fils et si j’ai bien compris, tu ne m’aimes plus.— Si…je t’aime toujours Patrick. Répondit-elle en s’essuyant les larmes sur les joues.— Je vais dormir en bas, tu peux monter. — Et les garçons, ils ne vont rien comprendre ? S’inquiéta-t-elle.— Tu leurs expliqueras, tu leurs expliqueras que ça ne mène à rien entre nous. Je suis certain qu’ils comprendront à leurs âges. Lui lançai-je en dépliant le clic clac.— C’est déjà assez difficile comme ça, ne complique pas tout. Ajouta-t-elle décontenancée par mon attitude.— Moi qui te croyais forte, capable de surmonter la réaction de mes parents, je m’aperçois que tu t’es faite retourner comme une crêpe. Tout ce que tu m’as dit, nous le savions depuis le départ. A t’écouter, j’ai l’impression que tu viens de tout découvrir ! Donc pour résumer tu m’aimes, mais tu préfères de peur de mes parents, stopper notre histoire et priver Hugo de son Papa. C’est lamentable de ta part, lamentable.
Je venais d’envoyer un missile, visant ma cible de plein fouet. Véro se prit les mains dans le visage et s’étala sur la table, en pleurs. Ne pouvant la laisser ainsi, je lui frottai le dos pour la réconforter. Puis, difficilement, je l’entraînai à se lever pour la serrer contre moi. Secouée par des spasmes, elle chercha son souffle et me chuchota.
— Pardonne-moi…pardonne-moi…je suis à bout, je dis n’importe quoi pour sortir la tête de l’eau. Tu as raison, je suis dégueulasse avec toi, j’en peux plus de tout ça ! S’étouffa-t-elle submergée par des vagues de sanglots.— Je suis là, ne crains rien…je suis là. En déposant des baisers dans son cou.— Tu dois me trouver ridicule ! Je ne suis qu’une conne et je ne te me mérite pas. Dit-elle en me regardant les yeux rougis.— Mais non, ne dis pas ça, allez ça va passer, respire doucement… En lui remettant ses cheveux derrière les oreilles.— Je suis nulle, c’est moi la gamine dans cette histoire. Poursuivit-elle en s’accablant.— T’es pas nulle, t’es toujours une nana géniale ! En caressant sa joue tendrement.
Véro attrapa ma main pour la serrer contre la sienne. Je remis en place le clic-clac rapidement, sous son regard attentif et sans un mot, nous prîmes l’escalier.Une fois dans notre chambre, elle se débarrassa de sa robe de chambre pour se glisser sous la couverture. Prise de remords, elle me proposa pour mon plus grand bonheur d’ôter sa chemise de nuit. Ainsi, elle se releva au bord du lit et prit soin de la déboutonner, laissant choir ce bout de tissu inutile. Dos nu, elle afficha sa chute de reins qualifiée de royale et se remit aussi vite sous le drap. De tendres caresses s’en suivirent sur ses hanches et tout le long de ses cuisses.Son souffle s’apaisa pour devenir régulier.
La pauvre subissait sans le savoir, une pression indirecte de mes parents, lesquels appliquaient les codes de l’évangile à la lettre. Ma mère, sans verser dans la piété, avait tout comme sa sœur reçu une éducation bourgeoise, avec une morale proche des règles de la chrétienté. Alors, savoir que son fils coucher avec sa sœur atteignait pour ma mère les stratosphères de l’inconvenance, de l’impropre. Notre acte était considéré comme irrévérencieux, insolent voire répugnant à ses yeux. Mon père, moins proche de cette morale restait plus effacé, moins affecté par notre relation.A l’écoute de sa respiration, il me fallait au plus vite trouver une solution et cette solution avait un mot, ma mère. Je devais convaincre ma tante de faire fi de ses convenances, l’éloigner du diktat de sa sœur. Les vacances de Biarritz tombaient à point nommé, mais se sentait-elle prête à endosser le rôle de ma copine devant mes potes ? Certes, elle l’avait fait dans un passé proche et cela l’avait amusée et même réjouie du fait de voir notre différence âge s’évanouir face à une ribambelle de jeunes gens de 25-30 ans. Malgré ses 43 ans, ma tante pouvait se targuer de posséder une plastique de rêve et elle avait été loin d’être ridicule en bikini face à des gamines de 25 ans. Yan, mon meilleur ami, m’en avait d’ailleurs fait la remarque, ajoutant qu’il la trouvait super sexy à son goût.
Mal réveillée, les traits tirés des suites d’une soirée agitée, Véro mit du temps à trouver ses marques au petit-déjeuner. Elle beurra les tartines des garçons et leurs servit leur chocolat. Le petit-déjeuner avalé, ils montèrent s’habiller. Leur mère touilla son café machinalement et prit un air que je connaissais, quand elle s’adressa à moi.
— Excuse-moi pour hier, j’ai complètement pété les plombs et à vrai dire, je me sens ridicule en ce moment.— Tu as sorti le grand jeu, je t’ai rarement vue dans un pareil état. En terminant ma tasse, pour m’apprêter à partir.— J’ai dit certaines choses qui ne sont pas fausses, mais bon…je ne vais pas rajeunir ! Ah si tu n’étais pas mon neveu, ce serait plus simple quand même… Soupira-t-elle.— Véronique, je n’ai pas envie que tu rajeunisses, au contraire. Plus les années passent et plus tu es séduisante ! Allez à toute ! Lui dis-je en partant sans l’embrasser.
Ma tante, son bol entre les mains, secoua la tête de gauche à droite en souriant, pas peu fière du compliment que je venais de lui adresser. En joignant ses lèvres, elle m’envoya un baiser imaginaire et d’un geste du poignet, je fis comme si je l’attrapais, faisant semblant de l’avaler. Je fis enfin rigoler ma tante. 
Le soir même, elle m’annonça qu’elle avait appelé Patricia pour garder Hugo, durant notre séjour. Cette dernière étant d’accord avait insisté pour notre venue fin juillet, afin de fêter son anniversaire. J’avais pu remarquer qu’une fois redescendue, elle avait sa robe de chambre largement ouverte. Assise en face de moi, elle prit ses aises en me proposant un petit verre de rosé, en souvenir du bon vieux temps. En effet, durant mon stage à Bordeaux, nous avions pour habitude de nous installer sur la terrasse autour d’un verre et de bavarder.Elle chercha la bouteille au réfrigérateur et me la tendit pour la déboucher. Nos deux verres remplis, nous trinquâmes à cette époque révolue, avec une part de nostalgie. Au moment de tremper ses lèvres, Véro me jeta un regard que je ne lui connaissais plus. Puis elle alluma une cigarette en croisant ses jambes, prenant soin de recouvrir sa cuisse avec sa robe.
Nous parlions de collègues de bureau et pour la première fois depuis plus d’un mois, je voyais une Véronique métamorphosée, presque joyeuse. Ma tante était loin d’être lunatique et quelque chose s’était déroulée durant la journée, j’en étais presque certain.
— Hier Patrick, je te remercie de m’avoir réconfortée comme tu l’as fait. J’en connais plus d’un qui aurait tout envoyé balader ! Déclara-t-elle en terminant son verre.— Bah ma Tatie, tu avais soif ce soir ! — Ouh…ça fait bien longtemps que tu ne m’avais plus appelée Tatie, ça me fait tout drôle…comme ta mère qui m’a téléphonée ce matin. — Tiens donc ! M’exclamai-je en attendant la suite.
Ma tante me narra leur conversation. Ma mère l’avait suppliée de mettre fin à notre relation. Elle avait encore et encore déployé son arsenal d’arguments. Elle considérait Véro aussi immature que moi, irresponsable dans ses actes qualifiés d’odieux. Elle avait repris son refrain habituel et ma tante me racontait tout cela avec légèreté. Je dus l’interrompre pour comprendre.Elle m’expliqua posément.
— Écoute, avant qu’elle ne m’appelle, j’ai longuement discuté avec Patricia que tu connais bien. Elle m’a dit qu’il fallait que j’arrête de me pourrir la vie avec les grandes certitudes désuètes de ma sœur et que…enfin bref que j’allais te perdre quand je lui ai dit que depuis plus d’un mois, je restais recroquevillée dans mon coin. Alors j’ai écouté ta mère et je lui ai dit que je pouvais me passer volontiers de ses conseils à l’avenir. Du coup, elle m’a dit au revoir froidement et je me suis senti libérée…euh puis ce matin, Jules est venu me demander ce qui n’allait pas entre nous, il a dû nous entendre hier soir. J’aime trop mes enfants pour leurs faire de la peine…ainsi que mon neveu… Me confia-t-elle en tirant une dernière bouffée sur sa cigarette, pour me décocher un regard rempli de fierté.— Là je dois te dire chapeau, tu me surprends et j’étais loin de penser que tu tiendrais tête à ma mère. J’aime te voir ainsi, je te retrouve comme avant et ça fait du bien. Lui déclarai-je en scrutant ses lèvres quasi parfaites.— Patrick, Patricia m’a libérée de ta mère, même si c’est loin d’être fini. J’ai enfin réussi à prendre le recul nécessaire avec elle et ses préjugés, mais je ne dis pas non plus que je suis une sainte avec ce que l’on a fait ! Tu me proposes un autre verre chéri ? En le tendant vers moi et par la même occasion en découvrant ses cuisses.
Sans me méprendre, Véro était joyeuse, mais cela ne signifiait pas une libido retrouvée. Mon opération séduction pouvait se mettre en place. J’avais tous les atouts de mon côté, connaissant ma tante par cœur. La première chose à éviter était de ne pas la brusquer et de la laisser venir. La sachant si coincée, je me devais de prendre l’initiative tout en restant détaché, lointain.
Avec sa gaieté retrouvée, je poursuivis sur notre futur séjour à Biarritz et je lui servis son verre de rosé. Tout en bavardant, voir sa cuisse nue entraina mon sexe dans un déferlement sanguin. Tel un chien mal dressé, j’eus beau le rappeler à l’ordre, rien n’y fit. Ce fut donc avec difficulté que je restai à l’écoute de ma si séduisante Tatie, à l’éloquence animée du fait de son verre de rosé déjà terminé.L’heure passant, Véro dans une tirade sans fin, m’expliqua une anecdote amusante d’une collègue de travail, ayant perdu ses clefs. L’histoire guère passionnante se termina enfin et j’eus droit à un joker venu de nulle part.
— Tu ne trouves pas qu’il fait chaud Patrick ? Je ne sais pas si c’est le rosé, mais il fait une chaleur. Remarqua-t-elle en agitant sa main devant la figure.— Non pas vraiment, je ne porte qu’une chemise. Répondis-je simplement, en sous-entendant qu’elle était trop habillée.— J’ai envie d’ôter ma robe de chambre, mais je vais me retrouver en chemise de nuit et si les garçons descendent…depuis le temps, ça me gêne un peu devant toi. M’avoua-t-elle en se levant quand même.— Oh ça va les garçons dorment et tu n’es pas non plus à poil. La rassurai-je en l’observant se défaire de son vêtement.— Ah je suis mieux et ça n’est pas pour te déplaire, te connaissant… Soupira-t-elle, debout en chemise de nuit et se sachant âprement désirée dans une telle tenue.— Disons que tu ne me laisses pas indifférent, t’es toujours aussi plaisante à regarder ma chère Tatie. En la dévisageant de bas en haut.— Merci, mais comme je viens de te le dire, ça me gêne un peu d’être dans cette tenue devant toi. J’ai peur que tu me prennes pour une allumeuse, avec tout ce que ta mère t’a dit sur moi ! En reprenant sa voix enfantine pour se victimiser.— Oh elle a juste dit que tu aimais parader en soirée, rien de bien méchant et je l’ai déjà remarqué. Tu aimes attirer l’attention, c’est tout à fait normal, t’es bien foutue pour ton âge, alors tu en profites. — Tu trouves que j’en fais de trop ? Je ne pense qu’à une chose, c’est te plaire et le jour où je ne te plairais plus… En commençant à se lamenter. — Profites-en parce que tu es très sexy ma belle et tu as envie de te faire câliner sur mes genoux ? Osai-je lui demander un prenant un raccourci dans ma phase de séduction.— Là, maintenant…au beau milieu de la cuisine ? — Bah oui, on l’a fait souvent et même dans la cuisine de mes parents. Quoi…tu te sens mal à l’aise, tu n’as pas envie que je te caresse ? En lui posant une question directe, trop brutale.— Pour moi c’est encore trop tôt, mais je ne veux pas te décevoir encore une fois. Je m’installe cinq minutes et on monte et je suppose que tu préfères que je déboutonne ma chemise…
Véro s’avança pas à pas, toute en enlevant ses boutons un par un. Ma tante avait une gueule folle avec sa chemise ouverte, véritable pousse au crime pour la baiser sur le champ. Il n’y avait rien de plus sensuel que de pouvoir deviner sa silhouette en forme de x, avec une symétrie parfaite entre la largeur de ses épaules et la taille de ses hanches. Elle était gaulée comme une reine et tout en s’approchant, j’eus une sensation bizarre.
Tel un ado, mon cœur s’emballa quand elle en eut fini avec son dernier bouton et à mon tour, je me sentis presque en faute quand elle prit place sur mes genoux en me chevauchant. J’en devins mal à l’aise quand elle posa ses mains sur mes épaules, me dévoilant par la même occasion sa poitrine éblouissante et ses bouts déjà bien pointus. Dire que ma tante était excitée fut un grand mot, mais passablement attirée pour recevoir des caresses fut plus juste.
Avec une lenteur mesurée, j’effleurai la base de ses seins, retrouvant cette peau de velours oubliée et Véro bien droite pencha sa tête dans ma direction. Elle ouvrit sa somptueuse bouche à la recherche d’un baiser, lequel trouva sa place naturellement sur mes lèvres. Depuis un mois, nous n’avions, pour ainsi dire, rien fait, aucun contact physique et il fut clair que ma tante était ce soir demandeuse. Elle me caressa la nuque durant notre baiser langoureux et me laissa lui peloter sa paire de fesses. Etourdie à la fin de notre étreinte, elle se ravisa, malgré sa poitrine enflammée, aux prises avec de vilains remords. Je gardai mes mains posées sur son superbe cul, envisageant une rétractation possible.
— Euh…tu ne m’en veux pas si on s’arrête là pour ce soir ? Je…comment je suis encore bouleversée avec tout ce qui arrive et rien que de t’embrasser…enfin pour l’instant ça me dérange un peu. Avoua-t-elle, follement désirable en me passant sa main dans mes cheveux.— On va prendre notre temps, tu embrasses toujours aussi bien ma Tatie à moi. En la serrant contre moi.— Waouh…quand je pense que c’est mon neveu qui me complimente, parce que je l’embrasse sur la bouche ! On fait de ces choses nous deux… Soupira-t-elle en m’offrant à nouveau ses lèvres humides en se contredisant.— J’ai tellement envie de toi. Lui avouai-je en quittant la chaleur de son palais.— Oui mais je ne suis pas prête et…euh enfin je te le ferai savoir. De toute façon rassure-toi, je reste très amoureuse…Me confia-t-elle en quittant avec regret sa position, pour me tendre la main afin d’aller nous coucher.— Je réserve les places pour l’avion et on atterrit à Bordeaux après-demain. Lui dis-je en cachant ma déception, alors que mon sexe me faisait des misères.— Oui, nous couchons chez Patricia le soir. Conclut-elle sans oublier de récupérer sa robe de chambre pour monter.— On va bien s’amuser tous les deux. En l’attirant contre moi pour lui rouler une dernière pelle.— Oui je vois très bien ce que tu veux dire Patrick, laisse-moi un peu de temps…même si c’était très agréable ce soir et tu m’as fait du bien, beaucoup de bien. Ajouta-t-elle en posant sa tête contre mon épaule.
Que ma tante pouvait être compliquée pensai-je, mais au fond il lui fallait du temps comme elle s’était plu à me le faire remarquer, tout au long de notre soirée.Véro avait foncièrement changé, en mieux. Au bureau, aucun membre de l’équipe ne s’en était aperçu car ma tante restait peu bavarde sur sa vie privée.Le soir, Jacques vint chercher les garçons et leur mère leurs fit mille recommandations. Après des échanges de politesse, il s’en alla avec ses deux enfants joyeux de se retrouver en vacances avec leur père, lequel avait promis de les emmener dans un grand parc d’attraction. Véro demanda des nouvelles de Christine, la fougueuse compagne de 29 ans de Jacques le lui en donna, sans proposer de nous inviter un soir, au regard du comportement de cette dernière lors d’un dîner mémorable. Ayant abusé de la boisson, elle avait tenu des propos déplacés à l’encontre de ma tante, en lui suggérant de coucher avec moi. Du grand n’importe quoi, même si Christine fut bien plus proche de la réalité ce soir-là sans le savoir, et ce, malgré notre étonnement réciproque teinté d’une roublardise devenue habituelle entre ma douce Tatie et moi.
Peu après, une fois notre valise bouclée, Véro s’accorda une pause peu avant de dîner. Nous nous installâmes dans le salon pour déguster notre petit apéritif, le reste de rosé de la veille, comme un avant-goût des vacances. Installée face à moi, elle se releva aussi sec et cavala à l’étage pour redescendre quelques minutes plus tard. Je ne sus lequel des deux était en phase de séduction, mais ma tante avait ce don de toujours me surprendre. Elle s’était changée, autant pour me faire plaisir que pour être à son aise. Affublée de son éternelle robe de chambre avec une ceinture peu serrée, elle reprit place et m’adressa un large sourire en portant son verre pour trinquer. Quand elle croisa à nouveau ses merveilleuses jambes, je ne me lassai point de contempler les courbes parfaites de ses mollets, agrémentés par des chevilles élancées. Véro constata mon appétence à son encontre et me fit observer qu’elle n’était pas l’unique chose dans cette pièce, non sans humour.
— Hum…Patrick, je lis dans tes pensées, ne l’oublie pas ! Ironisa-t-elle en s’approchant pour trinquer.— Excuse-moi, j’étais complètement ailleurs. Oui tu disais ? — Tu me dévisages et je me demande bien à quoi tu penses…ho là là comme je suis heureuse de partir demain ! S’exclama-t-elle en étirant ses bras vers le haut, en guise de victoire sur qui ? sur quoi ? ou peut-être sur son bien-être retrouvé.— Ca va être cool avec la piscine et Patricia va être bronzée, la connaissant elle va se mettre seins nus.— Et bien ne compte pas sur moi pour faire ce genre de choses, j’ai horreur de ça et c’est très mauvais pour la santé…et puis tu la connais. En vidant son verre.— Allez hop au dodo, demain on part tôt. 
Je ne fis pas d’allusions sexuelles pour obtenir un rapport avec ma tante, et dieu sait si j’en crevais d’envie. Je pensai à demain, en arrivant milieu d’après-midi, nous aurions tout le temps pour flâner au bord de sa luxueuse piscine.Véro conserva sa chemise de nuit pour dormir. Depuis plus d’un mois, elle dormait avec et j’attendais comme un signe de sa part, le jour où elle l’enlèverait pour de bon, hormis le soir de notre prise de bec.
Arrivés à Bordeaux, Patricia, grande brune assez libertine nous accueillit à l’aéroport. Elle avait beaucoup de classe et avec son mari, Paul, ils étaient blindés question pognon.Au volant de son puissant 4 x 4, elle nous raconta les changements opérés dans sa maison. Le large portail s’ouvrit et le bruit des graviers écrasés par son véhicule se fit entendre. Nous vîmes au loin ses deux dobermans arriver en furie, traversant la haie longeant la piscine.Patricia insista pour que nous nous mettions à l’eau immédiatement, ainsi elle nous indiqua notre chambre au premier étage de sa vaste demeure et s’occupa de notre fils.
Ma tante ouvrit rapidement la valise et le temps de me donner mon maillot, je fus déjà à poil. Elle jeta un bref regard sur mon anatomie bien portante et un peu embarrassée, elle enleva à son tour son chemisier, puis sa jupe. Je bandais comme un beau diable devant son corps en sous-vêtements et Véronique, en cherchant son deux pièces fit comme si de rien n’était. Puis vint le moment tant attendu quand elle dégrafa avec soin son soutien-gorge. Sans me soucier de sa timidité l’envahir, j’observai ma Véro enlevant sa culotte en se tournant peu à peu, afin de me cacher son intimité.
— Qu’est-ce que tu as Véronique ? Ca t’ennuie de te changer devant moi ? Lui demandai-je, histoire de commencer à la décoincer.— Euh non…mais je ne sais pas si tu vas aimer…Hum, hum…oh t’es chiant avec tes questions !…ça fait un mois que je ne me rase plus. Avoua-t-elle, telle une gosse qui aurait fait une bêtise.— Viens voir un peu et montre-moi. Lui dis-je en m’approchant et en la prenant par les épaules.— Patrick…arrête… Murmura-t-elle en se retournant finalement.— Oh la vache ! Ca a super poussé ! En passant lentement ma main sur son duvet.— Han…ça me contrarie de me montrer ainsi, je me trouve sale, moche…je n’aime pas du tout, bon je me change dans la salle de bain…tu en as assez vu. En s’éclipsant nue.— Perso, ça me plait ! Après tout c’est ton corps ! M’écriai-je à travers la porte.— Euh rejoins moi sur la terrasse et ne brûle pas les étapes, je t’ai dit d’y aller doucement ! Je commence tout juste à me sentir bien, ne gâche pas tout. M’avertit-elle.
Véro avait raison, je devais me calmer et ce n’était pas la première fois qu’elle me mettait en garde. Elle restait encore fragile, malgré une libido en net progrès.Patricia avait installé Hugo dans le salon, il dormait paisiblement et sans surprise, je retrouvai cette jolie brune, avec laquelle j’avais eu une brève aventure le temps d’une après-midi, allongée sur son transat et seins nus. Ma tante le savait puisqu’à l’époque, elle menaçait de tout raconter sur notre relation contre une partie de jambes en l’air avec moi. Sans épiloguer, Patricia s’emmerdait sexuellement avec son mari, Paul, au look peu séduisant pour un quinquagénaire avec une grosse bedaine. Elle jalousait Véronique de se savoir avec moi, mais désormais c’était du passé.
A l’aube de ses 50 ans, elle était encore bien roulée et comme prévu, elle afficha un bronzage intensif sur l’ensemble de son corps.Ma tante arriva et sans jeu de mot, elle fit pâle figure à ses côtés. Elle avait son deux pièces de couleur bleu ciel et une fois allongée près de Patricia, on aurait cru qu’elle était malade. Mais au fond, sa peau si blanche lui prodiguait un caractère plus naturel et bigrement sensuel. Elle exerçait dans cette tenue une appétence sexuelle sur mon humble personne et quand elle me proposa de lui mettre de la crème, ce ne fut qu’un pur régal que de l’étaler sur ce corps si bien dessiné.
— N’en mets pas trop, après je ne vais plus bronzer ! — Je n’ai pas envie que tu attrapes des coups de soleil, bon je t’en ai mis assez, je vais piquer une tête ! En me dirigeant vers la piscine.
Une fois plusieurs longueurs effectuées sous les yeux de mes admiratrices, je sortis de ce grand bain et Patricia me demanda de leurs chercher un rafraîchissement dans la cuisine. Le temps de préparer les boissons avec de la glace, je pus écouter leur bavardage fort instructif.
— Dis Véronique, c’est quand même génial d’être en couple avec un jeune mec aussi beau et intelligent. — Oui…enfin c’est mon neveu, tu as tendance à l’oublier et comme tu le sais, en ce moment, c’est loin d’être simple avec ses parents. Lui murmura-t-elle.— Mais vous avez un enfant ensemble, ils pourraient comprendre ! Tu sais j’ai un frère qui a un garçon, lui aussi est plutôt pas mal.— Ils ne sont pas encore au courant pour Hugo. Mais tu me parles de ton neveu, ne me dis pas que tu aimerais avoir une relation avec lui ?— Mais non, je ne l’intéresse pas, il me trouve trop vieille et en plus il est marié ! Toi tu en as de la chance, tu ne t’en rends pas compte, c’est un conte de fée. Ah si je pouvais être à ta place et passer toutes mes nuits avec ton neveu… Rêva-t-elle l’espace d’un instant.— Bon on ne va pas parler de sexe toute l’après-midi ! Raconte-moi un peu comment ça va avec Paul.— C’est si creux, il ne me touche même plus ! Ah zut, je reparle de sexe ! C’est devenu tabou le sexe pour toi Véro ? Toi tu me caches quelque chose, ça va ne toujours pas avec Patrick ?— Bah à vrai dire, on n’a pas fait l’amour depuis plus d’un mois, je suis complètement bloquée depuis que ses parents le savent. Rien qu’à l’idée d’avoir un rapport et je me sens honteuse vis à vis de ma sœur, je n’y peux rien. — Vous n’avez pas baisé depuis un mois ! Ton neveu est un jeune mâle plein d’énergie, qu’est-ce que tu peux te poser comme question ! Fais super gaffe, vous partez rejoindre ses potes qui ont des copines et j’en connais plus d’une qui va l’allumer, Ma Véro, il faut que tu réagisses. Tu joues avec le feu ! Tu n’as plus de sentiments pour lui ? Se demanda Patricia en s’improvisant psychothérapeute de choc.— Oh si, je suis follement amoureuse de lui et tu vois, rien que de te dire et ça me reprend, j’ai comme une boule au ventre en te l’avouant.— Baise avec lui ce soir, tout est réuni pour ne plus penser. Allez fais toi plaisir et puis le temps passe, tu es encore très séduisante, il faut en profiter dès maintenant et ne te pourris pas la tête avec une morale dépassée ! Tu te comportes comme une enfant face ta sœur, ce n’est pas elle qui va décider à ta place de ce que tu as envie de faire ? Lâche-toi et rien que de le faire, tu te sentiras plus légère, crois moi ! S’emporta-t-elle pour baisser de ton en me voyant arriver.— Tu as certainement raison… Conclut-elle.
J’amenai sur un plateau deux jus de fruit avec des pailles. Patricia la première me remercia, tandis que Véronique se jeta sur son verre. La grande brune quinqua se mit debout pour m’inviter à faire quelques longueurs avec elle. Elle avait beau avoir 50 balais, il lui restait encore de belles années devant elle, au regard de la fermeté de sa poitrine. Elle se mouilla le corps avant de débuter sa brasse et son côté allumeuse revint à la charge. Elle se caressa les seins, puis le ventre d’une manière fort érotique et enfin, l’eau bleutée recouvrit sa peau hâlée. Véronique m’annonça qu’elle ne trouvait plus son portable et partit le rechercher dans notre chambre, sans oublier de me dire qu’elle allait appeler ses enfants.
Ainsi une brève conversation prit forme entre sa meilleure amie et moi. Nos petites querelles du passé oubliées, Patricia me fit part des craintes émises par ma tante. Inquiète, elle me conseilla de ne pas la brusquer et de rester attentionné à son égard. Je lui répondis qu’en effet, elle avait très mal vécu ce moment de vérité et que depuis, je me montrais fort compréhensif. Patricia, me sachant en manque de sexe ne put s’empêcher d’envisager un petit instant qu’elle qualifia d’amical avec moi, si d’aventure les craintes de Véro persistait, laquelle revint au bout d’une longue demi-heure.
— Tu en as mis un de ces temps ! Lui lança Patricia sortant de la piscine.— Je sais, le temps de retrouver mon téléphone et d’appeler les garçons, ça était plus long que prévu ! Oh mais il est près de 19 heures et j’entends Paul arriver. — Alors changeons nous, c’est l’heure de l’apéro. Lança son amie en se couvrant d’un tee-shirt.— Je fais encore quelques longueurs pour me détendre et je vous rejoins. Rajoutai-je en reprenant mon crawl.
Véro avait revêtu sa tenue vacancière, avec un short et un simple débardeur blanc ivoire très élégant. J’aperçus son soutien-gorge, presque inutile pour maintenir sa poitrine et personnellement, le fait de voir ses seins en liberté m’aurait paru plus judicieux. Détendue durant l’apéritif, elle partit dans des fous-rires incroyables lorsque je narrai quelques histoires du bureau rocambolesques, à l’ensemble de la table. Paul était au courant pour nous deux et quand les femmes furent en cuisine, il me donna uniquement son point de vue, omettant volontairement de parler de relation incestueuse. Il avait une vision foncièrement différente de sa femme, laquelle privilégiait le sexe avant tout au sein d’un couple. Au fur et à mesure qu’il m’exposa sa conception du couple, basée uniquement sur les sentiments, j’en conclus que Patricia n’avait pas tort. Avec un raisonnement purement platonique, elle devait en effet s’ennuyer ferme et à la fin, je ne l’écoutai que d’une oreille, tant ses propos s’assimilèrent à ceux d’un curé.
Le diner se poursuivit et Patricia posa beaucoup de questions à Véronique, quant à notre séjour à Biarritz, notamment la différence d’âge entre des jeunes gens et une femme mûre. Elle ne se fit pas démonter, lui expliquant que lesdits jeunes gens l’avaient fort bien accueillie l’année dernière et bien intégrée en tant que copine de Patrick, puisqu’elle paraissait plus jeune, dixit son neveu.Une compétition s’instaura au gré du dîner entre elles. Patricia n’acceptant pas son âge, se montra jalouse de ma tante, d’autant plus qu’elle n’avait que 43 ans et qu’elle restait entourée de jeunes, contrairement à Patricia. Mais finalement, je constatai que son comportement n’avait été que légitime, au regard des propos de Paul, perdu dans une relation platonique, enfin plate, avec sa femme. En conclusion, Patricia s’emmerdait à mourir avec son mari.Chacun prit son café accompagné d’une cigarette, excepté Paul. Puis la maîtresse de maison nous offrit un digestif, mais nous ne fûmes plus que trois. Son mari, peu bavard ce soir-là, nous quitta en se disant fatigué. Du coup, la conversation alla bon train et Patricia, l’alcool aidant, s’improvisa cette en thérapeute de choc sur le plan sexuel.
— Véro, tu n’oublies pas que désormais tu te trouves en vacances, super relax avec Patrick, tu me suis dans ce que je dis ? Lui demanda-t-elle d’une manière autoritaire.— Oui enfin, tu ne vas pas me faire la morale là-dessus et devant Patrick ! — Mais de quoi parlez-vous au juste ? En m’interrogeant quant à l’attitude révoltée de Patricia, même si j’avais fort bien compris son allusion.— Excuse-moi Patrick, nous avons eu une conversation avec ta tante tout à l’heure et je viens de m’emporter bêtement. C’était simplement pour lui rappeler la chance qu’elle a d’avoir un neveu comme toi…et qu’elle devrait en profiter plus souvent. S’expliqua-t-elle.— Ah je comprends mieux, tu veux parler de notre relation devenue platonique depuis un certain temps ? Ça va s’arranger avec le temps, n’aie pas d’inquiétude.— Oui, mon beau neveu qui te plait tant a raison. Tout va rentrer dans l’ordre et ce sera ce soir ou à Biarritz. Ajouta ma tante afin de clore ce sujet délicat et intime, tout en dégustant son digestif.— Dans ce cas, je préfère me taire et parler d’autre chose ! Moi qui voulait te rendre service, si ça devient un sujet tabou ! Remarque avec Paul, j’ai l’impression de vivre avec un gros matou ! S’exclama-t-elle, quelque peu gaie en cette fin de soirée.— Oh arrête Patricia…t’es vache… Bredouilla-t-elle en plein fou-rire.— Déjà qu’il n’était pas branché sexe, mais là tout de même ! Je vis avec un moine ma chère, c’est la simple vérité !— Arrête…tu me fais trop rire… En continuant de s’esclaffer.
Patricia avait beaucoup d’humour et même si elle prenait sa situation au second degré, elle n’en restait pas moins une femme frustrée. Elle enviait ma tante, laquelle continua de rire aux éclats. Puis elles bavardèrent de Hugo que j’avais dans mes bras. La soirée toucha à sa fin et nous nous dirigeâmes vers notre chambre. Notre fils s’endormit très rapidement et Vero passa par la case salle de bain. Je l’entendis chantonner, preuve qu’elle avait chassé ses sombres pensées. Elle revint avec la chemise de nuit de couleur noire, sensuelle au diable avec sa peau si blanche. Fait rarissime et tant attendu, elle ôta enfin ce vêtement pour se glisser illico sous le drap.
— Bon je progresse ! Ce soir je suis toute nue pour dormir. Sourit-elle en se calant la tête contre l’oreiller.— Oui et tu aimerais que je te caresse ? — Je ne vais pas te dire non, j’adore quand tu le fais et ca m’aide à bien dormir. Répondit-elle en se mettant de côté.
J’avais eu droit à la réponse qui tue…ca m’aide à bien dormir. Et à mon tour, j’aurais aimé lui répondre qu’autre chose m’aurait aidé également à mieux dormir. Ainsi mes mains firent une promenade convenue, plus apaisante que sensuelle. Au bout de quelques minutes, j’entendis son souffle profond et régulier. Je me rendis à l’évidence, ma tante s’était endormie nue contre moi. Cette espèce de dérobade permanente commença à me peser sérieusement et me savoir à coté de ma tante, belle quadra dans toute sa splendeur, à poil de surcroit, attisa une lassitude de plus en plus grandissante.Demain, nous serions à Biarritz. J’étais plus que limite avec ma tante, avec une telle soif de la baiser. Sans être obsessionnel, cela devenait quasi insupportable de dormir chaque nuit sans rien faire. Mais Véro était sur la bonne voie et son goût de vivre retrouvé et ses remords mis de côté me laissèrent croire que notre semaine allait se dérouler joyeusement.De toute les façons, les jours à venir s’avéraient déterminants pour notre futur.
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