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Séduction délicate de la soeur de ma mère

Chapitre 38

le rapprochement

Inceste
Je m’appelle Patrick et je travaille à Marseille. J’entretiens une relation intime avec ma tante Véronique, très BCBG, sœur de ma mère Anne depuis plus de deux années.Elle a 44 ans, divorcée avec 2 enfants de 10 et 12 ans.Nous avons eu un petit garçon prénommé Hugo, qui vient d’avoir un an en janvier et nous envisageons d’en faire un deuxième, raison pour laquelle ma tante ne prend plus la pilule. Les relations sont exécrables entre mes parents et Véro.Néanmoins, ma mère a gardé ses trois enfants et je suis parti seul les chercher à Paris, en ce début du mois de mai.

Dès mon arrivée, mes parents m’accueillirent chaleureusement, tout autant que mes deux petits cousins. J’avais pris dans mes bras mon fils, Hugo, fruit de ma relation incestueuse. La table était dressée et en prenant l’apéritif, mon père me posa les questions d’usage. J’allais bien, le boulot me convenait et la région me plaisait. Tout était dit.Les garçons avaient mangé en premier et en passant à table, ma mère nous apporta les entrées. Elle interpella mon père pour déboucher une bouteille de vin, lequel se leva pour se diriger vers la cuisine. En attendant son retour, elle commença par m’interroger sur mon futur.
— Les dirigeants japonais sont très satisfaits de toi d’après ce que tu dis, tu as été muté en Allemagne, puis Marseille, tu gravis les échelons rapidement et tu vas finir si ça te trouve au siège à Paris, tu ne crois pas ?— Tu vas un peu vite maman, peut-être dans deux ou trois ans, à vrai dire ça n’est pas d’actualité et je me sens bien à Marseille. Lui répondis-je alors que mon père venait de s’asseoir.— Un peu de vin mon grand ? Me proposa mon père.— Oui volontiers.
La conversation resta creuse du début jusqu’à la fin de ce repas ennuyeux. Ni l’un ni l’autre n’aborda le sujet qui fâche, le cas Véronique. Mais en prenant place au salon, le visage crispé de ma mère trahissait ses pensées. Elle m’avait servi mon café avec un cendrier, m’invitant à griller une cigarette. Après avoir tiré une première bouffée, elle commença par me poser une question somme toute banale.
— Quand tu seras arrivé à Marseille, quelqu’un vient vous chercher à la gare ?— Non, la voiture est au parking, c’est plus pratique et ça évite à Véronique de se déplacer. Répondis-je en énonçant le prénom de ma tante.— En effet, c’est plus pratique et...(ma mère cherchait les bons mots) et comment ça va avec elle ? Osa-t-elle me demander.— Mais ne l’embête pas Anne, c’est sa vie et ça ne nous regarde pas. Rétorqua mon père.— Non papa, je peux vous répondre et ce n’est plus un sujet tabou depuis le temps (j’écrasai mon mégot sous les yeux attentifs de mes parents) Véro va très bien et elle aimerait que tu l’appelles de temps en temps, même si je dois reconnaître que la situation n’est pas facile.— Ah oui, la situation n’est pas facile Patrick et je préfère m’abstenir de tous commentaires, mais je l’appellerai et je voudrais que tu saches que tout ce qui compte pour nous, c’est ton bonheur, n’est-ce pas Michel ?— Oui, même si nous avions une autre idée de ta vie sentimentale... Se désola-t-il.
Je ne pouvais pas les blâmer et ce que je vivais avec ma tante depuis près de trois ans dépassait l’entendement. Mes parents avaient été dignes sans m’adresser le moindre reproche et m’avaient fait presque pitié. Au moment de les quitter, je me sentais honteux d’entretenir une relation avec la maman de mes cousins. En rassemblant les valises, mon portable vibra. Véro m’avait envoyé un texto - ça se passe bien ? - Je tapotai rapidement - oui, j’ai demandé à ma mère qu’elle t’appelle, je t’expliquerai... -.

Dans le train, je repensai à cette dernière phrase de mon père au sujet de ma vie sentimentale. Celle-ci s’était égarée, empruntant un chemin n’indiquant qu’une destination, un bonheur égoïste. Je m’étais passablement éloigné des standards d’une vie rêvée par mes parents. En principe, j’aurais dû rencontrer une nana de mon âge, me marier avec elle et lui faire un gosse, voire deux. A contrario, j’accusais un retard de près de dix-sept années et quelques mois avec celle qui partageait ma vie. Il m’était impossible de l’épouser et je lui avais donné néanmoins un enfant. Passons.
Une fois la porte d’entrée franchie, les garçons se précipitèrent dans les bras de leur mère, laquelle s’empressa également de porter son petit dernier, notre fils Hugo. Jules raconta la vue imprenable du premier étage de la Tour Eiffel, puis il enchaîna sur la visite du musée Grévin. Oscar, l’ainé, énuméra les personnalités exposées et enfin, les deux réunis complimentèrent la bonne cuisine de Tatie Anne, alias ma mère. Après le dîner, les garçons demandèrent la permission de monter dans leurs chambres et une fois cette permission accordée, ils filèrent comme des flèches. Véro les accompagna pour coucher le petit, priant les deux grands au passage de rester calme et d’éteindre à 21 heures. Elle redescendit aussitôt, avide de connaître les échanges entre mes parents et moi. Elle ne s’était pas changée en conservant son jeans et son tee-shirt blanc.
— Alors ? s’enquit-elle en tirant la chaise pour s’asseoir face à moi.— Alors rien... on ne s’est pas engueulés, c’est déjà pas mal (elle triturait sans cesse son rond de serviette et m’écoutait avec attention) on a parlé de tout, de rien et j’ai fini par demander à ma mère qu’elle t’appelle.— Et qu’est-ce qu’elle a dit ?— Mais Véronique, je t’ai envoyé un texto ! elle a accepté et elle le fera cette semaine ou la semaine suivante (elle se décida à plier sa serviette, puis se leva pour la ranger) bon, je suis épuisé nerveusement, on va aller se coucher ma grande. Lui suggérai-je.— C’est tôt ! je regarde la télé et après, je te rejoindrai... euh j’ai un peu mal dans le bas du ventre si tu vois ce que je veux dire, alors pas question de faire crac-crac ce soir et idem pour les jours suivants (je m’approchai pour la prendre par la taille en lui glissant un baiser dans le cou) han c’est ta façon de me dire bonsoir ! attends voir une seconde...(elle inclina sa frimousse, puis plongea sa langue chaude dans mon palais) hum... là c’est mieux, allez file et chauffe-moi la place ! S’amusa-t-elle à me dire.
Durant cette semaine qualifiée d’ordinaire, ma belle quadra conserva un slip pour se coucher chaque soir. De mon côté, le boulot battait son plein et j’en étais arrivé à rentrer à des heures tardives. Véro m’attendait à chaque fois avec un plat à réchauffer, déjà vêtue de sa robe de chambre et vu les circonstances, je restais chaque soir sur ma faim, sans faire de jeu de mots. Ma mère ne se pressait guère pour passer un coup de fil à sa sœur, laquelle ne disait mot, mais n’en pensait pas moins.
En fin de semaine, plus précisément le vendredi soir, j’avais franchi la porte d’entrée et déposé ma veste sur le porte-manteaux pour rejoindre la cuisine. La routine s’était installée et en bonne ménagère, ma promise avait conservé un plat au chaud. Nous avions échangé un simple smack et j’avais commencé à dîner. Durant le repas, nous avions bavardé de Patricia en plein divorce. Dépressive, elle avait téléphoné dans la matinée pour s’inviter pour le week-end.
— Je lui ai dit que je ne pouvais pas et elle me prévient la veille (elle débarrassa mon assiette en la rangeant dans le lave-vaisselle) on est pas un hôtel non plus et demain, on a le rendez-vous avec ma gynéco, non vraiment, moi je ne peux pas (elle prit un verre à pied et se servit un coup de rosée) en souvenir de Bordeaux ! bon Patrick, tu crois que j’ai bien fait ? Me demanda-t-elle mielleuse.— T’avais pas le choix et la façon dont tu me racontes son coup de fil, c’est pousse-toi que je m’y mette ! t’as bien fait, faut pas exagérer, t’es pas assistante sociale. Lui dis-je en pliant ma serviette.— Exactement ! D’ailleurs, je lui ai proposé un autre week-end et elle a refusé, elle est sur les nerfs (elle vida son verre et quitta sa place) hé ne regarde pas ta montre, les garçons sont couchés depuis longtemps, t’as eu une semaine infernale (elle vint m’enlacer tendrement et remarqua ma façon de la regarder), je sais... je suis démaquillée et à cette heure-ci, je fais mon âge. Se désola-t-elle toute seule.— Par moments, j’arrive pas à te comprendre (pour la rassurer, je lui fis un bisou dans le cou) t’es super mignonne au naturel.— Han t’es un amour, tu trouves toujours les bons mots (attendrie par mon compliment, elle me caressa la joue) avec mes règles durant la semaine, c’était pas non plus super pour toi et pourtant tu n’as rien dit (elle avait pris sa voix enfantine pour me materner) on peut rester un petit moment dans le salon et après, on montera si tu es d’accord ? Me proposa-t-elle en me prenant la main pour me diriger vers le canapé.
J’avais en horreur cette manière qu’elle avait de m’infantiliser et cela lui arrivait de plus en plus fréquemment. Paradoxalement, elle se montrait fragile dans une attitude hésitante et avec ce timbre de voix, elle en devenait presque mélancolique. En marchant devant moi, elle avait pris pour habitude de se tenir bien droite et dégageait une attitude presque hautaine.Avant de prendre place, elle m’apostropha quant à ma tenue vestimentaire.
— On est entre nous, alors moi je me mets à l’aise (elle dénoua sa ceinture et enleva son peignoir en me donnant l’exemple) fais donc pareil. Me suggéra-t-elle en restant debout.— Oui, dans le fond pourquoi pas (je m’exécutai pour être en caleçon) et maintenant, j’ai le droit de m’asseoir ? plaisantai-je en attendant son autorisation.— Pff... t’appelles ça être à l’aise, laisse-moi faire (d’un pas décidé, elle se mit à genoux et me retira mon sous-vêtement) et maintenant, je te donne la permission de t’asseoir (stupéfait par son audace, je pris place sur le canapé) si tu veux allumer la télé, tu peux et il faut que je te raconte la meilleure au sujet de Patricia. M’informa-t-elle en examinant mon sexe flasque, lui aussi sidéré par ce comportement peu commun.— Heu...à vrai dire je ne m’y attendais, tu m’as pris de court (elle haussa les épaules et plaça ses mains sur chacune de mes cuisses) et c’était quoi ton histoire avec Patricia ? Lui demandai-je en prenant la télécommande.— Oh c’est pas une histoire extraordinaire, je préfère te prévenir (ses doigts fins enveloppèrent le jeune mâle endormi) tu sais donc qu’avec Paul qui est désormais mon ex, ça n’a jamais été le grand truc et...— Le grand truc, comment ça ? L’interrompis-je tandis que mon sexe avait adopté le mode réveil.— Sexuellement, Paul n’a jamais été très porté sur la chose et Patricia m’a souvent confié ses incartades et ben figure-toi qu’elle s’est trouvé un mec ! (durant ce temps, mon phallus opéra un lent redressement sous le ballet incessant de ses doigts devenus magiques) le type a 70 ans environ, il est bourré de pognon et il est gros, tu vois le genre de bonhomme (elle stoppa sa conversation, contemplative de son œuvre) t’auras pas mis très longtemps à retrouver ta forme, hmm... on voit que t’as pas 70 ans ! Me déclara-t-elle avec une voix forte.— Bah tu te débrouilles plutôt bien, mais je ne dirais pas non de contempler ma belle Tatie sans son pyjama (elle reprit sa mine boudeuse) allez, quoi... L’encourageai-je en lui prenant l’avant-bras pour l’inciter à prendre position debout.— J’étais bien comme ça (elle soupira et retira sa main) pff... comme tu vas insister, je vais le faire, mais c’est vraiment parce que c’est toi ! et puis tu connais mon corps, il n’a pas changé en une semaine. Me souffla-t-elle en se levant péniblement.
En guise de prélude, elle baissa son pantalon et le laissa choir à ses pieds. Elle ne prit pas la peine de le plier et se préoccupa de défaire sa veste, ôtant un par un chaque bouton. Véro prenait sur elle pour accomplir cet acte ultime et conservait ses yeux dans les miens, consciente qu’elle se dénudait devant celui qui restait son neveu. Pour ma part, je m’abstenais de tous commentaires avec un visage dépourvu de toutes émotions. Les boutons s’étant fait la malle, ma belle quadra n’avait plus aucune option et avait saisi les pans de sa chemise, s’apprêtant ainsi à me dévoiler sa plastique hors normes.Indécise au possible, la raison l’emporta sous la forme d’un subterfuge complètement bidon.
— Euh... je suis désolée, je me sens honteuse en me déshabillant devant toi, je vais me chercher de l’eau, ça va passer et je reviens. Me déclara-t-elle en se maintenant le col de la veste.— N’oublie pas qu’il n’y a que toi et moi. Lui lançai-je avec un argument peu pertinent.— C’est pas une raison ! répliqua-t-elle sans se retourner.
Je lui en avais demandé trop sans doute et j’avais fait preuve de maladresse en la considérant à tort comme ma copine. Véro campait sur ses positions, en conservant un comportement propre à notre degré de parenté. Elle éprouvait des difficultés à se montrer nue devant moi et en s’éclipsant dans la cuisine, elle avait fui cette réalité immorale. Après tout, elle avait déjà effectué la moitié de sa tâche avec son pantalon au sol et l’absence de culotte prouvait que ses règles étaient bel et bien terminées.A vrai dire, je ne me souciais guère de la suite. Véro bénéficiait d’une libido quasi décuplée du fait de l’arrêt de son contraceptif et son petit moment embarrassant ne reflétait qu’un sentiment de culpabilité passager.
Sur ce dernier point, elle me donna raison en réapparaissant avec un verre à la main qu’elle posa sur la table basse. La moue boudeuse, elle reprit néanmoins sa place entre mes jambes et commença à m’expliquer ses craintes.
— Ça m’a pris d’un coup, tu m’as tellement regardée que j’ai pas réussi à aller jusqu’au bout et même si je me répète, je me suis sentie honteuse vis-à-vis de toi. Se désola-t-elle.— Mais non, qu’est-ce que tu vas raconter ? Depuis qu’on est ensemble, tu as du mal à te déshabiller et comme un con, je te le demande au beau milieu du salon (en faisant mon propre mea-culpa, elle reprit confiance en elle) c’est de ma faute, alors n’en parlons plus. Lui dis-je en lui prenant le bras pour lui embrasser la main.— D’accord...(timidement, elle me caressa les cuisses) je vais te faire un compliment, tu es un fin psychologue avec moi, tu me comprends et tu arrives à te mettre à ma place (ses doigts fins enrobèrent ma verge, puis glissèrent de bas en haut) finalement, je me pose trop de questions, j’ai l’art de compliquer les choses et ça ne date pas d’hier (elle remit l’une de ses mèches derrière l’oreille et approcha son doux visage de mon membre) ce matin, j’ai écouté les garçons qui parlaient de toi, ils aimeraient que tu m’épouses (désormais, elle frottait contre sa joue son jeune mâle sans relâche) pourtant, tu leur as déjà dit que ça n’était pas possible...(elle le positionna face à sa bouche) tu nous vois tous les deux devant le maire ? Affabula-t-elle en effleurant avec ses lèvres le phallus impatient.— Ça aurait été super, mais bon, on a fait un enfant ensemble et peut-être un deuxième (après m’avoir adressé un sourire, elle dirigea ma verge sous son nez en le humant) tu commences à me faire languir, tu prends ton temps. Lui murmurai-je alors que mon sexe, gorgé de sang ne tenait plus en place.— Aah, je ne suis pas assez rapide d’après toi ! s’exclama-t-elle.
Aussitôt, elle joignit ses lèvres et aspira progressivement son jeune mâle sous mes yeux éblouis. En me fixant du regard, elle se l’appropria en le conservant dans son palais, puis balança sa tête d’avant en arrière.Au-delà des sensations, ô combien divines que j’éprouvais, j’en ressentis une bien plus particulière. Même si la plupart de mes fantasmes avaient abouti, un seul retenait mon attention. En lui passant ma main sur son front pour m’assurer que ce n’était pas un rêve, je réalisai l’impensable se déroulant face à moi. Véronique, ma tante de 44 ans et maman de trois enfants me suçait tout bonnement dans le salon.
Elle ouvrait régulièrement la bouche pour engloutir savamment son mâle en pinçant ses lèvres, puis elle relâchait sa mâchoire, lui permettant de se retirer en douceur. Sa langue agile frétillait autour de lui et ce dernier exprimait son enthousiasme par des impulsions vives. En parfaite alchimie, la femelle répondait à ses appels en le gobant paisiblement, pour ensuite le pomper avec gourmandise. Le chiot y avait pris goût et ne lui opposait aucune résistance en baignant dans sa chaleur buccale. Attentionnée, elle opérait de temps à autre une tétée, puis le léchait assidûment, revendiquant ainsi son instinct maternel. Tout comme son bébé, elle ne cachait pas sa réjouissance de se l’approprier et ne s’en privait pas en l’escortant studieusement avec ses lèvres à chacune de ses entrées. Avec des yeux pétillants de malice, elle le raccompagnait vers la sortie en y déposant de sa salive.
Puis d’un haussement des sourcils, ma grande blonde m’indiqua sa béatitude du moment et j’assimilai son attitude dans un lâcher-prise surprenant de sa part. Libérée, elle osa tirer sa langue rose en léchant les parties de son gros bébé et entama une lente procession jusqu’à sa pointe. Une énième fois, elle entrouvrit sa fabuleuse bouche et après m’avoir jeté un regard intense, elle joignit ses lèvres en les accolant à mon sexe pour le laisser se couler entre ses dents blanches. Elle poursuivit son œuvre en le dégustant à une allure digne d’un métronome, puis s’interrompit pour marquer une pause.
— Attends une seconde... (en se retournant, elle constata son verre presque vide) oh c’est pas vrai ! j’ai plus de flotte, mais qu’est-ce que j’ai à boire autant ? Je vais en chercher. M’avertit-elle en se redressant.— Ramène une bouteille, tu seras plus tranquille. Lui conseillai-je en gardant ma place.— Si tu as soif, je prends deux verres dans ce cas. Me lança-t-elle en gagnant la cuisine avec sa dégaine incroyablement sexy.
J’entendis le gazouillis de l’eau remplir nos rafraîchissements, puis le bruit s’estompa pour faire place au silence. Ma blonde marchait à pas feutrés avec les deux mains occupées et s’appliquait à ne pas renverser le contenu des verres. Par la même occasion, elle arborait son anatomie plaisante avec sa chemise de pyjama largement ouverte.Sans se presser, elle me tendit l’un d’eux et prit l’autre pour boire une grande gorgée. Elle m’observa vider le mien et me le retira une fois terminé. Après les avoir posés sur la table, elle se gratta le menton un instant.Véronique réfléchissait dans sa tenue débraillée, tout en restant debout.
— Quelque chose te tracasse ? La questionnai-je bien curieux d’entendre sa réponse.— Je repense à ce que tu as dit tout à l’heure, finalement nous sommes deux dans cette pièce et puisque tu me trouves bien foutue, je vais t’en faire profiter (sans doute pour m’épater, elle tira sur la manche de sa veste pour la retirer en la jetant sur l’un des fauteuils) bon, maintenant que je suis toute nue, tu pourras constater que mon corps est toujours le même (elle posa ses mains sur les hanches afin de me laisser contempler ses formes étourdissantes) alors... je te plais toujours ? s’enquit-elle, fière d’exhiber son anatomie dévêtue sous mes yeux.— Viens (je lui pris le bras pour l’inviter à se rapprocher) t’es craquante, hyper-craquante (après s’être avancée, elle accepta sans broncher de se faire caresser les cuisses, puis la base de chacune de ses fesses) t’as une peau si douce et tu sens bon. La complimentai-je en lui maintenant les flancs.— Patrick... (je lui embrassai le ventre en la serrant contre moi) arrête un peu...(elle soupira, probablement gênée de se laisser peloter de la sorte) laisse-moi reprendre ma place, je voudrais te poser une question délicate (elle s’agenouilla avec grâce et prit sa petite mine boudeuse) c’est pas que ça me tracasse, mais... (pour m’exprimer sa complicité, elle attrapa son jeune mâle et l’accola à ses lèvres) voilà, comme je ne suis pas la première à te le faire, je voudrais savoir si je me situe dans la moyenne, ou si je suis un peu au-dessus par rapport à tes dernières conquêtes ? Me demanda-t-elle, légèrement confuse d’aborder ce dialogue relativement intime.
J’étais scié par ses propos, car Véro si prude, évoquait un thème d’ado. Suis-je la meilleure ? Suis-je dans le haut de la liste des prétendantes ? Cette attitude n’était pas anodine et cette angoisse récurrente était probablement liée à notre différence d’âge. Dans son for intérieur, elle connaissait par avance ma réponse et sans prétention de sa part, elle tenait à l’entendre pour asseoir son statut de number one, pour s’assurer qu’elle représentait encore et toujours mon fantasme ultime.
— Venant de toi, c’est surprenant. Lui rétorquai-je sans lui fournir d’explications.— J’ai eu l’honnêteté de t’avouer que je ne l’avais fait que rarement avec mon ex et toi, tu ne m’as jamais rien raconté, alors j’aimerais savoir (au culot, elle plaça mon sexe sous ses narines) c’est juste par curiosité. Se justifia-t-elle en donnant un coup de langue sous le dessous de son jeune étalon.— D’accord, avant toi, j’ai rencontré plusieurs filles et quatre d’entre elles me l’ont fait, chacune à sa manière, plus ou moins bien d’ailleurs (je faisais durer le suspense) avec toi, ça fait cinq, je ne vais pas rentrer dans les détails, chacune avait une façon très particulière de le faire.— Comment ça ? M’interrompit-elle en détournant mon sexe de son visage.— C’est difficile à expliquer, la plupart du temps, c’était purement sexuel, en fait, c’est rarissime de rencontrer quelqu’un qui assimile cet acte à de l’amour, qui te procure du plaisir et par-dessus tout qui en prend elle-même en même temps (d’un revers de la main, je lui donnai une caresse sur la joue) si tu as la chance de rencontrer cette personne, tu ne la lâches plus, tu peux me croire et je sais de quoi je parle. Lui assurai-je.— Alors si je suis ton raisonnement, ça signifie que tu l’as rencontrée (j’approuvai son affirmation d’un signe de la tête) et la femme en question, elle avait quelque chose de spécial par rapport à moi ? Chercha-t-elle à savoir en utilisant l’imparfait sciemment.— Elle s’appelait Elodie et ça appartient au passé (stupéfaite à l’énoncé d’un autre prénom que le sien, elle se cabra subitement sur les genoux en délaissant son garnement) écoute Véro... je ne peux pas te comparer aux autres (je saisis mon sexe abandonné) la seule fois où je t’ai dit que tu le faisais brillamment, t’as pris la mouche et t’as culpabilisé. Prétextai-je pour la dévergonder davantage.— Pas du tout ! (malgré son visage aux traits durcis, je dirigeai mon membre en l’inclinant à hauteur de son nez) j’ai pas pris la mouche, je m’en rappelle très bien et puis c’était au début, je me suis peut-être emportée...(elle s’interrompit et fixa ma verge un court instant) depuis j’ai changé, d’ailleurs on n’arrête pas de me dire que nous formons un joli couple, ça me conforte et je ne vois pas pourquoi tu ne peux pas me comparer aux autres (pour attester qu’elle n’était pas différente, elle joignit ses lèvres et déposa un bisou sur mon sexe) tu crois que ta fameuse Elodie était la seule à y prendre du plaisir ? pff... tu crois aussi que ça ne me fait rien d’avoir en face de moi un mec de ton âge ? En plus tu bandes comme un âne parce que je te plais et je sais pourquoi. Insinua-t-elle en me regardant froidement.
Je ne répondis pas du tac au tac à ce langage cru, pour m’éviter de tomber dans le piège des pourquoi, comment et compagnie. Avec ma main libre, je lui frottai son avant-bras chaleureusement pour apaiser l’ambiance. L’effet ne se fit pas attendre puisque ma belle quadra m’adressa un sourire forcé en retour. Elle avait conservé sa posture cabrée et force fut de reconnaître qu’avec sa nuque élancée, elle dégageait une sensualité attisant tous mes sens. Mon pauvre sexe me maudissait avec ce bavardage stupide et réclamait la chaleur buccale de sa séduisante maîtresse. Connaissant la susceptibilité exacerbée de celle-ci, je décidai de la jouer profil bas en lui donnant raison avec une pointe d’humour.
— Si tu me prends pour un âne...(elle pouffa de rire et s’essuya les joues) bon, bon, bon, comme tu insistes pour que je te compare à mes dernières partenaires, je vais le faire (toute guillerette, elle repoussa ma main et épousa son jeune chiot de ses doigts fins) alors, je vais commencer par éliminer la première, la seconde aussi, trop nulle (divertie par mon petit jeu, elle s’en amusa et guida progressivement son étalon à l’encontre de ses lèvres) la troisième était, bof, allez éliminée hé... Véro tu triches ! (elle titillait avec la langue le dessous du gland en le découvrant de son prépuce) je passe à la quatrième, Elodie, une jolie fille, gentille, charmante... tu m’écoutes ou quoi ? M’interrompis-je en lui prenant le menton entre les doigts.— Oui, la fameuse, celle que tu places au-dessus de toutes les autres. Me rétorqua-t-elle en lovant son chiot le long de sa joue.— J’ai pas fini avec elle et il reste encore toi (elle me fixa dans les yeux et balada mon sexe sur ses lèvres pulpeuses) pour être dans une alchimie complète, il faut que ce soit réciproque et la grande différence entre cette fille et toi, c’est que je n’étais pas si amoureux d’elle (en entendant ces mots, elle posta le phallus quasi souverain à l’entrée de sa bouche) elle n’avait pas les traits fins de ton visage et puis, question charme, y a pas photo (ma blonde creusa ses joues et entraîna avec lenteur ma verge à l’intérieur de sa cavité buccale) oh oui... je vais avoir du mal à parler... ah oui... oui. M’enthousiasmai-je en l’observant balancer la tête d’avant en arrière.
Véro ayant pris les commandes, elle réalisa une véritable démonstration de son savoir-faire. Après un va-et-vient langoureux, elle garda tapi au fond de sa gorge l’énergumène. Elle s’imposa comme la patronne, privant dans un premier temps son étalon de toute sortie. Totalement asphyxié, le pauvre s’en contenta durant de longues minutes, mais estimant que cette punition devait cesser, elle l’autorisa à prendre l’air.
La grande blonde se souvenait des dernières expériences, notamment quand il lui avait échappé en lui giclant en pleine figure. Dorénavant, elle restait sur ses gardes en le maintenant avec ses doigts et tantôt elle le redressait pour mieux lui lécher ses attributs, tantôt elle l’inclinait et ouvrait grand la bouche pour l’engloutir délicieusement.
Mais quand elle débuta de multiples aller-retour dans la fièvre de son palais, j’en déduisis qu’elle cherchait à le mettre ko. Ses yeux ne quittaient plus les miens et sa mâchoire s’articulait régulièrement, preuve qu’elle poussait le jeune mâle dans ses derniers retranchements. Consciente que l’orage approchait à grands pas, elle guetta mon visage afin d’y déceler la moindre expression suspecte et quand ma main rejoignit la sienne, elle accéléra son rythme de croisière.
— Véronique, Véronique ! (mon bassin se tendit puis se libéra en se mouvant dans sa direction) ach... aach... Répétai-je, incapable de me contrôler.
Imperturbable, ma belle quadra encaissa les charges de son fauve à l’intérieur de sa bouche. Déchaîné, survolté, le grand mâle se débattit avec l’énergie de sa jeunesse, mais face au self-control de sa maîtresse, le combat prit une tournure à sens unique avec le chiot hurlant sa rage et perdant le sens des réalités. Le bougre ne s’était pas aperçu du travail de sape élaboré par sa redoutable guerrière. En effet, la femelle silencieuse creusait régulièrement les joues et pompait ainsi sa vitalité.Emporté par ma jouissance, je m’adressai à Véro pour partager mes émotions.
— Oh... ooh...(ma blonde pinça ses lèvres et m’observa jouir dans sa bouche)... aah oui... oui... t’es géniale... ach ! m’écriai-je au plus fort de mon plaisir.
Avec flegme, elle ne détacha pas son regard du mien et avala les unes après les autres les saccades qui s’enchaînaient. Totalement investie, elle ne manifesta aucune émotion et conserva sagement sa position. Les spasmes commencèrent à s’estomper pour disparaître définitivement. Vigilante, elle coinça le garnement dans l’une de ses joues en le mâchouillant avec précaution. Dans un dernier sursaut, il lui envoya une giclée qu’elle maîtrisa admirablement en l’ingurgitant immédiatement.Estimant qu’il ne présentait plus aucun danger, elle l’extirpa de sa bouche et en profita pour s’essuyer discrètement le coin des lèvres. Pour me signifier sa complicité, ma quadra me caressa le torse, me prouvant ainsi que notre ébat, mon ébat prenait fin.Las, je la félicitai de sa prouesse.
— Véro... oh, ma Véro (elle releva sa frimousse et esquissa un demi-sourire) c’était dingue, dingue, dingue. Lui avouai-je euphorique.— Je vois...(tel un trophée, elle posta son mâle sous ses narines) bouh... j’en avais plein la bouche ! J’ai bien cru que tu ne t’arrêterais jamais (joyeuse, elle me lécha le dessous de ma verge, puis en suçota le bout) euh... je te ne pose pas la question si tu veux que je recommence une autre fois ? Me demanda-t-elle avec un timbre de voix enfantin.— Ah c’est quand tu veux (ma main lui passa sous son menton, l’invitant à poursuivre son exercice) par contre, toi t’as pas pris ton pied dans l’histoire. Insinuai-je en me délectant par avance de la voir chouchouter mon sexe.— Bah c’était diffèrent et tu étais très beau à voir (elle pinça ses lèvres et guida son jeune mâle dans un coin de son palais) hmm, j’ai ressenti un plaisir émotionnel, il n’y avait rien de physique, contrairement à toi.
(désormais elle dégustait mon sexe en le mâchouillant) han... j’aurais dû te le faire plutôt au lieu d’attendre bêtement la fin de la semaine ! admit-elle brièvement, tout en continuant de pomper son mâle.
— Ne te fais pas de reproches, il faut que ça vienne de toi et que ce ne soit pas une obligation. Lui dis-je en lui caressant affectueusement la joue.— C’est certainement pas une obligation, oh là là... quand je pense qu’avec Jacques, en dix ans de mariage, on a dû lui faire deux ou trois fois ! (elle contracta sa mâchoire, entraînant ainsi ma verge dans sa chaleur buccale pour la relâcher ensuite) alors qu’avec toi, je bats tous les records et dans tous les domaines. Ajouta-t-elle en léchant son jeune chiot d’une manière décontractée.— Ne me parle plus de ton mari, honnêtement quel roi des cons pour quitter une nana comme toi ! (elle approuva en hochant de la tête, puis creusa ses joues) sa petite conquête, cette Christiane est vulgaire et prétentieuse, tout ton contraire...(elle me fixa et engloutit lentement ma verge au fond de son palais) hum... et toi t’es raffinée, attentionnée et très adroite. Lui affirmai-je tandis que Véro confondait mon sexe avec un rouge à lèvres, en se badigeonnant la bouche avec.— Que veux-tu, à l’époque j’étais jeune et je manquais d’expérience, c’était une erreur même si j’ai eu deux beaux garçons avec lui (elle branlait le grand phallus comme si de rien n’était) Patrick... on va peut-être songer à arrêter, tu en as bien profité (elle tapota son garnement sur son menton et le lâcha) euh... je bois un coup et après tu m’aides à me lever ? (elle prit une grande gorgée pour se rincer la cavité buccale) ah ça fait du bien. Dit-elle en reposant son verre.
Elle examina un court instant le mâle déchu en le manipulant à l’aide de ses doigts. Mais le diable n’avait pas capitulé et conservait une rigidité acceptable, au regard des épreuves qu’il avait endurées. Sa séduisante maîtresse l’avait posté à la commissure de ses lèvres et d’après l’expression de son visage, elle n’envisageait pas de s’arrêter en si bon chemin. Décidément, cette soirée s’avérait surprenante du point de vue de son comportement relativement libertin et je n’allais pas m’en plaindre.
— Attention, ça va faire froid. Me prévint-elle avec un ton solennel.— Ah, ah ! Alors direction le pôle Nord (elle esquissa un sourire, puis inclina sa frimousse vers mon bas-ventre) ouh, c’est frais ! m’affolai-je sous le visage amusé de ma belle quadra.— Hmm ? (soucieuse de mon bien-être, elle me libéra aussi vite) je te l’avais dit pourtant, laisse-moi reprendre de la salive (elle racla sa gorge et s’humecta les lèvres) en principe, je devrais arrêter, tu as eu ce que tu voulais (elle remit l’une de ses mèches par-dessus l’oreille et contempla ma verge en s’étonnant de son endurance) bah dis donc, tu tiens une forme olympique, tu flanches pas, je me débrouille aussi bien qu’Elodie. Prétendit-elle en reprenant ce sujet déjà évoqué.— Oublie cette fille, on en a suffisamment parlé, je crois (contrariée, elle fit la grimace), Véro... c’était super, que veux-tu que je te dise de plus ? lui demandai-je face à cet entêtement pénible.— La vérité, dis-moi ce que tu as ressenti par rapport aux autres, j’ai besoin de savoir. Poursuivit-elle en m’administrant une caresse sur le torse.— Hé bah...(j’hésitais à lui confier mon ressenti) c’est pas évident à dire, faut que je trouve les bons mots (afin de m’encourager, elle joignit ses lèvres et les accola à la pointe de mon sexe) bon... tu t’en doutes certainement, mais quand c’est toi, c’est difficilement comparable aux autres, je pars dans un autre monde (quand sa main rencontra la mienne, elle la serra avec énergie) au début, t’étais réticente, tu t’en rappelles ? (la garce détacha ses lèvres en m’adressant un large sourire, puis, avec ses yeux fixés dans les miens, elle aspira progressivement ma verge) oh c’est bon et là, en ce moment, je ne sais plus où je suis (j’avais l’impression qu’elle roulait une pelle à mon propre sexe, tant elle y prenait du plaisir) oh bordel ! qu’est-ce que tu suces bien ! ah oui...(elle ne s’indigna pas d’une telle remarque et enchaîna par des allers-retours subtils de son grand mâle dans son palais) c’est presque pas possible de te voir me le faire, t’es la meilleure ! m’exclamai-je entraîné dans la joie de la voir batifoler comme une folle avec mon phallus.— Humm...(elle égara son garnement volontairement en le plaçant contre sa joue) t’en auras mis du temps à me l’avouer et je ne suis pas plus bête tu sais ! si je te fais perdre la tête dans ces moments-là, c’est tout bonnement parce que je suis ta tante, cette grande blonde que tu trouves super bien foutue et qui est plus âgée que toi ! (elle s’empara du jeune chiot et le dirigea avec autorité vers la beauté mathématique de ses lèvres) han si tu voyais ta tête ! on dirait que c’est la fin du monde, bon... je sais que t’aimes me regarder quand je te suce, mais c’est la dernière fois pour ce soir, après j’arrête. M’avertit-elle.
Elle avait gagné son pari en me forçant à lui avouer mes propres émotions. J’étais médusé autant par son toupet que par sa franchise et désormais, je pouvais tout lui dire sans qu’elle ne s’en offusque. De son côté, elle n’avait émis aucuns remords et ne s’était pas embarrassée pour me faire comprendre qu’elle appréciait cette pratique. Réaliste, elle m’avait balancé les quatre vérités en décrivant ce que je ressentais envers elle. En revendiquant son statut de tante et en se décrivant comme une grande blonde bien foutue et plus âgée que moi, elle avait visé dans le mille.Je la bombardai de compliments à l’entame de cette dernière manche.
— T’es géniale (en lui passant la main sur son front, elle m’adressa un large sourire et commença par goûter mon gland) ah t’y vas doucement pour la dernière fois (en mode expert, elle m’entraîna au fond de sa gorge à une allure modérée) vache... tu sais y faire... continue, continue (je baignais dans sa bouche et je sentais les pressions régulières qu’elle exerçait sur ma verge) y-a pas à dire... t’es une merveille à regarder, tu prends un tel plaisir à me sucer (elle leva des yeux coquins vers moi en articulant sa mâchoire) t’as vachement changé !... Encore ma chérie... encore (elle me pompa un grand coup en étirant ses bras pour me caresser le torse) oh oui... suce ma belle tatie... je t’aime (en l’appelant ainsi, elle me conserva bloqué au fond de sa gorge) oh nom de dieu... t’es ma reine (dorénavant, ses deux mains modelaient mes pectoraux) wouah quelle soirée ! Je t’adore Véronique, t’entends ? Je t’adore ! m’écriai-je en m’adossant au canapé, ivre de bonheur.— Pfff...(mon sexe luisant s’extirpa d’entre ses lèvres) bouh... tu m’en as dit des choses ! ah j’ai des crampes Patrick... aïe... je suis ankylosée, je suis restée trop longtemps à genoux. Grogna-t-elle en se mettant debout péniblement.
Elle déplia son mètre 72 et attrapa aussi vite la veste de son pyjama. En vrai gentleman, je l’aidai à l’enfiler et une fois vêtue, elle tenta de remettre ses mèches derrière les oreilles. J’en profitai pour l’enlacer par la taille en lui déposant un bisou dans le cou. Nullement étonnée, elle me fit un smack avec des yeux pétillants, lesquels affichaient clairement ses sentiments. Sans détour, elle utilisa un vocabulaire peu approprié compte tenu de notre degré de filiation.
— Patrick (elle posa ses doigts fins sur mes épaules et me dévisagea ouvertement) moi aussi je t’adore (elle inclina sa frimousse et me laissa lui rouler une pelle conséquente) j’ai jamais été aussi heureuse avec quelqu’un et je dois être drôlement amoureuse de toi (après un tel aveu, elle se blottit dans mes bras) roo... quand je pense à ce que tu m’as dit, je suis une merveille à regarder parce que je prends du plaisir à te sucer... j’ai un peu honte quand même. Soupira-t-elle en se serrant contre moi.— Tu voulais que je te compare. Lui dis-je en lui frottant le dos.— Oui enfin, de là à me dire que je te suce super bien, que je suis ta reine... t’aurais pu employer d’autres mots et en plus, tu m’encourages en m’appelant ta belle tatie, mais bon, tu m’as dit je t’aime, pff... je vais finir par croire ce que tu avais dit alors ! (elle appliqua son front contre le mien) on est peut-être fait l’un pour l’autre, qui sait ? me murmura-t-elle dans un silence religieux.— Pour moi, ça ne fait aucun doute (elle me caressa la nuque et frotta son bas-ventre contre le mien) Véronique, être avec toi, c’est une évidence pour moi. Lui confiai-je à mon tour.
Nos déclarations mutuelles nous transcendèrent et s’achevèrent par une longue étreinte. Ma grande blonde m’apparut presque soulagée et me pressa de monter nous coucher. Elle fila dans la salle de bains, tandis que je m’étais allongé dans le lit. Nous venions de passer une soirée mémorable, mais quand elle réapparut, son attitude avait subitement changé. Je la soupçonnais à raison de ressasser le passé et quand elle se pencha pour plier sa chemise sur la chaise, je ne perdis pas une miette pour contempler sa paire de fesses et ses jambes fines. Dieu que cette femme pouvait me plaire, pensai-je sur le moment.En découvrant le drap, elle éprouva cette gêne quasi habituelle de se montrer nue devant moi et s’empressa de se couvrir. A peine étendue, elle se redressa aussi vite, exhibant ses seins vigoureux.
— Ah c’est pas vrai ! j’ai oublié mon pantalon en bas, quelle conne je fais ! s’écria-t-elle paniquée, la main sur la bouche.— T’affole donc pas, demain on est samedi et je descendrai en premier pour le récupérer (je lui pris le bras en la conviant ainsi de s’étendre sur moi) y-a rien de grave. Lui dis-je.— Oui, t’as raison, roo... qu’est-ce que je suis à cran avec ce rendez-vous (elle préféra se coucher en se mettant sur le côté face à moi) t’as une idée de ce qu’elle va me dire ? J’espère qu’elle va me poser des questions intimes (en lui dégageant quelques mèches de son front, elle commença à me regarder fixement) tiens et si par exemple elle me parle de sexe avec toi ? Tu y as pensé ?— Mais où tu vas chercher tout ça ! elle est là pour t’aider, ce n’est pas ton ennemi (j’avais posé ma main sur sa hanche en dérapant peu à peu sur l’une de ses fesses) elle ne va pas te tendre un piège, tu n’as qu’à lui raconter ce que tu ressens pour moi. Lui expliquai-je en la caressant sans relâche.— Ce que je ressens, ce que je ressens... c’est pas évident figure-toi (preuve qu’elle appréciait de se faire peloter, elle se rapprocha de moi) enfin, tu me vois lui raconter ce que je t’ai dit dans le salon ? Que je suis amoureuse de toi ? (Elle me fit un smack au passage) et qu’on est fait l’un pour l’autre et que pour toi, t’avoir dans mon lit, c’est une évidence à tes yeux ! Ah non, je ne peux pas. M’annonça-t-elle d’un ton ferme.— Mais c’est parce que tu ne veux pas. Lui rétorquai-je.— Minch’... tu manques pas d’air ! alors dans ce cas, demain je vais lui dire que j’ai passé la soirée à te sucer et on verra la tête que tu fais, t’auras l’air malin ! (consciente qu’elle s’emportait pour rien, elle me fit ses yeux de biche)... euh j’exagère un peu et je te l’accorde, je serai plus calme avec la toubib, c’est promis (elle frottait son pied contre le bas de ma cuisse, désireuse de tendresse), mais toi, tu me promets de me soutenir si je perds les pédales. M’implora-t-elle.— Oui, je te soutiendrai, je ne vais pas t’abandonner dans ses griffes (elle fut prise d’un rire nerveux) elle connaît notre situation de toute façon, ça ne craint rien. Rajoutai-je en lui faisant un smack.— Peut-être, mais quand je suis face à elle, je ne suis pas fière, crois-moi (elle tira le drap sur elle, puis rapprocha son bas-ventre contre le mien) la dernière fois, elle a précisé qu’on enfreignait la loi et j’ai des doutes à ce sujet, en principe, j’ai parfaitement le droit de coucher avec toi si ça me plaît et c’est ce que je fais (très amoureuse, elle plaça sa main sous sa joue) quand tu me regardes de cette manière, je me demande bien ce que tu me trouves de si extraordinaire, je pourrais être ta mère en plus. Me précisa-t-elle mélancolique.— Alors tu aurais été enceinte de moi à dix-sept ans et à cet âge, tu avais déjà connu l’amour ? (elle me fit signe que non) donc ta théorie ne tient pas et je préfère de loin que tu sois la petite sœur de ma mère. Lui affirmai-je.— Ben en tout cas, tu les aimes les fesses de la petite sœur ! euh...à propos de ta maman, elle ne m’a toujours pas appelée (elle se pencha sur moi en me prenant le visage entre les mains) roo... je parle de ma sœur et après j’embrasse son fils (elle joignit le geste à la parole et plongea sa langue chaude dans ma bouche) hum... y a pas à dire, on s’entend vraiment super bien sur ce plan-là ! s’exclama-t-elle en me dévisageant.— Question sexe, c’est le top avec toi, tu réagis au quart de tour (ma remarque, quoique flatteuse, ne rencontra pas un vif succès) par contre, arrête de te demander ce que je te trouve, sinon je te balance une avalanche de compliments et maintenant, dodo. Conclus-je en lui roulant une belle galoche.— Hou... après un baiser pareil, je vais bien dormir (elle tapota son oreiller et s’allongea sur le dos) et demain, tu m’aides et t’oublies pas mon pantalon dans le salon. Me susurra-t-elle.

Notre rendez-vous avec la gynéco
Samedi matin, après avoir déposé les trois garçons chez notre amie Agnès, nous partîmes dans le centre pour son rendez-vous avec la toubib. Dans le hall d’entrée, Véronique semblait anxieuse et tenait fermement son sac à main. Le vieil ascenseur nous hissa jusqu’au troisième étage avec des grincements effrayants. Preuve de sa fébrilité, elle réajusta le col de sa veste et me demanda si elle présentait bien. Je la rassurai en la gratifiant d’une caresse sur la joue.A l’accueil, Véro sortit sa carte vitale et la secrétaire nous informa que nous serions les prochains. Elle nous laissa prendre place dans la salle d’attente. Au bout de vingt minutes, nous entendîmes un bruit de porte et la toubib appela ma tante dans la foulée. Après des salutations d’usage, elle prit connaissance de son dossier et s’adressa directement à ma grande blonde, dévêtue de sa veste.
— Nous nous étions vus en février et à cette époque, vous aviez évoqué le désir d’avoir un enfant avec votre ami et...(elle fouilla dans ses notes en récupérant une analyse de sang) ah nous y sommes, donc vous avez arrêté la pilule en février, ce qui nous amène à trois mois sans contraception, pas d’effets secondaires à ce sujet, pas d’irritabilité, de perte de poids ?— Non, rien de particulier docteur. Répondit-elle posément.— Bien, bien, bien... en lisant mes fiches, vous souffrez d’un comportement préjudiciable pour votre grossesse, à savoir cette culpabilité qui vous ronge dans votre relation (elle croisa les doigts pour lui poser une première question directe) c’est toujours le cas actuellement ? lui demanda-t-elle en se préparant à prendre des notes.— Oui, c’est toujours le cas. Dit-elle, dépitée.— La culpabilité est le sentiment d’avoir commis une faute, d’avoir transgressé vos valeurs, vos principes moraux et le réflexe le plus courant est de vouloir s’en défaire (ma blonde croisa ses jambes, exhibant de la sorte ses mollets gracieux) dans votre situation, vous vous êtes murée dans des réactions émotionnelles multiples et ce que vous ressentez s’apparente à la honte, la honte de partager votre vie avec votre neveu, la honte de coucher avec lui et également d’éprouver du plaisir grâce à lui, à travers lui (elle consulta ses notes et s’adressa à moi), mais vous Monsieur, que vous inspire votre relation avec votre tante ?— Ce que m’inspire ma relation avec Véronique ? (l’intéressée porta son regard sur le mien, attentive à ce que j’allais dire) ça m’arrive de ressentir la même chose qu’elle, mais ce qui est fait est fait et je laisse de côté la morale, je vis ma vie... et puis je suis avec la femme qui me complète le plus. Ajoutai-je.— Vous ne regardez pas derrière vous et en ce qui vous concerne Madame, il est néanmoins possible d’éviter entièrement tout cela.— Comment ? S’empressa Véro en lui coupant la parole.— Faites l’effort conscient de vous défaire de cette honte, apprenez à reconnaître votre propre valeur avec une meilleure estime de vous...(elle marqua une pause en écrivant) posez-vous simplement cette question, savez-vous pourquoi vous plaisez autant à votre neveu ? (elle quitta sa place) le temps que vous réfléchissez, je vais vous examiner.
Véro s’exécuta et suivit la gynéco dans la pièce d’examen. Même si ses règles étaient terminées, elle avait cru bon d’enfiler un slip. J’attendais sagement face à son bureau quand son téléphone sonna. Sans se précipiter, la toubib décrocha le combiné et bloqua la partie microphone en posant sa main. D’un coup d’œil, elle me suggéra de rejoindre Véro et répondit à l’appel.J’étais dérouté par cette proposition osée sur le plan médical. Voyant mon hésitation, elle me fit signe d’y aller immédiatement. Penaud, je me dirigeai à tâtons vers ladite pièce et n’allais pas être déçu du spectacle.Installée sur le fauteuil, ma blonde dépourvue de sa jupe et de son slip, avait dispersé ses longues jambes sur des étriers. Effarée de ma visite, elle m’invectiva à juste titre.
— Mais qu’est-ce que tu fous là ?— La gynéco m’a dit de venir.— Minch’... j’ai l’air de quoi comme ça ! (confuse, elle ne pouvait pas bouger et exhibait sa fabuleuse rivière à diamants) Patrick, ne me regarde pas de cette façon, c’est quand même très gênant, elle est vraiment gonflée de te laisser venir. S’indigna-t-elle dans cette position décidément peu flatteuse.— Ne t’affole pas (debout à ses côtés, j’effleurai la voûte plantaire de l’un de ses pieds à l’air) c’est instructif ce qu’elle nous raconte, elle est très à l’écoute (ma main glissa sur son mollet pour savourer sa peau si douce) ah je crois qu’elle revient, je ne vais pas rester.— Certainement pas ! Elle va m’ausculter et tu en as déjà assez vu comme ça (la toubib avait terminé son entretien et Véro me lança précipitamment) allez sors d’ici ! Me gronda-t-elle alors que la jeune brune venait de franchir la porte.— Excusez-moi, une urgence (elle enfila des gants stériles) une jeune fille qui panique parce qu’elle ne prend pas la pilule et qui n’est pas majeure, vous imaginez son désarroi (elle introduisit son index dans son vagin pour en palper les contours) oh, mais détendez-vous, vous êtes crispée comme une jeune adolescente ! La gronda-t-elle sans ménagement.— J’ai pas pour habitude de me faire examiner devant tout le monde ! lui rétorqua-t-elle, agacée par ma présence.— Du calme, du calme... et Patrick n’est pas tout le monde, j’ai presque terminé, voulez-vous qu’il sorte ? (Véro émit un non d’une voix faible) c’est le père de fils après tout, bien, encore une fois, détendez-vous, votre périnée est tonique et tout me semble correct, à quelle date avez-vous eu votre dernier rapport ? Lui demanda-t-elle en saisissant un petit tube en métal.— Samedi dernier... euh non, c’était vendredi, je crois, juste avant mes règles. Bafouilla-t-elle.— Nous allons réaliser un frottis et vous voyez Monsieur, je prélève quelques cellules chez votre tante, car c’est très important (elle me parlait de dos, très décontractée) cela permet de dépister des lésions précancéreuses, il s’agit uniquement de prévention. M’avertit-elle.
Discrètement, j’observai ses gestes et une fois terminé, elle enchaîna sur la palpation des seins. Ainsi, Véro n’eut d’autre choix que de se mettre debout. Elle déplia son mètre 72 et dégrafa son soutien-gorge en mettant les mains dans le dos et souleva le bras pour le passer derrière la tête. Avec minutie, la jeune toubib exécuta diverses pressions à des endroits précis sur sa poitrine. Pour finir, elle lui indiqua la balance se situant au milieu de la pièce pour mesurer son poids. Engourdie, elle s’avança entièrement nue pour se peser, se sachant observée par son neveu.Peu moderne, mais très précis, le vieil instrument était pourvu d’un plateau et d’une tige avec des poids. Après avoir pris place sur l’appareil, Véro se tenait droite avec les bras le long du corps et me fuyait du regard.
— 55 kilos et 300 grammes, vous êtes un poids plume ! Rhabillez, je vous attends à mon bureau. Lui lança la gynéco en quittant la pièce.— Patrick, tu peux sortir maintenant (dans la confusion, elle passa maladroitement les bretelles de son sous-vêtement) je m’y prends comme un pied ! roo... comme tu restes, rends-toi donc utile et passe-moi ma jupe (en la lui tendant, je la saisis par les hanches en lui pelotant son cul infernal) merde, c’est vraiment pas le moment ! on est en pleine consultation enfin. Maugréa-t-elle en me repoussant.— C’est de ta faute, t’es tellement attirante (en ajustant sa jupe, elle me jeta petit regard coquin, toujours avide d’un compliment) et ton slip, tu l’as oublié ? remarquai-je en l’aidant à enfiler son chemisier.— J’en ai plus besoin dorénavant et c’est comme le soutif (elle prit les deux sous-vêtements et les froissa dans la poche de ma veste) tu me les gardes pour le moment, je ne vois pas l’utilité de les remettre puisque tu me les enlèveras dès qu’on sera rentrés à la maison ! (elle ajusta son col sans avoir fermé les boutons du haut)... euh ça va, je ne suis pas trop décoiffée ? (d’un geste, je lui remis ses mèches derrière l’oreille) bon, elle doit s’impatienter, je mets les chaussures et j’arrive... viens par là, ça me donnera du courage (imprévisible, elle m’attira contre elle et colla ses lèvres aux miennes, puis me roula un beau patin) hum-hum... dis, je sais pas quoi lui raconter à ton sujet, elle m’en pose de ces questions. Me murmura-t-elle en m’essuyant la bouche de son rouge à lèvres.— Te complique pas la vie, parle-lui de ce que tu as sur le cœur, sois sincère.
Elle haussa les épaules ne sachant quoi me répondre. Le temps qu’elle en finisse, je me retrouvai seul face à la toubib et cette dernière me confia rapidement son ressenti quant à ma tante. Elle m’avoua avoir constaté sa gêne lors de l’examen et avoir fait exprès de réclamer ma présence. Ainsi, elle avait testé Véro sans qu’elle s’en aperçoive et attendait de pied ferme son retour. Elle me confirma une dévalorisation constante de ma blonde et son manque de confiance en elle. Ma belle quadra reprit sa place, avec un zeste de maquillage sur ses lèvres. D’emblée, elle croisa à nouveau ses jambes, prête à affronter cette jeune toubib aux questions pertinentes.
— Bien, je vous ai examinée, tout est normal sur le plan physique, c’est déjà un bon point (elle s’adossa en reformulant sa dernière question) alors, nous nous étions arrêtés à cette réflexion, votre neveu ressent une attirance à votre égard depuis...(elle chercha dans son dossier) depuis son stage à Bordeaux chez vous, il y a trois ans, comment expliquez-vous son désir pour vous ?— Euh...(elle se tourna vers moi, incapable de répondre) j’en sais rien et c’est peut-être à Patrick qu’il faudrait poser la question. Dit-elle en balançant sa jambe dans le vide.— Sans doute, mais j’aimerais entendre votre point de vue, comment définiriez-vous votre relation ? (devant tant d’hésitation, elle rassura ma grande blonde) n’ayez aucune crainte, personne ne vous juge ici.— Hum-hum... je dirais que nous avons une relation sincère avant tout, nous ne nous cachons rien depuis le début, nous avons appris à nous connaître davantage et Patrick est un garçon solide mentalement, il m’arrive souvent de lui demander conseil.— Pour quelle raison utilisez-vous le terme garçon pour parler de lui ?— Bah... il est plus jeune que moi et j’ai pris l’habitude de l’appeler ainsi. Ajouta-t-elle avec une voix plus détendue.— En effet, vous êtes plus âgée de quelques années et comment vivez-vous cette différence ?— Oh je n’ai pas une machine qui remonte le temps ou des pilules pour rajeunir ! Patrick aura 27 ans en juillet et moi 45 en décembre, il rajoute sans cesse que nous n’avons que 17 ans et quelques mois de différence entre nous et pour tout vous dire, au début ça m’a fait bizarre de vivre avec quelqu’un de plus jeune que moi, d’ailleurs tout est bizarre avec lui, mais bon, on nous dit souvent que nous formons un couple bien assorti, c’est agréable à entendre et pour reprendre votre question, à savoir pourquoi je plais tant à Patrick (elle me jeta un bref coup d’œil et suivit mes conseils en avouant le fond de sa pensée) pour commencer, il me complimente sans arrêt sur mon physique et si je reprends ses propres mots, il me trouve super bien foutue... enfin, c’est sa manière de parler Docteur, donc j’en déduis que de ce côté-là, je lui conviens et d’après lui, je suis la première femme avec qui il éprouve une telle complicité et...(elle ravala sa salive et marqua une pause pour choisir des mots justes) excusez-moi... et moi aussi, c’est la même chose, je ressens avec lui des sentiments intenses, bref, des trucs qui ne me sont jamais arrivés avec un homme ! s’exclama-t-elle en levant les bras au ciel.
La toubib, malgré son jeune âge travaillait à l’ancienne et inscrivait des notes sur sa fiche. Chacun sur notre chaise, nous attendions ses conclusions, lesquelles allaient s’avérer pour le moins pertinentes.
— Bien, bien, bien, mais les trucs qui ne vous sont jamais arrivés comme vous dites, il faut leur donner un nom (ma blonde était attentive à ce que la gynéco allait lui révéler) ressentir des sentiments intenses, cela signifie que vous êtes tout simplement amoureuse de votre neveu Patrick, vous permettez que je vous appelle par votre prénom ? (j’acquiesçai de la main) et c’est une raison suffisante pour envisager un second enfant (Véro, rouge comme une pivoine hocha de la tête, approuvant son affirmation) et sur le plan physique, vous semblez sûre de vous, ce qui est un bon point, d’ailleurs Patrick est dans le vrai, vous êtes une jolie femme, sportive, tonique.— Je n’arrête pas de lui dire qu’on dirait une trentenaire ! m’exclamai-je en lui frottant le dos affectueusement.
Véro repiqua un fard devant tant de louanges. La jeune toubib posa ses coudes sur son bureau, pour s’apprêter à aborder un thème moins réjouissant. Exit le côté physique et place à la réalité.Elle commença par lui demander de narrer le début de notre relation, qui avait fait le premier pas ? Pourquoi avait-elle accepté de coucher avec moi ?
Véro lui fournissait chaque réponse et décrivait les circonstances de notre rencontre avec minutie. Elle expliquait avec calme ce qui l’avait poussée dans mes bras et son état d’esprit du moment. Elle n’oubliait rien, mentionnant au passage son divorce douloureux, puisque son ex l’avait quittée pour une jeunette. Elle assimilait notre premier ébat sexuel à un véritable coup de folie de sa part et considérait à raison que cette relation ne serait qu’éphémère. Véro prenait l’entière responsabilité de nos actes, s’accaparant ainsi un sentiment de culpabilité adroitement analysé par la toubib, laquelle prenait des notes tout en l’écoutant. Voilà près de trente minutes que nous étions dans son bureau et Véronique fut interrompue en dressant un portrait d’elle peu flatteur, s’estimant trop âgée par rapport à moi et ruinant ma vie à mes dépens.
— Vous avez une image de vous qui n’est pas glorieuse, bien éloignée de celle de votre physique ! Je crois que vous avez une fâcheuse tendance à vous dévaloriser, vous pensez ruiner la vie de Patrick ? En fait, vous reformulez exactement les reproches de votre sœur à votre encontre et vous allez ainsi dans son sens (ma blonde balançait à nouveau sa jambe dans le vide) vous ne prenez pas le bon chemin en vous jugeant si sévèrement et si vous suivez mon conseil, c’est-à-dire avoir une meilleure estime de vous, il est nécessaire pour progresser dans cette voie de vous munir d’une sorte de guide, quelqu’un qui saura vous mettre en valeur. Lui déclara-t-elle en se tournant vers moi.— Alors Patrick va être mon guide ? Se demanda-t-elle interloquée.— Madame, faire confiance à l’autre, c’est se donner entièrement à lui, cela peut paraître particulièrement effrayant, mais c’est une solution envisageable dans votre cas et j’ajoute que lorsque l’on décide de donner sa confiance à la personne que l’on aime, c’est une forme supérieure d’amour (décidément, cette jeune toubib s’exprimait fort bien) dites-moi si vous vous en sentez capable ?— Mais j’ai une grande confiance dans Patrick et si je comprends bien, je dois l’écouter et lui obéir pour avoir une meilleure estime de moi.— Oubliez le verbe obéir et substituer le verbe suivre... suivez votre neveu, ne vous posez pas de questions, vous êtes heureuse avec lui et vous n’êtes pas la seule responsable de cette situation, quoiqu’il advienne, vous n’effacerez pas le passé ni votre consanguinité et en vous dévalorisant de la sorte, vous rentrez dans une spirale négative qui peut engendrer des difficultés pour tomber enceinte, en avez-vous conscience ? La réprimanda-t-elle.— Vous avez sans doute raison, je vais écouter davantage Patrick et arrêter de tergiverser dans ma tête.
Ce que ma blonde promettait, je l’avais entendu des centaines de fois. J’avais une crainte bien légitime et malgré l’approche de la gynéco, j’étais presque certain que Véronique retomberait dans ses travers. Notre consultation était sur le point de se terminer avec une question simpliste en guise de conclusion.
— Concernant votre libido, vous m’avez expliqué que tout allait bien de ce côté-là ?— Oui, oui, ça va. Répondît-elle avec assurance.— Euh lors de notre dernier entretien, j’avais noté une fréquence de trois rapports par semaine.— Ah non c’est beaucoup plus ! Quand je suis dans ma période, on le fait au moins trois fois par jour (la gynéco ne put s’empêcher de hausser les sourcils face à un tel aveu et Véro le remarqua immédiatement) enfin...ça ne dure que quelques jours et c’est déjà pas mal. Tenta-t-elle d’argumenter pour se justifier.— Bien, bien, bien...(elle raya une ligne sur sa fiche et écrivit une observation), mais rassurez-moi, vous avez des rapports réguliers en dehors de votre période de fécondité ?— Oui, nous en avons régulièrement. Murmura-t-elle quelque peu embarrassée d’aborder ce sujet fort intime.— Je crois que nous avons fait le tour pour aujourd’hui, vous n’avez pas d’autres questions ? (face à notre silence, elle referma le dossier) pour les résultats, vous les recevrez par courrier et nous pourrons nous revoir dans six mois, si vous n’êtes pas enceinte avant (elle quitta sa place dans l’intention de nous raccompagner) ne dramatisez pas cette situation, ça va aller et croyez-moi, plus d’une femme aimerait être à votre place, vous partagez votre vie avec un homme jeune et séduisant (la jeune toubib me lança un petit regard en coin) Patrick, prenez soin de votre tatie, vous êtes son guide dorénavant. S’amusa-t-elle à nous dire en ouvrant sa porte.— Ne vous inquiétez pas, je prends soin d’elle à chaque minute. Rajoutai-je.
La gynéco se dirigea vers la salle d’attente pour appeler une nouvelle patiente. Véro régla le montant des honoraires à la secrétaire et récupéra sa carte vitale. Le temps de la mettre dans son portefeuille, je fouillai dans ma poche que je trouvais volumineuse. J’en avais oublié qu’elle contenait ses sous-vêtements et le fait de le savoir, m’apporta un regard différent sur celle qui venait de saluer la secrétaire.Dans le couloir, Véro appuya sur le bouton de l’ascenseur et attendit sagement son arrivée. En scrutant ses mollets galbés, sa nuque élancée et son décolleté annonçant la naissance de ses seins, elle dégageait une sensualité incroyable. Sachant qu’elle n’avait rien sous elle, elle m’attirait sexuellement et moralité, je bandais comme un beau diable.
— Pfff... tatie, elle m’a appelée tatie et elle t’a dit de prendre soin de moi, elle manque pas de toupet ! j’aurais dû lui dire les quatre vérités, au lieu de lui balancer des banalités ! S’agaça-t-elle.— Et pourquoi tu l’as pas fait ?— Mais je n’ai pas à lui raconter ma vie sexuelle avec toi enfin ! tu me vois en train de lui dire que tu me baises super bien ? Ca ne la regarde pas, c’est tout... han ce qu’il est lent ce truc. Râla-t-elle tandis que les grincements de la cage nous indiquaient son arrivée.— Le voilà, ça ne va jamais assez vite avec toi.— Je tiens à te signaler que tu es resté dans la pièce quand elle m’examinait, j’ai jamais vu ça et quand elle m’a dit que plus d’une femme aimerait être à ma place, elle est culottée (j’ouvris la grille et Véro passa en premier) elle t’a jeté un regard et elle t’a dragué devant moi, je suis certaine qu’elle te plaît. Insinua-t-elle en prenant sa mine boudeuse.— Ne raconte pas n’importe quoi, elle n’est pas du tout mon style.— Elle m’a énervée en disant ça et... han, mais c’est toi qui as mon slip et mon soutien-gorge ! s’étonna-t-elle en mettant sa main devant la bouche.— Je te les redonnerai dans la voiture, de toute façon, t’en as pas besoin tout de suite (nous venions d’arriver au rez-de-chaussée et j’avais une énorme envie de me la faire) viens par là. Lui ordonnai-je en lui prenant l’avant-bras.— Mais où m’emmènes-tu ? s’inquiéta-t-elle.
J’avais remarqué une porte située à gauche de l’ascenseur, sur laquelle un panneau indiquait le sous-sol. La porte en question donnait directement sur un escalier en bois avec une pente raide. Je tournai la poignée et en descendant, j’entendis les claquements des talons de ma quadra à chaque marche, elle me suivait avec précaution et avait posé sa main sur mon épaule. Une simple ampoule faisait office d’éclairage dans ce couloir flanqué de portes et le sol ressemblait à de la terre battue.En essayant de les ouvrir l’une après l’autre, j’essuyai à chaque occasion un refus et Véro commença à s’impatienter. A l’avant dernière, je tentai ma chance et la clenche opéra un demi-tour. J’entrouvris cette satanée porte, en prêtant attention à l’affichage indiquant le nom du propriétaire.
— Mais qu’est-ce que tu veux à la fin Patrick ? Tu veux bien m’expliquer ! s’écria-t-elle déjà fort agacée par sa visite.— Moins fort, c’est écrit cabinet médical, ça doit être la cave de la gynéco (j’appuyai à plusieurs reprises sur l’interrupteur sans succès) merde... la lumière est pétée. Lui murmurai-je en me retournant.— T’as l’intention de lui piquer du matériel ? ironisa-t-elle en scrutant les étagères.— Absolument pas (je l’attirai vers moi) j’ai envie de te sauter Véronique, c’est dingue (sans attendre sa réponse, je lui fis un smack en lui remontant sa jupe) t’as une table juste là, mets tes coudes dessus.— Minch’... c’est pour ça que tu m’as fait descendre, t’es devenu cinglé ma parole ! tu vas quand même pas me baiser dans cette cave ? (sidérée par mes intentions, elle tira sur le bas de son vêtement) euh en plus la porte est grande ouverte, on pourrait nous voir et puis tu me prends pour qui ? là c’est non... pff t’as envie de me sauter et faut que je dise oui amen à monsieur ! déclara-t-elle en se reculant.— T’es hyper-craquante bordel ! T’as écouté ce que j’ai balancé à la toubib ? (stoïque, elle attendait mes arguments) t’es la femme qui me complète le plus, t’es ma petite Véro à moi avec qui je veux un deuxième enfant. Lui affirmai-je en la sensibilisant avec une éventuelle deuxième grossesse.— Je sais tout ça, mais avoue que t’es surprenant, t’aurais pu me prévenir que tu voulais me...(réalisant la bêtise de ces propos, j’éclatai de rire) oui, celle-là je l’ai loupée et arrête de te moquer.— On peut rigoler, tu me vois en train de te dire dans l’ascenseur, hé Véro t’aimerais pas descendre dans la cave pour te faire sauter ? En le lui disant, elle pouffa de rire à son tour.— Oh là là...(elle sortit un mouchoir de son sac à main et le temps de sécher ses larmes, elle le plaça sur une étagère vide) hou... bon et alors ? même si on voulait le faire, on ne peut pas fermer la porte (elle se rapprocha, posa ses deux mains sur mes épaules et prit une voix infantile pour me parler) on pourrait attendre d’être à la maison, ce serait plus raisonnable, tu ne crois pas ? Me souffla-t-elle sans grande conviction.
Je n’écoutais plus sa voix, je regardais ses lèvres s’articuler et ses yeux bleus qui transperçaient mon âme. Ses gestes trahissaient ses pensées et reflétaient un désir réciproque. Sans vouloir me l’avouer, Véro aimait autant que moi se faire prendre dans des endroits insolites avec du suspense à la clef. Tout était paradoxal chez cette femme, d’un côté elle se culpabilisait à la recherche d’une vertu perdue et de l’autre, elle sombrait dans la débauche pour passer à l’acte d’une manière provocante.
La cave était pourvue de rangements sur lesquels des dossiers étaient disposés, ainsi que des compresses et le sol, contrairement au couloir, était carrelé. À côté de la table, un tabouret était dissimulé tout près de la porte.Ma quadra jeta un coup d’œil vers le couloir pour s’assurer que nous étions seuls, puis ayant pris sa décision, elle inclina sa frimousse pour tendre ses lèvres vers les miennes. J’échangeai ainsi un long baiser sans prendre d’initiative. Elle y mit un terme et enleva sa veste en la pliant sur une étagère vide, puis elle me fit part de ses craintes légitimes en revenant m’enlacer.
— Patrick...(elle baissa la tête pour m’observer lui déboutonner son chemisier) franchement on est pas prudent et si la secrétaire allait chercher quelque chose ? (sans me soucier de sa question, je tirai sur la fermeture éclair de sa jupe pour la lui descendre jusqu’aux chevilles) hrr... je te laisse me déshabiller sans rien dire, moi je trouve qu’on joue avec le feu. Déplora-t-elle en trépignant des pieds adroitement pour se débarrasser de sa robe courte.— La secrétaire ne va pas descendre (peu à son aise, elle fronça les sourcils en se tenant le col de son chemisier) elle est occupée dans sa paperasse et tu peux garder le haut si tu veux ou l’enlever. Lui dis-je en desserrant ma ceinture.— Non, je garde mon chemisier (avec un air renfrogné, elle croisa les bras) je dois t’avouer que je ne suis pas rassurée dans cet endroit, en tout cas, au moins il fait chaud ici (après avoir enlevé mon pantalon, elle aperçut ma verge rigide) hé bah, si j’avais dit non, tu m’aurais fait la gueule ! s’exclama-t-elle en dissimulant maladroitement sa joie.
En lui indiquant de se diriger vers la table, elle secoua la tête de gauche à droite l’air de dire que c’était n’importe quoi. Nonchalante au possible, elle se décida à poser ses coudes sur la table située près la porte. La maman de trois enfants creusa ses reins en conservant la tête figée vers le mur.
La lumière jaunâtre du couloir illuminait tant bien que mal la petite pièce et conférait à sa peau blanche un aspect légèrement hâlé. Accoudée, elle affichait sa croupe flamboyante et ses jambes, rehaussées par les talons, n’en finissaient pas d’attiser mes ardeurs. Décidément, ma blonde pouvait se targuer de posséder une plastique hors normes pour son âge.
En m’approchant derrière elle, je couvai son intimité, puis j’exerçai de légères pressions pour la stimuler. Ma grande blonde se cambra davantage et je réalisai d’un coup le chemin parcouru. Encore une fois, je m’apprêtais à baiser ma tante, laquelle souveraine dans cette position, ne s’imaginait pas le plaisir interdit qu’elle me procurait.
— Dis... tu fais doucement, je ne suis pas tout à fait prête si tu vois ce que je veux dire (mon sexe, sans se précipiter courtisa les abords de sa fente) on aurait quand même pu attendre d’être à la maison (j’avais placé mes mains sur ses flancs pour entamer une pénétration volontairement apathique) hum... oui, c’est ça... viens, viens. M’encouragea-t-elle en retrouvant de l’assurance dans son timbre de voix.— J’y vais doucement ma belle (ma verge se fraya un passage dans son canal étroit) détends-toi ma petite Véro. Lui conseillai-je en prenant progressivement possession de son corps.
Mon sexe débordait d’enthousiasme, mais en conservant son rythme paresseux, il avait fini par séduire sa vulve. En se dilatant, cette dernière n’en fit qu’une bouchée et l’avala entièrement.J’avais adopté un va-et-vient conventionnel et je lui prodiguais d’amples caresses sur son dos. Elle gémissait face au mur, mais pour passer à l’étape supérieure, je lui infligeai un coup puissant, lui annonçant le début des hostilités. Elle s’affala d’une traite sur la table en poussant un cri aigu. Dès lors, j’appliquai ma main contre son ventre plat et en exerçant régulièrement des pressions sur sa peau lisse, je lui signifiai ma domination, mon emprise sur elle.Ma verge la pénétrait d’une manière autoritaire et multipliait les entrées brutales dans sa fente. La garce en redemandait, adepte de ce type d’étreinte, et son souffle court présageait qu’elle allait accoucher sous peu d’une jouissance promise.
— Ouii... oh oui, continue, continue (le jeune mâle s’exécuta en se coulant profondément dans son orifice épanoui) hmm... tu m’excites !... Tu m’excites !...(la grande femelle cramponnée à la petite table commença par se figer) hann... hann ouii... hmmm...! s’écria-t-elle au plus fort de son plaisir.— T’es ma Véro à moi. Lui dis-je en lui maintenant les hanches.— Han Patrick... hann...(elle releva sa frimousse et se remit sur les coudes) han je sens que tu viens... je sens, je te sens ! (j’avais mon bas-ventre plaqué contre ses fesses, tandis que ma verge affolait son vagin)... hmm... viens en moi. Me conjura-t-elle folle de désir.— Attends ! attends !... chut, ne bouge plus. Lui murmurai-je en entendant des voix au loin dans le couloir.— Y-a quelqu’un ?... hmmm ! s’exclama-t-elle en pleine extase.— Mais tais-toi (je parvins à fermer la porte d’un coup de pied) ils arrivent, ne dis plus un mot. Lui ordonnai-je en restant calé dans la chaleur de sa source.— Hmm...(malgré mon immobilisme, ma tante avait débuté sa jouissance et ne parvenait pas à se contrôler) hmmm... continue... on s’en fout... Me chuchota-t-elle en dandinant son joli derrière.— Arrête... t’es complètement conne ou quoi ? (elle ne répondit pas, les muscles tétanisés) du calme, du calme. Lui répétai-je pour tempérer ses ardeurs.
Le bruit d’une porte claqua avec des échanges verbaux. Il s’agissait a priori d’un homme et d’une femme et sans être fin spécialiste, ils se situaient à plusieurs mètres de notre pièce. Heureusement pour nous, un léger filet de lumière pouvait passer sous la porte, cela me permettait de voir la chute de reins de ma quadra, laquelle avait cessé ses mouvements suite à mon intervention relativement crue. Elle attendait sagement, le visage placé dans ses paumes, que les intrus aient déserté les lieux.La femme négociait je ne sais quoi avec je ne sais qui et à force de contempler les courbes de ma partenaire, je jugeai plausible de reprendre notre ébat. Pour soulager sa jouissance avortée, je débutai par un doux va-et-vient, enthousiasmant l’intéressée.
— Ah tu te manifestes quand même, hmm... je commençais à trouver le temps long (elle s’adressait au mur pour me parler, parfaitement cambrée pour poursuivre notre coït) aaach... ouiii !... han ce que c’est bon avec toi... continue... je t’en supplie... continue. M’implora-t-elle éloignée des réalités.— Mais ils sont encore là, alors parle moins fort, ils vont finir par t’entendre (elle hocha de la tête en guise de réponse) non, non et non, on peut pas... il faut qu’ils partent, on sera plus à l’aise après, on ne peut pas continuer comme ça (je me retirai d’elle progressivement) pour l’instant, c’est la seule solution. Lui suggérai-je au grand dam de ma quadra fortement déçue.— Pfff... franchement tu me fais vraiment chier Patrick ! (énervée, elle avait la fâcheuse habitude d’employer ce terme vulgaire) ça se termine en queue de poisson cette histoire et c’était pas la peine de me faire descendre dans ce cas et de me traiter de conne par-dessus le marché ! grogna-t-elle en se redressant.— Excuse-moi, je me suis emporté (je m’étais posté contre la porte pour mieux percevoir un bruit quelconque) ils parlent, j’ai du mal à comprendre... j’entends plus rien.— Euh... je suis certaine qu’ils sont partis depuis le temps (elle m’avait rejoint et se tenait à mes côtés) et si tu ouvrais la porte pour en avoir le cœur net ? Me proposa-t-elle sans réaliser l’aberration de sa question.— Est-ce que tu peux attendre un instant si c’est pas trop demander ? (allumeuse comme pas deux, elle m’effleura le torse avec ses doigts fins à travers ma chemise) Véro, je suis sérieux, il y a des gens dans le couloir (je sentis sa main s’emparer de mon sexe) Véro... pour une fois, c’est toi qui exagères. Lui murmurai-je alors qu’elle pressait régulièrement mon membre.— Oh ça va... c’est toi qui es vieux jeu (décomplexée par l’obscurité, elle me branlait en toute quiétude) je ne fais rien de mal. Me souffla-t-elle d’une voix suave.— T’es pas croyable, approche. Lui ordonnai-je.— C’est marrant, ça me rappelle mon enfance en jouant à cache-cache (elle se mit contre la porte et m’enlaça sans crainte) on ne voit pas grand-chose, ils en mettent du temps (en se serrant contre moi, elle me donna toute liberté pour lui peloter ses belles fesses) il y a un bruit de clefs, t’as entendu ? observa-t-elle en me faisant un smack.— Oui, ça y est, ils sont en train de se barrer, ils s’éloignent. Lui dis-je.
En effet, les voix s’estompèrent et un claquement de porte nous indiqua la fin de cette visite impromptue. En montant l’escalier, l’homme se plaignit du syndic en expliquant les problèmes de sonnettes, rencontrés par différents propriétaires. Le calme étant revenu, Véro prit l’initiative de pousser l’ouverture de notre cave, pour bénéficier de la lumière jaunâtre du couloir. Elle osa y jeter un coup d’œil pour s’assurer qu’il n’y avait personne.Durant ce laps de temps, j’eus à loisir de la détailler de dos. Rien ne manqua à l’appel, ni le début de son somptueux derrière, ni ses gambilles fuselées. Véro, adepte du fitness entretenait son corps et restait ainsi gaulée comme une reine.Satisfaite de nous savoir seuls, elle trouva refuge dans mes bras tout sourire.
— Ils m’ont fichu la trouille ces deux andouilles, pas toi ? (elle me caressa le visage en se réconfortant elle-même) toi, t’as pas paniqué, tu as gardé ton calme, alors que moi...(gênée, elle mit sa joue contre la mienne) c’était pas le moment idéal quand ils sont arrivés ces cons là, enfin si tu vois ce que je veux dire. Me chuchota-t-elle en me glissant un bisou dans le cou.
Véro s’était spécialisée dans les confidences remplies de sous-entendus. Sans vouloir me l’avouer, elle était tout bonnement restée sur sa faim et n’avait qu’un souhait, poursuivre le coït que nous avions commencé.
— Hé Patrick, il y a un deuxième interrupteur juste en dessous. Remarqua-t-elle.— Ah oui en effet (en appuyant dessus, le tube fluo clignota plusieurs fois et la lumière fut) tu sais tout, tu connais tout, tu vois tout. Plaisantai-je en profitant de cette aubaine pour fermer cette satanée porte.— Tu me fais rire, allez, retire-moi cette veste et cette chemise (jugeant que je n’étais pas assez rapide, elle s’en occupa elle-même en les rangeant à la va-vite sur la première étage venue) nous voilà à égalité ! Fais donc pareil pour les chaussures, tu peux à peine marcher (je ne lui donnai pas tort en me déchaussant) ah c’est mieux, je te signale qu’on est en avance pour chercher les gosses, moi qui croyais qu’elle nous garderait plus longtemps (d’un air détaché, sa main parcourait mon torse et elle cherchait à me dire quelque chose) euh... maintenant qu’on ne peut plus nous déranger et avec la lumière, on peut faire ce qu’on veut. Affirma-t-elle en me dévisageant ouvertement.
Investi d’un rôle de guide par sa gynéco, je m’en amusai en la dirigeant à ma guise. Je lui ordonnai de se débarrasser de son chemisier dans un premier temps. Elle prétexta qu’elle aurait froid, ce à quoi je lui rétorquai que le local était pourvu d’un radiateur bien chaud.
— D’accord, mais c’est donnant-donnant, il y a une table, alors autant s’en servir (elle retira son haut et à l’instar d’une nappe, elle l’étala sur la table) moi, je préfère être allongée si ça ne te dérange pas et ramène donc le tabouret, tu pourras t’asseoir pour commencer. M’indiqua-t-elle sans finir sa phrase.
Mais Véronique ne réalisa pas à quel point elle m’attirait avec son allure sexy, renforcée par ses escarpins à talons. En voulant remettre ses mèches en arrière, elle leva ses bras, exhibant ainsi sa plastique idéale, à savoir, ses seins fermes et son fameux ventre extra plat.Sans plus attendre, elle prit place et replia ses jambes en prenant soin de se mettre pieds nus. Aussi vite, je positionnai le tabouret selon ses directives et m’assis face à elle. Elle redressa son buste en se mettant sur les coudes et n’hésita pas à écarter ses cuisses en se couvant le sexe, histoire de m’exciter davantage.
— On fait toujours donnant-donnant par rapport à hier ? ironisa-t-elle.— Qu’est-ce que tu veux dire par là ? lui demandai-je sans rien y comprendre.— Roo... c’est pas compliqué, hier je t’ai donné du plaisir, à toi de jouer maintenant (la garce gonfla sa poitrine et retira sa main, découvrant ainsi sa fameuse rivière à diamants) minch’... mais je te fais tant d’effet que ça ! s’exclama-t-elle en apercevant mon visage contemplatif.
Une poignée de secondes me furent nécessaires pour concevoir ce qui se tramait juste sous mes yeux. Tous mes sens s’étaient envolés et clignotaient au rouge. Le spectacle que m’offrait ma tante n’avait pas de mots, raison pour laquelle je restais bouche bée. Je me devais d’agir, prononcer une phrase, voire un simple mot pour sortir de cette torpeur.Véro s’en chargea à ma place.
— Bah, on dirait que c’est la première fois que tu me vois toute nue (trop heureuse de me diriger, elle ne put s’empêcher de m’infantiliser) approche mon chéri, approche (elle me prit par l’épaule pour m’inviter à la goûter) viens, viens doucement me faire des câlins...(timidement, je m’inclinai pour couvrir de bisous le bas de son ventre) oui, c’est bien, c’est bien et maintenant descends... plus bas (ma bouche s’accola à sa fente trempée) humm... lèche-moi mon chéri, lèche ta petite Véro (ma langue attisa sa source et s’évanouit entre ses lèvres lui occasionnant une montée de plaisir) ah oui... hmmm...(elle ferma brièvement les yeux et creusa son ventre) ooh oui... ouii... j’adore... j’adore quand c’est toi. Se borna-t-elle à répéter en s’offrant sans retenue.
Pour adorer, elle adorait puisqu’elle avait relevé les jambes afin de me faciliter la tâche. Mon visage enfoui entre la douceur de ses cuisses, je lui lapais son sexe tel un damné.Au début, elle n’avait posé que sa main sur ma tête, mais dorénavant, elle me la tenait avec les deux de peur que j’arrête. Elle s’abandonnait progressivement et sa source répondait présente à chacune de mes sollicitations, puisqu’un précieux nectar s’en écoulait d’une manière constante.
Ensuite pour l’amener à un degré supérieur, deux intrus s’incrustèrent dans sa féminité en se mouvant discrètement. La femelle conquise leur témoigna son plaisir de les recevoir, par une longue plainte s’assimilant à son bien-être du moment. En la doigtant à une allure excessive et en lui palpant son sein droit, elle se tortilla dans tous les sens sur la table devenue trop étroite.Je ne savais pas à cet instant précis que j’allais découvrir, ou lui faire découvrir une facette cachée de sa propre sexualité.
— Hrrr... hrrr... hoo !... hooo !!! (elle cambra son bassin violemment et se mit à trembler, proche d’un état de transe) humm !... humm !...(en accélérant le rythme, elle contracta son ventre, puis ses muscles se relâchèrent) Aaar...!... Aaargh ! hurla-t-elle totalement paniquée par ce qu’elle ressentait, par ce qu’elle subissait.— Laisse-toi faire (j’amplifiai mes frottements en elle sans les varier, stimulant forcément son point g) viens ma belle, viens ! lui ordonnai-je en ta contemplant dans sa jouissance.— Aaarhg... aarg...!...(elle me gicla en plein visage et se mit à trembler)... hann... j’en peux plus... aarhg ! s’écria-t-elle en se crispant.
Elle ne respirait plus, elle haletait désespérément et scrutait le plafond de la pièce en cherchant je ne sais quoi. Mes doigts baignaient dans son intimité, mais en se recroquevillant, elle serra les cuisses intensément et me jeta un regard perdu. Hagarde, elle apprécia mes caresses sur ses flancs et après un grand soupir, elle commença à se détendre. Bien qu’embarrassée par cette jouissance particulière, elle dispersa ses jambes longilignes et éprouva le besoin de se confier.
— Mais qu’est-ce qui m’arrive Patrick ? me demanda-t-elle effarée et encore tremblante.— Rien de grave, t’as joui assez fort et ça veut dire que ça t’a plu. La rassurai-je en m’essuyant le visage.— Bah oui... toujours est-il que je t’en ai mis partout (le fait de lui placer ma main sur son ventre lui occasionna un spasme, créant une impulsion qui souleva son bassin malgré elle) oh là là, j’ai du mal à me contrôler...(elle redressa son buste en se tenant sur les coudes, confuse d’exhiber son intimité face à moi) euh... tu veux quand même continuer ? (en guise de réponse, je la repris en bouche en lui aspirant ses lèvres intimes) hum... ben dis donc, faut pas te le dire deux fois ! je tiens à te signaler que tu fais de moi ce que tu veux, c’est comme si je t’appartenais. Remarqua-t-elle irritée par mon assurance.— Je ne vais te demander la permission et puis tu ne dis jamais non, pas vrai ? (elle hocha de la tête en me donnant raison) t’es vraiment la gonzesse qu’il me fallait ! Lui déclarai-je en lui léchant sa source avec frénésie.— Hé... tu pourrais me parler autrement, j’suis pas ta gonzesse enfin ! et... humm... je...(elle mouillait à la folie et peinait à parler)... ooh... continue...(elle passa ses doigts dans mes cheveux, puis bascula sa frimousse en arrière en fermant les paupières) oui... oui... continue... Me souffla-t-elle à nouveau excitée, du fait de lui câliner son sexe succulent.
Sans attendre le point de non-retour, je me redressai pour faire face à cette mère de famille transpirante. Devinant mes intentions, elle m’adressa un large sourire et gonfla sa poitrine généreusement.
Certes nous étions en couple depuis près de trois années, mais à l’instant précis où je m’apprêtais à la baiser, à chaque fois un pincement au cœur s’emparait de moi. D’un côté, Véro culpabilisait ou avait honte de notre relation et du mien, je parvenais difficilement à réaliser que je sautais ma propre tante, fruit de mes fantasmes d’ado parisien.Peu importe, je postai ma verge à l’entrée de sa fente pour débuter notre accouplement.
— Hmm... comme tu peux être doux (mon membre se faufila avec délicatesse entre les lèvres roses de ma partenaire toute guillerette) ah oui... et j’espère qu’on ne va pas être dérangés ce coup-là, cette fois, tu vas jusqu’au bout ! plaisanta-t-elle, trop heureuse de recevoir enfin son jeune mâle.— C’est promis Tatie chérie ! lui répliquai-je en lui provoquant un mini-fou-rire.— Même quand tu me fais l’amour, tu sais me faire rire, bon, restons sérieux (après avoir levé les jambes, elle les posa sur mes épaules en haussant les sourcils) vache ! c’est bon de t’avoir en moi, c’est trop bon... Soupira-t-elle en me prenant les bras pour les disposer sur sa poitrine.— Bah ma Véro...(mon sexe s’ancra profondément en elle) pour rien au monde, tu n’échangerais ta place (elle approuva d’un hochement de la tête) t’es devenue une sacrée coquine avec moi ! lui affirmai-je en lui pressant les seins.— Hrrr... forcément ! tu me fais tout ce que j’aime (elle croisa ses bras sous sa tête et en expirant, elle resserra son ventre) et toi... tu te défends pas mal question sexe, t’as tout le temps envie (le jeune mâle, enivré par la chaleur de sa source commença à s’agiter) hmm... allez, vas-y... tu peux me faire ce que tu veux, tu m’as déjà tellement excitée. M’avoua-t-elle détendue.
Avec la mine réjouie, ma blonde suivait la cadence et me maintenait les avant-bras. Certes, elle souhaitait un enfant de moi et légitimait de la sorte son désir grandissant de copuler avec moi, mais ni le lieu et ni l’époque ne s’y prêtait, puisqu’elle était en dehors de sa période de fécondité. Avec l’arrêt de sa pilule et probablement l’amour qu’elle me portait, sa libido se retrouvait décuplée et je n’allais pas m’en plaindre.
Auteur d’un savant va-et-vient, le jeune mâle dompta avec facilité la belle quadragénaire. Ainsi, la femelle reçut ce qu’elle attendait sous la forme de saccades de son chiot fou. Enragé, il se permit de tutoyer le col de l’utérus et gueula sa rage en lui diffusant sa semence. Étourdie de plaisir, elle souffla un grand coup et afficha ensuite sa satisfaction en se caressant le ventre.Parvenue à se mettre debout, elle se chaussa immédiatement, puis elle s’empara d’un mouchoir pour éponger son intimité, mais en réalisant que ce geste était peu glamour, elle tenta de se justifier.
— C’est pas très romantique, je le fais parce qu’après j’en ai partout (elle s’essuya rapidement et remit le bout de tissu dans son sac à main) merde ! mon chemisier est trempé... enfin, y en a pas beaucoup... euh... j’ai envie de t’embrasser (elle m’attira contre elle pour me rouler une pelle) bon... on va songer à s’habiller sinon, on va finir par être en retard (constatant mon insistance, elle ouvrit encore sa bouche et plongea sa langue dans la mienne) hum... mon chéri, il faut qu’on s’habille même si c’est très agréable. Me confia-t-elle en enfilant son chemisier.— Véro, j’ai ton soutif. L’interpellai-je.— Passe-moi plutôt le slip (en le lui donnant, j’admirai sa dégaine hyper-sexy) merci et ce soir, je compte sur toi pour me dorloter devant la télé. Me précisa-t-elle en ajustant sa jupe.— Mais oui, allez hop, hop ! direction les escaliers. Lui dis-je en fermant la porte de la cave.— Oh là là... mon chemisier est complètement froissé (elle tira sur les pans sans succès) je le donnerai au pressing, j’espère qu’on va croiser personne, je ne ressemble à rien. Me lança-t-elle en longeant le couloir.
Nous avions quitté l’immeuble incognito pour récupérer la voiture. Véro semblait décontractée, mais en consultant son portable, elle s’aperçut que ma mère avait essayé de la joindre. Nullement paniquée, elle ne jugea pas utile de la rappeler et aborda un autre sujet. Chaque année, nous avions pris pour habitude de nous rendre à Biarritz l’espace d’un week-end. L’évènement avait été annulé par le simple fait que les participants, autrefois étudiants, étaient tenus par des engagements professionnels. Sujet clos.

Samedi soir.
La maman des trois garçons somma son aîné de veiller sur son demi-frère, alias notre fils Hugo, juste après avoir dîné. Elle leur enjoignit de se brosser les dents et leur donna la permission de jouer à leur jeu vidéo jusqu’à 21 heures. De mon côté, sans faire le macho, j’avais rangé la cuisine et quand leur mère redescendit, elle me complimenta.
— Oh, mais fallait pas, tu aurais pu m’attendre et on l’aurait fait à deux (elle avait troqué sa tenue vestimentaire contre sa robe de chambre avec un pyjama en dessous) tu as trouvé un petit programme télé pour ce soir ? Me demanda-t-elle les mains dans les poches.— Le samedi y a pas grand-chose, sauf un reportage sur les casinos à Las Vegas (après m’être installé dans le canapé, j’appuyai sur la télécommande) on va regarder les machines à sous, t’es déjà allé au casino au fait ? lui demandai-je alors que Véro avait desserré sa ceinture.— Non, j’ai jamais eu l’occasion et puis on perd tout le temps (comme je ne prêtais pas attention à elle, ma blonde m’apostropha vivement) euh... si tu veux me masser les pieds, je vais enlever mon pantalon, mais je garde ma robe de chambre, ce sera plus pratique pour toi. Me dit-elle en baissant le bas pour le plier avec soin sur le fauteuil.— Mais t’avais dit que c’était hors de question quand les garçons seraient rentrés ?— Roo... ils jouent et ils ne vont pas tarder à se coucher, pousse-toi un peu que je puisse m’allonger et...(elle attrapa un coussin pour le placer derrière la tête) j’ai mis le tube à côté du cendrier, si tu veux fumer tu peux, ça ne me dérange pas. Me proposa-t-elle en refermant les pans de son peignoir.— Alors juste une.
En tirant ma première bouffée, ma quadra évoqua sa consultation de ce matin. Peu intéressée par l’émission, elle me confia la gêne ressentie lors de son examen du fait de ma présence. Elle estima que la gynéco était sortie du protocole et qu’elle avait franchi les barrières du code de déontologie. Je lui donnai raison sans lui révéler que la toubib l’avait fait sciemment, afin d’examiner son comportement. En écrasant mon mégot, je m’emparai du tube, puis j’en étalai une fine couche sur chacun de ses mollets. Véro tortilla ses orteils, l’air de dire qu’elle s’impatientait ou tout bêtement, qu’elle appréciait déjà mes longs effleurages sur sa peau blanche.Une pub interrompit mon protocole et ma belle blonde me demanda du bout des lèvres de coucher définitivement les garçons.
— Il est 21 heures passé Patrick et j’entends toujours du bruit, ça te dérange d’aller les voir ?— Mais non et la crème va te faire de l’effet, attends-moi, je ne serai pas long. Lui lançai-je en me levant.— C’est vraiment sympa...(elle replia ses jambes gracieuses) j’avais un peu la flemme à vrai dire et ton massage me relaxe.
Mes petits cousins avaient quelque peu rechigné à rejoindre leurs chambres respectives, quant à Hugo, il dormait déjà quand j’étais arrivé. En descendant, j’entendis la voix de Véro, laquelle parlait au téléphone en marchant dans le séjour. Elle n’avait pas mis le mode haut-parleur et en plaçant son index sur les lèvres, elle m’indiqua de ne pas faire de bruit. Silencieux, je me versai un verre de coca frais et en but une petite gorgée.
— Oui Anne et c’est très gentil de me le proposer, en principe Jacques les aura au mois d’août et si tu m’assures que ça te fait plaisir...
Elle bloqua de la paume la partie microphone de l’appareil, empêchant ainsi ma mère de l’entendre.
— Ta mère veut prendre les gosses la première semaine de juillet, qu’en penses-tu ?— Dis-lui que c’est d’accord, c’est super et on se fera une semaine en amoureux.— T’es sûr ? Me demanda-t-elle en s’emparant de mon propre verre.— Mais oui et remercie-la.— Évidemment, viens pour écouter ce qu’elle dit (je m’exécutai en observant ces trois petits boutons qui fermaient sa veste) si je mets le mode haut-parleur, ça fait de l’écho et elle ne comprend plus rien... allô Anne ? Excuse-moi, je prenais un peu de coca.
Tranquillement, je lui retirai son verre des mains. Elle s’adossa au frigo et donna son approbation à sa grande sœur pour les prendre durant les vacances. Ensuite, elle me jeta un regard coquin, tout en expliquant à sa sœur le déroulement de ce programme inattendu. Inattendu fut le mot me venant à l’esprit, quand je la vis détacher un à un les boutons de son haut de pyjama à l’aide de ses deux doigts. Elle bloqua le téléphone en me parlant avec célérité.
— Les garçons sont dans leurs chambres ? Me murmura-t-elle en me passant la main sur la joue.— Oui. Lui répondis-je en lui administrant une belle caresse sur la peau fine de son ventre.— Ne parle pas, elle risque de t’entendre (en exhibant sa poitrine, elle me donna ses dernières directives) tu me prends le droit comme d’hab’... euh Anne, alors le mieux c’est de prendre le train et je réserve des billets, Patrick les emmènera ou alors, si tu es d’accord, je viens. Poursuivit-elle en me prenant par l’épaule.
Sans aucun complexe, elle conversa avec ma mère comme si de rien n’était et me laissa le soin d’éveiller sa poitrine. En réalité, Véro n’attendait que ça et en lui pétrissant son sein droit, elle m’incita à me pencher pour le prendre en bouche. Je débutai sa stimulation en suçant entièrement son mamelon, puis en l’aspirant profondément.En distinguant la voix de ma mère, je m’étonnai moi-même de l’attitude de sa petite sœur, pour aboutir à une conclusion pertinente. J’avais éclaté les limites de la normalité et banalisé l’irréel de notre relation interdite. À vrai dire, je m’en moquais éperdument et l’excitation de son fameux sein droit était devenue le centre de mes préoccupations. Certes je m’occupais du gauche par moments, mais en dorlotant mon chouchou de droite, Véro me murmura ce qu’elle appréciait, même si je l’avais déjà entendu durant nos étreintes précédentes.
— Ouii... mordille-le... euh (elle bloqua à nouveau le combiné avec sa paume) elle me tient la grappe, j’arrive plus à m’en dépêtrer ! hmmm... han tu m’excites Patrick ! s’énerva-t-elle toute seule en trépignant des pieds.— Je sais (je délaissai sa poitrine pour l’embrasser à pleine bouche) et si je fais ça (ma main descendit entre ses cuisses et mon majeur longea ses lèvres intimes) t’as qu’à lui dire que tu la rappelleras demain. Lui conseillai-je avec mon doigt aux portes de son intimité.— Mais je ne peux pas ! on discute des horaires de train... arrête... arrête...(réalisant que ma mère lui offrait l’occasion de se racheter en prenant ses enfants, elle me repoussa tendrement)... va te mettre sur le canapé, tu me dorloteras après, mais laisse-moi finir avec ta maman pour l’instant. Conclut-elle en me roulant une pelle en mode express.
Je lui donnai raison en m’éloignant vers le salon. Le reportage des casinos était terminé et la conversation entre les deux sœurs avait dérapé sur des souvenirs de vacances. Elles échangeaient des anecdotes, ponctuées de fous rires. Ce qui ressemblait à un bavardage dura vingt bonnes minutes et s’acheva par un -je t’embrasse très fort- de la part de ma blonde.En se présentant face à moi, elle arborait un visage rayonnant et se tenait le col de sa robe de chambre. Ravie, le mot étant faible, elle me fit partager sa satisfaction en restant debout.
— Oh je suis contente, on a eu une super conversation toutes les deux, tu peux pas savoir ce que je ressens !— Alors mes parents prennent les garçons début juillet pour une semaine ?— Oui ! Oh là là je n’y croyais plus, j’ai enfin parlé avec ta mère, tu te rends compte ? (songeuse, elle planta ses yeux dans les miens) euh... je t’ai un peu envoyé sur les roses toute à l’heure, mais je ne pouvais pas faire autrement, tu m’en veux pas ?— Pas du tout, quelle joie de te voir dans cet état (mes ardeurs s’étaient passablement estompées du fait de leur longue conversation) c’est un grand pas en avant pour toi, pour nous. Lui déclarai-je en manipulant le tube de crème.— Un grand pas, oui et non (dubitative, elle bâilla ouvertement) c’est vrai qu’on on a pas mal discuté, mais ça ne veut pas dire qu’elle a pardonné ce que j’ai fait avec toi (elle examina ce que je triturais entre les mains) écoute, j’ai besoin de tendresse ce soir, alors si tu es d’accord, tu peux reprendre ton petit massage que t’avais commencé (en agitant le flacon, elle prit place à l’extrémité du canapé) han t’es toujours d’accord ! des fois, je ne mesure pas la chance que j’ai d’être avec toi, plus d’une femme aimerait être à ma place comme m’a dit la gynéco... franchement, t’es un garçon adorable. Me complimenta-t-elle en se découvrant pour étendre ses jambes.
Un filet du tube s’écoula sur ses genoux et en refermant le tube, je l’étalai sur ses mollets par des mouvements amples et circulaires. Véro s’amusait à zapper de chaîne en chaîne alors que moi, je prenais un soin pas possible à la relaxer, en exerçant des pressions sur sa voûte plantaire.
En rajoutant un peu de crème sur le dessus de ses pieds, je la dispersai entre ses orteils élégants et ma belle quadra, écœurée par la pauvreté des programmes, jeta son dévolu sur une chaîne d’infos en continu. Du fait de mes passages réguliers, sa peau s’était asséchée tout en conservant un aspect satiné. Je n’arrêtais pas de les caresser en entrecroisant mes doigts entre ses phalanges, pour ensuite les emprisonner en formant un étui avec ma main repliée. Mais à force de les contempler, de les dorloter, je bandais tel un âne.
— Y-a pas grand-chose à la télé, mais ça ne doit pas te déranger, t’es trop occupé avec ton massage (elle tendit l’un de ses pieds et le plaça sous mon menton) avec la tête que t’as, je vois bien que t’as envie d’autre chose, pas vrai ? (en parfaite allumeuse, elle le frotta contre ma peau rugueuse, puis le dirigea sous mon nez) alors, il te plaît ? tu peux le toucher et même plus... Rajouta-t-elle libertine à souhait.— Mais c’est que t’y prends goût ma belle Véronique ! m’exclamai-je en lui humant le dessus, puis en y déposant des baisers multiples.— Oui bah... c’est une sensation que je n’ai jamais connue (j’avais joint ses deux pieds et mes lèvres effleuraient sans cesse le bout de ses orteils) dis, tu l’as fait à d’autres filles à part moi ?— Mais tu ne m’as pas écouté la dernière fois, t’es la première et tu seras la dernière (flattée, elle ne broncha et m’observa lui léchouiller ses ongles) et en plus tu aimes. Lui affirmai-je.— Ah ça je le regrette ! Jamais je n’aurais dû te faire une confidence pareille, maintenant que tu le sais, tu en profites...(lentement, ses fabuleux orteils se glissèrent dans ma bouche) han Patrick... j’avoue que c’est si particulier ce que tu fais (elle avait repris sa voix enfantine) euh... c’est assez excitant, je suis au chaud dans ta bouche. S’étonna-t-elle faussement en haussant les sourcils.
Sous son regard enjoué, j’opérai de vastes va-et-vient avec ses phalanges, en les invitant régulièrement à visiter le fond de mon palais. La grande garce s’en amusa en recroquevillant l’un de ses pieds, comme pour lui faire un baisemain. En conséquence, je mesurai à chaque minute qui s’écoulait, le plaisir intense que j’éprouvais dans cet exercice insolite.Véronique découvrait une émotion surprenante, pour ne pas dire étrange et qui différait de celle que j’avais eu l’occasion de lui prodiguer, durant une éteinte. Désormais, elle ne s’offusquait plus et mieux encore, en me proposant de lui sucer ses pieds divins, elle concrétisait mes désirs les plus secrets.Ses doux orteils s’étant tapis dans ma bouche, je les avais dégustés savoureusement pour ensuite les relâcher. Désormais, je les promenais sur mes lèvres, sans pour autant en oublier la réalité.
— Au fait Véro, où aimerais-tu aller la première semaine de juillet ? lui demandai-je en léchant le dessus de ses phalanges à la peau si fine.— On n’aura pas les garçons et je te signale que ce sera la semaine de ton anniversaire, dis tu m’écoutes un peu ? (je saisis ses chevilles pour les poser sur mes genoux, histoire de calmer le jeu) on pourrait partir en Italie, je ne connais pas la Riviera et il parait qu’il a des endroits superbes avec des villages pittoresques (tout en l’écoutant, je me contentais de passer mes mains sur ses mollets) on pourrait réserver un petit hôtel sympa et au calme. Rajouta-t-elle en fermant son peignoir.— Je m’en occupe, l’air de rien, c’est dans un mois et demi (presque étonnée, elle commença à replier ses jambes et bâilla une seconde fois) le mois de mai est entamé et après juin, on y est... toi, t’as envie de te coucher on dirait.— Non, non, ça va, mais t’as raison, autant s’y prendre à temps et tu me réserves un hôtel avec piscine, ça me donnera l’occasion d’acheter un bikini à la mode, t’as vu les vieilleries dans mon armoire...(elle se leva et prit son pantalon plié sous le bras) j’en prendrai un en bleu, c’est une couleur que t’aimes bien. Crut-elle conclure en me tendant la main.— Le blanc te va bien aussi (en restant plantée face à moi, j’entrouvris sa robe de chambre puis sa veste) oh, elle n’a pas un poil de graisse ma petite tatie préférée. La complimentai-je en examinant ses abdos musclés.,— On croirait que tu découvres mon corps, c’est pas une nouveauté (mes lèvres s’appliquaient à lui faire des bisous sur son bas-ventre) hum-hum... j’aime ce que tu fais, mais ça me dérange un peu (tout en lui maintenant les hanches, je relevai la tête avec un air interrogatif) bah oui... j’avais ta maman au bout du fil toute à l’heure et ensuite, te voilà en train de me couvrir de baisers (elle se gratta le menton, visiblement en pleine réflexion) un coup je dis oui et un coup je dis non, tu dois me prendre pour une chiante. Insinua-t-elle en restant debout.— Mais non, ta réaction est normale (à regret, j’abandonnai son anatomie plaisante pour m’adosser au canapé) depuis plusieurs mois, vous ne vous êtes pas adressé la parole et patatras, ce soir tu discutes pendant une bonne demie heure avec ma mère et du coup, tu te sens honteuse vis-à-vis d’elle quand je te caresse ou que je te donne des baisers. Analysai-je en sortant une cigarette de mon paquet.— Je te déçois Patrick et je ne suis pas les conseils de la gynéco (elle s’infantilisait en prenant une petite voix et une moue boudeuse) euh... je vais mettre la table pour le petit-déjeuner le temps que tu finisses ta cigarette. Me souffla-t-elle découragée par sa propre attitude.
Les évènements s’étaient enchaînés, trop vite à son goût. Véro était contrariée et se retrouvait dans l’impasse, tiraillée par ses remords éternels. Les recommandations de la toubib avaient retenu son attention, mais s’étaient aussitôt estompées suite au coup de fil de sa grande sœur. Un seul mot était omniprésent dans la pièce, le mot employé lors de sa visite médicale, la honte.
Après avoir écrasé mon mégot, je ramenai le cendrier dans la cuisine, en remarquant au passage son pantalon, lequel était plié sur le plan de travail. Ma grande blonde avait disposé assiettes et couverts et il ne restait plus que les tasses à rajouter. Elle les plaça une à une sans se soucier de sa robe de chambre ouverte, tout comme sa veste. Une fois fini, elle me jeta un regard mi-figue mi-raisin et j’en profitai pour casser cette ambiance délétère.
— Voilà une bonne chose de faite ! demain, les grands n’auront plus qu’à mettre les pieds sous la table et on va pouvoir aller se coucher.— Bah oui. Répondit-elle, blasée.— N’oublie pas ton pantalon comme hier (en s’en emparant, elle me décrocha un demi-sourire) ah si j’étais pas là, que ferais-tu sans moi. Plaisantai-je.— Mais tu es là et c’est tout ce qui compte pour moi (en mettant son pantalon sous le bras, elle s’aperçut qu’elle exhibait une bonne partie de son anatomie), mais où ai-je la tête ? Je me balade toute nue devant toi depuis que je suis partie du salon. S’étonna-t-elle en tirant sur l’un des pans de son peignoir.— N’en fais pas un drame et ce matin, t’étais bien à poil dans la cave avec moi. Lui lançai-je en m’apprêtant à partir.— Justement, à propos de ce matin, je suis très ennuyée vis-à-vis de toi, je n’ai pas osé t’en parler depuis (elle prit la chaise devant elle et me proposa de m’asseoir juste à ses côtés) d’abord, je ne sais pas ce qui m’a pris quand j’étais au téléphone, je me suis déboutonnée et tu m’as pris le sein tout naturellement, je me suis comportée comme si j’étais ta copine... ah c’est vrai, je suis ta gonzesse depuis ce matin et là tu pousses un peu ! (perturbée, elle tritura l’une des serviettes sans me regarder) faut pas tout confondre Patrick et toi tu confonds tout. Déplora-t-elle en aplatissant le bout de tissu entre ses doigts.— Je ne confonds rien du tout et ne prends pas cet air désolé (la connaissant si bien, je lui frottai le dos affectueusement pour dédramatiser la situation) t’es toujours ma petite Véro à moi ! (en l’appelant ainsi, je lui arrachai un sourire) et si je t’ai appelée ma gonzesse, c’était dans le feu de l’action, d’ailleurs on ne va pas tourner autour du pot, t’es gênée parce que ce matin, tu m’en as envoyé partout quand je te léchais ta belle chatte. Insinuai-je avec des mots crus.— Oui, c’est à peu près ça... (elle posa sa main sur mon avant-bras et me lança un regard désespéré) ça ne m’était jamais arrivé et tu es bien placé pour le savoir, j’ai honte à un point...(elle déplia la serviette pour la replier, perdue dans ses pensées) c’est peut-être à cause de la toubib, pff... cette petite conne m’a déstabilisée ! elle me déclare que je suis amoureuse de toi et après tu m’emmènes dans la cave (elle avait pris sa moue boudeuse) tu me mets sur une table et tu commences à... enfin, je sais pas comment t’as fait, mais tu m’as tellement excitée et puis ensuite. Soupira-t-elle avec un ton désespéré.— Ensuite, tu t’es lâché tout simplement et tu n’as aucune raison d’avoir honte, bien au contraire, ça prouve que t’as franchi un cap (elle m’écoutait avec attention et me dévisageait ouvertement) la gynéco t’a bien analysée en fait, t’es super mignonne, mais tu te dévalorises bêtement et à l’avenir, si ce qui s’est passé dans la cave doit se reproduire, tu devras me faire un grand sourire, sans te soucier du reste. Lui précisai-je en lui prenant la main.
Ma blonde ne répondit pas immédiatement et remit la serviette à sa place. Elle scruta le plafond à la recherche de je ne sais quoi, puis agita ses cheveux sans aucune raison. Elle inspira un grand coup et pour me signifier qu’elle avait compris, accepté la douce réalité, elle me sourit avec ses lèvres sensuelles dépourvues de maquillage. Elle osa une suggestion sous couvert d’un large sous-entendu.
— Tu me parles de la prochaine fois, moi je veux bien, mais il faut que je sois détendue pour que ça marche, tu ne crois pas ? s’enquit-elle avec une naïveté que je ne lui connaissais pas.— J’en sais rien, j’suis pas sexologue et d’abord, il faudrait te poser la question si tu as envie de revivre cette sensation avant tout.— Han... j’ai beaucoup aimé, je ne vais pas te mentir (elle racla sa gorge, mal à l’aise de poursuivre dans cette voie) évidemment que j’ai envie de recommencer et tu le sais très bien, par contre je te le dis franchement Patrick, ça me dérange de me mettre dans un état pareil devant toi (avec douceur, je lui pris la main) j’ai sans aucun doute franchi un cap et je t’en suis très reconnaissante, néanmoins il ne faut pas brûler les étapes. M’avertit-elle en agitant ses mèches.— C’est pas mon genre de te brusquer et pour finir avec ce qui t’est arrivé ce matin, ça signifie que tu as une grande confiance en moi (elle croisa ses jambes en découvrant sa cuisse, histoire de me montrer qu’elle avait changé) tu dois transformer cette honte passagère en t’épanouissant, en ayant une belle estime de toi. Lui dis-je sans prêter attention à son anatomie plaisante.— Ca va pas être facile, y a des moments où je me sens à l’aise avec toi et d’autres où je commence à culpabiliser, enfin tu en sais quelque chose depuis le temps (elle balançait son mollet gracieux dans le vide et s’amusait à triturer ses cheveux) ça ne veut pas dire que je n’y arriverai pas et je tiens à te signaler que depuis qu’on est ensemble, je me suis épanouie sur beaucoup de sujets. Me dit-elle sous la forme d’une déclaration solennelle.
Sans me l’avouer directement, il s’agissait d’une allusion à son comportement d’hier. Elle qui jouait les saintes-nitouches, m’avait bluffé en me forçant à la comparer à mes dernières conquêtes. La gynéco m’avait investi d’un rôle de guide auprès d’elle, ainsi je me devais d’adopter une attitude rassurante à son égard. Certes elle avait franchi un cap, mais je ne considérais par ce pas en avant comme acquis.
— Véronique, t’es pas la seule à t’épanouir et chaque jour qui passe me rapproche de toi (en plaçant ma main sur sa cuisse, elle me fit ses yeux de biche) ce que je ressens pour toi est à peine croyable, on se complète tellement l’un et l’autre. Lui déclarai-je en lui effleurant légèrement le genou.— Ah ça tu peux le dire, pour se compléter, on se complète, surtout sexuellement !... (elle s’était déchaussée et frottait dorénavant ses orteils savoureux contre mon mollet), mais tu sais, je ne suis pas très expressive dans mes sentiments, je ne t’apprends rien et même si on couche ensemble depuis presque trois ans, je reste ta tante (elle ajusta les deux couverts avec une mine renfrognée) si tu avais rencontré une fille de ton âge, tout aurait été plus simple pour toi comme pour moi, on aurait notre vie chacun de notre côté et on se verrait aux fêtes de famille en se faisant la bise tout simplement. Constata-t-elle avec un ton fataliste.— Tu me fais un petit coup de déprime ce soir, viens (elle se leva avec moi) et tu n’oublies pas ton pantalon.— Ah oui (elle le prit sous le bras et serra la ceinture de sa robe de chambre) éteins la télé, moi je monte en premier. Dit-elle d’une voix atone.
Prise d’un coup de blues, elle était repartie dans ses travers. J’étais lassé de cette complainte permanente et je ne pouvais pas passer mon temps à m’apitoyer sur son sort, estimant à juste titre que j’étais logé à la même enseigne qu’elle.
Penaud, je pris la direction des escaliers et en rentrant dans notre chambre, j’entendis l’eau couler dans le lavabo. Véro se brossait les dents et avait suspendu son peignoir.A l’aide d’un grand verre d’eau, elle se rinça la bouche et me céda la place en s’essuyant à l’aide d’une serviette. Elle ne moufta pas quant à ma tenue vestimentaire, laquelle se résumait en tout et pour tout à mon caleçon. En m’approchant du lavabo, je pris le tube de dentifrice en me frottant les dents avec énergie. Elle se mit à mes côtés et s’appliqua un soupçon de crème de nuit sur les joues et le front. En l’étalant, elle maugréa en me parlant face au miroir.
— J’ai une sale tête ce soir (elle se massa le visage rapidement) allez hop... (elle se sécha les mains, puis rangea le pot dans l’armoire) tu as fini ? Me demanda-t-elle en ouvrant un tiroir pour en sortir un peigne.— Oui (je me déplaçai derrière elle) c’était cool que ma mère t’appelle.— Oh on a échangé de vieux souvenirs, ça m’a fait du bien (en levant son bras pour se coiffer, sa veste se souleva légèrement me permettant de contempler sa paire de fesses) par contre, je ne m’attendais pas du tout à sa proposition de prendre les enfants durant les vacances, je me réjouis de passer une semaine sans les gosses (elle posa son peigne directement sur la tablette et s’adressa à moi à travers la glace) hé bah... je dois être salement fatiguée pour avoir des cernes pareils, je fais vraiment mon âge ce soir. Se désola-t-elle en se retournant, sans prendre la peine de fermer les pans de sa veste.— C’est toi qui le dis, t’as un charme fou quand t’es démaquillée.— T’es pas difficile ! tu connais le diction, l’amour rend aveugle...(avant de sortir, elle me passa la main sur la joue) tu as pu le constater, je suis un peu paumée avec ce qui s’est passé dans la cave et en ce moment, j’ai besoin de tendresse (elle inclina sa frimousse et m’embrassa en douceur) j’ai pas la tête à ça et je ne veux pas faire semblant, alors ne sois pas fâché contre moi. Me conjura-t-elle en me fixant avec ses yeux bleus.— Qu’est-ce que tu peux être mignonne (gênée par un tel compliment émanant de moi, elle baissa son visage et se blottit contre mon épaule) on ne va pas rester ici, viens avec moi (je lui pris la main pour l’entraîner vers le lit) et si tu le souhaites, je te caresserai. Lui proposai-je en tirant le drap blanc.— Hum, toi et tes caresses, t’es un expert dans ce domaine (elle retira sa veste et s’allongea de côté près de moi, sans se couvrir) dis, tu es sûr que... enfin ça t’ennuie pas trop qu’on ne fasse rien ? s’inquiéta-t-elle presque subitement.— Véro, t’es pas dans ton assiette, par contre, je vais avoir deux mois chargés avant juillet, je tenais à te prévenir. Lui dis-je en lui dégageant des mèches de son front.— Dans ce cas, tu prendras soin de moi durant notre semaine en Italie... Soupira-t-elle en fermant ses paupières.
Mon sexe me maudissait et assimilait mon comportement à de la lâcheté. Qu’importe, j’estimai à juste titre que d’autres occasions se présenteraient et en prenant du recul, je saluai la démarche de ma mère, laquelle avait marqué un bon point dans l’optique de retrouvailles avec sa petite sœur. Certes, il fallait relativiser cette sorte de coup d’éclat et conserver à l’esprit notre relation peu commune.L’incertitude gagnait du terrain concernant son éventuelle grossesse. Les mois défilaient et malgré son caractère anxieux, elle n’évoquait que rarement le sujet. Je misais sur cette semaine en Italie, semaine durant laquelle nous allions former un couple à part entière, pour une fois...
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