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Ségolène et les chiens.

Chapitre 2

Zoophilie
Cela faisait maintenant une semaine que ma petite aventure s’était passée. Une semaine, que j’avais passé à cogiter sur ce que j’avais fait, à me triturer les méninges pour savoir quoi faire, recommencer, tout arrêter, aller plus loin...
Les cours avait repris depuis quelques jours, nos profs nous harcelaient déjà pour préparer le bac de Français et nos TPE, mais comme tout le monde le sait, on se préparera au dernier moment, histoire d’avoir plus de pression que nécessaire. Je n’avais de toutes manières pas la tête à ça, car dès que je voyais un chien, ou pensais à Bény, je devenais toute rouge ( un peu embarrassant ). Il m’était totalement impossible d’évoquer le sujet avec mes amies car le sujet est plutôt tabou. Vous imaginez les réactions ?
_ Alors Ségo bien les vacances ?
_ Oui une expérience super ! Un chien m’a fait jouir en me léchant, il m’a baisé la main et ma petite culotte, sur laquelle il ne s’est pas privé d’éjaculer........
Les cours du Vendredi fini, sur le chemin du retour, j’en avais conclu que ce ne serait qu’une expérience de jeunesse, mais s’était sans compter sur le DESTIN ! PIN PINPIN ! Bon ok , je rigole sur un gros coup de bol ! Mon oncle et sa femme s’étaient invité à manger à la maison, et ils avaient ramené leurs chiens, Bény et Topeur, un autre Jack Russel, celui de sa femme. Je l’aimais moins celui là, car il était beaucoup plus foufou que Bény.
Bon je vous passe toutes les commodités pour en venir à la fin du repas.
Mon père et mon oncle parlait de football, ma mère et ma tante dans la cuisine déjà entrain de faire la vaisselle, alors qu’on a un lave-vaisselle, mais bon comme ça elles pouvaient rester ensemble discuter. Moi j’étais encore à table, je finissais mon yaourt, quand j’ai eu un sursaut, la cuillère de yaourt parterre... C’était Bény qui venait de coller sa truffe sur mon jean au niveau de mon entrejambe. Mon cœur ne fit qu’un quart de tour pour battre plus fort, j’ai eu l’impression d’être toute nue devant tout le monde, tellement je suis devenue rouge rapidement.
Mais cela n’a durée que quelque seconde, car le bruit de la cuillère sur le sol m’a sorti de mon imaginaire. Un regard autour de moi, personne n’y a vraiment fait attention, un petit « ouf » de soulagement. Bény lui en avait décidé autrement, car je le senti de nouveau entre mes cuisses, mais cette fois si, il essayait de me lécher, mais bon, il est un peu court sur patte... et la le salop, se mit à couiner... Ce coup si, c ’est la peur qui m’est venue à la tête, s’en était trop, je décide donc de quitter la table.
Mon père m’interpella :
_Tu nous quittes déjà ?
_Oui je vais me coucher, la journée à été longue.
_Dommage, on voulait se faire un ciné, tu es sur ?
_ Il est déjà 9h, pour moi c’est mort. Bonne nuit tout le monde.

Je suis montée prendre mon pyjama ( et ouais c ’est pas glamour ^^ ), et puis prendre une douche. J’entendis mes parents partir, juste quand j’entrais sous la douche. En repensant à Bény quelques minutes plutôt, un petit frisson me parcouru le bas des reins, puis une petite envie de masturbation me monta à la tête, mais pas sous la douche... Une fois fini, je retourne dans ma chambre, et je vois Bény...
_Et ba’h qu’est ce que tu fais là ? Ah oui... le ciné, et bien il est ou l’autre ?
Je m’approchais des escaliers pour jeter un rapide coup d’œil au rez-de-chaussée pour essayer de voir ou était Topeur. Finalement pas besoin, il dormait sur les premières marches de l’escalier. Une fois dans ma chambre l’envie d’un petit plaisir personnel m’est revenu, je m’installe sur le fauteuil devant mon ordinateur, et je cherche quelque chose à regarder qui pourrait m’exciter un peu, mais comme je suis vraiment une fille difficile, il me faudrait probablement une bonne heure avant de trouver un truc intéressant, alors je cherche...
Un bruit de porte qui s’ouvre me fit sursauter ! Mon regard se jeta sur ma porte de chambre, et c’était Bény qui venait d’entrer.
_Et ba’h mon vieux, tu m’as fais peur...
Il se dirigea vers moi tout guilleret, pendant que je faisais pivoter mon fauteuil. Puis je me penche vers lui pour lui faire une caresse, quand, ni une ni deux il sauta la truffe en avant dans mon entrejambe.
_Woh !! Mais c ’est pas possible ça !
Je le repousse en me levant, et me dirige vers mon lit, un peu énervée, mais finalement, le déclic se produira, car je me suis retournée, j’avais envie ce soir là.
_Bon tu peux bien me lécher un peu, monte.
Et Bény monta sur le lit. Moi, je quittai mon bas de pyjama, j’étais à demi nue. Je m’installais sur mon lit presque comme la dernière fois, allongée, les épaules et ma tête juste relevées par mes oreillers, je repliais mes jambes, mes pieds étaient presque collés à mes fesses.
La honte et la peur, mêlées entre elles me faisaient bouillir, la fraîcheur de mes cheveux encore humide contrastait avec ma peau fiévreuse. Mais je n’ai pas trop eu le temps d’y penser, car Bény se présentait déjà face à mon petit jardin, et il ne se fit pas prier pour s’atteler à la tâche. Sa petite langue ne cessait de faire des va et vient sur mes lèvres, par moment il s’attardait quelque seconde sur mon clitoris, je sentais le plaisir monter tout doucement. Je devenais de plus en plus chaude, je me sentais devenir humide, je me laissai aller... J’entendis de nouveau un bruit, la nervosité me fit penser au retour de mes parents, je regardais mon réveil, 22H30, impossible qu’ils soient rentrés, leur séance commençait seulement vers 22H15, alors qu’est ce que c’était ?
L’excitation m’empêchait de penser clairement, mais j’avais oublié une seule chose dans la maison, le deuxième chien Topeur. Il était là, dans ma chambre, depuis combien de temps ? Je ne savais pas. Il grattait près de ma poubelle de bureau, sans doute entrain de chercher une bêtise à faire. Bény que j’avais repoussé était revenu à la charge, ne perdant pas son objectif. Mais le stresse m’avait fait redescendre, et la seule chose que je voulais était de remonter au plus vite !
Me masturber en même temps que Bény me lèche aurait pu le gêner, alors comment ? Et bien vous l’avez deviné, j’ai appelé le second chien.
_Topeur ! Vient mon chien !
Il vint presque instantanément, et se retrouva vite aux côtés de Bény. Il marqua un petit temps d’arrêt, avant de se précipiter entre mes jambes, que j’écartais un peu plus, pour qu’ils aient suffisamment de place . ( dit comme ça, on dirait que j’avais fait ça toute ma vie, mais mes gestes étaient empreints d’hésitation, de honte, plus que pour ma première fois.)
Deux chiens me léchaient en même temps, DEUX CHIENS, je n’arrêtais pas d’y penser pendant que leurs langues me parcouraient. Des petits électrochocs de désir me parsemaient, par moment des petits chatouillements lorsque qu’une langue dérivait sur mes cuisses ou mes fesses. Je ne sais pas lequel, mais l’un s’attarda sur mon anus, ce qui n’était pas pour me déplaire. Mon corps bouillait, mon esprit s’égarait, avec mes mains je caressais mes seins et mes tétons qui étaient plus dur que jamais. Je criais à en oublier ou j’étais, mon orgasme arriva comme une tornade, pour s’évanouir après quelques secondes intenses. Mais les deux autres ne s’arrêtaient pas...
_Et bien vous lâchez jamais l’affaire tout les deux. Oh doucement !
Bény commençait des mouvements de bassins, son petit bout rouge était de sorti.
_C’est pas vrai ça ! Encore excité !
Mais forcément car il n’avait pas vraiment eu ce qu’il voulait. Je regardais l’heure, 50, un peu plus de 15min pour me faire jouir. J’avais encore du temps devant moi. Je voulais plus, et il pouvait me donner plus.
Je décidais de le tirer un peu vers moi, mais je ne savais pas vraiment comment m’y prendre. Lui continuait de s’agiter, Topeur restait assit à côté.
Il s’activait de plus en plus, sont pénis était sorti de quelques centimètre. Je le sentais se frotter contre mes lèvres, et parfois dériver complètement sur le côté pour buter contre ma jambe. Des petits jets partaient dans tous les sens. J’enlevai mon haut de pyjama pour ne pas le salir plus. Puis après presque 1 minute d’effort, il trouva les clefs de mon jardin, il entra une première fois, mais ressorti aussitôt, sans doute pour mieux se replacer. Puis il entra de nouveau, je jouis pour la seconde fois, et il ne ressorti plus. Il me pilonnait avec toutes ses forces, je sentais les va et vient à l’intérieur de moi. Des jets chauds me lubrifiaient, sa bite pourtant pas si grande, allait chercher mon désir de plus en plus profondément. Mon désir prenait le pas sur mes doutes.
Le pilonnage ne dura pas longtemps, mais sur la fin, je sentis comme une boule rentrer en moi avec son pénis, puis il s’arrêta.
_Euh qu’est ce que tu fais, ça va pas ? Oh putain !
Un long jet brûlant venait de me perforer, puis un second, s’en suivit de nombreux autre pendant quelques instants.
_Tu éjacules mon cochon !
Nous étions liés par cette boule, il me remplissait. Des gouttes de sueurs perlaient le long de mes jambe, je me pinçait les tétons plus fort, et me mordillait les lèvres d’excitation. Je sentais son pénis s’élargir un peu en moi(J’appris plus tard la signification de cette boule, du nœud pour être exacte.). Lorsqu’il eut fini de me remplir, il commença à s’agiter de nouveau.
_Tu veux recommencer, t’as aimé ça pas vrai ?
J’avais tort. Il commença à tirer pour se sortir de notre étreinte, je ne comprenais pas ce qu’il faisait, lorsque je compris, sa bite sortie de moi dans un léger bruit de sucions. Le sperme coula de ma petite fente. Bény s’allongea sur le bord de mon lit, sa bite rougeoyante et gonflée devait bien faire une dizaine de centimètre, je voulais encore y goûter... mais avec ma bouche, je voulais savoir son véritable goût.
Je m’allongeais sur le ventre, la tête juste au niveau de bény et de sa queue rouge. Son sperme continuait de s’écouler de mon entrejambe pendant que j’approchais ma bouche pour le sucer. J’attrapais sa bite avec ma main, puis je déposais un baisé sur le haut. Il continuait de balancer ses jets de sperme, j’en reçus sur les joues et les lèvres. Avec ma langue je commençais à parcourir sa verge, je bavais un peu, et enfin la prenais à pleine bouche. J’adore le fait de sucer quelque chose de chaud. J’avalais sans difficulté jusqu’à son nœud, j’aurais lui aussi pu le mettre sans problème, mais je n’avais pas trop envie de lui faire une gorge profonde. Le sucer calmement me suffisait amplement.
C’est à ce moment que Topeur, l’oublié, choisit enfin de participer, je le senti poser ses pattes sur mes fesses, et tenter de me pénétrer. Il tâtait pour trouver son chemin, il y était presque, je le voulais lui aussi en moi, je me relâchais pour lui faciliter l’accès, mais il faillit me sodomiser, sa queue entra par le mauvais chemin, mais ressorti si vite que je n’ai pas eu le temps de me retourner. La peur de me faire sodomiser m’avait fait avaler le sperme de Bény qui commençait à s’accumuler dans ma bouche. Un peu amère.Le second coup de boutoir fût le bon pour Topeur, qui me pénétra sans vergogne, comme si j’étais une chienne qui attendait son tour, comme un simple trou et il me pilonna lui aussi pendant que je suçais Bény.
Le pénis de Bény rapetissait, et je me mettais à haleté de plus en plus fort pendant que je sentais celui de Topeur qui grandissait en moi. Je jouissais de nouveau. Je lassais tomber ma fellation, pour me concentrer pleinement sur Topeur, sa boule tapait et élargissait mes lèvres, mais n’entra pas en moi. Il me remplit quand même de jets brûlant, je jouis de nouveau, j’avais chaud, ma tête était dans le vague, et il se retira. Je vis Bény se relever, et se diriger vers mes fesses, je n’étais pas sur de vouloir me faire prendre de nouveau, se ne fût pas le cas, il me lécha l’entrejambe avec l’aide de Topeur, comme s’ils voulaient me nettoyer, puis Topeur vint me lécher le visage, je n’aimais pas trop cela, mais j’avais tellement joui, que je n’avais plus la force de résister.
Je me réveille, et machinalement regarde l’heure, minuit. Je ne sais pas combien de temps je me suis endormie, mais je savais que je devait vite me débarrasser de mes draps pleins de sperme, de sperme de chien.... Je me lève, et je sens du sperme encore, qui coule le long de mes jambes, j’en suis recouverte, je colle. Une nouvelle douche s’impose. Après avoir lancée une machine pour mes draps et m’être douchée, je me suis endormie comme une masse. Je n’entendis pas mon oncle et ma tante récupérer Bény et Topeur, ni mes parents aller se coucher.
Voilà comment c ’est passé ma « première fois » avec la gent canine (euh je viens de me marrer toute seule avec ce jeu de mots...), mais qui dit première dit seconde, donc ne vous inquiétez pas je vous narrerais mes autres aventures.
Comme pour la première fois, tous les commentaires sont bon à prendre, et mon adresse mail est toujours disponible.
See ya !
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