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Séjour au Canada

Chapitre unique

Hétéro
Je suis cuisinier et je travaille en saison l’été. L’hiver, je fais d’autres activités comme ramasser du bois, faire un peu de maçonnerie et partir en vacances.
Cet hiver 2011, je pars pendant quinze jours en voyage au Canada. Je fais mes réservations sur Internet avec une agence qui propose des séjours tout compris.
Me voilà donc à la mi-janvier en début d’après-midi à l’aéroport de Montréal. Une personne est présente à mon arrivée. Un homme avec un panneau indiquant mon nom ainsi que celui d’autres personnes. Je m’avance vers lui, on se salue. Il me souhaite la bienvenue et m’invite à le suivre pour rejoindre le groupe.
Nous faisons quelques mètres et me présente les autres personnes du groupe. Il y a trois couples et un homme seul. L’homme qui m’a accueilli est aussi notre chauffeur, Marcel. Il nous demande de prendre nos bagages et de le suivre jusqu’au car. Marcel nous informe que nous allons faire le trajet jusqu’à l’hôtel et ensuite nous pourrons faire ce que nous voulons pour notre première soirée à Montréal.
Vers dix-neuf heures, nous arrivons à l’hôtel. On nous donne nos clefs. À vingt heures, on se retrouve à la réception pour aller manger tous ensemble, histoire de faire connaissance. La soirée se passe bien, chacun explique ce qu’il ou elle fait dans la vie. Il y a une bonne entente.
Je remarque alors une femme qui fait partie du groupe. Elle se prénomme Dominique. Elle est avec son mari. Elle est pharmacienne. Elle est blonde avec quelques mèches brunes. Elle est âgée de 48 ans, 1m70 environ, une paire de seins assez volumineuse sous le pull, un cul rond et ferme. Nous échangeons des regards, des petits sourires, mais sans aller plus loin. Il faut dire que son mari ne la lâche pas.
Nous rentrons à l’hôtel pour notre première nuit sur le sol canadien.
Voilà maintenant une semaine que nous sommes arrivés. Les visites des sites touristiques s’enchaînent, parfois sous la neige ou sous un soleil éblouissant. Tout le monde semble détendu, même le mari de Dominique, Claude qui a pris quelques distances avec elle. Il lui arrive de la laisser seule sans être collé à elle. J’en profite alors pour faire plus ample connaissance avec Dominique.
Nous regagnons le bus et contrairement aux jours précédents, Dominique vient s’asseoir à côté de moi. Je me tourne dans sa direction. Il semble ne pas le remarquer ou alors faire comme si cela ne le dérange pas.
— Que va dire ton mari...? lui demandé-je.— Il ne dit rien...
Nous discutons de nos vies. Ils vivent dans le sud de la France. Pendant le trajet, elle se colle à moi. Elle me prend la main qu’elle tient dans les siennes. Elle caresse mes doigts. Puis elle pose ma main sur sa cuisse.
Nous continuons à discuter naturellement. Elle glisse ma main entre ses cuisses. Elle la tire si haut que mes doigts sont presque sur son sexe. Je sens que c’est chaud. Elle remue doucement ses cuisses l’une contre l’autre. Mes doigts sont maintenant sur son sexe à travers son pantalon. Elle les frotte, les serre.
J’entends sa respiration plus rapide, plus forte. Pour répondre à l’emprise de ma main entre ses cuisses, je remue les doigts. Je caresse son sexe en le frottant de plus en plus fort. C’est moelleux, j’arrive à sentir les lèvres de son sexe sous le tissu. Mes caresses deviennent plus intimes. Quand je pose fermement un doigt sur l’endroit où je pense se trouver le clitoris, elle serre fortement ses cuisses sur ma main.
Elle pousse un petit gémissement en posant sa tête sur l’appui-tête. Après plusieurs minutes, je sens l’emprise sur ma main se relâcher. Elle ouvre légèrement les yeux, me sourit et articule un merci en silence. Elle se tourne et rejoint son mari en discussion avec l’autre couple.
Nous arrivons à l’hôtel. Chacun prend sa clef. On se retrouve le soir pour dîner. Après le repas, je sors pour admirer la vallée en contrebas et toutes les villes alentour illuminées. Dominique me rejoint pour fumer une cigarette.
— Je voulais te remercier... dit-elle en recrachant la fumée.— Merci pour quoi...?
Elle tourne la tête vers moi.
— Merci pour ce qui s’est passé dans le bus tout à l’heure.— Ah... de rien.
Nous rentrons ensemble dans l’hôtel. Nous marchons dans le couloir. Je m’arrête devant la porte de ma chambre. Elle me regarde ouvrir la porte. Nous restons un moment sans bouger, puis elle me fait un signe de la main en me souhaitant une bonne nuit. Je la laisse partir sans réagir.
Lorsqu’elle arrive au bout du couloir, elle se retourne. Je suis encore devant ma porte. J’entre en la laissant un peu ouverte. Je vais m’asseoir dans le fauteuil devant la fenêtre face à la porte. J’attends. Je vois la lumière du couloir s’éteindre, puis un léger grincement de la porte qui s’ouvre. J’ai le cœur qui bat si fort que j’ai l’impression qu’il va exploser.
Dominique passe la tête puis ouvre entièrement la porte. Elle jette un dernier regard par-dessus son épaule puis entre. Elle s’avance vers moi en enlevant son pull. Je suis ravi, mais aussi surpris de constater qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. Ses seins sont de la taille d’un pamplemousse, fermes avec de petits tétons. Tout en marchant, elle fait glisser son pantalon sous lequel elle ne porte rien.
Son sexe, totalement épilé, dévoile des lèvres fines. Elle s’assoit à califourchon sur mes genoux. Elle prend ma tête dans ses mains et m’embrasse avec fougue. Nos lèvres s’ouvrent, nos langues se cherchent, se mêlent. Nos mains se caressent, elle tire sur mon pull pour me l’enlever.
Elle se plaque contre moi, nos seins se touchent, se frottent. Je sens ses tétons durs contre les miens. Puis elle déboutonne mon pantalon. Je suis alors pris d’un moment de panique.
— Et ton mari... s’il arrive...— Ne t’inquiète pas pour lui... en ce moment il dort... et quand il dort, il dort, répond-elle en se levant pour que je puisse enlever mon pantalon.
Nous sommes nus l’un en face de l’autre, collés. Je l’entraîne vers le lit. Elle s’assoit sur le bord et finit par s’allonger. Je m’accroupis entre ses cuisses que je relève et écarte.
Son sexe est déjà mouillé. Il s’en dégage une forte odeur piquante et enivrante. Je plonge la tête vers ce fruit gorgé de jus. Je pose directement la bouche sur ses lèvres gonflées.
— Huuummm... fait-elle en gémissant.
J’enfonce ma langue dans son sexe. Je tète le clitoris, l’aspire, le fais tourner avec la langue. Elle gémit encore plus fort. Elle attrape ses jambes pour les maintenir ouvertes. Je glisse mes doigts dans sa fente humide. Ils sont comme aspirés. Je les remue à l’intérieur, les fais tourner.
Dominique bouge la tête de droite à gauche, sa respiration s’accélère. Son bassin remue au rythme de mes doigts dans son sexe. Elle le projette en avant sur ma main. Elle pousse un cri lorsqu’elle explose en jouissant. Mes doigts sont couverts de sa liqueur intime.
Il lui faut quelques secondes pour reprendre son souffle. Elle m’attire contre elle pour m’embrasser. Je suis allongé sur le lit, elle monte sur moi. J’ai ses seins sous les yeux. Elle les bouge sur mes lèvres, frôle les tétons sur ma bouche. Je sors la langue pour les lécher. Je sens sa main qui me caresse la bite dure depuis tout à l’heure.
Elle frotte le gland avec ses doigts couverts de ses sécrétions. Elle le décalotte, joue avec le frein puis le dirige vers son sexe. Elle le frotte sur ses lèvres intimes. C’est chaud, doux. Dans un mouvement rapide du bassin et sans que je m’y attende, elle s’empale sur ma bite jusqu’à la garde. Je suis entier en elle. Nous lâchons un cri presque en même temps.
Elle a les bras posés au-dessus de ma tête. J’ai les mains sur ses hanches. Je commence à bouger en elle. Je remue le bassin en tournant puis de haut en bas, de plus en plus fort et vite. Mes couilles viennent frapper ses fesses. Nos bouches se collent pour étouffer les cris de chacun. Elle souffle fort, je gémis de plaisir. Elle s’écrase sur mon sexe chaque fois que je m’enfonce en elle. La cadence est rapide.
Elle ralentit le rythme pour s’allonger à côté de moi. Elle m’invite entre ses cuisses. Je plie ses genoux pour les remonter sur sa poitrine. Son sexe s’ouvre. Je glisse plusieurs doigts et commence un rapide va-et-vient. Il se passe alors une chose que je n’avais jamais encore vue, plusieurs jets d’un liquide clair sont sortis de son sexe.
Son corps se met à trembler, se raidit. Elle souffle fort, elle a même un rire nerveux. Elle se détend sur le lit.
— Tu vas me tuer... dit-elle après plusieurs secondes.
Je lui demande alors ce qui s’est passé. Elle m’explique un peu gênée que lorsqu’elle a un orgasme violent, un liquide est expulsé de son corps. Elle fait partie de ses femmes que l’on appelle les femmes fontaines.
Elle me prend dans ses bras et m’embrasse sur le visage d’abord, puis descend sur ma poitrine, mon ventre. Je sens mon sexe durcir. Elle pose enfin ses lèvres sur le gland qu’elle avale, lèche. Elle enfonce ensuite ma queue au fond de sa bouche. Sa langue est chaude, douce, elle tourne sur mon gland, glisse jusqu’aux couilles qu’elle gobe. Comme précédemment, elle s’allonge sur le dos et m’attire entre ses cuisses. Je pointe ma bite contre son sexe et dans un violent coup de reins je m’enfonce en elle.
Elle lâche un cri de surprise, mais aussi de plaisir. Je commence de rapides va-et-vient dans son intimité. Mes coups de reins sont puissants. Je glisse une main entre nos deux corps pour venir titiller son clitoris gonflé, dur, sensible. Elle serre ses jambes autour de ma taille.
Nous restons ainsi pendant plusieurs minutes. Je sens son corps se tendre, les muscles de son sexe de contracter sur le mien. De mon côté, des picotements remontent dans mon sexe. Mes couilles se contactent, mon jus monte dans ma bite et j’explose en m’enfonçant le plus loin possible en elle. Nous jouissons presque en même temps. Je m’effondre sur elle.
Nos corps sont moites, couverts de sueur. Il nous faut plusieurs minutes pour nous calmer et retrouver une respiration normale.
Trente minutes plus tard, Dominique retourne dans sa chambre.
Avant de sortir, je lui demande encore une fois si son mari ne va rien dire. Elle se retourne avant de me dire :
— Ne t’inquiète pas... il est au courant...
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