Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 35 J'aime
  • 1 Commentaire

Séjour à DINARD

Chapitre 1

Divers
Plusieurs fois dans l’année nous partons quelques jours, à quelques heures de route de chez nous. Karine ma compagne depuis quelques années se charge de trouver un hôtel agréable, mais se réserve de m’en dire plus. Le samedi matin nous prenons la route à bord de notre Aston Martin rapide, la journée s’annonce belle, soleil, destination et ma jolie femme à mes côtés : la quarantaine, brune, les cheveux mi-longs, de belles formes. Pour l’occasion Karine est vêtue d’une jupe courte bleue et d’un chemisier blanc. Assise ses jambes se découvrent très haut, à la limite de son entrejambe, juste un petit peu... et sous vêtement apparaît.
— Notre destination du jour est DINARD, jolie ville avec sa croisette, son chemin côtier et en ce mois de mai, calme.
A DINARD Karine me guide jusqu’à l’hôtel.
— Nous arrivons chéri
Un établissement 5 étoiles, façade en pierres de taille, un parking privé permet de se garer devant. Le personnel vient chercher nos bagages et nous conduit à la chambre, belle vue sur la mer en face SAINT MALO. Un petit balcon permet de profiter encore mieux de la vue avec une vue plongeante sur la croisette tout en bas.L’après-midi est consacré à faire les boutiques, à la recherche d’une tenue de soirée pour Madame.En fin d’après-midi Karine se prépare dans la salle de bain : cheveux en chignon, robe noire longue fendue sur le côté, string noir, sans soutien-gorge. Au restaurant, le chef de salle nous place un peu en retrait dans un coin de la pièce (demande préalable de Madame, à la réservation). Choix du menu langoustines royal, bar en croûte et gâteau chocolat.
— Tu es particulièrement délicieuse dans ce cadre— Hum, je me sens féline (sous-entendre chaude)
Souvent nous nous amusons à trouver des scénarios érotiques, après le plat de résistance je me rends aux WC.En sortant des WC hommes, j’ouvre la porte des WC femmes, une pièce couverte de carrelage noir, lavabos blancs à gauche et trois autres portes à droite.Pendant mon absence, Monsieur TIO le directeur de l’hôtel se présente à ma femme et lui glisse dans l’oreille : « votre corps appelle les caresses »
— Monsieur vos propos sont déplacés
Mr TIO s’en va vers une autre table, est-il à la recherche d’une femme pour un soir ou un compliment malheureux ? De retour à table ma compagne ne rapporte ces faits ;

— Et réellement comment te sens-tu ?— Si cette phrase venait de toi, elle me comblerait, mais cet homme m’est antipathique
A ce moment-là le dessert arrive, un gâteau au caramel avec deux biscuits flûte en chocolat.
— Chérie commençons notre jeu— Oui dis-moi— Enlève ton string ici
Karine me regarde tendrement, elle aime ces instants de forte complicité. La table est couverte d’une longue nappe, et le fait d’être dans un coin de la pièce protège des regards. Elle regarde brièvement la salle, soulève sa fesse droite, glisse sa main sous jupe pour glisser le string le long de ses jambes tant tôt à droite puis à gauche. Après plusieurs gestes, elle remonte son poing fermé
— Voilà il est là— Maintenant prend un biscuit au chocolat, mets-le au milieu du string— C’est fait— Va maintenant aux toilettes pour femmes et entre dans le dernier box au fond et commence à te frotter la chatte avec ce gâteau— Coquin, je t’attends
Karine se lève, traverse le restaurant avec ce biscuit débordant légèrement de sa main Je patiente quatre minutes, j’aime ces instants où la tension monte, je sais que le plaisir est au bout. Je pousse la porte des WC femmes, me dirige sans détour vers le fond des toilettes, la porte est entrouverte, je l’ouvre doucement Karine est assisse sur le bord des WC, la jupe rabattue sur le côté, les jambes très écartées. Son con est complètement maculé de chocolat. Elle me sourit. Mes lèvres longent ses jambes jusqu’à arriver à son entrejambe, je plonge ma langue dans ses chairs. Après avoir bien nettoyé son sexe du chocolat, je lui demande :
— Lève-toi maintenant et pose tes mains sur le mur.— Je soulève sa robe, défais mon pantalon et enfonce mon sexe dans le sien. Chaude, nos sexes s’unissent, au bout de quelques instants la porte principale des WC s’ouvre, d’un pied je pousse complètement la porte pour la fermer, je stoppe mes mouvements de va-et-vient. Doucement j’entrebâille la porte, une jeune fille se lave les mains.— A l’oreille de - une jolie blonde. A présent elle ajuste des bas sur son porte-jarretelles, elle remonte très haut sa jupe— Collé à Karine j’en profite pour prendre ses seins en mains, en forme de poire. A travers le tissu, ses mamelons sont durs. Un grand coup de pine et un gémissement s’échappe de sa bouche. Je regarde à l’extérieur, la blonde n’a rien entendu, le bruit de l’eau. Puis je continue de lents allers retours, jusqu’à entendre la porte des WC s’ouvrir. Enfin nous pouvons finir notre coït.— Ce matin Karine est encore endormie, une idée me trotte dans la tête, et si je faisais des photos de nu de ma chérie. Je prends mon smartphone, zut la carte mémoire est restée dans la voiture. Je quitte la chambre pour aller à la voiture garée au sous-sol. Avant d’entrer dans la chambre je mets mon téléphone en mode caméra on et le glisse dans la poche de ma chemise. L’objectif de la caméra déborde de poche et filme donc sans que l’on s’en aperçoive. Je pousse la porte, dans un premier temps, je vois ma chère allongée sur le lit, vêtue d’un déshabillé blanc serré à la ceinture. Ensuite m’apparaît Monsieur TIO.— Assis à l’extérieur sur la terrasse, il regarde ma femme. En m’avançant encore, deux hommes de la sécurité, très corpulents, se tiennent sur le côté du lit. L’un d’eux me toise :— Nous vous attendions, vous femme a manqué de respects à notre directeur, hier soir. Monsieur TIO nous charge d’une mission la faire jouir devant lui.
J’en reste bloqué, dois-je partir chercher du secours ou rester pour la défendre en cas de viol.
— Cet homme est fou, je me suis excusée mais il ne veut rien entendre, me dit-elle
Monsieur TIO fait un geste de la tête, l’un des hommes sort de sa poche une matraque télescopique, la déploie. Il ouvre le vêtement de Karine, en découvrant ses seins et lui ordonne : « tourne-toi vers Monsieur TIO qu’il voit ton entrejambe et ouvre ton déshabillé. »Karine me regarde et défait sa ceinture. Son corps apparaît, nu, l’homme vient sur le devant du lit, de son objet il soupèse chaque sein, triture, agace les mamelons de longues minutes.
— Monsieur TIO je regrette encore mes mots
Monsieur TIO secoue la tête, l’homme de main sort de sa poche un doigt vibreur petit modèle de 2,5 centimètres et 7 centimètres de long et le place sur sa matraque côté fin, et se dirige vers la chatte de Karine. Karine me regarde à nouveau dans un mélange de peur, je m’approche de son visage, l’embrasse doucement pour la rassurer. Le doigt s’empare du sexe de Karine, un léger bruit indique qu’il vibre. A distance l’homme passe et repasse sur ses lèvres complètement ouvertes. L’autre homme a ouvert sa braguette et sort son sexe à demi en érection. Déjà un beau membre pas très long mais d’un gros diamètre, en forme de champignon, au bout de quelques secondes il prend sa forme définitive. La scène qui se déroule devant lui est de nature à stimuler ses sens. Moi-même, je ne puis empêcher un début d’érection, tant cette vision de ce corps torturé, est belle. Karine malgré son envie d’en finir vite et donner satisfaction à Monsieur TIO, lutte contre les caresses mécaniques, mais ne peut s’empêcher de gémir de plus en plus.L’homme masturbateur s’arrête, enlève le doigt vibreur :
— Mr à présent, caressez votre femme avec cet objet (doigt) et faites-lui entendre raison, qu’elle jouisse— Chérie Monsieur TIO veut voir ton orgasme, ensuite ton cauchemar se termine. Je vais te frotter les seins avec ce doigt, concentre-toi sur ce plaisir— Maintenant la matraque change de bout, cette fois un diamètre de plus de 5 centimètres, se présente à l’entrée du vagin de ma tendre. Assis au pied du lit, l’homme sans relâche effectue des va-et-vient. De mon côté, je stimule les mamelons de Karine, des cercles de plus en plus concentriques, puis à plat sur le mamelon. Karine ferme les yeux et se laisse aller l’orgasme, elle explose vaincue par cette double stimulation. A son tour l’homme gicle sur les jambes de ma femme. Monsieur TIO satisfait, se lève et quitte la chambre avec ses deux mecs. Ouf, je réconforte Karine quelques minutes, et écourtons notre séjour. Nous quittons au plus vite l’hôtel sans payer, en partant directement à notre voiture en passant par l’issue de secours.— Le lundi se passe doucement Karine parle peu, je visionne la vidéo de la scène dans la chambre. Pas très brillant, les images sont coupées, saccadées, mais on distingue le déroulement et les acteurs.— Le mardi matin, Karine arrive au petit-déjeuner en caraco blanc et shorty rouge— Chérie je dois t’avouer que j’étais sorti de la chambre dimanche matin pour aller chercher la carte mémoire de mon tél. Je voulais réaliser un film de ton réveil, te dénuder au fur et à mesure. Quand je suis entré dans la chambre la caméra de mon smartphone fonctionnait. Il était dans la poche de ma chemise et l’objectif dépassait de la poche, j’ai donc tout filmé— Long silence de - je ne comprends pas comment j’ai pu avoir un orgasme devant cet homme. Je voudrais voir la fin de la vidéo, là où j’explose dans tes bras
.Je transfère la vidéo sur l’écran TV, Karine s’assoie sur un des fauteuils, je me positionne derrière elle pour la soutenir. Mes mains sont posées sur ses épaules, son dos contre mon torse. La scène défile à nouveau, Karine me prend les mains, les serre de plus en plus surtout au moment où je la caresse avec l’objet sur ses seins... les images défilent, jusqu’à l’orgasme.
— Remets les images plus en arrière
Karine prend mes deux mains les glissent le long de ses cuisses, jusque sous son shorty. Sa chatte est complètement humide
— Fais-moi jouir mon amour
Mon index fait rouler son clitoris lentement, de façon appuyer, tandis que de l’autre main deux doigts pénètrent sa chatte. Comment peut-elle être excitée après avoir été violée par cet homme ? Ses halètements couvrent à présent le film, qu’elle est belle dans cette posture, ses hanches viennent à la rencontre de mes doigts gluants de ses sécrétions. A l’écran l’homme au pénis champignon
— Hum qu’il est gros, enfonce-moi tous tes doigts dans mon con.
Je viens devant elle, de deux doigts, j’essaye d’entrer les cinq, au début ils me progressent que de quelques centimètres jusqu’à la paume. Son corps se crispe, elle se délecte cette pénétration, ses muscles se contractent sur ma main. Maintenant ma main arrive à entrer d’une dizaine de cm, elle halète de plus en plus fort. Puis son corps se tord de... jouissance, elle m’embrasse, long silence
— Je ne sais pas ce qui se passe, cet ensemble de choses, être exhibée, la présence d’inconnus, ce climat de peur, ce sexe d’homme énorme, et toi mon amour qui me touchait. Je sentais quelqu’un d’autre, mais au fil des minutes mon corps voulait être apaisé par des caresses.
Et pourquoi ne pas profiter de cet incident, qui n’a pas été si désagréable que cela pour Karine, pour donner à Monsieur TIO une bonne leçon de savoir-vivre. Je sélectionne donc quelques passages de la vidéo où apparaît sa trombine, et j’en fais un montage. Je vais sur le site de l’hôtel, envoie un message à MT.« Cher Monsieur TIO, vos manières nous ont fort déplu. De plus vos agissements sont répréhensibles, la vidéo ci-jointe est claire. Nous exigeons 50 000 € sous 48 heures au titre de dommages et intérêts par virement bancaire et une compensation charnelle pour nous deux, à définir « Pièces jointes : vidéo + relevé bancaire »
Dans la soirée, je parle à Karine de mon petit chantage. Elle approuve et nos pensées se lancent dans le choix de cette compensation charnelle.
À suivre...
Diffuse en direct !
Regarder son live