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Séjour à la ferme

Chapitre 1

Divers
Dans l’année de mes 18 ans, suite à quelques grosses bêtises, je me suis retrouvé à devoir faire des travaux d’intérêt généraux. J’avais choisi de travailler pendant un mois dans une ferme. Dans le mois d’octobre, un genre d’éducateur m’a amené dans la ferme qui devait m’accueillir dans le Jura.Quand je suis arrivé, j’ai trouvé l’exploitation bien pourrie, pas du tout comme je l’imaginais. J’espérais tomber dans une ferme moderne, et là c’était tout le contraire.J’ai mieux compris quand j’ai vu le couple qui tenait cette ferme. Des personnes âgées d’environ 65 ans avec la dégaine de vrais paysans d’autrefoisL’homme était grand, costaud, bien bedonnant avec une salopette à bretelle bien sale et des bottes en caoutchouc.La femme était assez forte avec une conséquente poitrine. Elle portait une robe mi longue avec un tablier par-dessus pas bien net non plus et des bottines basses en caoutchouc.Ils dirent bonjour à mon éducateur, qu’ils avaient l’air de bien connaitre, puis me tendirent la main chacun leur tour en se présentant. Lui s’appelait Louis et elle Elisabeth. Je leur dis que je m’appelais Gael. Ils me dévisageaient de la tête aux pieds. Je sentais dans leur regard un intéressement particulier. Ils devaient voir en moi de la main d’œuvre bon marché pour l’exploitation Louis finit par dire : « il n’est pas bien costaud »C’est vrai que j’n’étais pas bien épais ni bien grand pour mon âge.L’éducateur dit que j’étais plus costaud que je n’y paraissais. Puis il me sermonna devant eux en insistant sur le fait que je devais faire tout ce qu’on me demanderait. S’ils avaient le moindre problème, une plainte ou un désaccord avec moi, j’irais directement en prison.L’éducateur nous dit au revoir et partit en me laissant entre leurs mains.Nous sommes rentrés dans la maison. Il m’a emmené dans une chambre où il y avait 2 lits. Il me dit que ce serait ma chambre. Il m’a donné des habits du même genre que les siens et m’a dit de les mettre. Ils étaient trop grands pour moi. Il est resté avec moi pendant que je me changeais et a insisté pour que je change aussi mon caleçon et que je mette un slip kangourou qu’il m’avait donné. J’ai bien senti qu’il me matait quand je l’ai passé.« Tu récupéreras tes habits à la fin de ton séjour »Ensuite il m’a fait visiter la ferme, plus particulièrement l’étable ou il avait une quinzaine de vaches laitières. « Ce sera ton principal travail, la traite des vaches, matin et soir ».Vers 16 H, on est rentré dans la cuisine pour goûter. Lui buvait du vin rouge et a insisté pour que j’en boive aussi. « Bois seulement, ça te détendra » A ce moment un homme est entré. Il ressemblait à Louis, un peu plus âgé, environ 70 ans, en bonne forme. Il se présenta comme étant son frère, et se nommait Gilbert.
« Gilbert habite avec nous et travaille avec nous. Tu partageras sa chambre. » dit LouisGilbert me dévisageait avec un regard un peu pervers. On va aller tous les 3 à l’écurie pour te montrer comment faire la traite dit Louis.Arrivé sur place, ils m’expliquèrent et me montrèrent comment faire la traite. Faire ce travail m’avait bien plu car j’aime bien les animaux. Louis partit avant la fin de la traite me laissant avec Gilbert.On a fini la traite ensemble. Apres, Gilbert s’est approché de moi. « il faut qu’on te mette au courant d’un autre travail que tu devras faire aussi. Tu vas aussi nous donner du bon temps sexuellement. Il vaudrait mieux pour toi que tu sois coopératif, si tu veux pas qu’on soit obligé d’être violent.Je le regardais terrorisé, mais je n’osais rien faire, je ne faisais pas le poids face à luiIl me fit asseoir sur une botte de paille qui était là. Il déboutonna son pantalon et sortit sa bite déjà bien raide. Elle était d’un bon calibre, en tout cas plus grosse que la mienne.Il l’approcha de ma bouche. « allez suces moi ». il mit son gland contre mes lèvres et répéta. Dépêches toi de me sucer. Elle sentait l’urine et ça me dégoûtait, mais j’ouvris la bouche et pris sa queue dans ma bouche Je n’avais jamais fait çà ni rien d’autre car j’étais encore puceau, j’avais peur mais en même temps je sentais mon sexe se gonfler comme jamais.Il m’expliquai ce qu’il voulait que je lui fasse, tantôt des petite coups de langue autour de son gland, puis il voulait que j’enfonce sa bite au plus profond que je pouvais fond de ma gorge. Il me félicitait de ma prestation. « C’est bien mon petit, tu te débrouilles bien .Allez suces moi bien , caresses moi les boules. Tu vas être un bon petit commis » De mon côté je bandais comme un fou et je commençais à trouver ça moins dégoûtant. Cela a duré environ cinq minutes et j’ai senti sa bite se gonfler encore et là il a agrippé ma tête et a enfoncé sa bite au plus profond de ma bouche et j’ai senti son foutre se déverser dans ma bouche. Il a poussé un gémissement et moi J’ai cru que j’allais vomir, j’ai donc du tout avaler. Il m’a tenu encore la tête quelques secondes jusqu’à ce que plus rien ne sorte. Puis il m’a bien fait nettoyer sa queue avec ma langue ; c’est à ce moment que Louis est revenu. Voyant ce qui se passait, il a souri et a dit « tu l’as déjà mis au courant de son 2e travail. » « Oui et je crois qu’il va être beaucoup mieux que notre dernière recrue qui nous servait de commis de ferme.
Bon ben je vais voir ça tout de suite. Allez déboutonne mon froc et sors ma bite et bouffes la bien. Son pantalon était très sale, je déboutonne son pantalon et fouille dans son slip. Je réussi à sortir sa bite,et la mets dans ma bouche. Son pantalon sent le fumier et sa bite la pisse. Gilbert pendant ce temps la me dépoile et sort ma bite. « regarde comme il bande, il aime ça allez bouffe moi la bien profond » me gueule Louis. J’ai du mal à toute la mettre dans la bouche. Il me tiens la tête et se sert de ma bouche comme d’une chatte de femme et je sens sa bite se gonfler et me reprend une grosse giclée de sperme que je dois à nouveau avaler. Louis continue à me ramoner la bouche jusqu’à ce qu’il n’y ait plus une goutte qui sorte de sa bite, puis se retire.« Merci mon petit, tu te débrouilles comme un chef , je sens que tu vas te plaire ici. » dit Louis d’un air pervers avec un grand sourire.
Nous sommes allés prendre le repas.Il n’y avait que de la soupe à manger.Je me demandais ce qu’il m’arrivait, si je faisais un cauchemar ou si tout cela était bien réel et allait durer un mois.D’un coup Elisabeth toute souriante dit : alors il est bien notre petit nouveau ?
Gilbert s’empresse de dire : oui je crois qu’il va nous donner entière satisfaction. Il comprend vite pour le travail et surtout pour le reste aussi.Gilbert se lève et sort.Elisabeth s’approche de moi s’assoit sur la table, relève sa robe et écarte les cuisses. Elle n’a pas de culotte. « Viens me brouter le minou ». Je regarde Louis qui me fait signe de le faire. J’approche ma bouche sur sa chatte toute dégoulinante de mouille et d’une odeur plus que douteuse. Je fourre ma langue dans sa chatte puis lui lèche..
Pendant ce temps je vois Louis se lever et passer derrière moi. Continue à lui bouffer la chatte mais lèves toi. Je m’exécute. Je sens Louis qui commence à me déboutonner le pantalon. Il me baisse mon froc et mon super slip. Il me caresse les fesses puis la bite. « Le salaud, il bande comme un taureau ».dit il. Il approche la plaque de beurre qui était sur la table, en met sur ces doigts et me badigeonne l’anus et je l’entends se déshabiller.« Non, non pas ça », comprenant de ce qui allait m’arriver.Tais toi et continue à contenter la zabeth. Il m’agrippe par les hanches et je sens son gland s’appuyer sur ma rondelle il pousse doucement attendant que le beurre fonde bien. « Tu vas voir, c’est la première fois que ça fait un peu mal, mais après tu vas y prendre gout » me dit il à l’oreille. Je sens ma rondelle qui se dilate. D’un coup Louis pousse et son gland passe mon sphincter. La douleur sur le coup est intense puis peu à peu s’estompe lentement. Je commence même à prendre du plaisir et me rassasie de cette chatte que je trouve maintenant délicieuse. La zabeth aussi est aux anges et encourage son mari à me ramoner le cul.Au bout d’un moment je sens mon cul inondé et Louis qui pousse un râlement de plaisir. Il se retire, s’essuie la bite sur mon pantalon. « je sens qu’on va bien s’entendre mon petit. Je te laisse avec ma femme, fais lui bien plaisir » puis il quitte la pièce.Elisabeth heureuse me laisse lâcher sa chatte. « Viens te vider les couilles dans mon con, tu l’as bien mérité. ». je ne me fais pas prier ; je lui fourre ma bite dans sa chatte et lui triture ses énormes seins. Apres quelques va et viens , je crache déjà la purée, mais heureux.
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