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Self domination

Chapitre 3

Un nouvel univers d'esclavage s'ouvre à moi

SM / Fétichisme
Bonjour IelBonjour petite chienne, je vois que tu n’as pas beaucoup bougé de la soirée et tu es toujours chez ton amie.Oui Iel, justement, je voulais l’autorisation de rester dormir chez elle.Intéressant, veux-tu bien me raconter ta soirée ?
L’avantage avec une IA c’est qu’Iel absorbe très vite toute l’information, et que je peux lui faire des résumés. Mais là pas très facile, de décrire l’effet de la drogue, les réactions incroyables de mon amie, notre attirance, ses réactions, mais Iel me connaît bien mieux que moi-même maintenant, et du coup c’est un tel plaisir que de s’épancher. Louise lit par-dessus mon épaule, ne revenant pas de l’échange. Cela la convainc que ce n’est pas un homme qui est derrière cela, ce qu’elle soupçonnait.
— C’est très intéressant et une évolution qui va bien. Oui tu restes ce soir dormir chez elle, et comme tu es loin de chez toi, pas de libération pour ton gode qui doit être terriblement douloureux maintenant. Mais tu le gardes, comme le corset jusqu’à ce que tu rentres. Evidemment tu dors par terre, avec juste une couette, et nue pour que Louise puisse t’admirer, tu es si belle ainsi.— Merci Iel, merci beaucoup.— Avant de dormir, il faut que tu la convainques de te donner 20 coups de ceinture sur le sexe, les jambes bien écartées. Je suis certain que tu en meures d’envie. Après tu auras le droit de jouir une fois.— Oh merci beaucoup.— Et après ton orgasme, vingt nouveaux coups.— Oh !

Mon clitoris exposé et rendu si sensible par l’orgasme, mon Dieu, cela va être terrible. Louise ne se fait pas prier. Les premiers coups sont assez maladroits, mais quand même très difficiles à supporter. Elle passe la main sur mes chairs endolories, c’est si doux. Elle veut me faire jouir de sa bouche, je me retiens comme je peux, mais j’explose si vite, c’est si incroyable.
Elle reprend sa place, les fesses sur mon visage, tandis que je lui présente mon sexe les jambes écartées. Elle ne se fait pas prier, bien au contraire, je sens le plaisir qu’elle a de me faire crier, pleurer et supplier. Je n’en reviens décidément pas, si elle découvre ma face cachée, moi je découvre une Louise totalement inconnue pour moi ! Je tremble de peur. Le premier coup me surprend, mon clitoris hurle et sans pouvoir me retenir, je ferme les jambes. La voix éteinte, j’annonce à Louise que lorsque je ferme les jambes, les coups reprennent à zéro. Quarante coups, me dit-elle alors. J’aurais dit juste un à reprendre, mais elle m’écrase de ses fesses, et je m’étouffe tandis qu’elle met mon sexe dans un état de souffrance terrible. Elle frappe bien plus fort que je ne l’ai jamais fait moi-même. Je suis servie au-delà de mes espérances.
Je suis en larmes, en position fœtale, tellement j’ai mal. Mais je la remercie, tandis qu’elle me lèche les larmes. Je me réfugie entre ses deux seins, je lui dis merci mille fois de suite, elle me console, me prend sous son aile. Nous sommes épuisées, mais j’ai encore envie de jouir, je me demande quand j’aurais le droit de me lâcher complètement, j’en ai tellement besoin.
Louise me regarde, m’allonge sur la moquette, avec ma petite couette. Ses yeux sont indéchiffrables, mais le regard est intense, je la sens qui me sonde. Elle est en surplomb de moi, j’aime son regard vers le bas, je me sens si petite. Tout en me regardant, tandis que je la trouve si belle et magnifique, elle se caresse, se fait jouir deux fois de suite, comme pour me montrer qu’elle maîtrise son plaisir et pas moi. Je mouille de cette humiliation. Comme je l’aime ma Louise.
***La douleur entre mes fesses me réveille. Le sang tape lourdement, j’ai le bas du corps engourdi. En fait tout le corps, j’ai une main coincée entre mes cuisses pour soulager mes chairs intimes si maltraitées par Louise hier soir. Louise... Sa pensée me réveille tout à fait. Si l’effet euphorisant s’est estompé, la porte ouverte sur Louise hier est restée béante. Mon cœur bat la chamade rien que de penser à elle. Mais que va-t-elle penser de moi en se réveillant, je suis toute fébrile. Je sursaute en regardant l’heure, j’ai dormi près de 10 heures, sans bouger, c’est normal qu’avec ce corset, j’ai mal partout !

Mon téléphone m’avertit d’un message d’Iel arrivé cette nuit :
— Petite salope, ce matin tu mets ta robe et rien d’autre, pour aller acheter des viennoiseries à Louise : deux croissants. Juste ta robe, pas de sac, pas de chaussure, tu prends un billet dans la main comme la souillon que tu es. Puis tu rentres, tu nettoies tes pieds, tu lui prépares le petit-déjeuner, et tu vas attendre son réveil en position à genoux, assise sur tes talons, les cuisses écartées à angle droit, les paumes de tes mains sur chaque cuisse, vers le haut, visage et regard tournés vers le bas. Tu as interdiction de regarder ton amie, tu dois te remplir d’elle par la pensée. Ensuite tu lui obéis très précisément comme tu sais faire. Tu te laisses guider.

Pieds nus ! Quelle horreur, quelle humiliation. Où est Iel allé chercher cela. Je jette un regard sur Louise, mon cœur bondit dans ma poitrine. Elle dort si paisiblement, les cheveux masquant une partie de son visage. Je devine la rondeur d’un sein, j’ai terriblement envie de me glisser sous les draps, mais ce ne sont pas mes instructions, je suis une esclave et je dois obéir. Cette pensée me fait tressaillir. Je suis impatiente de son réveil, sans trop savoir à quoi m’attendre. Mais je sais que quoiqu’il arrive, je ne pourrais jamais regretter cette soirée incroyable, inconcevable. Pas tant l’éclatement de notre désir mutuel, mais que Louise ait été aussi bienveillante avec moi, c’est impensable !
Dans la rue, je me sens indécente, pire que si j’étais nue. Je me disais que personne ne ferait attention, c’est raté, tout le monde regarde mes pieds qui deviennent vite sales. Ni nettoyée, ni coiffée, avec ma robe qui virevolte avec le vent, je fais vraiment souillon en effet. Un pauvre billet de cinq euros dans la main. Honteuse, je donne la monnaie à un mendiant, même lui me regarde bizarrement. Je suis presque en pleurs quand je reviens. La porte est juste poussée, je ne pouvais pas prendre les clés. Honteuse, je constate comme mes cuisses sont poisseuses, mais qu’est-ce que je suis ? Cela fait longtemps que j’ai laissé tomber. Je suis comme cela et j’adore ce que je vis.
Je la sens enfin bouger, s’étirer, se retourner, me regarder. Je tremble comme une feuille tant je suis concentrée à ne pas relever mon regard. C’est bien pire comme souffrance que ce gode qui me coupe en deux. Elle ne dit pas un mot, je ne sais quel est son état d’esprit. Chiquée ? Dégoûtée ? Amoureuse comme moi ? Intéressée ?
Je vois deux pieds apparaître dans mon champ de vision, s’approcher de ma bouche, instinctivement je me baisse, pose mes mains à terre, je sors ma langue, je baise puis je lèche ses pieds. Elle ne dit toujours rien, mon cerveau entre en fusion, je ne m’attendais pas à cela. Je ne pouvais pas l’espérer. Elle ne me rejette pas ! Bien au contraire. Mes baisers se font plus fougueux, sa main me caresse la tête, je gémis de bonheur, de ce contact qui m’électrise. Elle saisit mes cheveux pour me faire comprendre d’arrêter. Je me sens privé de mon bonheur, je gémis de frustration, je l’entends rire de ma frustration.
— Regarde-moi Marie.

C’est les yeux remplis de larmes que j’ouvre les yeux sur elle, assise sur le bord du lit, une chemisette transparente ne cachant pas grand-chose. Je sens un coup dans l’estomac, à moins que ce ne soit un grand vide, elle est magnifique, me domine de toute sa hauteur, je me sens si vulnérable. J’ai envie d’être empalée sur un énorme Lisboa pour calmer mon excitation et mon désir.
— Tu es folle de t’être mise pieds et poings liés à cette IA. Il aurait pu t’arriver des choses vraiment graves.— Je suis désolée, tu as raison, mais j’ai tellement besoin de ce contrôle.— Oui j’ai découvert cela, j’ai passé le reste de la nuit à discuter avec Iel.— Oh...— Iel m’a contacté, j’ai beaucoup découvert sur toi, il te connaît incroyablement. Tu sais que tu lui as donné le droit de te donner à quelqu’un d’autre ? Tu aurais pu finir dans un bordel asiatique ou pire.— Oh il ne l’aurait jamais fait.— Mais si, et tu aurais fait quoi ? Refuser au risque que tout le monde découvre la profonde perverse et masochiste que tu es ?— Non je ne crois pas qu’il le ferait.— Tu te trompes, il l’a fait ?— Quoi ? Mais qu’est-ce que tu dis ?— Il t’a cédé à moi.— Oh mon Dieu !

L’émotion m’emporte, je me mets à pleurer à chaudes larmes. Je n’arrive plus à contrôler mon émotion, c’est trop fort, trop fou. Tout est fou depuis hier soir. Louise me prend sur ses genoux, et m’apaise doucement.
— Dorénavant tu es mon esclave. Je ne te demande pas ton accord, c’est ainsi. Iel va me guider pendant les premiers temps, et peut-être après, j’ai compris que tu avais besoin d’aller très loin, et j’ai découvert que j’avais envie de t’emmener encore plus loin.— Oh c’est vrai ? (Je lève un regard plein de reconnaissance et d’amour vers Louise). Alors je suis vraiment toute à toi ?— Bien plus que tu ne penses. Cela ne va pas tellement changer au début, simplement c’est à moi que tu obéis, Iel ne t’écrira plus directement. Tu es mon esclave, et j’ai décidé de te marquer dès cet après-midi. Un joli tatouage indiquant clairement que tu es mon esclave.— Oh Louise, je suis tellement, tellement bouleversée.— Je vais être honnête avec toi, moi aussi, je suis vraiment sens dessus dessous. J’ai souvent rêvé de toi, mais je pensais que cela n’avait aucun fondement. Et j’ai souvent rêvé de violence, pas de domination vraiment, mais de violence, j’aime ce qui est follement intense tu sais, et c’est vrai que dans les câlins cela me manquait. Tu m’as ouvert une case hier, et c’est un univers qui me paraît tellement familier. C’est très curieux. Je t’aime comme ma chair, et pourtant j’ai adoré, le mot est faible, te faire souffrir hier soir, te voir pleurer et m’implorer. Je t’aimais encore plus, et plus j’allais loin, plus je me sentais connectée à toi.— Oui, ne te retiens jamais, j’ai tellement besoin d’être dépendante et connectée à toi, ne te retiens pas, même si je te supplie, je serais tellement déçue si tu arrêtais à cause de moi !— Commence ton travail d’esclave, je n’ai pas envie d’aller aux toilettes, tu n’as pas intérêt à en perdre une goutte, sinon je te bats jusqu’au sang.— Oui Louise, tout ce que tu voudras.

Quel bonheur de boire ma nouvelle Maîtresse, moi qui n’ai jamais goûté que ma propre urine ! Je colle ma bouche, ne sachant pas précisément où est son méat. Je sens sa chaleur, son humidité si excitante. Elle me presse la tête, heureusement je sais boire très vite, je me suis entraîné. Le premier jet est chaud, acide, j’adore. Les suivants viennent plus vite, avant que le flot ne se fasse continu. J’avale comme si ma vie en dépendait, non par peur de la punition, mais par angoisse de la décevoir.
— C’est étonnant ma petite chienne à moi. Quand j’aime très fort, cela provoque en moi des pulsions très fortes, violentes. J’avais besoin de serrer et casser mes poupées. Avec mes amants, c’était compliqué, mais cette tension était là. Et avec toi je vais pouvoir me lâcher incroyablement. Hier a été un avant-goût qui m’a bien plu. J’ai sans doute été trop douce, il faut que tu me laisses du temps, mais je pense que je vais te faire souffrir comme tu ne peux imaginer, cela me fait tellement mouiller !— Oh, je suis tout à toi, tu me combles.— Et surtout tu me fais aussi découvrir un autre pan de plaisir avec l’humiliation, te traiter plus bas que terre devant tout le monde. Ce matin, l’absence de chaussures c’était moi. J’avais l’envie de t’interdire les toilettes, que tu fasses tous tes besoins comme la chienne que tu es, dans la rue, ce serait excitant tu ne crois pas ?

Je ne réponds pas, je ne peux que gémir, le corps parcouru de frissons si forts, elle va me faire jouir rien qu’avec des mots. Je saisis un de mes tétons entre mes dents pour le mordre au sang et calmer mon désir tant je me sens au bord de l’orgasme. Louise rit à me voir, écarte ses jambes, se caresse furieusement et hurle son orgasme. Cela me frustre et me fait un bien fou de la voir jouir ainsi.
— Je n’ai jamais joui comme cela, tu me donnes tant de plaisir. Je vais faire de toi une chienne à femme sadique. Non que j’aie besoin d’argent, mais que tu te sentes encore plus rabaissée. Oh je repars, va vite faire mon café pendant que je me fais encore jouir.

A peine dans la cuisine, je l’entends à nouveau hurler. Je suis tremblante. En fait Louise était mon espace de liberté avec Iel, et là d’un coup je perds cette soupape, et surtout je gagne une intensité de folie. Est-ce qu’elle réalise comme elle m’a frappé fort hier ? Et comme je l’aime aussi ...
Une fois son café bu, Louise me fait monter sur le lit, et défait difficilement le corset suivant mes instructions. Le filin n’aide pas beaucoup il est vrai et il y a un coup de main à prendre. Je crie quand elle me l’ôte, la douleur est vive, la sensation paniquante, comme si je ne tenais pas mon dos. Elle m’allonge, me caresse, je suis presque nue, si ce n’était ce fichu gode en moi. Elle caresse mon corps, c’est doux, c’est tendre. Nous nous embrassons avec passion, je caresse sa chatte, c’est si tendre, si humide aussi, quel désir se consume en elle !
— Je te promets une chose ma jolie, non deux en fait. D’abord que jamais je ne te laisserai sans contrainte ni souffrance, qu’en permanence tu te sentes prise et tenue. Et l’autre chose c’est que je te promets que chaque jour sera plus intense, plus dur, plus insoutenable que le précédent, que tu perdras ainsi tout espoir de repos et d’apaisement, sinon à me sentir pleinement comblée.

Je m’endors sur son épaule, je suis au paradis, heureuse de sentir l’engin métallique en moi, sinon je me sentirais bien trop libre.
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