Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 59 J'aime
  • 2 Commentaires

Self domination

Chapitre 4

Je paie cher ma désobéissance à ma Propriétaire

SM / Fétichisme
Demain j’ai la soutenance de mon mémoire, la dernière étape pour mon diplôme. Bien entendu, il est moins important pour moi depuis quelques mois, puisque j’appartiens à Louise. Elle tient ses promesses et je suis sans cesse sous son contrôle, dans des situations où je suis toujours stimulée, je me sens comblée. Notre amour réciproque se renforce chaque jour et j’ai l’impression que plus Louise est attachée à moi, plus elle cherche à me faire souffrir, me contraindre et m’humilier de toutes les façons, en particulier en public. Elle s’amuse souvent à m’habiller en gamine, avec des tenues de marques de cet âge, ce qui excite encore plus les hommes au vu de mes formes généreuses pour un tel âge. Je n’ose lever la tête ainsi, me sentant tellement honteuse.
Nous fréquentons un bar lesbien, dans lequel nous nous sentons incroyablement bien. L’ambiance est apaisée, et si le sexe n’est souvent pas loin, rien à voir avec un club échangiste. Ici tout est permis, dans le respect de chacun. Je n’ai jamais droit qu’à un lait grenadine, et si tout le monde sait que je suis majeure, j’y suis traitée en petite fille. Et certaines clientes ont une vraie attirance pour moi et aiment descendre dans le back room pour que je les lèche longuement, souvent fascinée par la rangée impressionnante des anneaux de mon sexe, qui ont remplacé les fils pour me fermer hermétiquement. Cela fait si longtemps que je n’ai rien eu dans mon sexe ! C’est largement compensé par mon cul dont l’ouverture permanente m’excite prodigieusement.
Demain donc, c’est le dernier jour de ma scolarité, et je n’ai aucun plan pour la suite, m’en remettant à Louise pour tout cela !
— Ma chienne vient ici.— Oui Déesse.— Demain tu restes à la maison, je ne veux pas que tu ailles à ta soutenance.— Mais... ce n’est pas possible Maîtresse.— Ce n’est pas une question, c’est un ordre.— Mais si je n’y vais pas, je ne validerais pas mon Master, et je resterais avec une simple licence.— Je sais.— Mais pourquoi vous me demandez cela ?— Je te le demande, voilà tout, tu t’en remets complètement à moi n’est-ce pas ?— Oui Maîtresse, mais là, ce n’est pas possible, s’il vous plaît (les larmes me montent aux yeux, tout s’écroule, je ne peux renoncer comme cela à toutes ces études, je pense à mes parents comme ils seraient aussi effondrés)— Tu m’ennuies. C’est ainsi et ce n’est pas autrement.— Pitié, ce n’est qu’une journée, je serais toute à vous pour la vie ensuite.— Je le veux dès aujourd’hui.— Maîtresse...— Tu as le choix, si demain tu vas à ta soutenance, inutile de revenir ici.

Louise s’en va, me laisse complètement abattue et détruite. En quelques mots, elle a disloqué tout mon bonheur et mon équilibre. Était-ce ce qu’elle voulait ? Que je parte ? Elle n’a aucun besoin d’une preuve quelconque de mon abandon pourtant.
Je ne dors pas de la nuit, elle n’est pas rentrée. Au matin, je suis défaite, j’ai vraiment une sale tête. Je m’habille avec mon tailleur marine, sans instruction je glisse un gode imposant dans mon cul après avoir serré mon corset, c’est vraiment le minimum. Défaite, je vais à ma soutenance qui n’est qu’une formalité. C’est cela le pire. J’ai les félicitations du jury, je me force à sourire, je suis morte à l’intérieur. Je connais trop Louise pour savoir qu’elle ne reviendra pas sur sa décision.

Tu as pris ta décision, tu as repris ta liberté et je ne veux plus te voir.
Quelle violence, les larmes coulent, j’ai envie d’être battue pendant des heures. Je ne sais pas où aller, je n’ai rien pris, je n’ai pas d’amis et mes parents semblent satisfaits de ne plus me voir non plus. Quand je leur ai demandé de me loger quelque temps, j’ai reçu une fin de non-recevoir qui m’a choquée. Maintenant que je suis diplômée, je dois me débrouiller. Et moi qui culpabilisais, ils voulaient simplement se débarrasser de moi. Louise aussi. Je n’ai plus mon appartement, pas de revenus, pas de perspective. En quelques heures, mon bonheur s’est totalement écroulé. Et ce diplôme qui ne me sert à rien, je ne me vois pas prendre un job de juriste dans un cabinet d’avocat, ni de passer mon barreau. Et j’ai perdu Louise. Même Iel ne me répond plus.
J’échoue dans notre club lesbien, ne pensant à aucun autre endroit. Charlotte, la patronne, me voyant effondrée, vient m’accoucher. Je pleure de plus belle, elle me serre dans les bras, cela fait du bien. Elle me propose le gîte et le couvert, le temps de me retourner, en échange je m’occupe du bar quand elle en a besoin. Je lui suis tellement reconnaissante. Elle tique quand je lui explique que je n’ai pas besoin de matelas, mais sais bien que je suis étrange et ne cherche pas à comprendre. Elle m’explique les rudiments de l’exploitation du lieu, et m’envoie me coucher pour me remettre de toutes mes émotions.
J’ai tellement besoin d’avoir mal, et je n’ai rien de mes jouets préférés. J’attache une cordelette trouvée par terre autour de mes seins, aussi fort que je peux et je les relie à l’anneau de mon clitoris, lui aussi en extension terrible. Je suis courbée en position fœtale, les seins me tapent, le clitoris me déchire, cela m’apaise. Je m’endors comme un bébé. Je préfère ne penser à rien.
Les jours se passent, la souffrance ne fait que s’accroître. Mes messages à Louise restent sans réponse. Je lui dis toute ma dépendance, mon amour, mais aussi que j’ai eu tort, que je comprends ce qu’elle me demandait et que j’ai été idiote, que mes parents s’en moquent et que moi je n’ai rien à faire de ce diplôme. Je lui dis que je dois encore apprendre, et je rampe plus bas que terre, en vain. Je passe l’essentiel de mon temps au club, soulageant Charlotte qui en profite pour s’occuper un peu d’elle. J’aime cette ambiance, cela me fait du bien, mais ne calme en rien mes besoins si profonds.
— Marie ? (Charlotte m’appelle une fois que j’ai terminé de nettoyer le sous-sol du club, nous allons bientôt ouvrir)— Tout va bien ? (Je suis un peu inquiète de son ton grave)— Voilà, j’ai une amie qui aimerait beaucoup te recevoir pour une soirée toutes les deux.— Je reçois des demandes plusieurs fois par jour, tu sais ? Les clientes sont adorables, mais je n’ai ni le cœur ni l’envie (Charlotte sait que je ne suis pas lesbienne, je ne suis rien, juste l’esclave de Louise)— Ce n’est pas une cliente, elle ne peut se permettre de venir ici étant connue. Et non elle ne veut pas faire une soirée tendre avec toi et te consoler, mais voudrait te punir.— Me punir ? (Mon ventre tressaille, je coule instantanément). Mais comment sait-elle ?— Peu importe, c’est ce dont tu as besoin, tu n’arrêtes pas de me le dire, cela te fera du bien. Et je ne crois pas qu’elle te décevra. Et pour moi c’est important.

Que dire d’autre ? En fait j’ai surtout envie de faire plaisir à Charlotte, je lui dois tant. Un peu surprise que cela soit dès ce soir, une voiture vient me chercher à 19h, c’est le grand luxe ! Le poids dans mon estomac est toujours aussi lourd, mais mon esprit un peu dégagé, c’est drôle comme cette perspective me soulage. J’hésite à mettre un mot à Louise, mais je résiste, cela ferait trop manipulation et je veux rester pure pour elle.
La voiture est superbe, à son bruit, ou plutôt son absence de bruit, c’est une voiture de luxe. Je monte à l’avant à la surprise du chauffeur qui m’attendait à l’arrière. Je ne suis pas une star et je préfère converser avec lui. Ma robe est légère, je n’ai rien en dessous sinon mon corset et mon inséparable gode qui font partie de moi maintenant. Je m’empale dessus dans le moelleux du fauteuil, vidant mes poumons d’un coup. Il me reluque tout le trajet et, pour m’humilier, je relève ma robe révélant mes multiples anneaux, mon sexe fermé et mon ventre tout lisse. Je lui prends la main, la pose sur mon trésor, tandis que je caresse son sexe tout dur. Je me fais l’effet d’une salope, et je me sens libérée ce soir pour la première fois depuis longtemps. Depuis toujours, jamais je n’aurais fait une chose pareille. Je me penche et il jouit si vite dans ma bouche. Je lui souris, je suis heureuse de son plaisir.
L’hôtel qui nous accueille est un palace parisien sur une magnifique place pavée. Le portier est surpris que la voiture soit vide, et se reprend vite en me voyant descendre de l’avant. Il a assez de classe pour ne pas me détailler, et me conduit à l’ascenseur, sans me poser de question, avec une déférence qui est très agréable, et tout à fait déplacée ! L’étage où j’arrive est totalement silencieux, la moquette rouge très épaisse, les boiseries magnifiques. Je suis un employé qui me mène à une double porte qu’il ouvre, après avoir entendu l’ordre de rentrer.
La pièce est immense, peut-être deux fois la taille du club, avec du mobilier plutôt vieillot, cela sent l’argent à plein nez. Une femme est sur la terrasse en train de téléphoner, j’attends sagement, ne sachant pas trop ce qui est attendu de moi. Heureusement que c’est Charlotte qui a organisé cela, je repartirais sinon.
L’inconnue entre, toujours au téléphone. Elle est brune, des cheveux aux épaules, la soixantaine, mais en forme et énergique. Elle a un petit embonpoint et deux seins gigantesques, tels des obus, moulés par son pull. Ses tétons doivent descendre jusqu’à son nombril au moins. Elle est très classe dans une robe style Maryline en cuir noir, et des chaussures stiletto qui brillent. Je suis intimidée, je ne la connais pas, mais je sais qu’elle est riche, voire très riche. Charlotte m’a parlé d’une héritière. Déjà que je ne me sens pas grand-chose, mais là en plus elle me détaille comme un objet qu’on lui aurait livré. Et ce n’est pas loin de la vérité.
— Déshabille-toi.

Ce sont ses premiers mots quand elle raccroche. Je n’ai pas grand-chose à enlever, je mets les mains dans le dos spontanément. Elle fait le tour, mesure la tension de mon corset, passe une main au milieu des anneaux de mon sexe, vérifie sa fermeture très stricte, me fait pencher en avant pour observer mon gode. Elle me prend un sein à pleine main et me tire violemment vers un fauteuil dans lequel elle s’assoit, me forçant à me mettre à genoux entre ses cuisses. Une main me relève la tête, tandis que l’autre me gifle. Fort, très fort. Je ne fais rien pour me protéger, au contraire, je m’offre, essayant de ne même pas cligner des yeux.
Sous ses gifles, je me sens revivre, m’apaiser, m’effondrer enfin. Elle me traite de tous les noms de m’offrir ainsi, mais dans son excitation, je sens comme cela lui plaît. Je suis en pleurs, j’ai perdu le fil de mes pensées, mon visage est en feu, quand enfin elle s’arrête. Elle m’envoie dans la salle de bain, enlever mon attirail, elle me veut vierge et propre, je dois reprendre une douche. Je pars à 4 pattes, à sa grande satisfaction, elle est déjà au téléphone.
Une fois à genoux au milieu de cet immense espace, sur un tapis au moelleux incroyable, elle revient me chercher, me tirant par les cheveux, tandis que je la suis à 4 pattes sur la terrasse. Elle explique à son interlocutrice qu’elle emmène sa chienne sur la terrasse, et à une question, précise que je suis une pain slut et que je suis là pour la divertir, avant de rire d’une blague que je ne peux entendre. Je ne suis décidément pas grand-chose. Elle s’installe sur une chaise longue, et je comprends ce qu’elle attend de moi. Le temps est suspendu, je ne pense à rien, je suis juste à l’endroit que je mérite. L’air est doux, je me sens vide de toute contrainte, c’est une sensation étrange, comme si j’étais encore plus nue. La conversation s’est tue, elle me redresse durement.
— Alors que viens-tu faire ici ?— Je... je viens me faire punir Madame.— Tu es à la bonne adresse. Punir pour quoi ?— Parce que j’ai désobéi à ma Maîtresse Madame.— Effectivement, il n’y a rien de pire. Mais pourquoi elle ne te punit pas elle-même salope ?— Parce qu’elle ne veut plus entendre parler de moi.— Elle a raison, tu n’es qu’une pain slut, et je suis certaine que tu dois expier bien d’autres choses. Tu es ici pour mon plaisir sadique, tu n’existes pas, je ne veux rien savoir de toi, je veux juste te faire mal, très mal, terriblement mal de toutes les façons et que tu me remercies.— Oui Madame, bien Madame, merci Madame.— Merci ?— Oui je le mérite.— Bien, quel est ton safeword ?— Euh... je n’en ai pas Madame.— Non ? Il t’en faut un, deux même. Un pour que j’arrête ce que je fais, un autre pour tout arrêter. Je te fouette jusqu’à ton safeword, je ne m’arrête pas avant, tu vois qu’il t’en faut un.— Oui Madame. Jaune ?— Très bien, Jaune si tu n’en peux plus, et disons Rouge si tu veux partir.— Oui Madame.— Viens ici que je te gifle un peu, tu as vraiment une tête à claques, cela fait tellement de bien. Tu vas voir, j’ai des pratiques parfois un peu différentes, j’aime ce qui est transgressif. Je crois que tu vas beaucoup crier jaune ce soir.

Elle m’entraîne à l’intérieur, tirée par une laisse très courte, qu’elle a attaché à un collier. Je crois qu’elle a pris un certain plaisir à le serrer trop fort. Je sens le sang bourdonner à mes oreilles. Nous entrons dans une chambre, aux dimensions plus raisonnables, mais très grandes quand même. Un lustre a été descendu et, à son attache, pend une corde avec des bracelets en cuir. Je ne me fais pas prier pour être attachée les bras au-dessus du corps, bien étirée. Je m’attends à être enfin fouettée, cela me manque.
Le premier coup bloque mon souffle. Je suis coupée en deux par le coup de poing qu’elle m’envoie en plein ventre ! Je n’ai pas le temps de réaliser qu’elle enchaîne, m’utilisant comme un sac de sable. C’est une sensation folle que je ne connais pas, je reprends mon esprit pour me maîtriser, ne pas me protéger, mais au contraire m’offrir. Je crains que quelque chose éclate dans mes chairs ainsi offertes. Un coup de genou dans mon sexe exposé m’envoie mille douleurs aux anneaux qui amplifient la violence des coups. Madame semble extatique, me traitant de pute et de salope, de traînée, qu’elle va me mettre au pas. Je veux bien la croire. Je perds complètement pied, juste concentrée à écarter mes jambes, offrir mon ventre, mes cuisses, mes fesses à ses coups. Mon corps n’est que douleur.
Elle me lance des coups de pieds dans les fesses, me faisant voler, ne reprend pas son souffle, fait voler sa robe, ses seins valsent et me fascinent par leur lourdeur, j’ai les yeux pleins de larmes, je n’arrive qu’à peine à respirer.
Je sens sa rage si forte, qui s’abat maintenant sur mes seins qu’elle claque de ses poings, les étirant dans tous les sens. Ses mains me giflent à nouveau, j’ai du mal à maintenir ma tête, les oreilles bourdonnent, je pleure en continu, mais pas une fois je ne songe à me protéger, au contraire.
Une brève accalmie, elle sort une fine baguette de peut-être 40 centimètres, en fibre de Carbonne. Une main étire mon sein par l’anneau que ma Propriétaire a posé il y a quelques mois déjà. Il est épais, mais pas assez pour Louise qui le voulait énorme. Aussi je suis frustrée qu’il soit encore si mal cicatrisé. Il est vrai que le perçage a été une torture inouïe dont je me souviens de chaque instant. Louise a commencé par me serrer chaque téton dans une pince chirurgicale comprimant les chairs incroyablement. Puis elle a utilisé une aiguille de trois millimètres pour traverser l’un puis l’autre. J’avais les yeux rivés sur elle pour tenir le choc, lui offrir cette sensation si extrême et animale. Une fois percée en trois millimètres, elle est repassée avec une aiguille de quatre puis une de cinq millimètres. Je n’arrivais pas à ne pas hurler tant la douleur était paroxystique. Et Louise était à la fois concentrée et excitée.
A chaque aiguille, elle s’arrêtait pour se caresser, me prendre en photo, jouir de la souffrance infligée.
Puis elle a inséré les lourds anneaux que je porte actuellement, provisoires disait-elle, qui me font encore souvent mal. Elle a chauffé l’anneau avec un simple briquet, pour que la chaleur cautérise ma plaie de l’intérieur. Mon Dieu, quel souvenir, j’en défaille d’excitation.
Et là Madame tire fortement sur le téton, ne prenant aucune garde de mes gémissements, tournant le téton de 180 degrés pour tendre le sein et me faire mal. La baguette s’abat sur mon sein offert, sans grand bruit, mais la douleur est fulgurante, je ne manque de crier. Immédiatement une marque violette apparaît, c’est diabolique. Madame me promet de détruire mes seins, et flagelle ainsi de toute part l’un puis l’autre de mes seins qui ne sont qu’une immense brûlé, mais des lignes sombres dans tous les sens.
Cela ne lui suffit pas, elle sort un paddle clouté à l’aspect infernal, et m’assène des coups sur mes mamelles qui volent dans tous les sens, se couvrent de points de sang. Heureusement, Madame est en sueur, elle m’injurie, me promet de me mater. Je suis matée, ne le sait-elle pas ? Je ne peux parler, je suis complètement à l’ouest.
Mes mains sont détachées, rapidement rattachées dans mon dos, étirées vers le plafond. Je dois me pencher en avant pour ne pas disloquer mes épaules. Elle pose des poids sur mes tétons, je pense que les anneaux vont s’arracher, elle est folle. Je ne vois pas combien, mais je n’ai jamais porté autant. Je ne dis rien. Je suis là pour cela, je suis faite pour cela. Cette idée me remplit de gratitude pour elle.
Mes jambes sont légèrement écartées, elle installe entre mes jambes une puissante fuck machine. Mais comment a-t-elle emporté tout cela ici ? Dans un hôtel ? Vraiment ! Elle galère pour la régler, ce n’est sans doute pas une grande manuelle. Je sens enfin le gode qu’elle a choisi venir se positionner dans mon anus, me délivrant d’un manque maladif. Il est certes gros, mais rien d’affolant pour moi. Cependant pour rentrer il faut vraiment que la machine soit puissante pour écarter ainsi mes chairs avec les six centimètres du gode. Elle l’est. Madame la fait aller et venir doucement pour vérifier que tout est bien calé. Le gode sort à peine de mon anus et replonge profondément jusqu’à frapper mon bassin. La sensation est divine. Enfin jusqu’à ce qu’elle lance la machine à pleine vitesse. C’est de la pure folie, j’ai l’impression d’être secouée dans tous les sens, je crie, je pleure, je supplie, ces sensations se propagent dans tout mon corps.
A son sourire, je la vois satisfaite, alors je le suis pour elle, je me détends, je me dis que mon cul sera encore plus accueillant, je me concentre sur mes tétons étirés, je pars dans un autre univers. Madame sort son téléphone, repart sur la terrasse, me laissant ainsi à la limite de la rupture des épaules, à souffrir toute seule, comme je sais si bien le faire.
Je ne sais combien de temps s’est écoulé. La lubrification du gode devient malaisée, le silicone a fini de partir, et je brûle à chaque coup quand enfin elle revient. Magnifique. Elle s’est mise nue, ses seins sont incroyables, énormes, peut-être 10 fois les miens, comment est-ce possible, surtout ils ont l’air tendu, comme deux énormes obus. Elle est à peine ronde, en fait, ce sont ses seins qui donnent cette impression. Et sur son sexe nu, elle a revêtu une ceinture gode avec un énorme pieu en silicone noir, épais comme son bras. Cela lui va tellement naturellement que je n’aurais pas été surprise que ce soit son Phallus. Elle débranche la machine, lubrifie son membre impressionnant et, avec attention, se met à me prendre par-derrière.
Tout de suite, je sens que je n’ai jamais reçu quelque chose d’aussi gros. Alors que mon anus est complètement éclaté par la machine, il peine à s’ouvrir. Je m’offre, je me détends, je pousse. Heureusement elle l’a bien graissé, et il rentre progressivement, je me sens coupée en deux, je suis certaine que je serais déchirée. Madame fait des allers et retours, me tape les fesses, accroche une main à l’anneau de mon clitoris pour me faire hurler et s’empaler plus à chaque fois. Elle semble satisfaite et surtout très excitée. Sa voix déraille, elle va et vient comme une furie, me faisant valser et arrachant des douleurs intenses dans mes ligaments d’épaule et dans mes tétons dont les poids balancent. Elle s’en fout éperdument et continue ainsi dans une transe délirante.
Je le sens faiblir, alors que je suis dans un nuage, ne voyant plus rien depuis longtemps, luttant pour ne pas m’évanouir, tant je crains de m’arracher les épaules. Et puis d’un coup, je réalise qu’elle n’en peut plus, et qu’elle veut absolument me briser. Aussi je lui offre son répit en hurlant Jaune à toute force, à son grand contentement. Elle est satisfaite de m’avoir brisée enfin, je suis une coriace, mais elle les brise toutes. Cela pourrait me flatter, me faire rire, mais rien de tout cela, je suis heureuse qu’elle soit contente.
Elle me détache, je m’effondre à terre, je suis une masse informe. Madame ne semble pas en meilleure forme ! C’est amusant. Elle rampe vers moi, reprend sa petite baguette, me fait écarter les cuisses et fouette ainsi mon pubis, mon sexe et mon clitoris. Je fais un bond et je crie à chaque fois, mais je ne ferme pas les jambes, à sa grande satisfaction. Elle se concentre sur mon clitoris déjà bien meurtri, et m’ordonne de jouir sous les coups. C’est un ordre qui ravage mon ventre et il ne me faut que quelques secondes pour jouir, sous son regard effaré. Elle ne pensait pas que j’y arriverais.
Elle ne dit pas un mot, se redresse au-dessus de moi et se met à m’uriner dessus abondamment, sur la moquette magnifique de l’hôtel. J’ouvre la bouche en signe de soumission, et je suis complètement aspergée. Elle m’ordonne de mettre ma robe et mes chaussures puis, les jambes écartées, d’uriner devant elle. J’ai tellement envie que je ne me retiens pas, ma robe est souillée, mes jambes dégoulinent et mes chaussures sont vite remplies. Je me sens complètement humiliée et souillée, comment vais-je faire ? Je reprends mon corset et mon gode à la main, elle me fait un signe pour partir, m’indiquant qu’il y a une enveloppe pour moi dans l’entrée. Je me sens tellement vite, sale, brisée. Une enveloppe ?
Elle est bourrée de billets de deux cents euros. C’est rigolo, je n’en avais jamais vu. Peut-être ce que me donnaient mes parents pour une année entière ! Elle m’aurait mis dix euros, j’aurais trouvé cela tellement humiliant et excitant, mais là je trouve cela bizarrement décevant. Elle vit sans doute dans un drôle de monde. Je la remets en place, je suis venue me faire punir, pas me prostituer.
Dans le couloir, le garçon d’étage ne fait aucune remarque et me conduit à l’ascenseur. Une fois en bas, je suis livrée à moi-même et tout le monde me regarde de travers. Je dois avoir une tête de folle couverte de pisse ! Je me précipite dehors, et n’ayant rien sur moi, je rentre à pied au café. C’est bientôt l’heure de la fermeture, je suis restée bien plus longtemps que je ne pensais. Je suis faible, je marche doucement. Mon cul me lance, mais à cette idée, je sens une excitation profonde de ce que j’ai vécu.
J’ai eu le temps de sécher avant de pousser la porte de chez Charlotte, le café est presque vide, quand je croise tout près de l’entrée, le regard, le sourire, l’aura de ma Déesse. Louise me regarde avec une telle bienveillance, je comprends qu’elle est revenue me chercher. Je m’effondre par terre, en larmes, comme je n’ai jamais pleuré. Toutes ces souffrances des jours passés s’expriment dans mon effondrement. Louise vient me relever, nous nous embrassons comme au premier jour sous le clin d’œil de Charlotte.
De retour chez nous, Louise me comble de tendresse, elle examine mon corps avec des bleus et des marques partout, m’embrasse, me câline, je ne cesse de pleurer tant l’émotion est forte. Je crains qu’elle m’en veuille d’être allée voir cette dame, mais elle m’explique comprendre et que c’est très bien ainsi, j’ai été punie comme il le fallait ! Elle soigne mon anus effectivement déchiré et c’est avec une gratitude émerveillée que je m’endors enfin à la place sur le parquet de la chambre, aux pieds de ma Propriétaire. Je suis comblée qu’elle m’ait pardonnée, et je me jure de ne plus jamais hésiter lorsqu’elle me donnera le moindre ordre, c’est toujours elle qui a raison !
Diffuse en direct !
Regarder son live