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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Le P***, self-service

Chapitre 2

Divers
Récapitulons. A la fin de l’épisode précédent, je me trouvais dans mon lit avec deux séduisants jeunes homme qui brusquement s’étaient mis à se toucher la bite et, contournant ma personne, à se rouler des pelles passionnées à l’aide de leurs jolies lèvres purpurines et de leurs langues endiablées. Moi, j’étais entre les deux, leurs deux queues entre les cuisses, tout contre mon sexe trempé, et durant les quelques premières secondes j’ai eu un instant de réflexion.
D’un côté ils étaient là. De l’autre, hum ...Allais-je servir d’alibi à une première expérience ’bicurious’ et finir reléguée au rang de voyeuse? Ou professaient-ils le même genre de bisexualité que certains jeunes types un peu fashion (le genre à se mettre du khôl et une chemise serrée, et un fute bien moule-paquet, et à kiffer que leur copine les encule avec un vibro pendant qu’ils sucent un mec ; ça s’est vu ... )qui finalement trouvaient les mecs plus conformes à leurs réelles aspirations esthétiques et intimes tout en ayant encore un peu de mal à renoncer à la chatte?Ou encore le style bi tranquille qui sait ce qu’il fait?
Argghh... Et il fallait que ça tombe sur moi, me suis-je dit l’espace d’une seconde.J’avais toujours le feu au ventre, sentir leurs queues chaudes et leurs mains et leurs doigts sur moi n’allait pas vraiment dans le sens de mes questionnements cruciaux. Et puis vous l’avez compris, ma vie est une sorte de kaléidoscope de coups de chances et de situations parfois fort scabreuses qui tournent rarement à mon désavantage, et cette fois encore j’ai été vernie.
Avant que mes pensées n’aient le temps de s’organiser plus clairement l’un, devant, a posé sa bouche sur la mienne et m’a entraînée dans un baiser marathon qui m’a chauffée au delà de ce que je pouvais imaginer, pendant que l’autre m’embrassait le cou et caressait mon ventre et mes seins. Je pensais à leurs deux queues que j’avais dans les mains et j’en avais déjà envie, mais j’avais envie aussi de faire durer le plaisir. C’était plus tard, presque dans longtemps, et ça rendait chacun des actes qui allaient s’accomplir d’ici là deux fois plus excitant. Celui qui m’embrassait a saisi mon visage entre ses mains et a laissé quelques centimètres s’instaurer entre nos deux regards. J’ai jeté un coup d’oeil à ses lèvres gonflées par notre baiser prolongé, je les ai léchées et je me suis baissée vers sa queue pour la prendre dans ma bouche. Tout d’abord la goûter, l’embrasser légèrement, en tâter les formes des lèvres avant de les épouser de la langue. Mais pas tout de suite. Je voulais le caresser, le sentir, l’avoir tout contre et pas encore dedans, le regarder et m’exciter de cette vision de rêve: une belle queue dure, tendue, presque parfaitement rectiligne, plutôt longue, non circoncise. J’ai joué du bout de la langue avec les plis du prépuce, et puis j’ai commencé à le branler très doucement, ramenant à chaque fois le surplus de peau à la base de sa queue et dénudant son gland rose. Quand j’y ai posé mes lèvres il a gémi, et au même moment derrière moi l’autre mec s’est baissé tout en écartant mes cuisses. J’ai laissé glisser mes genoux vers l’extérieur, j’ai relevé les fesses, cambré le dos, et j’ai été traversée d’une décharge électrique puissante à l’idée de lui montrer ainsi ma chatte trempée.
Il a passé son doigt le long de ma fente gonflée, j’ai ouvert grand la bouche et au moment où je laissais pénétrer jusqu’à ma gorge une queue qui bandait à fond j’ai senti une langue qui se dardait sur mon clito. Je pensais à cette langue et j’aimais comment elle titillait de l’extérieur mes points sensibles avant de plonger dans mon ventre et de me laper goulûment, léchant ma mouille et la remplaçant par de la salive, me laissant absolument trempée de toute façon.Il m’a longtemps léché la chatte et je me tordais de plaisir sous ses coups de langue, solidement tenue aux hanches par ses mains douces. Pendant ce temps j’avais le cou tendu et la bouche arrondie autour d’une barre de chair dure et tendre à la fois, je la sentais palpiter sous ma langue quand je touchais un point particulièrement sensible, et son propriétaire savait par des gémissements excitants en diable comment me signifier qu’il aimait plus particulièrement tel ou tel contact.J’avais l’impression que mieux je le suçais, plus il gémissait et mieux son comparse me suçait moi, et unis par cette dynamique positive nous avons continué comme ça un moment, moi avalant une bite de plus en plus roide et une bouche experte me léchant la chatte comme j’avais rarement été léchée.
J’avais de plus en plus envie de me faire prendre, mais j’ai préféré me retourner pour me mettre sur le dos et jouir plus confortablement de la situation. J’ai recommencé à branler la queue qui venait de quitter mes lèvres sur un petit baiser et j’ai léché les couilles qui pendant juste au dessus de mon nez. J’ai posé mon autre main sur la tête de mon lécheur, ébouriffant ses cheveux avant de caresser doucement ses joues puis ses lèvres brillantes de mouille, dont j’ai suivi les contours du bout des doigts, hypnotisée.J’ai tourné la tête ; je voulais attraper son regard, plonger mes prunelles aux bord de l’ébullition dans les siennes alors qu’il faisait glisser sa langue sur mes petites lèvres luisantes.
Je l’ai regardé, il m’a regardée, il promenait doucement le bout de sa langue tendue sur mon clitoris, il me mettait au délice, et il y avait dans ses yeux une lueur à la fois claire et trouble qui m’a bouleversée et que je revois parfaitement en cette seconde. J’ai soutenu son regard un moment, je m’y suis perdue avec la sensation de m’enfoncer dans quelque chose de vertigineusement bon et j’ai rejeté la tête en arrière tandis qu’il plongeait sa langue dans mon vagin.
Peu après il est remonté à mon ventre, à mes seins, les a léchés et mordillés, m’arrachant soupirs et petits cris de surprise plus que de douleur, car une seconde après la douleur ne subsistait que le souvenir d’avoir crié, et celui de ces dents nacrées comprimant mon téton.
Il est encore remonté un peu et nous nous sommes embrassés, la queue de notre complice nous battant les joues,puis mon lécheur s’est mis en devoir de démontrer l’autre facette de ses talents buccaux.Concentrée, j’ai regardé cette belle bouche mâle et pulpeuse s’ouvrir pour accueillir une bite que je savais délicieuse. J’avais la chatte brûlante du feu-du-désir-ultime , et j’ai glissé mes doigts entre mes petites lèvres, remontant vers mon clito bien durci. C’est à ce moment que j’ai été traversée de l’impérieuse envie d’avoir dans la bouche ma deuxième friandise de la soirée et de rendre à mon charmant lécheur sa délicatesse.
J’ai caressé mes cuisses, mes seins, mes fesses, je me sentais toute vibrante d’énergie ; mater ce mec sexy sucer son pote l’autre mec sexy était vraiment ultra excitant... Ils ont compris ma pensée et le petit trio s’est organisé: j’en suçais un qui suçait l’autre qui me léchait. Les rôles étaient inversés à présent. J’ai noté que mon nouveau cajoleur léchait moins bien les chattes mais très bien les culs, sa langue me titillait l’anus avec dextérité et bientôt il a commencé à me doigter doucement avec une phalange. J’ai mouillé de plus belle, et j’ai eu droit à deux doigts dans la chatte. Ainsi maîtrisée des deux côtés, j’ai commencé à remuer la croupe vers lui, sans forcer, jouissant de me sentir entreprise par tous les orifices de façon assez light.Le sexe que je suçais à présent était plutôt plus court et plus épais que l’autre, très nettement différent. J’aimais assez l’idée qu’au fond ces deux inconnus soient plus facilement différenciables par leurs queues que par leurs allures ou leurs personnalités un peu floues - et auxquelles je ne m’attachais guère en cette minute...
Hier encore un pote homo me reparlait de ce vieux concept bien connu comme quoi un homme est plus à même de bien sucer un autre homme puisqu’il sait ce que c’est qu’avoir une queue... Je n’en suis pas convaincue, bien sûr, faute d’avoir le choix, et je professerai toujours que la connaissance ne vaut pas forcément davantage que l’intuition.:)Toujours est-il que j’étais enchantée de bénéficier de ce spectacle à quelques centimètres de mes yeux. Je me suis relevée, toujours pénétrée par les doigts experts du premier type dont l’autre suçait la bite avec gourmandise, et je me suis tenue sur les genoux, les reins cambrés et les cuisses assez écartées, observant un peu du dessus cette scène digne du meilleur film porno (encore que les films hétéros mettant en scène de la bisexualité masculine ne soient pas légion)
C’était étrange et tripant à la fois de voir ce menton qui commençait à devenir légèrement bleu se précipiter en un mouvement régulier vers ce ventre d’homme avant de s’en éloigner au même rythme, et encore, et encore ... je regardais ses lèvres pressées contre la hampe gonflée, je devinais à ses lèvres la pression qu’il devait exercer à tel ou tel moment, j’apprenais ...:)Je me suis penchée vers lui et du bout de la langue j’ai léché ses lèvres, et la bite qui allait et venait entre ces lèvres. Woaw. Gros coup de chauffe.Ensuite j’ai eu envie de le sucer à nouveau, envie qu’il reçoive ce qu’il était en train de donner ...Je me suis coulée vers sa queue et je l’ai prise dans ma paume, elle était toujours aussi grosse, sûrement plus encore, et je l’ai engloutie centimètre par centimètre, lentement, le léchant au passage tant pour jouir encore de sa saveur que pour bien lubrifier sa peau douce et y faire glisser ma bouche sans encombre.Je l’ai avalé jusqu’à la garde, et je l’ai senti gonfler encore en moi. J’avais l’impression que mes mâchoires étaient ouvertes au maximum et que s’il ne débandait pas un peu j’allais avoir du mal à y aller dans la finesse.J’étais de plus en plus excitée à mesure que le frottement s’intensifiait, j’avais presque la sensation de sentir mes lèvres gonfler sous la friction. Ca me faisait mouiller. Mais on avait apparemment atteint un point où mon camarade ne désirait plus spécialement de finesse...Il avait lui-même augmenté un peu la cadence à laquelle il suçait l’autre mec ; j’ai essayé de m’adapter et il a paru suivre : d’une main il tenait fermement les couilles de son pote et de l’autre il tenait ma nuque d’un geste assez ferme. Peut-être un peu trop ferme d’ailleurs : à chaque fois que j’enfonçais son gland dans ma bouche j’avais la sensation qu’il allait finir me percer la gorge. D’une petite pression sur sa main je lui ai signifié de me donner un peu de mou, il a compris, j’ai fait glisser mes lèvres jusqu’à son gland que je me suis mise à sucer, lui massant le frein du bout de la langue avant de redescendre laper ses couilles qu’il avait complètement lisses et que je n’ai pas tardé à prendre dans ma bouche, les gobant avec délice avant de les masser de la langue, de l’intérieur des joues et du palais.Je le branlais assez lentement aussi, et il avait l’air d’aimer ça .
Pendant ce temps le troisième larron gémissait de plus en plus fort, sa tête tournait de droite à gauche avec des mouvements saccadés et sa bouche était grande ouverte comme s’il cherchait à recueillir un tout petit peu d’air dans une pièce presque dépourvue d’oxygène.Il avait commencé à jouir, et des gouttes blanchâtres coulaient le long de sa queue bien veinée qui coulissait encore dans la bouche gourmande du deuxième mec. Et puis il l’a laissé aller, le tenant solidement à la base tandis que l’autre éjaculait de longs jets de foutre nacré.Les lèvres et le menton recouverts de sperme, le suceur (qui avait vraiment bien travaillé jusqu’alors) me semblait maintenant violemment érotique. C’était une vision inhabituelle que de voir un mec - qui un quart d’heure avant vous léchait avec un art consommé - le visage maculé de foutre.Nous nous sommes regardés, le même regard que quelques minutes auparavant quand il avait la tête entre mes cuisses, et je l’ai embrassé, léchant sur lui les dernières gouttes de la jouissance de l’autre.’Ne t’inquiète pas, il en reste encore plein pour toi!’ m’a-t-il soufflé avant de dévorer ma bouche.Ca promettait ...
à suivre
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