Alors voilà, je me présente, je m’appelle Alexandre Lantier, j’ai 25 ans et c’est aujourd’hui qu’a lieu mon mariage. Je suis en couple avec Claire, la femme que j’aime depuis le lycée soit depuis 7 ans et avec qui je suis heureux. C’est à elle que je dois la perte de ma virginité et ça d’ailleurs la seule femme qui m’a vu nu depuis que j’ai passé l’âge des culottes cagoules et autres objets non ergonomiques conçus pour les enfants. Avant le mariage, nous nous sommes mis d’accord avec Claire de ne pas nous voir durant une semaine avant d’être devant le curé. Le mariage a lieu un samedi et nous n’avons tous deux pris nos congés qu’à partir du jeudi soir, et pour ne pas nous voir, chacun loge chez le témoin de l’autre, moi donc chez sa sœur et elle chez mon meilleur ami Tom qui m’a présenté Claire. La petite sœur de Claire s’appelle Laure, elle a 21 ans, un job de webdesigner, des cheveux clairs, un chat, une plante et un canapé très inconfortable pour dormir. J’allais donc vivre chez elle pendant 6 jours tandis que ma future femme resterait chez nous avec Tom, mon meilleur ami, qui l’aiderait à organiser en détail la cérémonie pendant que moi Laure m’assistera pour trouver mon costume, les fleurs et autres accessoires comme les alliances pour le mariage. Dimanche: L’arrivéeAprès un long baiser d’adieu à Claire, je partis en direction de l’appartement de Laure, cette dernière m’ouvrit la porte en robe de chambre, les cheveux emmêlés et avec un jogging gris moche comme pantalon. Avec sa profession, elle travaillait à domicile et à son compte, ce qui lui avait permis de se payer malgré son jeune âge un petit, mais luxueux 2 pièces. Elle était joyeuse et me fit la bise en m’appelant « futur beau-frère ». J’avais déjà mangé, elle passa la soirée à travailler, elle devait finir un projet tandis que moi je regardais la TV. Au moment de dormir, elle me tendit une couverture rêche et m’indiqua le canapé, et je perdis au moins une heure avant de trouver le sommeil tant l’approche du mariage me rendait nerveux. Lundi: FleuristeAu réveil, j’avais des courbatures dans tout le dos, je me traînai jusqu’à la cuisine où je commençai à faire du café, Laure ne tarda pas à me rejoindre, réveillée par le bruit de la machine. Elle portait encore sa robe de chambre grisâtre, mais son jogging avait disparu avec la nuit, elle avait une magnifique marque d’oreiller sur la moitié du visage et les cheveux ébouriffés de l’autre côté. Laure me demanda si j’avais bien dormi, je ne voulus pas me plaindre, mais lui expliqua malgré tout que mon dos souffrait encore de la nuit. Elle rigola et me força presque à ce que l’on alterne, je prendrais le lit un jour sur deux en commençant par ce soir, j’avais beau lui signifié que ce n’était pas la peine, elle ne voulait rien entendre, justifiant que c’était mon mariage. Je la laissai ainsi en partant au travail jusqu’au soir, je suis architecte dans un petit cabinet qui en compte quatre, dont moi, et la majorité de mon temps, je suis occupé avec de la paperasse, néanmoins je réussis à me libérer vers 16h afin de rejoindre Laure pour aller choisir les fleurs du mariage. Je retournai à l’appartement où je trouvai Laura déjà prête à partir, elle avait quitté son vieux peignoir pour un tailleur noir très élégant sous lequel elle avait un gilet blanc, accompagné d’une jupe droite courte. Elle était maquillée finement, les ongles vernis et de belles chaussures rehaussées ; une vraie métamorphose. Pour nous rendre au fleuriste, elle conduisait, et j’étais sur le siège passager, à force de parler, mon regard finit par descendre sur ses seins (je sais... je suis un homme désolé) la ceinture les séparait et j’avais l’impression de voir la forme de ses tétons à travers le tissu comme si elle n’avait pas mis de soutien-gorge, mais vu le maintien bien droit des dits seins, cela paraissait peu probable. Une fois chez le fleuriste, j’étais complètement perdu, il y en avait de toutes les couleurs de toutes les formes et n’ayant aucune expérience en la matière, l’aide de Laure me fut précieuse, il en fallait de différents types et la jardinerie était énorme, il fallait parfois regarder sous les étales pour trouver les pots qui iraient sur chaque table et d’autres fois chercher en hauteur. Le temps passait vite si bien qu’il ne tarda pas à être 18h30, et nous n’avions toujours pas trouvé notre bonheur, le gérant du magasin nous laissa accès à ses stocks pendant qu’il repartit s’occuper d’autres clients. Laure m’indiqua une plante parmi d’autres, similaires, sur une étagère, ne voyant pas de laquelle elle parlait, elle déplaça l’escabeau sous l’étale et commença à grimper pendant que je lui tenais l’échelle. Je fus surpris lorsque levant le nez, j’eus une vision directe sur le dessous de sa jupe et je pus constater que ma future belle-sœur avait vraisemblablement oublié de mettre une culotte, laissant son sexe rasé à l’air libre. Je fis mine de ne rien avoir vu, mais jamais je n’aurais pensé que Laure malgré ses 21 ans était si dévergondée pour ne mettre aucun sous-vêtement. Une vingtaine de minutes plus tard, nous avions établi la liste des fleurs à commander et que le fleuriste nous livrerait le jour du mariage directement à l’église ; en partant, le fleuriste nous cria un « à samedi les amoureux » ce qui fit beaucoup rire Laure sur le trajet du retour. Une fois chez elle, je nous préparai ma spécialité, les spaghettis bolognaise, Laure mangeait comme une enfant en aspirant les spaghettis et en mettant de la sauce sur tout le tour de sa bouche. Après ça, c’est pour se mettre avec moi devant la TV qu’elle enfila de nouveau sa tenue grisâtre et elle se glissa sous la couverture rêche du canapé pour regarder un énième épisode des experts et je fis de même. Durant le deuxième épisode, elle s’endormit, je m’extirpai alors doucement de la couverture et l’aidai à s’allonger sur la totalité du canapé et pus également allait dormir, mais cette fois-ci dans un vrai lit.
