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La Señora Ortega

Chapitre 2

Travesti / Trans
La Señora n’en finit pas de retirer son peignoir de soie, ou bien est-ce la tête qui me tourne ? Alors que mes pauvres mains tremblent sans réussir à ouvrir la bouteille de whiskey, mes yeux semblent baigner dans un liquide trouble, rendant ma vision totalement floue face à cette femme qui vient tout juste de me déshabiller avec un calme clinique. Je la vois danser devant moi - ou pour moi ? - en jouant avec les rabats de son peignoir, se demandant si oui ou non elle va enfin libérer ses oiseaux de paradis pour se dévoiler entièrement à ce jeune inconnu sauvé de la pluie. Je le sens, mon corps s’échauffe, mon sexe est de plus en plus présent, il s’impose à moi et je me sens vraiment honteux d’être là, comme un puceau, à dévisager cette femme si séduisante. Perdu dans mes pensées, tétanisé, c’est son rire qui me ramène à la surface, puis soudainement, ses mains qui attrapent les miennes pour me faire rentrer dans un tourbillon de musique et de parfum.
La Señora m’emporte dans une danse toute de cercles, de sensualité, se collant à moi pour mieux me fuir, s’écartant pour mieux me tenter, se rapprochant pour mieux me piéger. Les mouvements redonnent vie à mon corps, refont circuler mon sang et peu à peu, la vue me revient, nette. Nous nous tenons les mains et tournons comme des gosses, en un grand cercle de plus en plus rapide, jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus, lâche, et tombe par miracle au centre du canapé plein à craquer de coussins moelleux.
Je rejoins la Señora qui a maintenant un sourire permanent aux lèvres. On dirait qu’elle ne s’est pas amusée comme cela depuis des semaines, des mois. Elle tape sur le canapé pour m’inviter à m’asseoir près d’elle. Je récupère la bouteille de whiskey abandonnée près de la porte du salon, et en me penchant, mon sexe bandé sous mon boxer m’électrise de nouveau de malaise... J’essaie tant bien que mal de paraître discret et de la coller contre mon pubis, pour ne pas me retourner avec un chapiteau entre les jambes, mais le résultat est vraiment peu convaincant, j’espère qu’elle ne s’offensera pas.
Je me retourne. Elle est là, les jambes croisées, divine, m’attendant, son regard glissant sur mon corps, et toujours cette vague qui anime ses lèvres gorgées de vie. Ses lèvres qui se mordent lorsque ses yeux tombent sur mon boxer déformé. Entre elle et moi, sur un tapis rond, gît son peignoir : les oiseaux n’ont pas réussi à prendre leur envol. Mais ils ont au moins libéré le passage à mon regard. Elle porte un body de dentelle fine et noire, très évasé au niveau des hanches, lui donnant une allure plus grande, plus élancée. Le bonnet est renforcé et plus sombre, soutenant des seins vraiment très alléchants, deux gros pamplemousses juteux, en tout cas merveilleusement mis en valeur dans ce body. Ce doit être du 90 ou 95D, au moins. Ses jambes sont satinées, on croirait du caramel au beurre salé, et je pourrais passer ma nuit à lui masser les jambes, même à lui lécher ses fragiles chevilles ou ses petits pieds si elle me le demandait.
Mais quand sa main droite s’élance vers moi, son index s’allongeant avant de se refermer pour m’indiquer de la rejoindre, tout bascule, alors qu’elle décroise les jambes, pour se dévoiler réellement. La Señora a elle aussi un chapiteau entre les jambes, enfin c’est plutôt une tour à ce stade-là. Bordel !
Je n’ai jamais été fan des étiquetages incessants sur la sexualité. Tout comme sur le régime alimentaire. Je n’aime pas les étiquettes. Je n’aime pas mettre les choses dans des cases. Ça ne nous permet pas de mieux connaître les choses, au contraire, ça nous pousse à les craindre. La Señora est une femme surprenante, d’une beauté ravageuse, tapageuse aussi. Je n’ai jamais couché avec un homme, cela ne veut pas dire que je suis hétéro. Je suis depuis quelque temps déjà aimanté par le sexe masculin, fantasmant sur le jour où l’opportunité émergerait enfin de me retrouver en tête à tête avec un bel homme, au physique soigné et au sexe appétissant. Ce soir, ce n’est pas ça, mais la présence de ce sexe ne me rebute en rien. Au contraire. La Señora n’en est que plus précieuse, plus rare, plus désirable. Aussi ma réaction est instantanée, je souris en avalant les mètres qui nous séparent pour me jeter sur le canapé, à ses côtés, et l’embrasser comme si c’était le dernier jour de ma vie.
La Señora a une bouche à se taper le cul par terre. Je savais, alors que notre baiser gagnait en intensité, que plus jamais je n’embrasserais de lèvres aussi douces, aussi pleines, aussi sensuelles. La vague. Continuellement, la vague qui les animait plus tôt continue son voyage et se transmet maintenant à ma propre bouche, rendant ce baiser enivrant. Mes mains n’osent pas faire le premier pas, n’osent pas se poser sur ce corps divin. Je sens qu’il est trop tôt pour ça, même si nos tenues très légères invitent à un contact charnel imminent, mais moi je veux procéder par étapes. D’abord nos bouches, puis nos regards dégoulinant de désir, avant de se sauter dessus en implorant à l’autre de...
Mes mains ont envie soulever ses énormes seins qui sont à quelques centimètres de moi, parfois viennent se presser à moi dans des moments d’intensités buccales...Mes mains veulent caresser sa peau si douce, son corps moelleux...Mes mains veulent aller masser ses couilles et sa grosse verge...Mes mains devront attendre ! Car la Señora semble elle aussi totalement folle de ma bouche, comme moi de la sienne. Ma main droite se promène dans ses cheveux lisses, glisse dans sa nuque, et, sans mon accord, saisit son cou en le serrant pour l’écarter de moi, reprendre nos souffles, se jauger du regard. Ma prise lui arrache un gémissement que j’aime entendre...
Alors je resserre ma prise, et je vois sa bouche se fondre en une moue de désir total...En même temps, elle écarte les cuisses et ses yeux me demandent si je suis OK avec ça. Mon sourire lui répond que oui. Sa gorge me remercie en gémissant de façon plus aigüe, comme une petite victoire. Et pour la faire chavirer, puisqu’elle m’a donné l’autorisation, je plaque ma main sur son entrejambe. Premier contact.
Son regard est si intense, saturé de désirs. Je ne peux m’empêcher, entre deux baisers rapides où nos dents cherchent à mordre les lèvres de l’autre, comment elle s’appelle.
— Luna.
Señora Luna. Quel enchantement ! Luna et son regard de braise, sa présence enivrante, sa poitrine royale, ses baisers divins. Nos baisers sont de plus en plus brouillons, nos visages couverts de sueur et de bave, un vrai mélange de nous. Et soudainement, l’envie me prend. L’envie de la prendre en bouche. La curiosité de goûter à son sexe, qui doit souffrir, tout écrasé et frotté sous cette dentelle.
— Luna... lui dis-je, mais elle ne répond de rien, dominé par son désir. Alors la prise au niveau du cou, qui la sèche, l’interrompt violemment dans ce gémissement qui me donne tant envie d’elle, de la dominer, de lui donner du plaisir. Luna, j’ai envie de te sucer.— Ooohh mi corazón, chupame mi polla.
Un dernier baiser. Ma bouche salive comme si j’avais mangé du piment. Je bave sur elle, elle semble apprécier. Je lui lèche le visage, ses joues bien rondes que je mords jusqu’à lui arracher un petit cri de souris, puis son cou, que je marque d’un suçon bordeaux, avant de glisser vers ma perdition : ses énormes mamelles, que je décide de seulement frôler, car sinon je n’en partirai jamais. C’est horriblement difficile de ne pas m’y arrêter pour y goûter, ses mamelles rondes et elles aussi brillantes de nos salives... Mais sa queue m’attend, et je n’en peux plus...
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