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La Señora Ortega

Chapitre 3

Travesti / Trans
— Ooohh mi corazón, chupame mi polla !
Dire qu’il y a quelques heures, j’étais dans ma salle de bains en train de me préparer pour une fête ringarde pour un collègue ringard, n’espérant pas grand-chose de cette soirée sinon pas mal d’ennui - d’où la présence de ma copine, ma chère bouteille, que j’avais affectueusement surnommée Whiskey Houston en attendant le bus. Vous pouvez en penser ce que vous voulez, au moins sous la pluie, je m’amusais !
Et maintenant, sans trop comprendre comment j’ai atterri ici, je suis face au sosie corporel de Nicki Minaj qui m’appelle "mon cœur" et me demande de lui "sucer la queue". La vie est imprévisible, on le sait tous, mais ce soir, j’ai un putain de bon karma : je suis à deux doigts de goûter pour la première fois de ma vie à une verge. J’ai tellement fantasmé ce moment, que d’y être me ferait presque paniquer. Car il faut se le dire : je n’ai aucune idée de comment m’y prendre...
J’ai regardé des heures et des heures de pornos, j’ai chauffé beaucoup d’hommes sur Internet en leur décrivant comment je m’y prendrais pour les faire jouir dans ma bouche, j’ai même souvent accompagné ces séances avec une fellation de banane - n’ayant que ça à portée de main -, mais maintenant que j’y suis, je suis perdu. Il faut dire que la Señora Luna a une véritable arme de destruction massive entre ses cuisses nues - si douces, si pleines, si savoureuses à regarder. C’est d’ailleurs sur ses cuisses que je m’appuie pour glisser du canapé et tomber entre ses jambes...
C’est la position qui me paraît idéale pour commencer. Un tête à queue officiel et sans détour. Heureusement qu’il y a un tapis confortable à mes genoux, au moins je ne serai pas gêné par cette position.
A genoux, entre les jambes de Luna, face à moi, le V de son body en dentelle devant les yeux, sous lequel pulse un boa constrictor qui me donne le tournis. Mais qui me fait en même temps saliver comme une chienne...
C’est un putain de rêve. Ce rêve que j’ai véritablement fait il y a quelques mois, où Nicki Minaj sonnait chez moi - rêve où je l’accueillais comme si c’était la chose la plus naturelle au monde que Nicki Minaj vienne sonner à ma porte pour me voir ! Rêve durant lequel je l’invitai à rentrer chez moi en l’attirant à l’intérieur, une main sûre posée sur son gros pétard. Puis rapidement, nous fumions des cigares et buvions un très bon bourbon, dans une pièce sombre, une sorte de bureau aux parois boisées. Nicki avait une fesse sur le bureau, et me dévisageait, le regard très lascif, sa posture très sensuelle, avant d’écarter les jambes d’où tombait un long sexe plein de veines boursouflées...
Je m’étais réveillé avec une trique monumentale et n’avais pu me retirer Nicki de la tête de la journée.
Mais là, maintenant, c’est une tout autre affaire, car c’est réel. Et je n’ai pas le droit à l’erreur.
Alors je prends mon temps.
La Señora ne semble pas pressée elle non plus, elle a compris que c’était une première pour moi, et me donne toute la latitude nécessaire pour que je me lance quand je me sentirai prêt. Pour le moment, mes mains sont sur ses cuisses, que je touche avidement, mes doigts s’enfonçant dans sa chair torride, mes ongles griffant sa plastique de Bimbo, mes avant-bras très curieux allant même jusqu’à la naissance de ses fesses, dont les hanches larges les écrasent avec délice sur le canapé. Son cul semble couler de son corps, latéralement, comme le chocolat coulant du moelleux au chocolat à peine ouvert...
Hm...Son gros boule fermement écrasé contre le cuir du canapé. Elle est divine. Jamais je n’ai vu de hanches aussi larges, aussi attrayantes - enfin si, celle de Nicki Minaj, mais en photo, et en rêve, rien de palpable. Ici, c’est putain de palpable ! Alors j’y vais à fond, comme si demain était le jour où l’on me couperait les mains, comme si je ne devais plus jamais rien pouvoir toucher ni éprouver de mes mains. Alors je tente de glisser sous sa chair, pour prendre les mesures de son cul, pour ne serait-ce qu’appréhender son volume, sa douceur, sa rondeur bandante...
La Señora Ortega est une véritable copie conforme de Nicki Minaj. Regardez ses clips, jetez un œil à la vidéo de "Bed" ou "Anaconda" et vous comprendrez ce que j’ai sous les yeux. Peut-être que ce n’est pas votre came, mais c’est la mienne à un million de pour-cent ! Je ne peux plus m’empêcher de lui masser les hanches, d’essayer d’attraper son derrière, m’imaginant déjà aller et venir fluidement en elle, entre ses deux fesses massives, la queue aspirée par son anus gourmand et gluant de désir... Mon esprit est saturé de visions pornographiques et je m’en veux pendant un instant, me trouvant idiot de divaguer alors que le moment présent est tellement plus riche que ce qui se passe entre mes synapses.
Je redresse la tête. La Señora se masse doucement la poitrine, accompagnant mes caresses des siennes. Quelle poitrine terriblement ronde ! J’aime ce genre de poitrine. Des seins ronds, très ronds, lourds, massifs, dont on souhaiterait qu’ils nous assomment pour les sentir comme il se doit contre le visage. Avoir un hématome de sein, ce serait un exploit !
Puis je relève encore un peu les yeux, et ce visage... Exquis ! Le visage tout en douceur et en rondeur, qui me rappelle celui de Sheila Ortega, à la fois ange et démon. Nos yeux se parlent, nos yeux se crient à la gueule leur désir qui les brûle. Luna se mord les lèvres en gémissant, son bassin ondulant sous mes caresses. Je me redresse un peu, et mon boxer tendu tape dans le mollet de Luna. J’en suis électrisé. C’est le signal qu’il me fallait, le court-circuit qui débranche ma conscience et me pousse à assouvir mes pulsions, à répondre à l’appel naturel de mon corps. Plus pragmatiquement : à déboutonner le bouton-pression qui est sous les couilles de la Señora pour ouvrir le palais des délices...
— POP*
Dans ma main, je tiens le bas du body de Luna. Lentement, en réfrénant un tremblement d’excitation, je soulève la dentelle pour libérer le sexe phénoménal de mon amante. Il me tombe sous le nez...Tendu, lourdement épais, se tenant à l’horizontale pour que je puisse l’admirer. Le machin est terriblement salivant...Son gland, rose-violacé comme un bonbon acidulé, turgescent et dessiné par une main de maître, est encore un peu timide. Je sens que je suis prêt...Ma main droite quitte la hanche galbée de la Señora pour glisser jusqu’à son pubis...Les poils sont rasés court, et la zone est moite. J’ai envie d’y mettre le nez, la bouche, ressentir son désir de façon sensorielle...Ce que je fais. Suivre mes pulsions ne peut pas être une mauvaise chose. La Señora sourit en me voyant revenir dans la danse, et pose une main délicate sur ma nuque alors que je colle ma bouche à son pubis, l’embrasse comme un affamé, et lorsque ma langue sort pour ce premier contact, et qu’elle se perd sur le côté vers la peau naissante de ses couilles, elle gémit. Un gémissement d’attente, trahissant son impatience...
Mais comme c’est bon, ce jeu...
Ma langue la goûte enfin. Et se perd à droite à gauche, absorbée par ces nouvelles saveurs. Un peu âpres, mais tellement envoûtantes. Ma queue n’en finit plus de durcir dans mon boxer. L’envie de pisser se fait aussi plus présente. Puis, quand je ne sens plus que l’odeur de ma bave sur le pubis de la Señora, je me décide à la laisser glisser en me reculant, c’est-à-dire en léchant toute sa hampe de la base jusqu’à son majestueux gland... Ma main remplace ma bouche, et vient enserrer, en ayant inclus ses bourses, la base de son énorme appareil. J’ai souvent vu des actrices faire ça, et ça me paraissait tellement sexy comme prise. Du genre : tu es totalement à moi, ton paquet est prisonnier et maintenant, je vais te sucer comme jamais. C’était mon idée à ce moment-là, et au regard et aux soupirs d’envie que générait la gorge de Luna, c’était le bon move !
Les yeux dans les yeux, je décalotte son énorme machin, posant son gland sur le bout de mes lèvres humides, en me concentrant pour bien ouvrir la mâchoire pour ne pas que mes dents rayent son bijou. Puis j’aspire... Doucement... J’aspire son sexe à l’intérieur de ma bouche avide de queues.
La sensation est indescriptible. Comment décrire un tel concert de sensations et de parfums, combiné au séisme qui éclate dans mon propre corps ? Car tout n’a pas seulement lieu dans ma bouche, même si un gros gland spongieux duquel coule du liquide préséminal légèrement salé embrasse ma langue timide et tendue. Même si le goût de sa bite envahit toute ma cavité buccale, dont les effluves remontent dans mes narines et jusqu’à mon cerveau pour provoquer un feu d’artifice de réjouissances. Même si le volume et la taille phénoménale de ce corps étranger qui entre dans ma bouche jusqu’à aller buter contre ma gorge fermée a quelque chose de l’ordre de la soumission qui me plaît terriblement. Malgré déjà toutes ces nouvelles informations et sensations, il faut aussi parler de l’envolée de milliards de papillons dans mon ventre.
Il faut parler de l’orgasme spontané et incontrôlé qui me prend par surprise et inonde mon boxer et le mollet de la Señora - s’en est-elle aperçu ? - car le tissu tellement tendu ne peut contenir l’explosion de mes jets liquides, si bien que ma première bite en bouche est accompagnée de soubresauts étranges.
— Tout va bien mon chéri ?— Glombfffurrrmm... - mince, je ne peux pas parler correctement avec sa bite en bouche... je la retire. Tout va bien, c’est juste que... Vous sucer m’a provoqué un orgasme...— Oh... La Señora se penche pour constater son mollet trempé et mon boxer tendu avec au sommet du tipi, une tache sombre de laquelle pointe du sperme blanc épais... Ce n’est pas grave mi corazón. Viens t’asseoir à côté de moi.
Je me relève, triste d’abandonner son sexe, mais en me rasseyant près d’elle, j’ai le bonheur de la voir se coller à moi, d’appuyer ses seins contre ma poitrine, et de me dire sensuellement, entre deux baisers torrides, qu’elle préférerait qu’on aille dans sa baignoire plutôt que dans son petit salon et sur ce tapis pas très propre.
La Señora se lève, me tenant par la main, prenant un peu de distance pour que j’admire le mouvement de son cul et de ses hanches pendant qu’elle marche devant moi. Aaaah putain mes aïeux, qu’elle est bonne !!! Je voudrais être aspiré par son cul, là maintenant. Elle fait exprès de rouler du cul, ses jambes se croisant, revenant sans cesse au centre d’une ligne imaginaire, faisant l’effet d’un rouleau compresseur. Ses grosses fesses en mouvement, se battant contre ses hanches pour prendre le plus d’espace possible. Hm, que c’est beau. Une marche divine. Vers l’Olympe.
Nous arrivons dans un couloir sombre, exigu, et quand elle ouvre la porte, je suis subjugué. L’appartement est petit et franchement pas très reluisant, mais la salle de bains est un palais. Une grande pièce d’au moins 25 m² au milieu de laquelle trône non pas une baignoire, mais un grand jacuzzi... L’atmosphère est très aquatique, les murs recouverts d’une peinture bleu pastel, les meubles en bois recouvert d’une peinture blanche et d’un vernis satiné. Par terre courent de nombreux tapis, se chevauchant pour former une mosaïque complexe, mais, étrangement, réjouissante. Et sur le rebord du jacuzzi, de nombreux tubes de shampoing, de gels, de crèmes, des flacons de sels, un autre rempli de bonbons, et une télécommande...
— Cache-toi les yeux bébé.
Je m’exécute, lui lâche la main, et patiente. J’entends l’eau couler. Le débit est intense. Puis je sens des parfums floraux et fruités envahir la pièce en même temps que l’humidité... Cela s’annonce inoubliable...
— Viens me rejoindre.
Quand j’ouvre les yeux, la Señora porte un bikini jaune fluo qui n’en finit plus de me faire baver de désir pour elle...
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