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La Señora Ortega

Chapitre 4

Travesti / Trans
Dans l’immense jacuzzi central, la Señora qui brille de mille feux dans son bikini jaune fluo me dévisage avec appétit... Au milieu de cette ambiance aquatique, dans ces effluves floraux qui m’étourdissent, l’humidité semble m’enlacer et me pousser vers ma déesse. Et sans m’en rendre compte, je franchis la petite distance qui nous sépare, et vient me positionner, dans un état second, juste devant la faïence du jacuzzi...
Adossée au siège du jacuzzi, mais maintenant légèrement courbée vers l’avant, la Señora ressemble à une majesté indétrônable, invulnérable, sur-puissante. Elle contrôle son monde, et elle me contrôle, je ne sais comment. Mais plus rien de répond en moi. Je ne suis plus que signaux vitaux. Je ne suis plus qu’une paire de poumons respirant son poison et paire d’yeux observant ses tactiques séduisantes. Luna, maintenant suffisamment cambrée vers moi, joue de ses avant-bras à la perfection, pressant ainsi ses deux obus de ses biceps moelleux. Ses seins s’écrasent l’un sur l’autre, formant une ligne de faille terriblement longue au milieu, une ligne sombre qui me donne des envies inavouables, mais surtout qui m’aspire... Je n’en reviens toujours pas! J’ai un faible énorme pour les poitrines, mais celle-ci m’intrigue plus que de raison, car je sais qu’elle n’est pas totalement naturelle, mais le fruit d’un travail, de la main de l’homme. Et pourtant, j’y trouve ma perfection. Un mélange parfait entre le traitement hormonal - lui donnant son opulence déstabilisante, sa texture si moelleuse - et les implants mammaires - pour la rondeur siliconée et l’exubérance de son bonnet. Luna danse pour moi, ou alors est-ce une cérémonie d’envoutement. Sa poitrine ondule, son regard vissé sur mon visage, épiant mes plus subtiles réactions. Ses seins disparaissent sous l’eau mousseuse pour mieux émerger, tels deux créatures mythologiques venues des profondeurs sous-marines pour me faire chavirer. Elle répète son petit numéro, sachant si bien qu’elle est en train d’éroder ma santé psychologique, que bientôt je ne serai plus qu’un esclave de son royaume, de son empire.
Quand Luna finit par cesser de s’amuser à presser ses juteux pamplemousses, elle s’attelle à se caresser les flancs. Ses mouvements sont d’une fluidité et d’une sensualité sans équivalant. J’imagine ses mains plonger pour aller flatter ses larges hanches, son fessier monstrueux, ses cuisses que je rêve de croquer. Puis ses mains reviennent, frôlent sa poitrine pour faire pointer des tétons bien durs, deux bonbons acidulés à sucer en bouche, avant de se caresser le visage. C’est une professionnelle de la séduction. Tout son corps est électrique, non, c’est un puissant aimant, et je n’ai aucun moyen d’y résister.
Luna a ramené ses longs cheveux ondulés sur le haut de sa tête, autour d’un chouchou. On pourrait y voir l’éruption capillaire d’un volcan. Pendant une seconde, je l’imagine avec une coloration grandiloquente, carnavalesque, aux couleurs acidulées, comme le fait souvent son sosie Nicki Minaj dans ses clips. En tout cas, cette coiffure lui donne un air encore plus coquin, rehaussant ainsi son visage, lui donnant presque un air hautain, sévère - ses cheveux dégoulinant de tous côtés, m’envoutant de leur danse autonome. C’est ma Méduse. Voilà pourquoi je suis pétrifié depuis que j’ai ouvert les yeux sur cette femme. Je crois que je pourrais passer ma vie à la regarder, simplement l’observer, me nourrir de cette réalité gourmande et généreuse, vivre du plaisir visuel pur, devenir le spécialiste incontesté de son corps, le géographe de ses formes et de ses courbes, de ses dunes et dépressions, de ses cavités. Étudier son comportement, ses réactions. Qu’elle devienne ma réalité, simplement.
Luna reste silencieuse, face à moi. Elle comprend, j’en suis certain, à quel point je suis troublé, mais aussi heureux d’être là, dans cette pièce à l’atmosphère si étrange, à la voir s’offrir à moi, à la dévisager. Elle regarde si intensément mes yeux que je ne doute pas une seule seconde qu’elle comprend mes intentions et mes besoins. Sans cesser de me sourire, l’accentuant même, au point où je distingue ses dents, elle se penche pour se mettre à quatre pattes dans le jacuzzi. La mousse absorbe sa poitrine, mais révèle tout autre chose... Derrière elle, comme un colossal monstre, émerge son cul. Deux icebergs, deux dangers indéfinissables... Sa cambrure du bassin accroit l’exubérance de ses fesses : c’est comme si elles débordaient vers l’extérieur, qu’elle s’étalaient, dégoulinaient, tout en restant fermes, contenues dans cette chair tonique. Chaque pli du haut de ses cuisses est une œuvre d’art. C’est ce pli qui définit si artistiquement le contour de son postérieur, lui donnant cet ovale sur les côtés qui me donne envie de lui sauter dessus pour la mordre, la dévorer, à partir de cet endroit précis. Me nourrir de la chair, la peau, la graisse de son cul, la dévorer entièrement, puis jouir. Un cannibale en puissance. Voilà le désir sexuel à son apogée : faire disparaître l’autre dans sa bouche. Luna voit bien tout l’effet que son cul cambré me fait, et continue de me soumettre à son pouvoir en twerkant pour moi. De la mousse éclabousse alors, c’est un vrai spectacle, avec son, lumière, et effets spéciaux. Entre ses fesses, le bikini semble aspirer... Le mouvement puissant de ses fesses qui sautent et frappent la surface de l’eau entraîne son bikini vers l’intérieur de ses jambes, dénudant encore un peu plus sa chute de reins... Le "flap! flap! flap" qui découle de son petit numéro me donne simplement envie de passer derrière elle pour la sodomiser avec toute la force à laquelle peut prétendre mon corps. Démolir ses deux fesses si prétentieuses, massacrer ce cul infernal, anéantir cette dévergondée par l’anus, la fendre en deux par le sexe. Oui, c’est ça qu’elle mériterait...
Mais sa dance n’était en fait qu’un interlude, un prétexte pour venir vers moi, là, juste au bord du jacuzzi, m’approcher de sa bouche... Et alors que son visage frôle mon bassin, je me rend compte que je suis un pauvre clown. Mon sexe est horriblement bandé sous mon boxer, qui lui est souillé de sperme qui n’a pas totalement séché. Il reste même de gros amas de sperme épais sur le tissu noir, tendu à l’extrême, si tendu que mon gland apparaît en filigrane. Mais Luna ne me laisse pas le temps d’émettre la moindre remarque ou supposition, non, alors que sa joue gauche est déjà en train de se frotter comme une chatte contre mon boxer tout gluant... Je n’en peux plus. Cette femme est une projection de mes plus intimes fantasmes, elle ne peut être réelle. Et tandis qu’elle nettoie mon boxer de sa bouche, engloutissant mon gland encore protégé, et que je vois des filets de sperme lui coller au visage, je me demande réellement si je ne suis pas au beau milieu du plus beau des rêves... Mais si c’est le cas, je me réveillerai bientôt, j’en suis sûr, car la Señora, sa Majesté Luna, vient littéralement de m’arracher mon boxer par son milieu pour gober entièrement ma longue et épaisse verge...
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