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L'île déserte

Chapitre 1

Erotique
La chute Nous sommes le lundi treize février mille neuf cent quatre-vingt quinze, c’est ma fête, nous volons au dessus du Pacifique, il y a une bonne heure que nous avons décollé de Papeete, nous devrions faire demi-tour dans peu de temps. Nous sommes dans un Beechcraft 1900 aménagé spécialement en classe affaire pour la formation. Nous suivons une formation VIP pour intégrer une compagnie aérienne.  Tout à coup, la voix du pilote retenti. –Tout le monde s’assoie et attache sa ceinture, nous avons un problème technique, je vais tenter un amerrissage à côté de cette île, mettez vos gilets de sauvetage et la tête sur les genoux.  J’enfile mon gilet, m’assoie et attache ma ceinture, cet formation de service de VIP tourne à la catastrophe, l’avion perd de l’altitude. Louis, mon copain du moment, est aux commandes, il essaye de sauver les meubles, avec Jean, le co-pilote. Ils vont tenter de poser l’avion sur l’eau le plus proprement possible, personne n’est arrivé à réussir une telle manœuvre. Les deux turbopropulseurs sont arrêtés, les hélices ne tournent plus. Je meurs de trouille, les dix autres hôtesses de l’air de la formation et la formatrice sont comme moi, vertes. Nous sommes quatorze dans l’avion, pas loin du maximum de ses capacités, ça ne va pas faciliter la tâche des pilotes. Je les vois toutes la tête sur les genoux. Je mets ma tête entre mes jambes et reste le plus immobile possible. D’un seul coup, c’est l’enfer, je sens l’avion rebondir deux fois en craquant, il bascule en avant dans un grand bruit et freine très violemment, la ceinture me fais mal au ventre, j’ai l’impression qu’elle va me couper en deux. Je sens l’avion pivoter violement et se retourner, il est coupé en deux, je suis dans la partie arrière. La carlingue de l’avion commence à couler, je suis submergée par l’eau. Je réussi à défaire ma ceinture, mais mes jambes sont coincées par des fauteuils qui ont reculé, la carlingue s’enfonce. Je commence à boire la tasse, j’essaie de dégager ma jambe, je suis complètement paniquée, je vais mourir noyée. Deux mains se glissent sous mes aisselles et tirent, mes jambes se libèrent, je suis libre d’un seul coup, je me laisse monter vers la surface entraînée par mon gilet, je n’ai plus de force. Je me retrouve à l’air libre, je prend un grand bol d’air, je suis sauvée, mon gilet me porte, heureusement, je suis complètement à l’ouest, je ne sais plus quoi faire, je récupère un peu, où est la côte de cette fameuse île ? –Nage, suis moi, ne te laisse pas aller Béatrice, allez, bouge ton cul nom de dieu !!! C’est Maëva, notre formatrice qui me hurle dessus. Je réagit et commence à nager, ça va mieux d’autant que j’ai fais de la compétition de natation de fond en junior, le mille cinq cents mètres, l’eau est mon élément, la distance ne me fait pas peur. Mon corsage est en lambeaux, il me gêne, je réussi à l’enlever pour être plus libre. Je remet le gilet et repart. Je la dépasse, mais je réalise qu’elle a des difficultés à avancer, elle fait du sur place, je ralenti. –Accroche toi à moi Maëva, ne t’en fais pas, j’assure. Elle s’accroche à mon gilet, je la traîne jusqu’à la plage, nous nous laissons aller sur le sable chaud. Je suis épuisée, elle ne peut plus bouger, je remarque que ma jupe est complètement déchirée jusqu’à la taille. –Merci Béatrice, merci, je ne sais pas si j’aurais pu y arriver sans toi.–Tu oublies que c’est toi qui m’a sorti de la merde en me tirant.–Non, ce n’est pas moi, c’est Sophie, elle a aussi sortie Barbara et Farah.–Elle est où ?–Je crois qu’elle ne s’en ai pas sorti, je ne l’ai pas vu remonter de sa dernière plongée.–Putain, quelle merde, tu as l’air triste.–Oui, nous avions une relation, tu sais que je suis bi, c’était ma copine, une merveilleuse copine.
–Désolée pour toi.–Merci.–Mais, où sont les autres ? Maëva se lève, elle regarde tout autour, elle s’accroupie à côté de moi. –Je ne vois que Farah, Barbara, Margaux et nous deux, personne d’autre sur cette plage. –Louis et Jean ?–Non, eux je suis sûre qu’ils sont morts, ils étaient devant, le poste de pilotage a été complètement pulvérisé, il n’en reste rien, je suis désolée.–Merci, mais tu sais notre relation était un peu tendue, elle se terminait, il était un peu trop macho, il voulait tout diriger, et tu sais que c’est pas mon truc. –Oui, ça je le sais que trop bien, mais il t’aimais beaucoup, on discutais souvent de toi, il me parlait souvent de ton corps de déesse comme il disait, il avait raison.–C’est vrai que tu le voyais plus souvent que moi, vous étiez tout les jours ensemble.–Oui, c’était mon pilote pour les formations, on volait pratiquement tous les jours, c’était un super pilote, je suis abasourdie par ce qui vient de se passer.–Mais tu sais ce qui s’est réellement passé ?–Je ne sais pas exactement, tout ce que je peux dire c’est que d’un seul coup les moteurs ont commencés à ratatouiller sans raison et ont fini par s’arrêter. Louis a perdu tous les instruments de bord.–On ne s’est rendu compte de rien dans la carlingue.–Normal, moi j’étais dans la cabine de pilotage, j’amenais un café à Jean. Mais Louis m’a dit de ne rien vous dire, surtout à toi. –C’est pour ça que tu as fermé la porte quand tu es revenu ?–Oui, il me l’avais demandé, je pense qu’ils savaient que c’était fini pour eux.–Que fait on, tu sais où on est ?–Pas du tout, juste sur une île du pacifique, qui, comme pratiquement toutes les îles du pacifique, est recouverte d’une forêt de cocotier. –Tu l’as vu avant l’accident, tu connais sa taille ?–Non, mais nous devons l’explorer, il faut trouver quelque chose à manger et à boire, on va crever sinon.–On aura toujours des noix de coco, il y a de quoi boire et manger. –C’est déjà une chance, mais que fais tu les seins à l’air ?–J’ai enlevé mon corsage qui m’empêchait de nager correctement, et comme je ne porte ni soutif ni culotte, j’ai les seins et le sexe à l’air et je t’avoue que ça ne me dérange pas.–Et tu montre aussi ton sexe bien ouvert à une gouine, j’aime bien.–Fais toi plaisir.–Ok, en plus, ils sont magnifiques, on a envie de les embrasser tous les trois.–Je ne suis pas gouine moi. Elle me sourit, nous nous levons et allons vers Farah qui est allongée sur la plage et qui pleure. Je m’accroupie à côté d’elle et la prend dans mes bras. –Calme toi Farah, calme toi, pleurer ne sert à rien.–Je ne peux pas me retenir, elles sont toutes mortes, pourquoi ?–Je ne sais pas, viens avec moi, nous allons prospecter la forêt, il faut trouver quelque chose à manger. –Ok, je te suis. Nous nous levons quand j’entends Margaux hurler. –C’est Sophie, c’est Sophie, elle arrive.  Je vois Sophie nager vers nous, mais il me semble qu’elle ait des difficultés, je me précipite dans l’eau, je nage pour aller la rejoindre, elle est épuisée. –Accroche toi à moi, je te ramène sur la plage.–Ok. Elle attrape un bout de ma jupe, je la traîne lentement jusque sur la plage. Quand nous sommes au sec, je la couvre de baiser, c’est grâce à elle que je dois d’être encore en vie. –Merci Sophie, merci de m’avoir sorti de cette maudite carlingue, maintenant, tu dois t’occuper de Farah, de Barbara et de moi toute notre vie. Elle me regarde étonnée. –Ah bon, et pourquoi ?–Parce que tu nous as sauvé la vie et que dorénavant tu en est responsable. –On verra ça plus tard, pour l’instant, j’ai besoin de récupérer.–Pas ici, laisse toi faire. Nous la portons avec Maëva jusque sous les arbres, à l’ombre. Elle n’a pas de gilet et son corsage est en parti absent, elle non plus n’a pas de soutif, je vois ses magnifiques seins. –Où est ton gilet ?–Je l’avais enlevé pour pouvoir plonger, je l’avais accroché à un gros débris qui flottait, mais quand je suis revenu à la surface la dernière fois, il avait coulé entraînant mon gilet. Pour le corsage, c’est en remontant avec toi, il s’est accroché à un morceau de tôle, j’ai dû en arracher une grande partie pour remonter. Quand j’ai vu qu’il n’y avait plus rien à faire, je me suis accroché à un fauteuil qui flottait pour reprendre des forces pendant au moins un quart d’heure. J’ai essayé d’avancer avec, mais c’était trop fatigant, je n’avançais pas. J’ai donc décidé d’essayer de rejoindre la côte à la nage, heureusement que tu es venu me chercher, je n’en pouvais plus.–Juste retour des choses, heureusement qu’il n’y a pas de courants forts ici. Farah enlève son corsage et sa jupe, elle est complètement nue devant nous. –Que fais tu ?–J’ai le corps recouvert de sable, j’en ai même dans le sexe, ça me gratte, je ne supporte plus. Elle se dirige vers l’eau, elle entre et s’asperge le corps, je la vois écarter ses cuisses pour bien se rincer le sexe, elle le frotte un moment, que je trouve un peu long pour juste se rincer. Barbara et Margaux l’imitent, elles vont se rincer, elles finissent par s’asperger d’eau en rigolant, la vie reprend. Moi aussi le sable s’est incrusté dans ma jupe, j’en ai comme Farah jusque dans mon sexe, d’autant que comme elle je n’ai rien dessus. Je l’enlève, je suis nue et vais dans l’eau, je suis rejointe par Sophie et Maëva nues elles aussi. Nous nous retrouvons six filles à poil en train de s’asperger d’eau en rigolant.  Margaux prend Barbara dans ses bras et la fait basculer dans l’eau, elles éclatent de rire. Aucune de nous n’a plus de vingt-deux ans excepté Maëva qui en a vingt-quatre. Je regarde ces corps dénudés, elles sont toutes plus belles les unes que les autres, ce sont des hôtesses, mais celles là sont superbes. Elles ont toutes un corps tonique, de belles fesses, de beaux seins, un ventre plat et un pubis lisse à part Margaux qui a des poils très courts et bien dessinés en cœur. La plus jolie est Farah, un visage très fin, des yeux de biche superbement maquillés, c’est une superbe magrébine de Ouarzazate avec un cul d’enfer, des seins pas très gros mais bien ronds et bien hauts. Elle est bien bronzée avec trois minuscules triangles blancs, un qui cache tout juste son sexe, et deux sur ses seins qui ne cachent que les aréoles, le stricte minimum pour paraître « décente ».  Barbara et Margaux se touchent très souvent, elles semblent assez complices voire plus, les mains glissent sur la peau, les seins, les fesses, je vois même des mains se glisser entre des cuisses qui s’ouvrent et y rester quelques secondes, elles se caressent. J’ai l’impression que leur relation est plus intime que je ne le pensais. Elles s’allongent dans l’eau sur la plage, elles se caressent les seins et le pubis, maintenant, je suis sûre qu’elle sont ensemble.  Nous finissons par sortir de l’eau, je me dirige vers ma jupe, mais, il est évident que je ne peux pas remettre ce lambeau de tissu.
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