Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 73 J'aime
  • 0 Commentaire

La servante du château

Chapitre 3

Avec plusieurs hommes
La servante du château.
Chapitre 3.

Après la soirée passée en compagnie du majordome, j’espérais et j’appréhendais en même temps une nouvelle initiative de "Boubou", mais quand il était sûr que personne ne nous voyait, il se contentait de tâter mes seins ou mes fesses avec un grognement d’appréciation :
— Bonne pouliche ! Bonne à monter !
Plusieurs fois, j’avais entendu dans les chambres de Julie et de Mélanie des bruits qui étaient sans équivoque : elles se faisaient baiser et jouissaient en poussant des cris qui s’entendaient distinctement au travers des cloisons, mais je ne reconnaissais pas la voix du majordome.
Qui pouvait bien venir les sauter à tour de rôle chaque soir ?Je ne voyais qu’un autre homme dans la maison pouvant être celui-ci : le jardinier arabe !On ne le voyait pas souvent... Le matin, il passait boire un bol de café avec l’ensemble de la domesticité, à midi et le soir il se contentait d’un repas frugal que la cuisinière préparait spécialement pour lui et il le mangeait là où il travaillait ou dans sa chambre.
Le reste du temps, il le passait à s’occuper des abords du château où il y avait de nombreux parterres de fleurs. Avec un jardin fleuri aussi vaste, il avait fort à faire... Et quand il ne suffisait pas à la tâche (notamment quand il fallait tondre les herbages), il faisait venir de la ville voisine un ou deux de ses amis qui lui ressemblaient beaucoup en apparence.
Il devait être dans la cinquantaine... J’appris plus tard qu’il avait le même âge que moi... Sec comme un coup de trique, il avait le visage émacié, mais très peu de rides. Son teint bistre, ses yeux noirs et sa bouche étroite lui faisaient un masque inquiétant...
Un matin, alors que nous montions à l’étage pour le lever et la toilette de Monsieur le Baron, j’ai dit à Julie et Mélanie (bien que cela ne me regardât qu’à moitié...) qu’elles devaient être plus discrètes ; que les cloisons des chambres des communs où nous nous logions tous n’étaient pas très épaisses, que la veille j’avais tout entendu de leurs gémissements de plaisir.
C’est Julie qui a répondu :
— Oh... Madame... Vous ne savez pas tout ! Vous croyez qu’on s’est fait sauter dans nos chambres respectives... Et bien NON ! C’était prévu depuis le midi avec Mélanie... Nous devions accueillir Ahmed le jardinier et son aide Mohamed dans ma chambre.— Et pourquoi ? Vous avez baisé tous ensemble ?
— Oui... ce n’est d’ailleurs pas la première fois. Comme Mohamed vient travailler "au black", nous devons payer de notre personne. Il baise l’une ou l’autre dans une sorte de paiement en nature, parfois, il nous baise à la suite l’une de l’autre... Un sacré coup, ce mec !
Là-dessus, Mélanie a continué :
— Ce que vous ne devinez certainement pas, c’est que pour la première fois nous avons fait une partie carrée... Les hommes ont changé plusieurs fois de partenaire au cours de la soirée... et ils se sont copieusement vidé les burnes.— Vous m’en direz tant... Ce n’est guère étonnant que j’aie entendu du bruit ! Mais il n’y a qu’un lit étroit dans la chambre ?— Ça ne nous gêne pas... Quand l’une est sur le lit, l’autre trouve toujours une solution.— Donc ce n’est pas la première fois ?— NON, juste quelques jours avant votre arrivée, nous avons eu une partie à quatre... C’était une première pour moi et Julie.
Cette dernière a complété en disant que cette expérience avait été particulièrement jouissive, que jamais elle n’avait connu de plaisir aussi intense !
La conversation s’est arrêtée là, car nous étions arrivées à la chambre de Monsieur le Baron, mais ce récit m’avait chauffé les sangs... Je me suis isolée quelques minutes dans le cabinet de toilette attenant à la chambre du Baron et j’ai plongé deux doigts dans ma chatte inondée de cyprine pour me procurer une jouissance rapide. En peu de jours, j’étais devenue "accro" au sexe !
Quelques soirs plus tard, j’avais achevé mon service et je venais de regagner ma chambre lorsque le majordome est venu m’y rejoindre... Il était accompagné d’Ahmed, le jardinier.
— Voilà, Ahmed veut faire ta connaissance... Vous vous croisez brièvement dans la cuisine le matin, mais vous ne savez rien l’un de l’autre.— Mais il n’y a pas grand-chose à savoir... D’ailleurs, vous savez tout de moi puisque vous avez insisté pour que je sois embauchée, et je sais aussi pourquoi j’ai eu la préférence.— Et quelle est-elle ?— Vous aimez particulièrement les femmes dodues, à la forte poitrine... Je connais l’histoire de la chambrière qui n’a été embauchée qu’après s’être fait gonfler la poitrine.— Oh... cette coquine n’a pas su tenir sa langue... Elle mérite d’être punie !— Oh ! Ne dites rien... Elle m’en voudrait ensuite.— C’est bon... mais pour t’obliger à tenir ta langue, tu vas nous sucer à tour de rôle... T’es une bonne pipeuse, et Ahmed a déjà les couilles bien pleines.— Oh NON ! Pas devant vous... J’aurais trop honte !— Mais ma belle... Tu n’as rien à dire... Au château, c’est moi qui commande ! Mets-toi nue... pendant que tu suceras Ahmed, je te baiserai en levrette. Avec des miches comme les tiennes, ce doit être bon !
J’étais piégée !
Les deux hommes, qui auparavant étaient assis dans deux fauteuils un peu fatigués complétant l’aménagement de ma chambre, se sont levés et ont commencé à se déshabiller. Je découvrais peu à peu le corps aux muscles noueux d’Ahmed et bientôt son sexe m’est apparu... Certes, il était moins long que celui de "Boubou", mais sa circonférence était presque la même.
"Boubou" insistait pour que je me mette nue et j’ai bien été obligée de me soumettre... J’ai ôté mon tablier blanc puis j’ai déboutonné ma robe que j’ai fait glisser sur mes épaules jusqu’au sol. J’étais désormais en sous-vêtements blancs et avec mes chaussures à petits talons.
— C’est vrai qu’elle est jolie... J’aime bien les femmes mûres... généralement, ce sont de bonnes baiseuses.— Oui... Il ne faut pas lui en promettre... Ce n’est pas comme ces petites garces de Julie et Mélanie qu’il faut prier à chaque fois pour qu’elles cèdent !
— Oui... mais les baiser à tour de rôle comme l’autre soir, c’était le pied ! Allez... suce-moi !
Que faire, sinon obéir ?
Mais j’avais envie de sentir la bite du majordome au fond de ma chatte... et sucer un autre homme en même temps... ce serait une expérience nouvelle !
J’ai fait glisser ma culotte et je me suis agenouillée devant le pubis d’Ahmed pour emboucher son sexe... Il sentait bon l’eau de Cologne... En moi-même, je pensai que c’était un bon point pour lui... et j’ai commencé à jouer de ma bouche et de mes mains sur ce membre qui était dressé sur un pubis à la toison rasée... chose nouvelle pour moi... les deux hommes du château étaient des adeptes de ce genre de fantaisie que Jules n’avait pas...
Pendant ce temps, je sentais le souffle de "Boubou"’sur mes fesses et dans ma raie... J’avais des frissons qui remontaient jusqu’à mes reins, mais c’étaient des frissons de plaisir... J’imaginais sa lance me perforer la chatte déjà bien humide de mes sécrétions... Humm !
— Vite... Enfile-moi... je t’attends !
J’ai senti les larges mains de "Boubou" m’écarter les fesses et le gland de sa bite parcourir ma raie, après être passé entre mes lèvres intimes où il a enduit son pal de la cyprine qui s’écoulait déjà. Il l’a posé sur mon œillet plissé, mais comme j’ai eu un mouvement d’évitement, il est redescendu à l’orée de ma chatte où il s’est enfoncé lentement. Bientôt, le pubis de mon amant était collé contre mes fesses.
Si au début j’ai eu un peu de peine à endurer cette pénétration en même temps que je suçais Ahmed, j’ai trouvé le rythme... Du moins, je me concentrais sur la fellation, et laissais le majordome aller et venir dans ma chatte... C’était lui le Maître !
Dans ma bouche, je sentais le vit du jardinier aller et venir au gré de mes aspirations... Je retrouvai mes réflexes de jeunesse quand je fréquentais Jules avant notre mariage (je voulais y arriver vierge)... J’avais découvert cette caresse qui m’évitait de lui donner mon pucelage avant l’heure.
Après quelque temps, "Boubou" s’est libéré au fond de mes entrailles, déclenchant aussitôt le jaillissement du sperme d’Ahmed qui se répandit dans ma bouche et sur mon visage.
Les deux hommes avaient été aussi généreux l’un que l’autre... Ma chatte débordait littéralement du jus du majordome et de ma cyprine, et l’épanchement d’Ahmed sur mon buste était significatif... Je me suis relevée et je suis passée dans mon cabinet de toilette : j’avais besoin de m’essuyer un peu. "Boubou" et Ahmed sont partis pendant ce temps sans oublier de me dire qu’ils reviendraient bientôt.
Oh... oui... c’est quand ils voudront ! J’ai envie de la bite d’Ahmed dans ma chatte... Elle doit être bonne, elle aussi !

Les jours passaient... L’été était là...
Plusieurs après-midi par semaine, Julie et Mélanie allaient aider Ahmed et Mohamed pour rentrer le foin provenant de la tonte des pelouses et prairies entourant le château... Mais elles n’étaient jamais là pour le repas du soir... et lorsque je les croisais près de nos chambres, elles avaient le visage illuminé et des brindilles d’herbe dans les cheveux... Elles avaient dû terminer la journée en bonne compagnie et se rouler dans le foin.
Ah ! Les coquines... mais c’était plus de leur âge que du mien.
De mon côté, j’avais "Boubou" qui venait me rejoindre dans ma chambre presque tous les soirs... Il ne s’éclipsait qu’aux petites heures du jour après m’avoir fait l’amour deux ou trois fois. Il était insatiable et inépuisable !
Si bien qu’un jour, il a pris la camionnette du domaine et il m’a demandé de l’accompagner "en ville", m’a-t-il dit. En fait, nous sommes allés dans un dépôt-vente où nous avons choisi un lit à deux places d’occasion, mais récent. Avec un clin d’œil salace, "Boubou" m’a dit :
— Comme cela nous serons mieux : on aura plus de place !
Que dire... sinon le remercier...
Le soir même, il installait ce nouveau lit avec Ahmed...
Pendant quelques jours, je restai seule dans ce grand lit... "Boubou" semblait être occupé ailleurs... Le soir, il partait avec la camionnette et ne revenait que pour le petit-déjeuner. Il avait une mine de conspirateur... Que pouvait-il préparer ?
Mais c’est Ahmed qui a eu la primeur de mon nouveau lit. C’était un samedi soir... Quand il est arrivé dans ma chambre, il m’a tout dit :
— C’est "Boubou" qui m’envoie... Il est occupé et il a dit que tu devais t’ennuyer... alors je suis là à sa place.— Et que veux-tu ?— Mais te baiser, bien sûr... tu n’en as pas envie après avoir goûté à ma bite, l’autre jour ?
Je suis restée sans voix quelques minutes puis, conquise par la situation que faisait de moi une femme facile, j’ai entrepris de déshabiller Ahmed... Sa chemise et son maillot retirés, je me suis attaquée à la ceinture de son pantalon qui est descendu avec son slip sur ses chevilles. Il les a ôtés et il était nu devant moi, son sexe à moitié dressé sur le devant de son pubis.Il m’a fait tourner sur moi-même pour descendre le zip de ma robe qui a glissée sur mes épaules et sur ma taille.
— Waouh... T’es aussi belle de dos que de face !
Et par-dessus mon soutien-gorge, il a empaumé mes seins dans ses larges mains un peu calleuses.J’avais envie de les sentir directement sur ma peau... j’ai dégrafé mon soutif’; et quand Ahmed a fait rouler mes tétons aux creux de ses mains, je me suis reculée pour sentir sa bite entre mes fesses.
Quelle salope étais-je devenue ? Après avoir baisé un certain nombre de fois avec le majordome, sucé le jardinier dans une partie à trois, je m’apprêtais à me faire enfiler par ce dernier ! Ma chatte pleurait d’envie... J’ai ôté ma culotte et je me suis mise à quatre pattes sur le lit en lui disant que je l’attendais.
Ahmed a joué quelque temps avec ses doigts dans ma chatte, il les entrait dans mon sexe puis revenait masturber mon clitoris comme pour exacerber mon impatience à me faire enfiler par son bout. Soudain, j’ai senti ses doigts enduits de ma cyprine se poser sur mon anneau plissé qu’il a massé doucement avant d’y entrer un, puis deux doigts...
— Oh, t’es étroite du cul... T’as jamais eu une bite dedans ? Va falloir y remédier !— Oh... non... jamais... Pas de bite dans mon fondement... Ooohhhh !
Je bégayais, tant j’étais surprise par cette caresse, mais en même temps, j’appréciais cette pénétration contre nature !
Quand les doigts sont sortis de mon sphincter, je fus frustrée... et soulagée qu’Ahmed ne continue pas. En contrepartie, il m’a éperonnée sèchement avec son pal que j’ai senti passer... Mais la brutalité de la pénétration s’est estompée rapidement lorsqu’il a commencé à aller et venir dans ma chatte... Je le sentais bien... il était plus vigoureux que le majordome et il m’a fait jouir une première fois...
Je ne savais plus où j’en étais... un peu plus de six mois après avoir été embauchée, j’avais baisé avec les deux hommes de la maison... et j’étais prête à recommencer autant de fois que je serais sollicitée. J’avais jeté par-dessus les moulins tous les préceptes de ma religion, et que Jules me pardonne : baiser, c’était si bon !
Mais je n’en avais pas fini avec Ahmed... Il s’était retenu de jouir...
— Allez, ma belle pouliche... à toi de travailler...
Il s’est mis sur le dos, le sexe dressé comme un pal et il a expliqué ce qu’il voulait.
— A cheval sur mon pieu... je veux voir danser tes mamelles quand tu monteras et descendras pour me faire jouir. Ce doit être un beau spectacle !
Je ne dis pas quel plaisir j’ai eu à sentir sa bite entrer dans ma chatte ; puis, lorsque j’ai été bien installée, la sentir aller et venir en moi à mon gré pendant que je voyais le regard d’Ahmed fixé sur mes seins qui dansaient.
Ma jouissance a été assez longue à revenir, mais Ahmed ne semblait pas impatient... Il se repaissait du spectacle de ma poitrine qui dansait, de mes seins qui s’entrechoquaient avec un bruit mat... mais je ne pouvais plus me retenir... Le plaisir a de nouveau éclaté dans mon bas-ventre... C’est ce qu’attendait mon amant : il s’est mis à jouir à son tour et m’a inondée de son jus avant de s’affaler sur mon buste.
Nous avions bien inauguré mon nouveau lit...
Mais Ahmed, tout comme moi, nous n’en avions pas assez... Je l’ai fait sortir de ma chatte et j’ai nettoyé sa bite, la léchant sur toute sa longueur en caressant ses couilles que j’imaginais bien pleines...

A suivre.
Diffuse en direct !
Regarder son live