Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 86 J'aime
  • 2 Commentaires

Serveur d'un soir

Chapitre 4

Bis Repetita ?

Hétéro
Je puis assurer que j’étais terrassée. Et emplie de vie, d’émotions. Dans le même temps aussi, de bestialité.Bizarrement, alors qu’une partie de moi aurait pu dormir douze heures d’affilée, je me réveillais à peine deux heures plus tard.Un goût d’encore. Sa main était toujours proche de mon visage. J’émergeais doucement en gémissant admirablement.Je crois que la tigresse était restée en moi et réclamait une petite rallonge. Joueuse, des picotements parcourant tout mon corps, du bout de mes orteils jusqu’à mes lèvres, je cherchais presque inconsciemment comment communiquer cette envie à mon serveur exceptionnel.
Le regarder à côté de moi me rendait toute chose. Il était ventre contre matelas.Je commençais par humer sa main à quelques centimètres de moi. J’en léchais doucement ses doigts. Une odeur mêlée à un goût de nos semences mélangées. Je retrouvais l’odeur de sa bite qui m’avait marquée comme jamais lorsque j’avais ouvert son jean serré.
Je distinguais aussi nettement mon odeur de cyprine que je connaissais bien. Le goût était un peu salé, subtilement amer. J’aimais ce mélange épicé, symbole de nos effluves entremêlés.Son visage était tourné vers l’extérieur, de trois quarts.Je dégageais complètement la couette qui nous enveloppait. Il faisait de toute manière bien trop chaud, on étouffait presque. Comme dans l’étuve d’une tente, une nuit de canicule.Je fus traversée d’un petit frisson. Je ne savais pas s’il fallait l’attribuer à la différence de température subite ou à la redécouverte de ce corps d’exception. Putain... ce corps. Max était divin. Assurément, un corps de 20 ans de cet acabit, c’est l’adonis à l’état brut. Toute forme tendue, bombée, évidente. De sensualité. De sexualité providentielle.
D’un travelling continu, mon regard caressait ses lignes puissantes, offrant une topographie sur laquelle j’aimerais me balader éternellement. Mes yeux étaient partis de cette tignasse hirsute de jais, sorte de paille douce qui me rappelait les foins d’été. Puis j’avais balayé sa nuque musclée, son dos imposant et athlétique, le jeté de ses reins pour mieux faire rebondir ses fesses quasi imberbes et charnues, mais bandées. Puis ses cuisses, lançant des jambes gymniques jusqu’à déposer des pieds parfaitement dessinés sur le bout du matelas. Une de ses jambes repliées permettait de distinguer le dessus de son pied droit, large et délicat.
C’est alors que je me pliai machinalement en avant pour embrasser ses fesses. J’en léchai le surplomb, respirai la sueur séchée, me délectai de ce petit goût salé. Je m’assis à califourchon sur la chute de ses reins pour me déposer le long de son dos. Mes seins dans sa nuque. Je commençais de me frotter contre lui. Puis j’inversai ma position, glissant mes pieds vers sa tête, ensuite frottant mon pubis de son dos à ses cuisses. Mes mains attaquaient les caresses de ses jambes sculpturales pour gagner ses pieds.
Mon ambition toute trouvée était de le caresser sans relâche jusqu’à son réveil. J’avais tout mon temps. Un de mes frottements ou succions finirait bien par exalter les sens de Max. Réactiver son désir, qu’il soit enfoui dans ses rêveries ou à fleur de la réalité. Je me relevai alors, et j’eus soudain envie de me toucher très fort. Je commençais à saisir ma toison quand je me rendis compte que sous moi, comme une continuité naturelle, se trouvait la raie du fessier modelé de Max. Ma caresse continua plus bas pour atteindre son périnée. Mon pouce se positionnait sur son anus quand le reste de mes doigts parcourait toute la zone courbée pour buter sur ses bourses un peu plus rétractées que durant notre coït acrobatique.
Là, je le sentis d’abord se mouvoir un peu, dans une rotation latérale, comme on le ferait pour augmenter le frottement de son sexe contre le matelas. Max devait bander dans son subconscient, émoustillé par mon opération maligne. Il était difficile de vérifier l’étendue de son érection dans sa position actuelle, mais c’était un bon début.
J’enfonçais un peu plus mon pouce pour caresser la raie de son cul saillant, et j’obtins immédiatement l’effet escompté : un gémissement langoureux, toujours en surface de l’inconscient. L’effet était miroir, je m’émoustillais davantage, motivant à décupler l’ardeur de mon entreprise.
J’envisageais clairement d’explorer quelques zones autant voire plus érogènes de l’anatomie diabolique de Max. J’allais pour chercher son gourdin déjà tendu pour le faire passer entre ses jambes, dans la continuité de son cul, comme pour congestionner ses bourses et obtenir le dessous de sa tige nervurée et conduisant au frein si distinguable. Une route en soi, reliant la base au gland, fruit gonflé par mes sollicitations répétées et distillées de toutes parts.
Mon corps était toujours en quinconce de celui de Max, face à l’entrée de sa chambre.J’aperçus d’abord une lumière éclairer le couloir attenant.Le rai de lumière balayait le sol de la chambre selon un quadrilatère évasé qui suivait ensuite le volume du matelas jusqu’à baigner le bas des jambes équitablement velues de mon lionceau encore endormi. Cette partie du corps encore plus visible me tendit d’émoi. Je déduisais que la lumière venait de la pièce parfaitement en face, de mémoire la salle de bain.
De savoir une présence à quelques mètres seulement m’excitait davantage encore.Ma main coula donc sous la jambe droite de Max pour saisir sa bite et la ramener dans le prolongement imaginé.Mais alors que mon regard portait sur mon action, je sentis une ombre balayer le faisceau à nos pieds. Cela me figea immédiatement, le temps de vérifier ce mouvement. A mon grand étonnement, l’ombre demeurait. Intacte. Immobile. De toute évidence, quelqu’un attendait derrière la porte.
Mon sang ne fit qu’un tour, car ma pleine main en contact prolongé sur le membre enflé de Max le faisait murmurer de plaisir de façon de plus en plus ostensible. Et il m’est d’avis que notre invité surprise devait le percevoir distinctement.
Je restais alerte et finissais le plus doucement possible mon mouvement, voyant apparaître le gland sens dessous dessus de Max, une petite bille de liquide préséminal perlant tout au bout.Je relevais à nouveau la tête vers la porte quand un filet de lumière accompagna un bruit d’entrebâillement légèrement grinçant. Le faisceau me gagna quasi intégralement, passant de la demi-pénombre à une lumière crue et aveuglante. Je pense que le petit voyeur qui ne voulait jeter qu’un œil furtif et intéressé ne s’attendait pas à me voir de face, encore moins totalement nue, les seins bombés, les reins cambrés et la bite de Max en mains.
La porte se referma quasi instantanément, la lumière de la salle de bain disparaissant presque dans la foulée.Je n’imagine pas l’intéressé particulièrement délicat, car je perçus son pas lourd regagner l’entrée de la maison. En même temps, pourquoi le serait-il puisqu’il savait que je l’avais allègrement grillé.
En revanche, je ne savais pas précisément de qui il s’agissait. Certainement pas la mère de Max, ça manquait particulièrement de délicatesse. Peut-être son frère s’il était rentré inopinément. Mais pourquoi gagner l’opposé de sa chambre ?
Quand soudain, je remis les informations dans le bon ordre et conclus assez aisément qu’il s’agissait de son père, embauchant très tôt le matin.Il venait de finir sa douche et s’apprêtait à prendre son petit-déjeuner, très certainement.Il aurait suffi que je replonge une demi-seconde sur le corps de Max pour retrouver toute mon ébullition un brin salace.Mais je suis très curieuse de nature. Et têtue. Cette soirée m’avait quelque peu ouverte et dévergondée.J’avais envie de me mettre en danger, et me confronter à ce petit fouineur de paternel de Max m’enthousiasmait pas mal...
Diffuse en direct !
Regarder son live