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Serveur d'un soir

Chapitre 6

Son Frère

Hétéro
Je toquai discrètement à la porte de la salle de bain, ajoutant délicatement, en ouvrant précieusement la porte :
— Max ?
Une voix un peu plus grave me répondit gentiment :
— Non, Hamza.
Ça me sécha net. Beaucoup trop d’informations se bousculaient dans ma tête... J’étais rassurée que ce ne soit pas Max, car cela signifiait qu’au moins il ne m’avait pas vu me faire mystifier par son père. Mais cela ne changeait que peu le problème, car cet Hamza avait donc pu nous surprendre. Mais comment ? J’avais scruté le couloir pendant une bonne partie du coït. Cela voulait dire qu’il s’était introduit dans la salle de bain plus tôt... peut-être quand nous discutions avec Didier.Mais d’ailleurs, qui était ce mec ? Pas le frère de Max puisque son père m’avait parlé d’un Simon...Tout ce cheminement m’avait traversée en une fraction de seconde. J’essayai de faire bonne figure :
— Enchantée. Je suis Sam, une amie de Max. J’ai un peu de mal à dormir. Mais je croyais que nous étions seuls sur l’étage ?
Hamza répondit avec légèreté et bonhommie :
— Apparemment pas. Je suis le meilleur pote de Simon, son frère. Tu le connais ?— Non. C’est la première fois que je viens ici.
Je me rapprochais de la double-vasque rosée, pour combler la conversation et me rafraichir, car j’avais une mine sacrément chahutée. Je ferais peur à mon ombre...
— Je connais les lieux comme ma poche, je connais Simon depuis qu’on est en maternelle.
Il devait lire dans mes pensées, car il enchaîna, comme pour me rassurer et m’éviter un quelconque interrogatoire déguisé :
— Nous sommes rentrés vers 3h du mat. Par le petit jardin arrière. On fait ça souvent pour ne réveiller personne. La chambre de Simon a une porte-fenêtre qui y donne directement. Eh oui, je vous ai entendus avec Max. Je n’ai rien dit à Simon. J’en ai profité seul. J’allais aux toilettes discrètement quand je vous ai entendus depuis le couloir. J’ai profité de vos gémissements très très émoustillants pendant cinq minutes avant de regagner la chambre de Simon. Je ne pouvais pas le faire attendre trop longtemps, il m’attendait pour commencer notre délire FIFA. J’avais une gaule de tous les Dieux. Je crois que Simon a feint de ne rien voir, pourtant j’avais laissé la chose bien en évidence...
Pendant son monologue bien sympathique, j’avais tenté de me contenir, me mouillant le visage, me recoiffant, et puisqu’il savait tout, de façon cash, je m’étais nettoyé le vagin, les jambes, sans retenu.
Je me sentais mieux.Aussi, et parce que les indices étaient flagrants, j’avais compris les appels du pied de Hamza. Il était bien trop élogieux et centré sur Simon, même pour un meilleur pote. Il en pinçait pour son gars sûr. Et ça semblait un brin douloureux. En tout cas obsédant chez lui.
J’avais eu le temps aussi de le détailler de près et de loin.Carrément beau. Un bon 1m90, élancé, sec, mais musclé. Un teint hâlé de tous les diables. Les cheveux bouclés courts, une cicatrice sexy sur sa pommette gauche. Des tétons petits, fermes, discrets, bruns, foncés. Il avait des pieds grecs parfaitement équilibrés et aux ongles magnifiquement entretenus. Un sublime jeunot de tout juste 18 ans, sans doute en terminale, avec les sens en ébullition et l’envie de bouffer la vie.
Sa compagnie était très agréable. Son phrasé mélodieux. J’imagine qu’il était kabyle, ses yeux très clairs et profonds le trahissaient.Il s’était confié, il me donnait envie de l’aider :
— Tu m’as l’air d’être bien féru de Simon, non ? T’as déjà essayé de lui dire ?
J’ajoutais après un temps :
— J’ai pas l’impression que ce soit réciproque, c’est ça ?— Ouais, Simon est canon. Pour te donner une idée, c’est un Max en puissance. Sauf qu’imagine qu’il est vice-champion de France de Judo. Baraque à souhait. Taillé en V, et ultra-doux et cool. Mais je pense vraiment qu’il est à fond hétéro. Je sais qu’il a eu quelques aventures pas très sérieuses. Mais il n’a jamais touché un mec. S’il avait dû, il l’aurait fait avec moi, avec toutes les occasions qu’on a eues. Le nombre de fois où on a dormi ensemble, limite collés l’un l’autre par le hasard de la nuit...— Ça ne veut rien dire. C’est peut-être trop de pression aussi. Avec toi, je veux dire. Il t’aime amicalement. Il ne veut pas se risquer à te perdre. Mon cousin me disait que c’était courant chez les mecs de s’astiquer l’un l’autre ou ensemble. Vous l’avez déjà fait ?— Justement, non. Ça m’est déjà arrivé avec des potes, mais jamais avec Simon. Pourtant, on fait du sport depuis toujours ensemble, de la natation et on s’est vus toutes les semaines à poil depuis notre enfance. Les occasions ont été nombreuses.
Dans la conversation, Hamza s’était assis sur le rebord du meuble, les jambes pendantes. Un peu penaud. Il était si grand que ses doigts de pieds effleuraient presque le sol. Pour ma part, j’étais assise sur une panière en osier, à cinquante centimètres de lui en contre-bas. Je lui pris la main.
— Vous parlez cul ensemble ?
Il avait l’air touché par mon entière attention :
— Ouais, comme des mecs. Il y a souvent la moitié à jeter, l’autre sans doute bien ‘rajoutée’.— Ha ha ! J’imagine. Surtout du haut de vos 17 balais. Tu sais s’il a déjà couché avec une meuf ?— Ouaip, Magalie à coup sûr, Sophia aussi. Je le sais, car Magalie me dit tout. J’ai eu plus de détails par elle d’ailleurs.— T’as déjà tenté de lui dire juste que tu étais homo.— C’est même pas la question. Je ne sais même pas ce qu’il en est de mon orientation. Je sais juste que depuis deux ans, je le kiffe grave. Au début, c’était une admiration grandissante, ça coïncidait avec ses premiers résultats sportifs, j’avais pris ça vraiment comme de la dévotion, de la fierté d’être son pote. Puis dans les détails, quand j’ai commencé à m’imaginer avec lui, à souhaiter une accolade plus prononcée lorsqu’on se disait bonjour, une bise plus appuyée lors des au revoir... C’est quand je lui ai piqué un caleçon pour humer l’odeur en cachette puis une paire de chaussettes pour me branler dedans que ça n’a plus fait de doute. Lui. Simon. Y a que lui qui m’intéresse. Les autres mecs, je m’en tape.— Et les autres meufs aussi, j’imagine.— Carrément.— Mais tu sais si tu es sensible aux caresses d’une fille aussi ?— J’sais pas. C’est pas vraiment d’actualité...
C’est alors que de la simple caresse de sa main, je me levais pour lui cajoler le bras.Puis je déposai un baiser au creux de sa clavicule gauche. Il ne bronchait pas. Je pense qu’il avait saisi le sens de l’exercice.J’en profitai assez gaiment à vrai dire. D’une sensualité extrême, je commençais à lui lécher ses pectoraux immenses et remarquables. Je regardais à intervalle régulier si dans le simple de jogging qu’il portait, une réaction sous-jacente se tramait.
Mais je me fiais à d’autres indices puisque c’est lui qui me prit la bouche. Ses lèvres étaient délicieuses. Dessinées, bombées, délicates. Ma main flirtait avec son dos, sa joue, son bras en suspension. Mon autre main avait saisi son paquet et oui, il était déjà bien tendu. Sans plus d’atermoiement, je quittais notre baiser langoureux pour m’atteler à une pipe d’enfer.
Je tirais sur son jogging pendant qu’il remontait son bassin à l’aide de ses bras, comme un gymnaste sur des barres parallèles, afin de me laisser dégager le tissu.Une belle bête. Déjà décalottée, brunie, longue. Digne. Je m’appliquais à prodiguer les meilleurs soins à cette tige désireuse.Accumulant la salive, je jouais d’abord avec son gland parme. Je m’amusais avec son frein, puis d’un coup de langue, nettoyais l’ensemble. Puis j’empalai ma cavité buccale sur le chibre entier pour quelques gorges profondes, tout en lui caressant les bourses.
Hamza avait d’abord porté la main à sa bouche comme pour réprimer sa surprise. Puis il s’était détendu et profitait, extasié, les yeux fermés. Est-ce qu’il imaginait Simon à ma place ?C’est le moment que je choisis pour me redresser et revenir à hauteur de son visage.Il ne semblait pas déconcerté par l’arrêt soudain de mes bons petits soins.Il paraissait plutôt suspendu à mes lèvres. Il avait saisi toute la malice dans mes pupilles enjouées :
— Hamza. Et si tu me faisais confiance ? Tu me fais confiance ?— Euh, oui. Mais pour quoi ?— Et si je te disais que dans trente minutes, Simon est tien, tu me crois ? Tu me suis ?— Eh bien j’sais pas. Enfin, oui, évidemment que oui.— Je ne te dis rien de plus, mais laisse-moi faire, j’ai ma petite idée ! Vous êtes encore sur Fifa ou vous avez lâché votre battle ?— On faisait une pause. J’avais besoin de boire et lui branchait une meuf sur What’s App.— Parfait. Allons rejoindre Simon.
Ses yeux acquiesçaient. Je percevais bien une once de détresse derrière le rêve qui pointait, scintillait face à lui, à nous.Simon.J’avais hâte de découvrir l’énergumène.On allait bien s’amuser...Ressortant de la salle de bain, lui caressant les fesses comme dans un jeu, je lui susurrais, formelle :
— Tu me remercieras plus tard.
Je l’entendis glousser. De ces rictus joyeux annonçant un fantasme à réaliser !
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