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La serveuse -b

Chapitre 1

Hétéro
Un ami et moi revenions des vacances, nous les avions passées à Saint-Maxime dans le midi de la France ( à côté de Saint-Tropez ). Il était plus ou moins minuit, nous étions sur l?autoroute, c?est moi qui roulez à ce moment-là, et mon ami avait faim. Je lui dis d?attendre un peu et que dans une dizaine de kilomètre, il y avait un Restoroute.
Enfin, nous arrivons au Restoroute, je rangeais la voiture sur le parking. En sortant, de la voiture, une voiture se rangeait à nos côtés et une jeune femme en sortait habillé en serveuse. Elle se dirigea comme nous vers le Restoroute.
Une fois à l?intérieur, on s?est assis et la jeune femme que l?on avait vue auparavant est venue sur nous pour prendre notre commande. Elle était belle : cheveux bruns, yeux bleus, à travers sa blouse on pouvait distinguer de beaux seins, elle portait une jupe qui laissait voir ses jambes qui n?en finissaient plus. Quand elle prit la commande, elle était fort près de moi, me demanda en premier ce que j?allais prendre en me regardant dans les yeux... Ses yeux avaient une expression que tout homme pourrait comprendre. Je dis ce que j?allais manger et elle demanda alors à mon ami sans le regarder. Pendant ce temps-là, comme mon ami était indécis, je glissa ma main avec discrétion entre ses cuisses sous sa jupe. La serveuse ne dit rien, je sentais bien quelle portait un string. Je lui massa le clitoris avec tendresse. Apparemment, ça lui plut. Mon ami se décida enfin, elle partit passer la commande en cuisine.
Un bon moment passa. Pendant cette attente, je sentais bien qu?elle me regardait.
Les plats arrivèrent enfin. Sous mon assiette se trouvait un petit mot que je prit avec discrétion pour que mon ami ne voie rien. La serveuse me demandait de la rejoindre dans les toilettes. Je mangea en quatrième vitesse et laissa mon ami pour aller aux toilettes.
Je la vois encore là à m?attendre sur le rebord du lavabo occuper de fumer sa cigarette.
Je m?approche d?elle, et là, elle me dit : ’ petit coquin, c?est bon ce que tu m’as fait tout à l?heure. Maintenant, il faudra continuer et aller plus loin ’. Et là, juste après ces mots, elle mit sa main sur mon paquet.
Aussitôt, je lui fit sortir ses seins. Suffocation quand je les vis, ils sont plus gros que je ne le pensais. Je les massais avec frénésie. Pendant ce temps, elle enleva mon pantalon, elle retira mes mains, se baissa, enleva mon caleçon, prit ma queue qui avait grandi. Elle commençât à me masturber, puis la pris en bouche et me suçât d?une façon telle que je sut tout de suite qu?elle avait de l?expérience dans ce domaine.
Je l?arrêta, déchira le reste de ses vêtements. Ma main sur sa chatte faisait des mouvements de va et vient qu?elle aimait. Je la positionna le cul en buse et la pénétra d?un coup sec pour lui dire tout de suite à quoi elle devait s?attendre. Elle fut surprise de sentir ma queue, elle me dit : ’ tu as une grosse queue, je n?ai pas encore eu l?occasion d?avoir un mec vachement bien membré comme toi ’. Elle commença à pousser de petits cris, elle me demanda déjà d?arrêter mais je n?en fis rien. Je lui dis : ’ tu as voulu, maintenant tu vas souffrir salope ’. Je commença à aller de plus en plus fort dans sa chatte qui coulait comme une rivière. Elle se demanda qu?est-ce qui lui arrivait, elle souffrait. Moi, je m?amusais comme un petit fou à la bourrer.
J?allais éjaculer dans sa chatte mais m?arrêta à temps, positionna sa bouche sur ma queue et lui mit tout dans la bouche. Elle savait qu?elle ne pouvait rien faire alors elle avala tout sans discuter. Elle pensait alors que j?avais terminé. Mais, cela n?en fût rien et je la mis sur le lavabo, écarta ses jambes et continua à la bourrer.
Elle ma disait : ’ Stop, Stop ! ’.
Je lui répondis : ’ J?ai pas encore fini avec toi ! ’
Je continuais à la bourrer et apparemment, ça commençait à lui plaire car je sentis qu?elle écarta ses jambes plus fort, et que mon gland butait le fond de son vagin. Elle jouissait d?une façon que je n?oublierais jamais.
Je la descends du lavabo, mais son cul en buse, met de sa mouille sur son trou du cul. Elle me dit : ’ Non pas ça, j?aime pas ’. Je lui dis : ’ Si, tu verras avec moi, ça va te plaire ’. Et je mis ma queue dans son trou du cul, la défonça avec des coups de reins encore plus fort qu?auparavant, elle se laissa faire. Elle aimait apparemment. Après un moment, je remis ma queue dans sa chatte et elle me dit : ’ Oui, la je préfère ! ’.
’ Je sais sale putte ’, lui répondis-je.
Elle n?avait jamais dû souffrir comme ça car elle s?évanouit. J?en profita pour arrêter, me rhabiller et la rhabiller. Je l?emmenais dans la voiture, la plaça sur la banquette arrière. Je retournais au Restoroute, chercher mon copain et nous repartîmes sur la route pour rentrer chez nous.
Après cinq heures de route, on arrivait chez nous, je déposas mon copain avec ses affaires chez lui, et alla chez moi. Une fois toutes les affaires enlevaient de la voiture, je m?occupa de la fille, je la mis dans mon pieu, la déshabilla. Je sentis qu?elle commençait à revenir à elle, alors je me suis mis à poil comme elle, alla sur elle et recommençais à la sauter. Elle ne disa rien et poussa des cris de jouissement très fort. Elle me dit : ’ Oui, Oui ! Vas-y défonce-moi, plus fort, plus fort ’. ’ Attends salope, tu vas voir ce que tu vas voir ’, répondis-je. Pendant trois heures, on continua à niquer. Moi, commençant à me fatiguer, j?arrête. Et là, elle me dit : ’ Maintenant qu?on est chez toi, tu peux faire ce que tu veux de moi ! ’.
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