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La serveuse de l'hôtel

Chapitre 1

Hétéro
Bonjour, je me présente : je m’appelle Bryan, je viens d’avoir 23 ans, je fais 1 mètre 85 pour 70 kilos avec un physique athlétique.
Mon histoire se déroule dans un hôtel que je prends lors de mes formations de travail, j’en ai beaucoup en ce moment en région parisienne. J’arrive à l’hôtel tôt vers les dix-sept heures, bien fatigué de la route le matin et de ma journée, je suis bien décidé à me reposer devant un bon film en attendant le repas du soir.
Je me déshabille pour rester en caleçon et me faufile dans le lit deux places de ma chambre, j’allume la télévision pour chercher ce qu’il y a, mais à cette heure-là, il n’y a pas grand-chose. C’est là que je prends mon portable pour aller lire des histoires érotiques sur internet, je préfère ça aux vidéos pornos. Maintenant, ça m’excite plus je m’imagine dans la scène, je commence à me masturber en lisant une histoire, j’éteins la télé pour entendre le bruit des personnes qui passent dans le couloir. J’ai presque l’impression d’être dans un lieu public, bien caché, et qu’à tout moment, quelqu’un pourrait me voir, cela m’excite encore plus, je suis au bord de la jouissance quand j’arrête tout. J’adore me le faire ou à mes partenaires pour les faire languir de plaisir et rester en ébullition un moment, je reste dans cet état à alterner entre masturbation et caresse jusqu’à l’heure du repas.
Il est 19 heures 30, je descends chercher mon repas dans la salle à manger de l’hôtel, c’est à ce moment que je la vois la serveuse, elle doit avoir 35 ans, 1 mètre 70 grâce à ses talons qui mettent ses jambes et surtout ses fesses en valeur, brune aux yeux bleus avec un corps sublime qu’elle sait mettre en valeur. Nous sommes seuls dans la pièce à cause de la pandémie, on doit manger en chambre, ce qui ne me déplait pas plus que ça, mais là ça m’empêche de la voir elle, ce qui me rend plutôt triste de cette situation.
— Bonjour monsieur, c’est pour votre repas ?— Exactement je suis dans la chambre 22.— Je vais voir où ils en sont, je reviens.— Merci.— ça sera prêt dans deux minutes, vous voulez une boisson avec votre repas ?— Juste de l’eau s’il vous plaît.
Elle prend une bouteille d’eau, mais se rend compte rapidement qu’elle n’a pas mis de gel hydroalcoolique sur ses mains avant de me servir, elle s’excuse puis met le gel sur ses mains et commence à frotter la bouteille pour la nettoyer. On aurait presque dit qu’elle la masturbe cette bouteille, elle a une main de chaque côté et fait des va-et-vient de haut en bas doucement, une érection me gagne, j’aurais dû me finir ! La serveuse relève la tête et comprend ce qu’il vient de se passer, elle me sourit, j’espère qu’elle n’a pas vu mon pénis tendu sous mon pantalon. Elle fait demi-tour, ce qui me laisse le plaisir de voir son fessier qu’elle ondule plus que tout à l’heure en marchant lentement, ce qui me laisse loin d’être indifférent, je veux me la faire ! Elle est trop bonne ! Elle revient avec mon plateau.
— Voilà, laissez-moi vous aider à tout porter jusqu’à votre chambre.— Merci, mais je voudrais pas vous embêter.— Non du tout, je viens.
Elle passe devant moi comme une invitation à la regarder, je reste bouche bée devant le spectacle de ses hanches qui bougent devant moi. J’ouvre la porte et elle pose mon repas sur la table.
— Bon appétit monsieur. — Merci et surtout merci de m’avoir aidé.
— ll n’y a pas de soucis si vous avez besoin, je serai en bas, au revoir et à bientôt.— Au revoir et je l’espère à bientôt.
Elle me sourit une dernière avant de disparaître en fermant la porte, la soirée se passe tranquillement, quand à 23 heures, j’entends toquer à ma porte. Je me demande d’abord ce qui se passe, mais ouvre rapidement et là c’est elle, la serveuse qui me dit : je peux ?
Sans rien dire, je me décale pour la laisser rentrer, ce qu’elle fait immédiatement, je laisse la porte ouverte, car je pense à tout sauf à ce qu’elle vienne, pour moi une aussi belle femme c’est impensable, mais elle ferme la porte à double tour et à peine retourné vers moi que le la plaque doucement, mais avec fermeté sur la porte avant de l’embrasser à pleine bouche. Nos langues jouent ensemble, on se caresse mutuellement de plus en plus intensément, toujours debout devant cette porte, je prends le bas de ses fesses dans mes mains pour la porter jusqu’au lit, je l’allonge et commence à lui faire des baisers dans le cou, sur le tee-shirt qu’elle s’empresse d’enlever, elle n’a pas de soutien-gorge, ses seins sont magnifiques, un 95C je pense.
Je la rallonge sur le dos en l’embrassant tendrement, elle passe ses mains derrière ma tête pour appuyer le baiser, c’est à ce moment que je décide de descendre doucement vers ses seins, je la vois fermer les yeux pour profiter de l’instant. J’arrive sur son sein droit, je lui lèche, embrasse, aspire, sa respiration se fait plus profonde, mais c’est quand je le mordille qu’elle a plus de réactions, elle commence à gémir doucement. Pendant ce temps, je lui déboutonne et descends la fermeture de son pantalon et passe mes mains en dessous pour lui attraper ses fesses, puis descends son pantalon et son string. Sa chatte entièrement rasée est là sous mes yeux, je lui lèche sur toute la longueur, elle gémit de plus en plus fort, on dirait presque des petits cris de jouissance, elle ondule le bassin pour mieux me sentir, attrape ma tête pour la plaquer avec force contre son vagin que maintenant je pénètre avec ma langue.
Quelques secondes comme ça, je passe sur son clitoris, mais ne laisse pas son vagin seul, mes doigts se mettent à la place où ma langue était dans cet antre du plaisir. Les va-et-vient se font de plus en plus rapides, et j’aspire son clitoris, c’est des vrais cris qu’elle fait maintenant sous ce plaisir intense, au bord de l’explosion, j’arrête tout.
Elle me regarde avec un air interrogateur, elle a peur qu’il se soit passé un truc, puis très vite en voyant mon sourire malicieux, elle a compris que c’était pour jouer avec elle. La serveuse commence à me supplier de continuer, elle ondule son bassin pour espérer que je la soulage, mais je remontais doucement mon visage vers le sien en soufflant sur les zones érogènes qui la font frémir, je m’approche de son oreille.
— Supplie-moi encore, dis-le que tu me veux en toi.— Oui je te veux, je veux ta bite !!— Dis-le plus fort, je veux que tout le monde t’entende le crier !— JE VEUX TA BITE !!! dit-elle en me lacérant le dos avec ses ongles, on aurait dit un animal enrager.
Je rapproche mon pénis de sa vulve sans la pénétrer, juste un contact qu’elle accompagne avec ses hanches pour le sentir plus fort, elle tremble de plaisir à chaque fois que j’appuie plus fort et ne pouvant plus attendre, elle prend mon sexe d’une main, l’autre est sur mes fesses, elle présente mon sexe à l’entrée de son vagin puis appuie comme une dingue sur mon corps pour que je la pénètre violemment. Elle a eu ce qu’elle voulait le plus à ce moment-là : une bite. Les va-et-vient sont de plus en plus violents, elle me met des fessées pour que je la pénètre encore plus fort et je lui réponds en lui mordant plusieurs parties de son corps, on tremble tous les deux sous ses assauts de plaisir de toutes parts. Quelques minutes suffisent à nous faire jouir en même temps. Je me vide en elle et reste un peu en elle le temps de reprendre nos esprits, je me retire, elle vient sur moi et me dit:
— C’était tellement bon.— Oui on refait ça quand tu veux.— D’accord, mais je te préviens, ça pourrait être plus hard.— OK pas de soucis, j’aime ça aussi.— Tant mieux la prochaine fois tu vas m’enculer.— Ah ouais tu y vas franchement !— Ouais, en fait je m’appelle Stéphanie, dit-elle avec le sourire.— Bryan enchanté.
Et puis on s’endormit ensemble après la meilleure baise de ma vie.

J’espère que l’histoire va vous plaire autant que j’ai pris un plaisir fou à l’écrire. C’est ma première donc j’ai dû faire des erreurs, mais je vais essayer de me rattraper pour la prochaine, si vous voulez une suite à celle-là dites le moi =).
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