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Chapitre 11

SM / Fétichisme
Jour 24 (1ère partie)
Le jeudi soir, je termine une semaine studieuse, passée essentiellement à gérer des soucis de ressources humaines et de cas épineux, plus les quelques réunions habituelles. De temps en temps je me suis changé les idées en épiant Gaëlle, notamment lorsqu’elle s’approchait de Karine. Cette dernière, au début plutôt distante, semble avoir baissé un peu la garde devant les avances manifestes de sa collaboratrice. Mais elle est toujours mal à l’aise car elle craint que si elle entame une relation physique avec elle, elle perde son autorité et que cela mette en péril sa position au sein de l’équipe. Je ne lui ai plus parlé de Gaëlle, ne voulant pas éveiller ses soupçons sur le marionnettiste qui tirait les ficelles.
Je ne me suis guère approché de cette dernière depuis lundi soir, je ne sais donc pas si elle a suivi mes instructions à la lettre. Elle laisse toujours le téléphone portable que je lui ai confié sur son plan de travail. N’ayant pas eu d’instructions vestimentaires particulières, elle est revenue au tailleur avec jupe courte et talons hauts, ainsi qu’un chemisier clair. A une reprise j’ai pu apercevoir la naissance de ses seins, libres sous l’étoffe, par son décolleté. J’essaie de ne pas trop y penser. Encore deux jours….
Enfin, vient l’heure où elle vient me voir pour que je lui donne les instructions pour samedi. Elle se poste devant moi dans la pose adéquate « Maître, je viens vous voir comme convenu pour les instructions de ce week-end. »
« Effectivement, samedi matin tu gareras ta voiture dans le parking couvert près de la gare. Je t’attendrai près de la dépose-minute, dans ma voiture. Prends tes affaires de toilette et des vêtements classiques. Quelle est ta pointure de chaussure ? »
« 39, Maître »
« Bien. Tâche de bien dormir, car nous nous retrouverons à 7h00. Et sois à l’heure cette fois-ci ! »
« Oui, Maître » je sens qu’elle brûle d’envie de me poser des questions mais qu’elle n’ose pas
« As-tu avancé dans tes lectures ? »
« Moyennement, ce n’est pas facile entre les enfants et mon mari. Il se demande d’ailleurs ce qui me prend subitement de lire ce genre de livres ! »
« Tu ne lui as pas dit que tu suivais un programme d’évolution interne ? »
« Non… » répond-elle d’une voix timide, « il m’aurait posé des questions sur ce que je devais apprendre ou faire, et ça m’aurait gênée de lui mentir »
« Voyez-vous ça ! Comme c’est mignon » dis-je d’une voix moqueuse « Ainsi tu n’aimes pas lui mentir ? Pourtant, tu lui as dis que tu allais chez une amie ce week-end ! »

« Je sais, et ça me met mal à l’aise. Vous savez très bien pourquoi je ne peux pas lui dire la vérité » me dit-elle d’un ton chargé de reproche
« Oh là ! Tout doux, veux-tu ? Moi, ça m’est égal, c’est toi que ça gênerait si certaines photos ou vidéos tombaient entre ses mains ! Tu préfères qu’elles restent sur mon ordinateur, et seulement sur mon ordinateur, n’est-ce pas ? »
« Oui, oui ! » s’empresse-t-elle de répondre, un début de panique dans la voix
« Alors tu n’as qu’à suivre mes ordres et tout ira bien. Laisse-moi maintenant, veux-tu ? J’ai encore du travail et demain je serai absent. Samedi 7h00 devant la gare ! »
« Bonsoir, Maître » dit-elle en reculant vers la porte
* * * * * * *

Samedi à 6h50 je suis garé devant la gare. Il y a encore très peu de monde à cette heure matinale, à part quelques voyageurs en partance pour une longue destination ou ceux voulant passer un week-end parisien entier. Je peux donc rester stationné le long de la dépose-minute sans être inquiété par un représentant des forces de l’ordre. Je surveille autour de moi et dans mon rétroviseur l’arrivée de Gaëlle.
A 6h57, la jeune femme apparaît dans mon champ de vision. Elle s’est habillée sagement, en jean moulant bien ses formes avec un pull près du corps. Ses cheveux sont toujours détachés et flottent librement au gré de la petite brise qui souffle ce matin. Le temps est gris mais il ne pleut pas. Elle porte en bandoulière un sac de voyage de taille moyenne et cherche du regard mon véhicule, avant de le repérer et de s’y diriger.
Je lui ouvre la portière de l’intérieur (ce n’est pas par manque de galanterie mais par nécessité d’éviter les risques inutiles d’être vu en sa compagnie un samedi matin) et elle s’assied dans le siège passager avec un « Bonjour Maître. J’espère ne pas vous avoir fait trop attendre ? »
« Pas trop, non. Tu peux déposer ton sac sur la banquette arrière. Puis tu te laisseras glisser par terre, comme la dernière fois. J’ai déjà reculé le siège ». Elle exécute mes ordres sans un mot puis je démarre pour me diriger vers ma maison de campagne, située à une trentaine de kilomètres de la ville dans laquelle nous travaillons. J’ai prévenu Karine par téléphone, hier, que mon invitation était toujours valable pour déjeuner dimanche, et qu’elle se tiendrait là-bas. Comme elle ne connaissait pas je lui ai donné les instructions pour y parvenir.
Durant le trajet, Gaëlle se tait, et j’écoute de la musique classique. Au bout d’une vingtaine de minutes, la voiture subit quelques cahots dans le chemin qui mène à un ancien corps de ferme réhabilité en partie – mais pas encore totalement, hélas – entouré de bois. Ce lieu est assez isolé du premier village et possède un charme certain sous le soleil. Mais il peut être austère, voire sinistre, en hiver et par temps gris comme aujourd’hui. « Tu peux te rasseoir, nous arrivons ». Gaëlle en profite pour examiner l’environnement champêtre dans lequel nous nous trouvons. Je ne sais si elle le trouve à son goût, arborant une expression neutre.
Je me gare dans la cour intérieure et je coupe le contact. Elle ne bouge toujours pas. Je sors et ouvre sa portière, lui indiquant sans mot dire qu’elle peut s’extraire à son tour du véhicule. « Suis-moi » Je la devance et ouvre une lourde porte en chêne qui donne sur un couloir assez étroit. A gauche un escalier mène aux étages. Je l’emprunte après avoir refermé la porte et en m’assurant que Gaëlle est bien derrière moi. Nous arrivons devant un nouveau couloir, où quatre portes sont fermées. Successivement, j’ouvre les deux premières pour lui montrer où se trouve sa chambre et la salle de bains. La maison est un peu humide et fraîche, malgré les radiateurs en fonte, car la chaudière était réglée en hors gel. Sur son lit se trouvent un mini short noir, un débardeur blanc en coton, une paire de socquettes blanches et des tennis. Je croise son regard interrogateur : « Tu as 3 minutes pour te déshabiller et te changer avec ces affaires. Nous allons commencer le séminaire par un peu de sport. Bien entendu, ni culotte ni soutien-gorge. Tu as une pince pour tes cheveux sur la table de nuit. Il est 7h25, à 7h28 je t’attends devant la voiture, en tenue ! »
Je me dirige vers la porte attenante à la sienne, qui se trouve être ma chambre, et j’enfile également un short et un haut de jogging, très rapidement, pour être à l’heure dite dans la cour. Puis je dévale les escaliers, avant qu’elle ne soit sortie de sa chambre. Il est 7h29 lorsque Gaëlle apparaît à son tour. Elle a l’air à la fois très sexy et un peu ridicule dans ce short moulant qui laisse bien apparaître le gras de ses fesses, et laisse deviner ses lèvres pubiennes derrière l’étoffe, sa poitrine à travers le blanc immaculé du débardeur. Elle n’est pas très à l’aise visiblement d’être ainsi attifée, même si elle se doute qu’il ne doit pas y avoir âme qui vive à plusieurs kilomètres à la ronde. Je lui montre mon poignet d’un air courroucé « Tu as une minute de retard ! Ca commence mal ! »
« Désolée Maître, je devais passer aux toilettes. »
« Ce n’est pas une excuse. Nous réglerons cela plus tard. Pour l’instant, nous allons courir un peu. Tu me suis, trois pas derrière et légèrement sur ma droite, que je puisse constamment t’avoir à l’œil. C’est parti ! »
Je m’élance, à petite foulée, sur un chemin qui contourne la ferme et qui s’enfonce dans les bois. Je connais bien ce coin, et j’adore venir me balader lorsque le temps s’y prête. Aujourd’hui, je ne profite pas du paysage mais de la vision de Gaëlle, dont les fesses et les seins se balancent librement, impudiquement, et de son visage concentré sur son souffle, afin de pouvoir tenir le rythme. Je jette de rapides coups d’œil pour vérifier qu’elle est à la bonne distance, et je tends le bras de temps en temps pour qu’elle se repositionne. Nous passons dans des sous-bois, des clairières, puis nous nous enfonçons un peu plus dans les bois. Elle suit toujours, même si au bout d’une dizaine de minutes j’entends son souffle plus saccadé et bruyant. Je ne veux pas pousser plus rapidement car le but est seulement de commencer à saper sa volonté, pas de l’épuiser immédiatement. Néanmoins je conserve le même rythme, sans ralentir, et elle doit produire déjà un effort important pour ne pas s’arrêter. Au bout d’une vingtaine de minutes, je constate qu’elle peine de plus en plus. Je lui fais signe de la main de stopper sa course mais en même temps je lui demande de continuer de sautiller sur place, et je fais de même. Elle est déjà recouverte de transpiration, malgré la fraîcheur matinale, et son visage est tout rouge. Comme elle ne porte pas de sous-vêtement, on devine parfaitement sa poitrine au travers des auréoles de son débardeur, et notamment ses tétons qui dardent comme s’ils voulaient transpercer le tissu. Heureusement que mon short est assez large, sinon elle se serait aperçue immédiatement de mon excitation soudaine. Pour l’instant je me concentre sur la course et surtout sur le fait qu’elle tienne jusqu’au bout. Je lui donne le signal de la reprise au bout de deux minutes et nous repartons vers la maison, que nous rejoignons au bout d’une dizaine de minutes. Autant je commence à peine à transpirer légèrement, autant Gaëlle est en nage et à bout de souffle.
« Tu n’as jamais pratique la course à pied ? »
« Non…..Maître. Pas…. Depuis…. le lycée » réussit-elle à articuler entre deux bouffées d’air
« Visiblement tu ne fais pas d’autre sport non plus. Pourtant c’est ce qui te permettrait de conserver la forme et éliminer le stress, et du stress tu en auras si tu veux prendre des responsabilités ! Suis-moi, nous allons passer à autre chose »
Nous entrons à nouveau dans la partie habitable de la maison, mais cette fois nous suivons le couloir jusqu’à une petite porte sur la gauche. Je la déverrouille et j’actionne un interrupteur qui éclaire un escalier assez étroit, que nous empruntons pour déboucher sur une cave aménagée. Elle est assez grande car sa surface est équivalente à l’ensemble du rez-de chaussée. Elle ne possède que deux petites aérations en hauteur, et le plafond est à plus de 3 mètres. Le sol est bétonné et j’ai veillé à ce qu’il soit propre. Elle est aménagée en deux parties, séparées par une tringle supportant des rideaux opaques. La partie dans laquelle nous aboutissons, à l’issue des escalier, ressemble à une salle de gymnastique, avec deux bancs, des machines articulées qui semblent faites pour travailler les muscles des bras, des jambes et des épaules, des haltères de différentes tailles, et une table avec plusieurs tiroirs. La pièce est très éclairée, par des spots halogènes dont on sent de suite la chaleur lorsqu’on traverse leur flux lumineux. Autrement la pièce n’est pas chauffée, et donc aux alentours de 14°C. La seule « anomalie » pour une salle de sport est, si on y fait attention, le fait que 2 caméras sont fixées aux deux angles des murs donnant sur l’extérieur, en hauteur, et peuvent donc filmer l’intégralité des événements qui se déroulent dans cette partie. Une lumière rouge semble indiquer qu’elles sont en fonctionnement. Gaëlle balaie du regard la pièce mais ne semble pas étonnée de ce qu’elle y trouve, pensant qu’il s’agit de la continuité du programme « sportif » que je lui ai concocté. Elle n’en éprouve toutefois pas une grande joie.
« J’espère que tu as repris ton souffle ? »
« Oui, Maître, ça commence à aller mieux »
« Très bien, tu vas faire une pause. Assieds-toi. Non, pas comme ça : sur tes talons, en pliant bien tes genoux. Voilà, tu restes 3 minutes comme ça, je lance le chrono » Ce qu’elle pensait être une détente se révèle bientôt une pose désagréable à tenir, mais les trois minutes ne sont pas une durée très longue.
« C’est bon, tu peux te relever. Tu vas apprendre une nouvelle pose aujourd’hui : bien droite, pieds écartés d’un mètre, tu attrapes tes coudes avec tes mains bras derrière ton dos. Vas-y ! » Elle comprend qu’elle doit plier ses bras derrière son dos suffisamment et tenir ses avant-bras pour atteindre ses coudes. Cela fait ressortir davantage sa poitrine et gonfle son buste, et la force à se cambrer ou à rentrer le ventre.
« Ne bouge plus ! » J’ouvre un des tiroirs et prend une paire de gros ciseaux. Je m’approche d’elle et elle fait mine de reculer. Je la gronde : « Qu’est-ce que je t’ai dit ! Tu veux que je te blesse ou quoi ? Reste immobile ! »
J’attrape le haut de son débardeur et commence à le découper, de haut en bas, en prenant un plaisir sadique à ce que sa peau soit en contact de temps en temps avec le froid de l’acier. Je finis de découper les épaules pour pouvoir le retirer complètement. Elle regarde le bout de tissu qui ne cachait pas grand chose de son anatomie disparaître et elle se met à frissonner, toute sa peau se recouvrant de chair de poule, malgré la chaleur des spots halogènes dirigés sur elle.
« Tu seras plus à l’aise comme ça, d’autant que tu es en nage. Reste bien dans la lumière des spots, je ne voudrais pas que tu attrapes froid pour autant ! » je lui dit non sans humour. J’arrache les derniers lambeaux de tissu et en profite pour frôler sa peau trempée. Puis je recule de quelques pas. Elle est torse nu, tenant toujours la pose demandée, son sexe encore protégé par le short.
« Exercice suivant : tu vas sautiller sur place en écartant tes pieds et en joignant tes mains au dessus de ta tête, bras tendus, puis tu joins tes pieds et tu rabats tes bras tendus le long de ton corps. Je chronomètre : il faut que tu fasse le mouvement 30 fois en moins de 30 secondes. C’est parti ! »
Elle se lance aussitôt dans l’exercice, anodin dans une salle de gymnastique, mais qui prend une toute autre allure lorsqu’il s’agit d’une belle jeune femme poitrine nue. En effet, même si ses seins sont de taille moyenne et tiennent assez bien, ils ne peuvent que se balancer de haut en bas sous l’effet des sautillements, ce qui à la longue leur fait plutôt mal. Par ailleurs, à un rythme rapide, ce mouvement est assez fatigant, surtout pour une personne peu sportive. Elle atteint pourtant sans trop de difficultés l’objectif en moins de 30 secondes.
Sans la laisser souffler plus de 10 secondes, je reprends « C’est bien. Maintenant, même mouvement mais en moins de 25 secondes. C’est parti ! » J’actionne le chronomètre et Gaëlle reprend ses sauts mais plus rapidement. Son souffle est plus saccadé et elle fait plus d’efforts pour suivre le rythme. Pourtant cette fois encore elle atteint, juste, l’objectif.
Je la félicite « Très bien ! Tu as dis secondes pour souffler. On reprend : 30 fois en moins de 20 secondes. Si je constate que tes mains ne se touchent pas au-dessus de ta tête, on reprend l’exercice. Go ! »
Cette fois, c’est un réel effort qu’elle doit fournir pour parvenir à descendre en-dessous des 20 secondes. Malheureusement pour elle, cette fois elle n’y parvient qu’au bout de 22 secondes. « 22 secondes ! Tu viens d’échouer à cet exercice. Tu feras donc l’exercice suivant sans ton short. Allez, tu l’enlèves de suite ! ». C’est encore la respiration saccadée qu’elle se résigne à enlever la dernière protection de sa pudeur. Je constate alors avec un plaisir non dissimulé qu’elle a suivi mes instructions : son sexe est entièrement épilé, aussi nu que celui d’une petite fille, et on distingue parfaitement le délicat ourlet rosé de ses grandes lèvres, recouvert lui aussi d’une fine pellicule de transpiration.
« Nous allons maintenant travailler la souplesse. Reste debout, les jambes droites. Tu dois toucher le sol sans plier tes jambes. Vingt fois. Tu comptes. C’est parti ! »
« Un » elle essaie de toucher le sol mais n’y parvient pas. Je passe derrière elle et appuie sur son bassin pour le faire basculer. Mais elle plie ses jambes. Et se reçoit une grande claque sur les fesses «Jambes droites, j’ai dit ! ». Elle remet ses jambes droites mais ne touche plus le sol.
« On recommence à zéro. Allez ! »
« Un » elle touche du bout des doigts le sol puis remonte rapidement
« Deux » elle pose la première phalange de ses mains sur le sol
« Continue » je l’encourage
« Trois » Elle parvient au même niveau mais sans aller plus loin
Pendant qu’elle compte sa série de vingt mouvements, je me recule pour admirer ses fesses et sa vulve en mouvement, et me retiens de ne pas y mettre la main.
« Vingt » je sors de ma rêverie et la laisse souffler une quinzaine de secondes
« On reprend une nouvelle série. Tu dois toucher le sol de la paume de ta main »
« Un » elle commence à s’assouplir et parvient d’effleurer le sol de sa paume
« Deux »….et ainsi de suite jusqu’à vingt.
Je lui fais faire une troisième série, tout en admirant ses courbes gracieuses. A la fin je la félicite « c’est bien ! Tu as bien réussi cet exercice, tu peux souffler une minute. Pour te détendre, tu vas prendre la pose que je t’ai apprise aujourd’hui » Elle reste debout mais écarte ses jambes et passe ses bras derrière son corps, attrapant ses avant-bras de ses mains, faisant ainsi ressortir sa poitrine.
Au bout d’une minute, je reprends la session « On va rester un peu dans le même esprit : tu vas tendre les bras et fléchir tes jambes, vingt fois de suite. Pieds et jambes joints. Et tu comptes, comme d’habitude »
« Un »« Deux »« Trois »« Quatre »
Au fur et à mesure de l’exercice, qui lui paraissait facile au début, elle éprouve de plus en plus de difficultés, ses jambes comment probablement à tirer, et elle grimace et souffle. Elle parvient toutefois à vingt sans trop de mal. Je la laisse souffler une vingtaine de secondes puis lui fait recommencer l’exercice.
Cette fois, dès les premières flexions, elle chancèle un peu et a du mal à rester les pieds et les jambes joints. Au bout d’une dizaine de flexions, elle écarte ses jambes pour faciliter son effort et baisse un peu les bras. Je l’engueule « jambes serrées ! Bras tendus ! On reprend depuis le début ! »
« Un » « Deux » elle souffre désormais à chaque flexion, et a du mal à garder son équilibre. Ses bras et ses jambes tremblent sous l’effort, qui se cumule à ceux effectués précédemment. Je décide de la motiver un peu en prenant une fine baguette de bois posée sur le côté de la table et en m’approchant en fouettant l’air avec.« Trois » elle me regarde d’un air inquiet« Quatre …aïe ! » comme elle n’a pas, selon moi, gardé ses bras assez tendus, je lui ai donné un coup sur ses fesses « Bras tendus ! » je lui crie, afin qu’elle sache pourquoi elle venait d’être punie. Le coup n’était pas très fort, juste assez pour qu’elle le sente, mais pas pour qu’il la marque.
« Cinq » elle serre les dents et tend ses bras en pliant correctement ses jambes
A douze, ses jambes tremblent sous l’effort et elle manque de tomber. J’agite une nouvelle fois la baguette devant son nez, je tapote ses seins et son visage.
A seize, ses mouvements sont devenus lents, et elle grimace en prononçant le nombre. Des gouttes de sueur tombent de son front, son cou, ses seins, ses aisselles sont recouverts de transpiration. Je l’encourage « plus que quatre ! Allez, encore un effort ! »
Les deux derniers mouvements sont vécus comme une torture mais elle parvient finalement à prononcer « vingt » et laisse choir ses bras le long de son corps, en soufflant l’air de ses poumons.
« Tu as 30 secondes pour souffler et on attaque la dernière série »
« Oh, non, Maître, s’il vous plaît, je n’en peux plus ! »
« Comment ça tu n’en peux plus ? Mais on vient à peine de commencer ! »
« Je ne suis pas habituée à faire du sport, il ne faut pas m’en vouloir, Maître ! » implore-t-elle
« Mais c’est justement pour ça que je te pousse ! Ce sont des exercices faciles, de débutante, et il faut que tu parviennes à surmonter les faiblesses de ton corps par ta seule volonté. Il n’y a que comme ça que tu progresseras et que tu repousseras tes limites qui, pour l’instant, sont à un niveau très faible » ironisès-je, tout en ne pensant pas un mot de ce que je lui affirmais. « On reprend ! » continuès-je sur un ton plus sec au bout des quelques secondes de pause accordées, tout en fouettant l’air de ma baguette.
Gaëlle gémit un peu mais se remet à compter et à plier ses jambes en tendant les bras. Malheureusement pour elle, au bout de cinq flexions, elle n’en peut plus et tombe à genoux, puis à quatre pattes. Je cingle une nouvelle fois l’air devant elle en criant « debout ! » mais elle me répond par un « S’il vous plaît, Maître, laissez-moi récupérer, j’ai une crampe ! ».
Je m’interromps car je viens d’avoir une idée : « OK, mets-toi debout ! » je lui tends la main pour l’aider à se relever. « Prends la pose et attends ici ». Je vais ouvrir un tiroir de la table et je reviens avec. « Je divise par deux ton dernier exercice, mais en contre-partie tu mets ceci ! » Je lui tends des pinces à tétons, le modèle avec mâchoires protégées par du caoutchouc, auxquelles pend un petit poids. Comme elle ne les prend pas et les considère avec une grimace, je continue « Tu as le choix : soit tu recommences l’exercice complet immédiatement jusqu’à vingt flexions, soit tu mets toi-même ces pinces à tes tétons et tu recommences seulement jusqu’à dix flexions. Mais tu dois choisir maintenant, sinon il va t’en cuire ! » pour joindre le geste à la parole, je lui donne deux tapes sur les fesses avec la baguette.
« D’accord, d’accord, je vais les mettre ! » à contre-cœur, elle prend la première pince et lui fait mordre le bout de son sein droit, puis la lâche. Aussitôt, le sein se met à être tiré vers le bas sous le poids. Elle procède de même pour le sein gauche, qui subit le même sort.
« Bien, maintenant fini la récréation. Tu recommences et tu t’appliques. Compte ! »
« Un » elle plie à nouveau ses jambes, qui continuent de la faire souffrir, même si la crampe semble être passée.
« Deux » les pinces se balancent un peu et divertissent la douleur dans ses cuisses
« Trois »
« Quatre » Elle grimace à nouveau sous l’effort
A « sept » elle semble de nouveau sur le point d’abandonner. Je dois menacer son sexe ouvert à chaque flexion de ma baguette pour qu’elle continue.
Elle parvient ainsi à dix, et manque de se laisser choir lorsqu’elle attend son but. « Reste debout ! Je ne t’ai pas donné la permission de t’asseoir ! » Elle tend la main vers sa poitrine pour soulager ses seins. « Aïee ! » elle vient de se prendre une cinglée sur le poignet
« Qui t’as donné l’autorisation ? Mets toi en position ! » je lui crie à nouveau et m’approche d’elle, la contourne pour lui aboyer dans les oreilles « C’est comme ça que tu me prouves ce dont tu es capable ? A peine quelques flexions et tu te laisses aller ! Vingt minutes d’exercices physiques et tu es prête à tout pour arrêter ? Et tu crois que je vais te laisser faire ? Je suis là pour endurcir ton corps et ton esprit, pour te permettre de te dépasser, et c’est ce que tu vas faire ! Ton corps va expérimenter des sensations qu’il n’a jamais connu, même si au début ça fait mal ! Alors accroche-toi, ne te laisse pas aller comme une chiffe molle ! Ou cela voudrait dire que je me suis trompé ? Je me suis trompé en te faisant confiance ? Je me suis trompé en misant sur toi ? Réponds-moi !! » Je lui beugle dans les oreilles, et elle grimace cette fois devant l’intensité sonore.
Elle me répond d’une petite voix « Non, Maître ! »
« PARDON ? JE N’AI RIEN ENTENDU ? »
« NON, MAITRE ! » me répond-elle d’une voix forte mais mal assurée
« C’est mieux ! On va travailler un peu tes bras maintenant.» Je retourne près de la table et sors un tapis de sport que j’étale devant elle. Sauf que ce tapis est hérissé de clous, dont les pointes menacent la personne qui s’assiérait dessus.
« Je constate que tu as besoin de stimuli pour améliorer tes performances. Tu vas donc faire 3 séries de 10 pompes sur ce tapis, et pour ne pas te blesser tu vas devoir poser les mains et les pieds à l’extérieur. Bien entendu, si tu te laissais tomber dessus, tu en subirais immédiatement les conséquences. Je te conseille donc de ne pas flancher ! »
Un peu tremblante, Gaëlle s’installe au-dessus, faisant bien attention de poser ses mains et ses pieds aux extrémités du tapis. Puis elle baisse un peu ses bras et les remonte immédiatement. Je pose mon pied sur ses omoplates pour la forcer à ce que son buste s’approche dangereusement des pointes hérissées
« Non ! Que faites-vous ? » Crie-t-elle, apeurée. Elle est obligée de bander ses muscles pour résister à la pression que je lui impose, pourtant faible car je ne veux pas qu’elle se fasse mal, seulement lui faire peur.
« Tu croies que tu vas m’avoir avec ce simulacre de pompe. Je veux que tu frôles le tapis, tes poids aux seins doivent le toucher. Tu recommences à zéro ! » Je relâche un peu la pression de ma chaussure pour qu’elle remonte puis appuie à nouveau un peu pour l’inciter à redescendre
« Un » cette fois elle plie bien ses bras et son corps tout entier s’approche du tapis, puis s’en écarte à la force de ses triceps.
« Deux » le geste est répété correctement
A six, ses bras commencent un peu à trembler, et en pliant un peu les jambes elle s’égratigne légèrement les genoux. Elle remonte vivement.
A huit, ses bras tremblent franchement et elle force pour remonter.
Les deux derniers mouvements sont effectués dans de douloureux efforts, et elle transpire à présent abondamment.
« Pitié, Maître, enlevez-moi le tapis sous mon corps pour que je puisse souffler ! »
Je tire le tapis par son extrémité et elle se laisse choir à plat ventre, s’arrachant par là-même un petit cri lorsque ses seins écrasent un peu les poids toujours attachés à ses tétons.
« Nous n’avons pas fini, tu as une trente secondes pour souffler et on recommence une nouvelle série »
« Je n’en peux plus ! Je n’ai pas les bras très musclés et je n’ai quasiment jamais fait de pompes ! Donnez-moi un autre exercice à faire, mais plus celui-là »
Je lui réponds sur un ton sarcastique : « Parce que c’est toi qui décides, à présent ? Je vais te donner les règles du jeu : pour chaque exercice que tu ne voudras pas faire, tu auras une punition ultérieurement…»
« Laquelle ? » me répond-elle, d’une voix un peu inquiète
« Tu la connaîtras en temps utile. Il te reste deux séries de pompes, ça signifie deux punitions. Que choisis-tu ? »
« Je …je vais essayer une nouvelle fois »
« Bonne décision. Attention ! Si tu ne parviens pas au bout de la série, ça vaudra également pour une punition » Je remets le tapis clouté et je la mène une main sur sa taille, une main sur son épaule pour qu’elle se mette en position.
« Un » elle recommence avec une vigueur renouvelée
« Deux »

A six, elle menace de ne pas pouvoir remonter tant ses avant-bras et ses triceps tremblent sous l’effort. Des gouttes de sueur tombent de son front. Je l’encourage « Allez ! Plus que quatre ! Concentre-toi ! »
Elle réussit à passer la septième et la huitième mais déclare forfait à la neuvième « Enlevez le tapis, s’il vous plaît Maître ! Punissez-moi mais enlevez le tapis, je vais tomber ! » crie-t-elle. Je retire rapidement la menace sous elle en lui disant « je suis déçu …abandonner si près du but ! Il va vraiment falloir travailler ta volonté. Ne t’inquiètes pas, je t’aiderai ! ». « En attendant, tu as une minute pour souffler, tu peux rester assise par terre »
Elle ne demande pas mieux et s’assied en tenant des genoux entre ses bras, pour cacher un peu sa nudité.
« Profites-en pour enlever tes chaussures et tes chaussettes, tu n’en auras plus besoin pour la suite » Elle obéit et se retrouve ainsi entièrement nue. Son corps est trempé de sueur, ses cheveux sont collés à son front, elle respire bruyamment pour reprendre son souffle. Pendant ce temps, je prépare une des machines de sport, puis je reviens vers elle.
« Puisque tes jambes et tes bras sont fatigués, nous allons travailler à présent tes abdominaux. Viens avec moi » Elle se relève et me suit. Je la mène à la machine que je préparais précédemment, qui ressemble à un banc recouvert de cuir noir, mais possédant à chaque extrémité une barre articulée où des poids peuvent s’enfiler. Je la fais s’asseoir dessus, les pieds posés près d’une des barres. Je prends sa cheville gauche et la place dans un lien en cuir épais et large, situé hauteur des coins du banc. L’intérieur est doublé de tissu pour ne pas entamer la peau. L’extérieur est perforé de deux anneaux de métal, dans lesquels on passe deux liens de cuir qui sont rattachés à l’autre extrémité. Je referme le lien sur sa cheville et le noue avec les liens dans les anneaux. Je procède de même avec son autre cheville à l’autre coin du banc. Elle se retrouve ainsi jambes écartées et sexe offert, les pieds posés en partie sur chaque coin du banc. « Je ne voudrais pas que tu te fasses mal au dos pendant l’exercice. Il faut que tes pieds soient posés sur le banc, c’est pourquoi je te les sécurise. » Elle n’est sans doute pas dupe mais elle ne proteste pas, n’oubliant pas qu’elle me « doit » déjà deux punitions.
Je m’approche à présent de sa poitrine et je défais les deux pinces qui enserrent ses tétons, provoquant une grimace de souffrance lorsque le sang afflue à nouveau. Néanmoins cela ne faisait pas trop longtemps et je les masse un peu juste après les avoir retirées pour atténuer la douleur. « Tu n’auras plus besoin de ça à présent. Mais nous allons les remplacer par quelque chose de plus utile » ce disant, je sors une chaînette qu’elle connaît bien, et qui la fait un peu reculer. Mais, étant bloquée par ses chevilles, elle ne peut éviter que j’attrape ses seins l’un après l’autre pour les faire mordre par deux pinces plus puissantes reliées entre elle par une chaîne métallique, que j’avais déjà eu l’occasion d’utiliser. « Ceci servira à te motiver un peu, au cas où tu aurais du mal avec cet exercice aussi ! » je tire un peu sur la chaînette pour joindre le geste à la parole, la forçant à plier le buste en avant. Je la laisse un instant pour me rendre à la table pour ouvrir un tiroir et en retirer un collier particulier. Je me place derrière elle et lui passe le collier autour du cou avant qu’elle s’aperçoive ce que j’étais en train de faire, et je le sécurise de la même manière que ses liens de cheville. Elle essaie de le toucher avec ses mains, mais je lui donne une tape afin qu’elle les retire vivement. « Si tu ne sais pas quoi faire de tes mains, passe-les derrière ta tête ! » lui dis-je sur un ton agacé. Elle m’obéit et je fais un nouvel aller-retour à la table de rangement pour revenir avec un nouveau jeu de liens en cuir identiques, cette fois pour ses poignets, que je sécurise pareillement. Un mousqueton métallique à chaque lien de poignet me permet de les accrocher à deux anneaux placés de chaque côté de son collier de cou. Ainsi restreinte, Gaëlle se retrouve avec les mains à la hauteur de la tête, les jambes pliées et seules ses fesses posées sur le banc. Je passe à côté d’elle pour dégager ses cheveux collés à son front et lui caresser un peu le visage.
« Maintenant, j’attends de toi que tu me montres ce dont tu es capable : tu vas faire trois séries de vingt abdominaux, avec trente secondes de repos entre chaque. Ton dos doit toucher le banc à chaque fois et doit monter au moins à 70°, sinon tu recommences le mouvement. On commence. Et un ! »
Elle se couche complètement, et se redresse à la seule force de ses abdominaux, ne pouvant s’aider de ses mains ni de ses jambes, entravées.
« Et deux ! » elle recommence le mouvement
« Et trois ! »
A dix, elle éprouve déjà de sérieuses difficultés et souffle autant qu’elle peut.
A douze, je lui fais refaire le mouvement car elle ne se redresse pas assez.
Les cinq derniers mouvements sont effectués en lâchant des « han ! » de bûcheron et dans la souffrance.
« Trente secondes de repos avant la prochaine série ! » Elle se laisse tomber sur le banc et sa poitrine se soulève rythmiquement pour reprendre son souffle. La pause lui paraît dérisoire lorsque je lui ordonne de reprendre
« Un ! » elle se relève déjà en grognant
« Deux ! » elle reprend un peu le rythme
A six, elle recommence à éprouver des difficultés
A dix, elle ne décolle plus du banc. Je m’énerve « Ha non ! Pas tous les exercices ! Lève-toi ! » je prend la chaînette et je tire doucement dessus, étirant par là-même ses seins vers le haut jusqu’à ce qu’ils ressemblent à deux obus. Sous la douleur, elle se relève et accomplit son mouvement.
Je suis obligé de « l’aider » ainsi pour les dix derniers mouvements, menaçant d’arracher les pinces sous la tension pour les derniers mouvements. Elle se laisse lourdement retomber à vingt, après que j’ai lâché la chaîne.
« Maître, je vous en supplie, ne m’obligez pas à faire la dernière série. Je ne pourrai pas ! » Elle halète et transpire à nouveau abondamment. Je me mets à genoux et approche mon visage du sien, très près : « Tu te rends compte que tu en seras à trois punitions ? Est-ce bien ça que tu veux ? »
« Non…. Mais je n’en peux plus, j’ai trop mal aux abdos ! »
« Tu fais la troisième série, alors ? »
« Non…je ne peux pas. je ne peux plus ... »
“Allons ! Un peu de courage. Tu préfères être punie ?”
“Non .... oui.... faites ce que vous voulez....”
« Bon, si c’est ce que tu veux …. » Je reviens vers la table pour prendre une mallette, une boite noire et un sachet. Je pose le tout à ses pieds. Je prends son poignet droit que je détache de son collier, pour immédiatement le rattacher à un anneau passé autour de la barre métallique placée derrière sa tête, à l’extrémité du banc opposée à celle où sont liées ses chevilles. Je fais de même avec son autre poignet. A présent, elle est attachée en croix sur le banc. Elle continue de récupérer son souffle et sa poitrine ainsi tendue se lève et se baisse, et je sens qu’elle s’inquiète de ce que je lui concocte. Elle n’a jamais été aussi offerte, et je pourrai abuser aisément d’elle sans qu’elle puisse s’y opposer un seul instant. J’ouvre ma mallette et lui montre l’intérieur, réussissant à la faire grimacer lorsqu’elle reconnaît le contenu. « Puisque tu manques d’abdominaux et de volonté pour les travailler, ceci va t’y aider » je lui installe les patchs adhésifs sur son ventre et son bas-ventre, y compris deux près de son pubis rasé, reliés au petit boitier électrique dans la malette, que je pose à terre, à côté du banc. De l’autre côté, je pose la boite noire, qui se révèle être un générateur électrique avec un cadran et un potentiomètre, et j’en sors un autre appareil, que je me fais un plaisir de lui montrer : il s’agit d’un petit gode en plastique transparent mais parcouru de fines bandes métalliques, reliées à des fils électriques, que je raccorde eux-même au générateur.
Cette fois, elle prend franchement peur « Qu…qu’est-ce que ....vous allez faire avec ça ? »
Je la regarde d’un air goguenard « Alors, la peur te fait oublier la politesse ? Je ne réponds pas aux élèves malpolies ! »
« Maître…s’il vous plaît, pouvez-vous me dire ce que vous comptez faire avec ce …. Truc ?! »
« Rien d’autre que ce que je t’ai promis : développer tes muscles abdominaux ! Mais comme tu es réticente à produire des efforts, on va devoir passer au programme accéléré. Bien entendu, ce sera un peu plus douloureux ! Ne considère pas ça comme une punition, mais plutôt comme une méthode différente ! »
« Mais en quoi …. »
« Oh, tu m’ennuies avec tes questions ! » Je prends un autre objet dans le sachet et je lui pince le nez pour qu’elle ouvre sa bouche pour respirer. J’en profite pour lui introduire une espèce de phallus court mais épais dont la base est fixée à une sangle, que je passe autour de sa tête et que j’attache derrière son crane. « Mmmhh ! » elle proteste, ainsi bâillonnée, mais ne peut évidemment rien faire de plus « Je te l’enlèverai lorsque je jugerai que tu es capable de te taire lorsque je te l’ordonne ! »
Je continue mes préparatifs en enduisant le gode d’un gel lubrifiant, puis je m’assied sur son ventre en lui tournant le dos, à califourchon. J’écarte les lèvres de son sexe et je commence à introduire le phallus en plastique dans son vagin. Elle tente de résister en serrant ses muscles vaginaux du mieux qu’elle peut. J’attrape son clitoris entre mes doigts et la menace « Si tu continues, je te le pince jusqu’à ce que je t’entendu hurler malgré ton bâillon ! » Elle se relâche aussitôt et je peux commencer à introduire l’engin, peu à peu, dans son sexe, en n’arrêtant que lorsque la partie évasée atteint l’entrée. Je m’agenouille à côté du banc pour relier les fils électriques au générateur, puis je me lève pour la toiser. Elle me jette des regards affolés, secouant sa tête comme pour me dissuader de continuer, se sentant totalement impuissante et anticipant la souffrance qu’elle allait ressentir. Je ne peux m’empêcher d’accroître son appréhension.
« Bon, je t’explique ce qui va se passer : les patchs posés sur ta ceinture abdominale vont se déclencher, toutes les cinq à dix secondes environ, et vont forcer tes muscles à se contracter. Ce n’est pas très douloureux, mais pas très agréable non plus. Le plus intéressant va se situer à l’intérieur : ce que je viens d’introduire dans ton vagin est parcouru de bandes métalliques, qui sont en contact avec tes muqueuses. Je vais régler le générateur pour qu’il t’envoie des impulsions électriques d’intensité et de durée aléatoires, au début seulement légères, puis plus fortes. Tu vas donc être parcourue d’un double flux électrique, qui va tétaniser quelque peu tes muscles, mais qui va aussi te les raffermir. N’oublie pas : c’est toi qui as souhaité passer à une autre méthode ! »
Elle tente de protester et secoue la tête avec violence. Elle essaie aussi de se détacher mais ses liens sont solidement fixés aux barres, elles-mêmes faisant partie du banc. Je décide de commencer le traitement pour la faire cesser ces pitoyables tentatives, et j’actionne d’abord les patchs, puis immédiatement après le générateur. Ses yeux s’agrandissent sous la surprise lorsqu’elle ressent la première décharge dans son ventre, pourtant légère, et elle s’arc-boute lorsque le gode lui envoie la première impulsion dans son sexe. Je la regarde en souriant cruellement, et la regarde souffrir quelques minutes en me délectant du spectacle de son corps parcouru de soubresauts à intervalles irréguliers. Après m’être assuré que tout se déroulait correctement je me lève et la regarde à nouveau dans les yeux : « Ce n’est pas tout ça, mais ça m’a donné un peu faim, tous ces exercices. Je vais donc me préparer un bon petit déjeuner. Je reviendrai plus tard. J’éteins la lumière, tu n’en as pas besoin ! ». Elle réagit en secouant la tête de toute ses forces et en tentant de m’interpeller à travers son bâillon, bien entendu en vain. Je monte les escaliers et une fois en haut j’actionne l’interrupteur, la laissant seule dans l’obscurité, parcourue de décharges électriques plus ou moins fortes dans son vagin, et d’autres sur son ventre et son pubis, forçant ses muscles abdominaux à se contracter sans savoir à l’avance quand la prochaine décharge interviendra. Ce n’est pas tant la douleur que le fait de ne pas savoir lorsqu’elle va la ressentir et l’isolation visuelle qui devraient la ramener à de meilleures dispositions à mon retour, du moins je l’espère.
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