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Au service de mes voisines

Chapitre 5

Audrey

Erotique
Avec Céline, je suis tombé dans un piège et je n’ai rien vu venir. Vous savez, celui où vous dites que vous n’avez pas l’intention de vous engager, mais pourtant vous revenez la voir le lendemain, le surlendemain et les jours qui suivent. C’est exactement ce qui s’est passé pour moi. Suite à ma nuit passée chez elle, j’ai décidé de revenir le lendemain et les jours qui ont suivi. Elle m’a accueilli chaque jour et nous faisions l’amour chaque nuit et j’adorais ça.Après une semaine à dormir chez elle, elle m’a proposé de venir passer la nuit chez moi. Et devinez quoi, j’ai accepté sans réfléchir aux conséquences.
Suite à sa venue chez moi, je lui ai proposé de prendre un jeu de clé pour qu’elle puisse rentrer si elle finissait son travail plus tôt que moi. Et elle a accepté. J’ignore si à ce moment-là elle savait ce qui se passait, mais moi je n’en avais toujours pas conscience. Elle est restée une première semaine chez moi, puis une seconde, puis d’autres se sont succédées naturellement. Puis est venu le moment où en plus d’être sexuellement satisfait, j’étais aussi heureux de la retrouver tous les soirs. Heureux de la serrer dans mes bras, de sentir son doux parfum, de caresser ses magnifiques longs cheveux bruns et heureux de l’entendre me parler de sa journée. Et une chose que je ne réalise toujours pas, c’est qu’elle me rend plus vivant que je ne l’ai jamais été.Et depuis peu, cela fait environ deux semaines maintenant, nous faisons l’amour sans utiliser de capote. La première fois que c’est arrivé, c’est suite à une excitation très forte qui m’a fait oublier d’en mettre une. Et lorsque je lui ai dit que je n’avais pas mis de capote, elle m’a simplement dit que ce n’était pas grave. Je me suis presque excusé d’avoir jouit en elle, mais en réalité, c’était vraiment trop bon pour regretter. Depuis, elle m’a proposé d’arrêter d’en mettre. Pour moi, comme pour bon nombre de personnes, le sexe au naturel est nettement mieux, donc elle n’a pas eu besoin de me supplier pour arrêter, je l’ai fait dès qu’elle me l’a proposé.
Depuis que je la fréquente, je constate des choses auxquelles je ne prêtais jamais attention, comme le manque de trottoirs adaptés, les escaliers beaucoup plus nombreux que les rampes d’accès, les bâtiments commerciaux pas toujours suffisamment adaptés. Bref, la vie en situation de handicap n’est pas facile tous les jours car de nombreuses adaptations sont encore à faire. Et depuis que je fréquente Céline, ce genre de détail a tendance à m’énerver maintenant que j’en prends conscience. Mais je l’admire réellement pour sa façon de relativiser, disant que certains pays ont nettement plus de retard encore.
Ce matin, je me suis réveillé chez moi mais à ses côtés. Nous nous sommes longuement embrassés et avons fait l’amour sans protection. Il ne me semble pas non plus qu’elle prenne la pilule, ou alors si elle la prend, elle est très discrète car je ne l’ai jamais vu la prendre. Mais à vrai dire, je ne ressens aucun stress à l’idée qu’elle ne prenne pas la pilule. Je lui prépare son petit-déjeuner et je l’embrasse.
Je me connecte sur le site d’entraide entre voisins. Je n’ai pas arrêté malgré Céline. Mais il est vrai que je tombe plus souvent sur des annonces postées par des hommes que par des femmes. Ou lorsqu’il y a des annonces faites par des femmes, elles ne conviennent pas à mes compétences ou, pour certaines, les services d’un homme peuvent être mal perçus. Je pense notamment aux annonces concernant le baby-sitting. La plupart demandent des femmes. Il est vrai que de voir un trentenaire débarquer pour s’occuper d’enfants de cinq ou six ans, certaines mères pourraient s’imaginer avoir affaire à un pédophile. C’est pour cela que je ne propose jamais mes services dans ces cas là, car j’aurais de très grandes probabilités d’être écarté immédiatement.Toutefois, aujourd’hui je vois une annonce postée par une femme et dont la demande s’avère être dans mes cordes. Elle cherche quelqu’un pour tailler ses troènes. Il y en aurait pour une à deux heures. Je lui réponds et elle accepte ma proposition.— Tu comptes te la taper ? me demande Céline qui est venu derrière moi.— Je ne sais pas, je verrai le moment venu. — OK, dit-elle avec un timbre de voix différent.
Quelques heures plus tard, j’embrasse Céline avant de partir chez la voisine. Je prends mon taille-haie électrique et trois batteries. Je préfère toujours en avoir en rechange au cas où l’une soit déchargée et qu’une autre soit défectueuse. J’arrive devant chez Audrey qui m’accueille chaleureusement. C’est une très belle femme. Nous discutons un peu et elle me montre les endroits où elle aimerait que je passe. Fort heureusement pour moi, elle veut quelque chose de simple. Je n’ai donc pas besoin de tailler des formes d’animaux ou étranges. J’ai déjà connu cette situation avec un voisin qui m’a demandé de changer une haie taillée en forme de chat pour la transformer en une autre en forme, il voulait maintenant une forme de tortue. J’avais passé deux heures sur cette saloperie de haie à la con au lieu de passer dix minutes.
Audrey me fait savoir approximativement la hauteur souhaitée de ses troènes. Une fois que j’ai toutes les informations nécessaires, je retourne à ma voiture pour prendre mon matériel (taille-haie et les batteries de rechange, escabeau). Pendant que je travaille, elle est retournée à sa maison, faire je ne sais quoi.
Après trois quarts d’heure, mon travail est terminé. Il y en a eu pour moins longtemps qu’elle le pensait. Je m’assure une dernière fois que tout me semble correct et je vais la chercher pour qu’elle voit le résultat et qu’elle me fasse éventuellement part d’une amélioration à apporter ou d’un petit raté que je n’aurais pas vu. Après un rapide coup d’œil, elle me félicite pour mon travail et nous nous accordons sur une durée de prestation d’une heure (plus simple pour compter le montant à payer). Elle me donne donc les quinze euros convenus (car c’est le prix horaire qu’elle acceptait de mettre). Je la regarde une fois de plus. C’est étrange, c’est une belle femme, mais je ne ressens aucune envie si ce n’est celle de partir pour retrouver Céline qui m’attend chez moi. Nous nous donnons donc une poignée de main et je repars de mon côté.
De retour chez moi, je remarque avec plaisir que Céline est toujours là. Je ne peux m’empêcher de l’embrasser. — Déjà ? Tu as fait vite.— Oui, pourquoi ?
— Tu n’as pas profité d’elle ?Me demandant si elle est vraiment sérieuse, j’essaie de rentrer dans son jeu pour voir si elle dit ça pour tester ma fidélité ou par sincérité.— Elle m’a juste sucé, elle n’avait pas envie d’aller plus loin.— J’espère que tu as bien profité.— Ça va. Elle suce un peu mieux que toi, même si tu es très douée.— Eh bien, vu la façon dont tu apprécies quand je te le fais, avec elle tu as dû être aux anges si elle fait ça mieux que moi. — C’est vrai que c’était vraiment très bon.
Au lieu de continuer cette conversation qui me semble totalement absurde et qui n’a aucun sens, j’embrasse Céline pour stopper ce mensonge qui me sali la bouche à chaque parole que je prononce, puis je la prends dans mes bras et je la porte jusqu’au lit où je l’allonge. Je retire son pantalon et j’arrache presque son string. Je passe ma tête entre ses cuisses et je me délecte ensuite de son nectar. Je la lèche sauvagement, de façon plus bestiale qu’à l’accoutumé et il ne lui faut pas longtemps pour atteindre l’orgasme. Je déboutonne alors mon pantalon et je lui fais constaté la raideur de ma barre, ce qui semble grandement lui plaire. Puis je m’introduis en elle. Je ne peux pas contrôler mes envies, ce n’est pas moi qui m’exprime, ce sont mes sentiments pour elle qui se réveillent et qui me submergent. Chaque partie de mon corps semble vouloir lui faire comprendre à quel point je la désire. Là encore elle apprécie grandement ce que je lui fais, même si pour la première fois depuis des années, je ne me contrôle plus. Je ne cherche pas à me retenir et j’envoie mon sperme au fond de son vagin humide. Épuisé, je m’allonge à ses côtés.
— Tu repensais à elle et ça t’a excité notre conversation ? me demande-t-elle.— Tu es vraiment sérieuse depuis tout à l’heure ?— Pourquoi, toi tu ne l’es pas ?— Je n’ai rien fait avec elle, c’est avec toi que je préfère être. Je pensais que ce que je viens de t’offrir allait te permettre de te rendre compte que c’est toi que j’aime.— C’est vrai ?
Et merde, je viens de comprendre ce qui m’arrive. Je suis amoureux de Céline.
Je l’embrasse en prenant conscience que même si ça fait deux mois que nous ne nous sommes pas séparés, je veux continuer d’être avec elle au quotidien.— Oui, c’est vrai. Je suis amoureux de toi.— J’attendais que tu me le dises enfin.— Je n’en avais pas encore pris conscience jusqu’à maintenant. — Et qu’est-ce qui t’a fait t’en rendre compte ? — Le fait que je n’ai pas arrêté de penser à toi pendant que j’étais chez l’autre. Je ne me souviens même plus de son prénom d’ailleurs.— Moi aussi je t’aime, me dit-elle en retour.
Un long moment de silence s’installe. Céline semble être en train de réfléchir à quelque chose.— Je peux te demander quelque chose ? — Tout ce que tu veux, lui dis-je. — Je sais que ça un peu tôt mais... — Je veux qu’on vive ensemble, la coupé-je.— C’est vrai ?— Oui. On ne s’est pas quitté depuis le premier jour et je ne veux pas que ça change. Désolé, je t’ai coupé la parole. Tu voulais me demander quoi ?— Rien qui ne vaille ce que tu viens de me proposer.
Quelques jours plus tard, elle m’indique ce qu’elle souhaite garder et ce qu’elle ne veut pas, puis elle vient s’installer chez moi... Officiellement maintenant.
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