Veuillez m’excuser si ce chapitre n’est pas à la hauteur de vos attentes. J’avoue avoir un peu manqué d’idée pour l’écrire. J’ai déjà une vision globale de mon récit, mais je manque parfois d’idées pour les chapitres intermédiaires comme celui-ci. Cela fait deux jours que j’ai trompé Céline avec Julie. Je pensais réellement m’en vouloir de l’avoir trompée, mais c’est tout le contraire. Je n’éprouve aucune honte et j’ai même envie de recommencer. Mais je n’ai pas envie de n’importe quelle femme, c’est Julie qui m’attire et la seule avec qui je veux continuer à tromper Céline. C’est peut-être stupide à dire, mais je ne me vois pas collectionner les maîtresses. Céline ne mérite pas cela. Elle aurait mérité un homme fidèle, mais Julie m’attire beaucoup trop pour que je puisse lui assurer ma fidélité. Qu’on soit bien d’accord, j’aime Céline, je suis très amoureux d’elle. Mais Julie a un truc qui m’attire et je ne saurais dire de quoi il s’agit exactement. Mais quand je la vois, je n’arrive pas à résister à l’envie de coucher avec elle. C’est un pouvoir que seules elle et Céline possèdent. Aujourd’hui, je me rends chez Julie et son mec pour m’occuper de ce cher Nelson. Coucou Nelson, tu vas bien aujourd’hui ?Quel con, voilà que je parle à un lapin. Forcément, il ne me regarde pas et ne me répond pas non plus. Il fait sa vie dans sa caisse. Je fais ce qui doit être fait pour le confort de Nelson, ce qui me prend environ dix minutes. Puis je m’installe sur le canapé pour lui apporter une présence afin qu’il ne se sente pas trop seul. Même si en réalité, je ne sais pas si ma présence lui fait du bien.Après environ une heure, je rentre chez moi retrouver Céline. Je l’embrasse et nous finissons la journée comme n’importe quel couple. Le lendemain, je retourne voir le lapin et je lui parle à nouveau comme s’il était capable de me répondre. Assis sur le canapé après avoir fait le nécessaire pour le lapin, j’envoie un petit message à Julie, sans vraiment savoir si son gars est susceptible de lire ce que je vais lui envoyer. En fait, je ne pense même pas à lui. Je m’en fous royalement."Salut, tu es seule en ce moment ?""Oui, pourquoi ?""Je voulais te dire que tu me manques tellement que je suis allé voir dans ton linge sale et je t’y ai laissé une petite marque de mon affection". En réalité, ce n’est pas vrai. Je n’ai jamais fait ça de toute ma vie. Je ne suis pas le genre de mec qui va se branler dans les sous-vêtements sales d’une fille. Mais j’avais surtout envie de plaisanter avec elle pour voir sa réaction. La connaissant un peu, j’espère qu’elle y verra surtout de la plaisanterie et non de la perversion. "Menteur ! J’ai moi-même fait la lessive avant de partir et j’ai rangé le linge." Mince, j’aurais peut-être dû m’assurer que ma plaisanterie puisse être réaliste, mais je ne pensais pas que la lessive allait être faite avant leur départ. "Mais si tu veux, tu peux te soulager dans mes strings propres."
"T’es sérieuse ? Ça veut dire que je devrais aller fouiller dans ton armoire.""Tu m’as déjà rempli la chatte et la bouche. Je ne pense pas que fouiller dans mon armoire soit pire que ça. Donc si je te manque tant que ça, tu peux." Je suis vraiment surpris par sa réaction. Pour le coup, moi qui croyais la surprendre, c’est raté. La situation est même totalement inversée. Je ne sais pas quoi faire. J’ignore si elle est sincère ou si elle plaisante.Je reste là, assis sur le canapé, me demandant si je vais vraiment le faire ou si je lui envoie simplement un autre message pour lui faire croire que je l’ai réellement fait. Même si je ne me suis jamais masturbé dans les sous-vêtements d’une femme, je ne sais pas si j’arriverais à le faire ou pas. Me dégonflant, après vingt minutes je lui envoie un message pour lui faire croire que je l’ai vraiment fait."Ça y est, j’ai été faire un tour dans ton armoire. Tu auras une grosse trace de mon passage qui sera sèche quand tu rentreras". J’ai honte de moi, honte d’avoir vraiment songé à le faire. Mais un autre message me rappelle à la réalité, celle qui est que je n’ai rien fait dans ces vêtements."Envoie-moi une photo pour que je puisse me rendre compte de la façon dont je te manque". Je suis pris au piège. Soit je le fais réellement, soit j’avoue mon mensonge. Mais son enthousiasme à vouloir que je me masturbe dans ses sous-vêtements commence à m’exciter. Jamais je ne l’aurais imaginée ainsi. Mais pris soudain d’un doute, je ne sais pas si c’est vraiment elle qui me répond ou si j’ai affaire à son gars qui cherche à voir jusqu’où je suis prêt à aller pour ensuite dénoncer mon comportement sur le site. Pourtant, elle a bien fait référence aux relations que nous avons eu. "Je n’ai jamais connu de femme prête à accepter et même à me réclamer autant de choses. Qu’est-ce qui me prouve que c’est bien toi ?" Il n’en faut pas plus pour que reçoive un appel en visio. J’hésite quelques secondes, la peur de me confronter à son compagnon fou de colère. Je décroche malgré tout et je la vois. C’est bien son visage qui apparaît à l’écran, avec un petit supplément. Elle est intégralement nue et n’hésite pas à me le montrer. Elle est dans ce qui me paraît être une salle de bain. Alors, ça te va comme confirmation ? Je n’en attendais pas autant. OK, si tu préfères je peux me rhabiller. Non, ça va. Tu es très bien comme ça. Maintenant que tu sais que c’est bien moi, tu peux me montrer la trace laissée sur mon string. Je... Je ne l’ai pas fait, avoué-je. Je voulais simplement voir ta réaction. Elle semble faire la moue, comme si elle était déçue par mon aveu. T’es déçue ? Un peu. Je pensais vraiment que tu l’avais fait. Mais tu ne trouverais pas ça dégeu ou pervers ? Nous sommes tous les deux dans une situation situation de couple, donc venant de toi, non, j’aurais même été flattée que tu le fasses réellement. Ça m’aurait permis de te savoir un peu vers moi quand je serais rentrée. Mais c’est sûr que si ça venait d’un autre gars, je n’aurais pas apprécié. Tu veux que je le fasse maintenant ? Pendant que je t’ai en visio ? Vas-y, mais je risque de devoir raccrocher si mon mec arrive. Je n’en reviens pas, elle me propose clairement de faire une sexcam avec elle et de finir dans un de ses sous-vêtements. La conversation et l’image d’elle nue à l’écran m’excitent au plus au point. Je mets la seconde caméra de mon téléphone et sors mon sexe. Humm, intéressant, dit Julie. Ça me donne envie d’être à l’appartement. Motivé par ses propos, je me masturbe tout en lui montrant à la caméra. Assez rapidement, je la vois commencer à se caresser un sein. Ça te fait de l’effet ce que tu vois ? lui demandé-je. À ton avis ? dit-elle avant de glisser un doigt dans sa fente et de le ressortir pour me le montrer de près, luisant de son jus. Je continue à me masturber tout en prenant cette fois la direction de sa chambre. Je sors le premier string qui me tombe sous la main, un rouge. J’entoure mon mat avec ce léger bout de tissu et je continue à me donner du bien. À l’écran, je vois maintenant que Julie a posé son téléphone et qu’elle est maintenant assise sur la lunette des toilettes située à côté de la baignoire. Elle se masturbe en disant mon prénom, ou peut-être celui de son copain vu que nous avons le même prénom. Pose le string sur le lit, je veux voir ton jus gicler, me dit-elle. Tu es sûre que tu verras assez bien de là où tu es ? Tu me préviendras et je me rapprocherai du téléphone. Cette conversation est totalement inimaginable. Je ne l’aurais jamais cru possible si je ne la voyais pas à l’écran. Je suis au bord de l’explosion et je préviens Julie qui arrête ce qu’elle faisait et se rapproche de l’écran de son téléphone. Ma première giclée est projetée trop loin et termine sur la housse de la couette. Merde, désolé pour ça, lui dis-je. Ne t’en fait pas, elle en a déjà vu d’autres avec mon mec, me rassure-t-elle. Orientant au mieux mon cracheur frénétique, la seconde giclée termine sur le tissu rouge. Puis trois autres giclées le suivent. Merci, dit Julie en voyant son string maculé de mon foutre. Maintenant c’est à toi de profiter de la fin du spectacle.Elle retourne se mettre en position sur la lunette des toilettes et m’offre la suite de son spectacle. Elle se doigte devant moi, pour moi. Je scrute mon écran sans perdre une miette de cette fantastique représentation qui se déroule sous mes yeux, espérant que la technologie ne soit pas capricieuse. Je vois son corps se crisper, elle tremble tout en libérant un cri qui me rappelle celui qui était à mes oreilles il y a tout juste trois jours. Ce qui me fait penser qu’elle ne simulait pas son plaisir. Soudain, elle revient vers le téléphone en panique et la dernière chose que j’entends est un truc du style "merde, il est rentré", puis elle coupe la conversation.Quant à moi, je replie le morceau de tissu et le remet à la place où je l’avais pris, puis je repars chez moi. Les jours suivants, avec l’accord de Julie, je laisse une marque de mon passage dans des strings toujours différents, photo à l’appui.
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