Ce matin, je suis réveillé par une douce sensation autour de mon chibre. Un court instant je pense à Julie, mais je me retiens de prononcer le moindre mot tant que je n’ai pas ouvert les yeux. C’est finalement ma belle Céline qui me fait profiter de sa bouche de si bon matin. Je n’hésite pas à me laisser aller et à lui offrir mon nectar. Je sais qu’elle aime mon sperme, elle ne s’en est jamais caché et c’est avec plaisir que je comble sa gourmandise aussi souvent qu’elle le souhaite. Après ce réveil permettant de bien commencer sa journée, j’habille Céline. Il est vrai qu’avec l’arrivée imminente du bébé, elle a beaucoup plus de mal à s’habiller elle-même. Et même si je préfère lui retirer ses vêtements, c’est agréable aussi de les lui mettre. Avant la grossesse, son handicap ne l’avait jamais réellement empêcher de se vêtir. Mais depuis les deux derniers mois de la grossesse, elle a beaucoup plus de difficultés à s’habiller. Mais cela ne me dérange pas de l’aider. Nous sommes attablés lorsque Céline m’annonce qu’elle vient de perdre les eaux. Et en regardant sous la table, la petite flaque ne laisse pas de doute. Nous avons souvent fait cet exercice pour être prêts lorsque ce moment arriverait. Mais maintenant que ça arrive réellement, je ne sais plus quoi faire. Dois-je appeler une ambulance ou dois-je l’emmener moi-même ? — On a encore un peu de temps devant nous, me dit-elle en voyant mon hésitation. Les contractions sont assez espacées. — Oui, désolé mon amour. Nous ne terminons pas le repas. Je l’emmène jusqu’à la voiture sans changer ses vêtements mouillés. Je mets ensuite le siège dans le coffre puis je prends la direction de la maternité en prenant soin d’éviter les bosses ou les nids de poules. Nous arrivons finalement à destination assez rapidement. Céline est rapidement prise en charge par le personnel compétent. Même si nous aurions tous les deux préféré un accouchement de façon naturelle, en raison de son handicap, les médecins pratiquent une césarienne. Céline met finalement au monde notre ravissante fille, même si elle aurait aimé avoir un accouchement plus ordinaire. Mais l’essentiel est qu’elles aillent bien toutes les deux. J’embrasse amoureusement Céline et avec délicatesse, j’embrasse également notre fille pour la toute première fois. Cela me fait bizarre de devenir père. Moi qui n’avait jamais eu d’enfant avant elle, je me sens maintenant complètement différent. Le temps passant, il fait maintenant nuit et après l’enthousiasme de voir notre fille, je finis par être fatigué. J’embrasse Céline et notre petit bout et malgré ma fatigue, en quittant la chambre, j’envoie un message à Julie. Je sais qu’il est tard et qu’il y a peu de chances qu’elle soit disponible, mais je n’ai pas envie de passer la nuit seul. Finalement, je reçois une réponse avant même d’avoir quitté le bâtiment. Par chance pour moi, son copain est parti plusieurs jours passer une formation pour son travail. Je passe la prendre chez elle. Nous nous embrassons et je la serre dans mes bras. Elle commence à me déshabiller et je l’imite assez rapidement. Nous nous retrouvons nus. Je l’amène dans sa chambre et je savoure son fruit exquis. Elle ne met pas longtemps à atteindre l’orgasme. Je parviens quand même à bander malgré ma fatigue. Je m’allonge sur le lit et elle vient s’empaler sur moi. Ça fait du bien de ne rien contrôler et de la laisser tout diriger, cela faisait longtemps que ça ne m’était pas arrivé lors de la pénétration. Je malaxe ses seins pendant qu’elle s’active sur ma barre bien plus en forme que j’aurais pu l’imaginer. Je caresse ses fesses, je la saisis par les hanches sans pour autant lui imposer de rythme. Mes mains suivent simplement celui qu’elle a choisi. Elle gémit fortement et bruyamment. Et bientôt, c’est un duo de vocalises qui raisonne dans toute la chambre. — Je t’aime Julie, dis-je en déchargeant mon sperme au fond de son vagin.C’est la première fois que je lui avoue que je l’aime. Pourtant, nous avons fait l’amour des dizaines de fois. Elle m’embrasse en affichant un grand sourire.— C’est vrai ce que tu viens de me dire ? me demande-t-elle en s’allongeant sur moi.— Oui, c’est sorti tout seul.— Comme ce que tu as mis au fond de moi ? plaisante-t-elle.— Oui, comme ça aussi, dis-je sur le même ton.— Ne le prends pas mal, mais j’aime Dylan, me répond-elle.— Non, je ne le prends pas mal, je comprends.— Enfin, j’aime Dylan et Dylan. J’aime deux Dylan.— Donc tu veux dire que tu m’aimes aussi.
— Oui, mais je ne veux pas quitter celui avec qui je suis déjà.— Je ne t’en veux pas. Je suis comme toi. Je t’aime et j’aime Céline et je n’ai pas envie que les choses changent. À vrai dire, je préfère que tu sois avec ton gars parce que j’aurais été incapable de choisir entre toi et elle si tu avais été célibataire.— C’est pareil pour moi. Mais finalement, cette situation nous convient à tous les deux.— J’ai envie de rester avec toi cette nuit, avoué-je.— Ça me tente vraiment, mais ta femme est probablement en train de t’attendre.— Non, elle est à la maternité. Elle a accouché tout à l’heure. Du coup nous pouvons profiter toute la nuit.— T’es sérieux ? me demande-t-elle en se redressant. Ta femme vient d’accoucher et la première chose que tu fais c’est de venir te taper ta maîtresse ?— Je sais, je suis vraiment un salaud.— Tu devrais être avec ta femme qui vient d’accoucher plutôt que d’être avec moi.— Tu veux que je reparte ?— Ce n’est pas ce que j’ai dit. Moi aussi j’ai envie de passer la nuit avec toi, mais pas dans ces conditions.— D’accord. Dans ce cas je vais rentrer chez moi. Je commence à me revêtir quand Julie change d’avis. — Si c’est pour rentrer chez toi et être seul, autant rester ici avec moi.— C’est vrai ? Tu veux que je reste ?— Bien sûr, mais promets-moi que demain tu restes avec ta femme.— Si elle sort de la maternité, bien sûr. Mais si elle y reste encore, l’appartement sera vide. Je me déshabille à nouveau et je rejoins Julie sous les draps. Très fatigué, je finis par m’endormir contre son corps doux et chaud. Je ne me réveille que le lendemain matin dans le lit vide. Même si c’est très agréable d’avoir passé cette première nuit en compagnie de Julie, je regrette un peu de ne pas avoir pu en profiter pleinement. Je me lève nu et sors de la chambre vide. Je me dirige vers la cuisine et Julie me regarde avec un grand sourire. — Tu as l’air en très bonne forme ce matin, me dit-elle.Je baisse les yeux et je remarque mon érection que rien ne couvre.— Effectivement. Mais ça ne semble pas te choquer ni te déplaire.— Effectivement, rajoute-t-elle. Elle s’assied à la table et je remarque deux bols. — Tu prends un petit-déjeuner avant de repartir ?— Je veux bien, merci. Je viens derrière elle et je la prends dans mes bras. — Merci pour cette nuit, lui dis-je.— Pour moi aussi c’était agréable, répond-elle après m’avoir embrassé.Mes mains emprisonnent ses seins cachés par son t-shirt. Je l’embrasse dans le cou et son odeur m’enivre. — J’ai envie de toi, finis-je par lui dire.— On ne devrait pas. Pense à ta femme qui vient d’accoucher et qui a besoin de toi.— En ce moment c’est uniquement à toi que je pense, réponds-je en continuant de l’embrasser dans le cou. Elle tourne sa tête et m’offre maintenant ses lèvres. Un premier baiser, puis un second et Julie se lève et se tourne complètement face à moi. Elle attrape ma barre dans sa main et me maintient en forme. Je lui retire un premier vêtement et elle se laisse faire. D’autres vêtements finissent rapidement par la quitter. Elle finit par se retrouver totalement nue assez rapidement.Julie s’agenouille, me prend dans sa bouche et entame une très bonne fellation. Je commence à aller et venir lentement dans sa bouche tout en lui maintenant la tête. Après deux ou trois minutes, elle se relève, s’assoit sur la table et écarte les cuisses en m’invitant à m’engoufrer dans cet antre accueillant. Je ne me fais pas prier et pénètre ma tendre partenaire, avant d’entamer une série de va-et-vient à l’intérieur de son vagin. Assez délicatement, elle écarte quelques objets de la table puis s’allonge dessus. Elle ne semble pas être incommodée par le manque de confort de ce meuble. Nous nous laissons complètement aller et après quelques minutes, sentant le plaisir arriver, je tente de me retenir au maximum. Mais je ne peux gagner que quelques secondes de plus avant de me vider complètement en elle. Nous nous embrassons puis je l’aide à redescendre de la table, même si elle n’avait pas besoin de mon aide. Nous nous dirigeons ensuite sous la douche que nous prenons ensemble. — Si Céline reste encore à la maternité ce soir, tu veux bien venir chez moi pour cette nuit ?— Je ne sais pas. J’en ai très envie, mais je me dis que ça ne se fait pas.— Je sais. Je n’aurais pas dû te le proposer. Après la douche, nous prenons enfin le petit-déjeuner ensemble. Puis je m’habille sous le regard de Julie qui semble vouloir tout autre chose que de me voir partir. Nous nous embrassons une dernière fois puis je me dirige à la maternité où Céline et notre fille ont passé la nuit. Finalement, Céline a passé une nuit supplémentaire à la maternité. De mon côté, je n’ai pas eu besoin de supplier Julie pour qu’elle accepte de venir passer la nuit chez moi. Et à son départ, pour que Céline ne se doute de rien, j’ai pris soin de changer les draps et les taies d’oreillers afin que rien ne puisse trahir que sa place a été occupée toute la nuit par une autre fille.
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