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Le service au restaurant

Chapitre unique

Divers
La ServeuseCe récit est réellement vécu, juste un peu arrangé pour les besoins de la rédaction et la protection des protagonistes.
C’est une soirée organisée par mon mari et un ami restaurateur, pour mon plus grand plaisir. Le restaurateur, Gilles, doit sélectionner parmi ses clients des convives pas trop farouches un jour où le restaurant est normalement fermé. Donc c’est un dîner presque privé. Moi je suis la serveuse en tenue genre soubrette sexy. Ensemble noir ras des fesses, petit tablier blanc, bas blancs porte-jarretelles blanc et culotte en dentelle blanche. Bref, on voit le haut de mes bas et leurs attaches. Je n’ai jamais fait le service dans un restau, c’est une première.
Le patron accueille les clients et les installe à table, et je viens prendre les commandes. Bien sûr, vu ma tenue, je suis un peu le centre d’attraction et je vois bien que les regards me suivent à la trace. Il y a des discrets, des exorbités, des lourds, des vicieux, des sourires pervers ... Je perçois vaguement des chuchotements qui ne doivent pas me traiter de sainte vierge.
Mon mari est installé seul à une petite table à un endroit stratégique, visible de tous. Mais ce soir, nous ne nous connaissons pas, du moins officiellement. Alors que je prends sa commande, il pose plein de questions pour faire durer le plaisir. Je jette des coups d’œil aux autres tables. Beaucoup de convives me regardent. Je vois que mon mari regarde aussi les alentours. D’une main, il passe un billet de cinquante euros bien visible sous mon nez et son autre main se glisse sous ma jupette et prend tout son temps pour bien me palper le cul. Le message est clair pour les observateurs, moyennant un billet, je me laisse toucher les fesses. Il glisse le billet dans mon décolleté de façon qu’il reste bien visible. Gilles, le patron, fait le tour des tables pour s’assurer que tout va bien. Au passage, il me met une petite claque amicale sur les fesses que bien sûr tout le monde voit.
— Allez, Mademoiselle, on se dépêche !— Oui monsieur. (avec un sourire coquin)
Il y a une table occupée par deux hommes. Deux beaux mecs, la cinquantaine, classes très polis, genre bien élevés. Et là ... quand je parle avec eux, deux billets se présentent sous mes yeux en même temps que deux mains me prennent chacune une fesse. Ils prennent tout leur temps. Les mains remontent un peu, ce qui fait que, derrière, on doit voir ma culotte. Je suis serrée contre la table, fermement maintenue. Etre troussée, tripotée comme ça en public me procure des ondes de plaisir et je commence à mouiller sérieusement ma culotte. Je continue mon service.
Je me fais encore tripoter à deux autres tables, toujours sur les fesses. J’essaie de me tourner pour que des mains me touchent devant, entre les cuisses, mais ça ne marche pas vraiment. Ils me font bouillir de frustration, je veux jouir. Je vais perdre la tête. C’est à une autre table, occupée par un couple que ça se passe enfin. Ils sont très genre bourgeois chics. L’homme me fait le coup du billet et c’est la femme qui passe sa main sur mon ventre et entre mes cuisses, devant. Mais la dame fait des commentaires que les tables proches peuvent entendre.
— Cette salope est trempée. Ça l’excite de se faire tripoter en public.— Je voudrais bien voir ça.— Tut tut, vieux cochon, pas touche ! Contente-toi de regarder.
Elle me remonte la robe devant et en plaquant fermement sa main entre mes cuisses me force à écarter un peu les cuisses. Il ne m’en faut pas plus pour partir dans le plaisir. Je jouis comme ça debout devant tout le monde. Je ne peux retenir un cri aigu et je sens le jet de cyprine partir.
— Ah ! Cette chienne vient de m’arroser la main à travers sa culotte.

Et elle passe sa main sur la figure de son compagnon qui lui goûte les doigts. Ce doit être un soumis à sa dame.Je continue mon service en repassant à la table de mon mari. Il me refait le coup du billet et cette fois-ci baisse ma culotte. Comme je l’ai mise sous le porte-jarretelles, elle reste coincée en haut des bas, au niveau des attaches. Je continue à circuler de tables en table avec la culotte qui pend entre les cuisses. C’est humiliant et je mouille de plus belle. Personne n’a encore vu que je porte un bijou anal, mais maintenant que je suis cul nu, on va bien finir par voir mon plug. Plusieurs personnes ont quitté la salle à l’issue de leur repas. J’espère que mon service leur laissera un bon souvenir. Les gens qui sont encore là prennent des consommations, je pense que c’est pour assister à la suite. C’est le patron qui m’interpelle.
— C’est quoi cette tenue, Mademoiselle, vous n’avez pas honte de servir en salle comme ça, la culotte aux genoux ?— Mais Monsieur, c’est ...— Je ne veux rien savoir vous êtes une souillon. Je vais corriger ça. Vous méritez d’être corrigée n’est-ce pas ? — Oui Monsieur. (mains dans le dos et les yeux baissés)— Alors, dites-le à tous ceux qui vous regardent... Dites bien fort que vous acceptez d’être fessée devant tout le monde.— Je... il faut... je dois... je vais recevoir une fessée que je mérite.— Bien bien, allez chercher une chaise et déposez-la au milieu de la salle. Prenez aussi la paire de ciseaux dans le tiroir du comptoir.
Monsieur le patron tire une table au milieu de la pièce et m’invite, aidée par la chaise à monter debout sur la table. Il doit m’aider à cause de la culotte qui m’entrave.
— Approchez messieurs dames, venez plus près, venez voir comment je dois remettre de l’ordre dans mon établissement.
Autour de la table, tout près de moi, il y a les deux hommes qui m’ont tripotée ensemble au début, le couple dont la femme m’a fait jouir, mon mari et mon patron et un type qui sort des coulisses, le cuisinier.Mon patron s’empare de la paire de ciseaux posée sur la table à mes pieds et coupe les côtés de ma culotte. Celle-ci tombe à mes pieds. Il coince le bas de ma tenue devant dans la ceinture du petit tablier et fait la même chose derrière dans la ceinture. Je suis donc nue jusqu’à la ceinture, exhibée. Les femmes, ça voit tout, celle de l’assistance aussi... :
— Regardez, cette salope a un bijou entre les fesses.— Oh la cochonne !— Descendez un peu, mettez-vous à genoux sur la table et écartez-vous, Madame veut vous toucher.
Elle me prend encore l’abricot à pleine main et m’enfonce deux doigts. Elle se met à faire des va-et-vient dans ma chatte. Je coule comme une fontaine. On entend le gargouillement de mon jus. Je ne vois pas celui ou ceux qui jouent avec mon plug mais ça accentue mon plaisir.
— Oui Ouiiii, encore ça vient, je vais jouir.
Tout s’arrête juste avant le point de non-retour. Je tente de continuer toute seule, mais on m’en empêche. C’est du sadisme à l’état pur.
— C’est le moment de la correction, dit le patron. Descendez de là et venez sur mes genoux.— Elle devrait se mettre nue pour arrêter de tacher sa tenue, suggère mon mari.
Je retire ma robe, les bas, mon porte-jarretelles. Je montre mes seins, mes tétons érigés à tel point qu’ils me font presque mal. Tout mon corps est en feu. Je veux jouir.C’est donc toute nue que je suis couchée sur les genoux de mon patron et copieusement fessée. Il s’arrange pour que les claques touchent aussi mon plug. J’entends des commentaires...
— Les fesses rouges mettent bien le bijou en valeur.— Regardez, elle écarte les cuisses.— C’est une vraie catin.— Oh ! Elle jouit la salope.
Mon orgasme commence. Je pousse un cri puis un feulement continu. Je me retrouve avec ma culotte dans la bouche, mais on entend encore clairement mes gémissements incontrôlables. J’aperçois mon mari, un peu en retrait, qui se fait sucer par la dame sous les yeux du soumis à genoux. Le salaud, il va me payer ça. J’arrache la culotte de ma bouche.
— Pitié, s’il vous plaît, baisez-moi !
Je me retrouve allongée sur la table, sur le dos, les jambes relevées, ouvertes. D’un seul coup, mon patron m’enfile. Je tends les bras pour attraper sur les côtés, le sexe des deux hommes qui dînaient ensemble. Je les branle. C’est le cuisinier qui se présente devant ma bouche. Je le suce comme une affamée. Tous me tripotent. On me tire les tétons. Je jouis sans discontinuer. Ça dure longtemps. Je suis comblée. Baisée, humiliée, exhibée, soumise... Heureuse.Puis ça gicle de tous les côtés. Je reçois du sperme partout. Je me masse les seins au foutre. J’en ai partout. Je me parle à moi-même : quelle salope ! Et je jouis encore et encore.
La dame s’approche de mon visage et colle sa bouche sur la mienne. Elle tire mon menton vers le bas pour que j’ouvre mes lèvres et me roule une grosse pelle. Elle me fait boire à sa bouche puis me dit :
— Tiens, salope, c’est le jus de ton mari. Une autre fois c’est moi qui te fesserai et c’est mon jus que tu boiras.

Sur ces bons mots, chacun repart de son côté et mon mari a dû me porter jusqu’à la voiture, puis jusque dans notre lit.J’ai passé une soirée mémorable, j’ai gagné plus de cinq cents euros, j’ai joui comme rarement une femme peut jouir et je recommence dès que possible.
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