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Ses désirs

Chapitre 1

Orgie / Partouze
SES DESIRS (première partie)
Depuis quelques temps, Mamour, diminutif de mon amour m’embête à vouloir baiser en groupe. Chaque fois que nous faisons l’amour, quand ma bite est dans son ventre, surtout derrière, elle me récite toujours son fantasme.— J’aimerai me faire mettre par trois hommes à la fois après avoir baisé une autre fille.— Mais enfin pourquoi ?— Je jouirais la première fois avec une belle nana qui me sucerais et que je lécherais, ensuite je m’offrirais à un homme qui me mettrais sa grosse bite dans le sexe, mon cul je le donnerais à un gars avec une bite comme, la tienne et enfin je prendrais dans la bouche une dernière pine pour avaler du sperme ;— Je ne te suffis pas ?    - Si mon amour, mais j’aimerai essayer de me faire mettre partout, surtout devant toi. Je vais commencer à chercher une autre fille pour savoir si c’est si bon qu’on le dit, après à toi de trouver les autres amants que tu m’offriras.En finissant son discours, je la sens jouir. C’est sacrément bon de faire jouir une femme, surtout par le cul. Pourtant un soir, je venais de satisfaire Mamour plus que normalement quand elle recommençait sa demande : elle restait sur le dos, comme pour dormir, pourtant elle écartait ses cuisses, passait sa main sur toute sa chatte pour finalement se masturber. Pour une fois elle occupait son clitoris et son cul. — Donnes moi ta bite que je te suce.Une telle demande me donne toujours envie de la satisfaire. Je vais sur elle, à la hauteur de ses seins, Je pose ma bite juste sur sa bouche : elle sort sa langue pour me prendre totalement dans sa bouche. Mamour m’avale presque entièrement, sa langue lèche pire qu’un jeune chiot : Je la sens sur mon frein. Malgré que j’ai déjà joui quatre fois, je ne peux résister à ses succions. J’ai beau retenir mon orgasme, j’éclate encore une fois dans sa bouche. Je reste tout le temps de l’éjaculation. Quand je me retire, elle me montre sa langue pleine de sperme :— Embrasse moi.Je ne peux refuser, même si c’est la première fois qu’elle me fait goûter ma semence. C’est finalement assez bon, je ne pensais pas à ce point. Après tout quand je la suce, j’ai moi aussi sa mouille dans la bouche j’aime bien et son goût et son odeur. J’aime surtout quand elle sent un peu l’urine. Elle jouit une dernière fois en même temps que moi. La fois suivante elle revient encore sur ses fantasmes. Je la laisse dire. Pourtant le lendemain, elle m’annonce qu’elle vient de baiser avec une copine : elle ne me cache rien :— Tu connais Sylvie, ma camarade de lycée. Je l’ai rencontrée cet après midi. Nous nous sommes embrassées sur la joue, ma bouche a dérapé sur la sienne. J’essayais de la tester pour savoir si elle accepterait que nous allions plus loin. Elle m’a surprise quand elle a ouvert sa bouche pour entrer sa langue. J’ai bien sur accepté le baiser. De là tout est parti : elle savait parfaitement s’occuper d’une fille ignorante de la sexualité féminine. Je me suis retrouvée nue sans son lit, elle me branlait comme tu fais. En plus elle m’embrassait continuellement sur les seins. Je restais comme spectatrice de mon spectacle. Je ne sais pas somment elle a pu me faire tant de chose en si peu de temps. Après m’avoir faite jouir avec le clitoris, elle m’a doigté pour trouve mon point sensible. Enfin elle m’a mit trois doigts dans le cul. Il me semblait avoir ta bite. — En plus elle avait la peau douce, tellement douce que je lui ai rendu ses caresses partout. J’ai apprécié la fermeté et la souplesse à la fois de sa poitrine. J’ai pu faire ressortir ses tétons. Je les ai pris dans ma bouche, comme tu le fais avec moi.— Je comprends mieux pourquoi te me le fait ; j’ai tété carrément ses seins. J’en mouillais encore plus. J’ai pris sur moi de me retourner pour nous mettre les pieds à la tête. J’avais ma bouche juste devant sa chatte. Je sentais ce que tu sens quand tu me suces : son odeur de cyprine. Quand j’ai posé ma langue sur son clitoris, j’ai goûté à sa liqueur. Je comprends mieux pourquoi tu aimes mon liquide. J’étais juste sous elle, ma tête penchée en avant pour bien la lécher. J’ai profité de son cul en y mettant lentement jusqu’à trois doigts. Je sais qu’elle gémissait. J’ai du en faire autant sans m’en douter. Mais que c’était bon d’avoir nos langues dans la chatte de l’autre. Je ne pensais jamais avoir un tèl plaisir. Ce n’était pas fini, elle a sorti un gode de bonne taille pour m’enculer. Tu sais que j’aime bien me faire mettre par là. Elle m’a sodomisée aussi bien que toi, sauf que la bite n’était pas trop souple. Mais avec sa langue sur le bouton, elle m’a encore bien fait jouir. Je ne savais plus où me mettre et comment me mettre. Pourtant si elle voulait encore me baiser, j’ai refusé : je voulais que toi tu me baises. — Voilà, j’ai tout raconté, baise moi.Que faire sinon obéir. J’ai commencé par la sucer, pour qu’elle puisse comparer. Résultat, Mamour préfère la fille. Sa bouche était autour de ma bite j’ai failli jouir dans sa bouche : ça ne nous aurait pas dérangés, sauf que je voulais jouir dans son ventre. Elle était sur le dos, les jambes bien ouvertes. J’ai traîné en route avant de la lui mettre : mon gland la branlait. Quand je suis entré, elle a mis ses jambes sur les épaules j’arrivais tout au fond de son vagin pour en presque ressortir. Là, elle s’est mise à gémir, comme si elle avait très mal. En guise de douleur ce n’était que les sensations de ma bite dans son vagin. Je l’ai limé moins longtemps que d’habitude quand elle a joui. Je suis resté en elle jusqu’à ce que je ne sente plus ses spasmes. Je suis juste sorti d’elle pour changer d’entrée. Son cul était plein de cyprine, je suis entré comme dans un cul de vache. Mamour est partie encore une fois rapidement. Je l’ai faite mettre en levrette, notre meilleure position pour la sodomie. Cette fois je sentais son cul resserré entourant ma queue. Je sentais ses orgasmes se multiplier. J’ai enfin jouis, entraînant par là son dernier orgasme.Je pouvais être jaloux de ce qu’elle avait fait avec sa copine et pourtant je la comprenais : il fallait bien qu’elle connaisse le lesbianisme. J’ai cherché de mon coté pour la satisfaire trois mecs. J’en connaissais deux avec qui quand nous étions au lycée nous jouions à touche pipi. Je les ai convaincus de baiser ma femme. A eux de trouver le troisième.Un samedi soir, j’ai prévenu ma femme qu’elle allait avoir satisfaction avec trois hommesElle s’est changée pour être provocante. Sa jupe était plus courte qu’une jupette de tennis, elle ne portait en haut qu’un simple foulard pour masquer à demi sa poitrine déjà bien provocante normalement. Elle était tellement désirable que je l’ai baisé avant que les autres arrivent. Oh, juste un coup rapide qui l’a à peine faite jouir pendant que je déchargeais dans sa caverne.Ils sont arrivés séparément, d’abord Paul, un type bien charpenté, avec une belle bite que j’avais vu au lycée, puis un peu plus tard les autres Jacques et enfin, Jean que je ne connaissais pas.Mamour les a tous embrassés sur la bouche, comme si elle les connaissait depuis toujours.Sans qu’on le leur demande ils se sont tous mis à poils. Mamour ne les regardait pas franchement, la seule partie des corps qui l’intéressait était les bites pas encore bandées totalement. Je l’ai offerte au trio. Je savais qu’elle devait mouiller. Moi-même je commençais à bander.
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