Ses mercredis Fabrissa En étant vulgaire, on pourrait dire que Laure en a plein le cul. Ce n’est pas qu’elle soit repue, mais un moment de repos entre deux séances de baise n’est pas de refus. La voilà assise dans son studio, presque allongée. Elle se trouve assez mal attifée sans presque rien sur elle. Elle va mettre sa robe ouverte devant. Devant la glace elle ferme les pressions devant elle. Elle regarde son corps disparaître derrière le vêtement. C’est presque dommage ! Son amie de toujours, Alice, une brune piquante lui propose par fil un rendez-vous mystérieux dans un restaurant pas loin. Elles s’y retrouvent rapidement. Alice est avec son ami, un homme d’une cinquantaine d’années qui plait à Laure. Il ne lui déplairait pas de passer un chaud moment avec lui. C’est en gros ce qu’elle laisse entendre à son amie. Considéré sur le moment comme seulement un étalon, il en est presque fâché. Mais au fond de son pantalon la vue de Laure le fait frémir. Sans trop y penser, il passe sa main sur la braguette, mettant en place une queue agitée qui a tendance à venir en érection facilement. Le geste est bien interprété par les deux femmes.Alice se décide à poser sa main sur la bite tendue. Elle la caresse pour le faire jouir. Lui ne dit pas non, même s’il doit la sortir en la montrant aux autres clients du restaurant. Laure fixe la braguette en espérant que justement elle va pouvoir apercevoir une autre queue. Alice voyant le regard envieux de son amie lui offre carrément la queue pour en faire ce qu’elle veut. Ce que veut Laure est simple ; tirer encore un coup. Elle ouvre les pressions de sa robe pour faire voir ses seins dans un premier temps. Le résultat immédiat est qu’une main de son amie vient caresser les tétons. Ce simple geste excite le trio. Lui sort carrément la pine, cachée quand même par la nappe. Par-dessous la table Laure passe une main sur le genou d’Alice. Il est doux, rond, agréable à toucher. Laure décide d’aller plus loin. Elle serre légèrement le bas de la cuisse féminine. Alice la regarde en souriant : elle ne dit pas non à un écart de conduite. Son homme commence à se tripoter la queue. Les deux femmes le regardent. Il se plonge dans son plaisir en faisant aller et venir une main sur la tige. Elle ne va pas vite, il sait qu’il faut attendre avant de jouir devant les deux filles. Comme si elle pouvait calmer les besoins de son homme, Alice remplace la main par la sienne. Laure voudrait elle aussi toucher ce morceau de chair. L’arrivée trop précise du maître d’hôtel fait débander la queue.Le trio va dans une chambre, dans un hôtel proche. C’est lui qui donne le « la ». Il a envie de Laure, l’embrasse en premier. La bouche de Laure accepte la langue de celui qu’elle ne connaissait pas une demi-heure avant. Pour faire bonne mesure, c’est Alice qui a aussi envie de baiser avec Laure qui met la touche finale en remplaçant par sa bouche celle de son amant. Lui veut continuer à faire bouger sa langue. Le trio se trouve ainsi les langues dehors, se caressant sans exclusive. Lui ressort sa queue, la montre à Laure qui, affamée, se penche pour la mordiller un peu. Alice se penche aussi pour ajouter sa langue à celle de Laure. Les deux filles se partagent la queue, les couilles, l’entre-deux des fesses. Elles posent presque ensemble un doigt sur la rondelle du mâle qui aime justement ce genre de familiarité. Les deux index se touchent un instant, se séparent avant de revenir se planter dans le cul qui s’ouvre. Lui tend son ventre vers l’avant, se faisant encore mieux bouffer le gland. Laure et Alice décident sans se concerter d’aller au bout de la fellation. Ce n’est que la main d’Alice qui tient la bite. Et là, d’un seul coup, le méat laisse échapper un grand jet de sperme que les filles se disputent. Ce brave amant est hors jeu pour un moment. Ça n’a que peu d’importance, les filles vont se satisfaire.La première est Alice qui, allongée, se caresse d’abord un téton, puis les deux avant de passer sa main largement ouverte sur la figue mouillée. Elle se masturbe doucement en attendant que Laure la remplace. Elle aussi mouille, elle veut baiser avec son amie. La branler est bien, mais la sucer est mieux. Elle fait tomber sur le dos d’Alice, écarte ses jambes, la caresse en montant vers le paradis de son amie. Elle passe son corps au-dessus, lui donne son abricot. Avant que Laure soit avec sa bouche sur la chatoune, Alice passe sa langue aussi gourmande que celle de Laure. Le 69 est parfait pour les deux filles. Il est parfait pour l’ami d’Alice. Sa queue reprend vigueur. Il se branle pendant que les filles jouissent l’une de l’autre. Il voit bien le moment où elles partent en même temps. Lui en a assez de les voir se donner du plaisir sans lui. Il vient se poser sur Laure qui est dessus. Sans trop de défendre Laure se laisse enculer. La queue balaie toute sa sortie arrière, accompagnée par les couilles qui touchent le nez d’Alice. Elle peut ainsi continuer à lécher un con et passer sa main sur un cul où elle entre deux doigts. Décidément, il aime avoir des doigts dans le cul Quand il jouit, Alice sent les spasmes autour de l’anus. Lui, sentant son orgasme arriver, caresse lentement les cheveux de Laure qui elle aussi jouit.Laure sent bien que c’est la dernière fois, ce mercredi, qu’elle a un orgasme.
