JOUR 3 - MATINLe soleil commençait à peine à se lever quand je me réveillai enfin. Cette branlette dans les toilettes de l’hôtel m’avait énormément détendu et j’avais dormi comme un bébé. À mes côtés, ma sœur, qui avait voulu rester avec moi pour la nuit car elle avait trop peur seule (c’était la même chose depuis qu’elle était toute petite), dormait toujours.Mais, techniquement, elle n’était plus exactement à mes côtés. En effet, elle avait passé les deux jambes par-dessus mon ventre et dormait en biais sous la couverture. Elle avait dû bouger en dormant sans faire exprès. Pour pouvoir me lever, je lui saisis les hanches et je la repoussai gentiment de son côté du lit. Je ne pus m’empêcher de frémir quand sa peau frôla la mienne. À présent libéré, je sortis du lit et je m’habillai rapidement. Une fois dans le long couloir, je me dirigeai vers la réception afin de trouver de quoi faire à manger pour tout le monde quand j’entendis du bruit dans une chambre. Je me stoppai net et posai mon oreille contre la porte. Il s’agissait d’un bruit de douche. Cela devait être Zoé, ma mère ou Satyne qui avait dû trouver une douche dans une chambre et n’avait pas pu s’empêcher de l’utiliser.Rassuré, je m’apprêtai à reprendre le chemin de l’accueil quand une soudaine envie me prit. Une pulsion irrépressible m’amena à me baisser et à regarder de mon œil directeur à travers la serrure de la chambre. Le trou n’était pas très large mais j’avais une vue imprenable de la douche sans rideaux, directement en face de la porte.C’était Zoé qui se lavait tranquillement. Elle était dos à moi et se shampouinait les cheveux méthodiquement. Je pouvais admirer son postérieur rebondi sur lequel l’eau ruisselait. Son corps scintillait à la lumière du soleil levant et mon cœur faillit s’arrêter quand elle se tourna enfin vers la porte. Ses seins luisants se soulevèrent légèrement par l’action de la force centrifuge et retombèrent sur ce corps de déesse en rebondissant doucement. Mes yeux descendirent inexorablement vers ce que je voulais voir le plus…— Tennessee !? La voix de ma mère, criant à travers l’hôtel, me fit sursauter et je me redressai tout de suite. — J’arrive, maman ! Dis-je, en ayant pris soin de m’éloigner suffisamment de la chambre de Zoé pour qu’elle ne puisse pas m’entendre.Mes yeux se baissèrent sur mon short. Ça y était, j’avais la trique. Je mis un main sous le tissu pour caler ma verge contre ma peau afin qu’elle prenne le moins d’espace possible. Il ne fallait surtout pas que ma mère remarque que je bandais !Je traversai l’hôtel et arrivai enfin à la réception où ma mère m’attendait. Elle avait mis un débardeur cyan et un pantalon assez slim. Je dois dire qu’elle était magnifique dans cette tenue. J’avais presque envie d’empoigner ses seins volu... Mais qu’est-ce que je raconte moi ? C’était ma mère tout de même ! Je secouai la tête pour me chasser cette image incestueuse de la tête. Les hormones me rendaient fou !— J’ai réveillé tout le monde mais je n’ai pas trouvé Zoé, dit ma mère.— Elle est levée, je l’ai entendu prendre une douche ! Dis-je en me rendant compte que je venais de révéler mon espionnage à ma mère.— Comment tu sais que c’est Zoé qui prend sa douche ? Demanda ma mère.Aïe ! Il fallait que je trouve une excuse le plus vite possible. Qu’est-ce que je pouvais bien dire pour me sauver les fesses ?J’allais ouvrir la bouche pour balbutier quelque chose mais je fus coupé par une voix derrière moi :— Parce que je lui ai demandé du shampooing ! Je me retournai. Zoé se tenait derrière moi, un sourire aux lèvres. Comment était-elle sortie aussi vite de sa douche ? Elle avait enfilé un chemisier turquoise qui laissait transparaître son soutien-gorge, ainsi qu’une jupe en jean assez courte.— Désolée de t’avoir réveillé d’ailleurs ! Rajouta-t-elle.Je ne comprenais pas vraiment à quel jeu elle jouait mais j’étais soulagé d’échapper aux reproches de ma mère.— Oh ! Ce n’est rien ! J’avais le sommeil léger de toute manière ! Dis-je d’une voix qui se voulait légère.Ma mère s’éclaircit la gorge.— Très bien ! Pour en revenir au planning de la journée, on a plein de choses à faire ! Mais avant toute chose, mangeons !Au moment où elle disait cela, Satyne et Judie entrèrent dans la grande pièce. Après les avoir saluées, je farfouillai dans les placards de la réception afin de trouver une quelconque nourriture. Mais il n’y avait que de la poussière poussiéreusement poussiéreuse.— Y a rien à manger ! Dis-je en me relevant de sous le comptoir.
Zoé me regarda d’un air amusé.— Étant donné que tu regardes sous le comptoir de l’accueil, c’est plutôt normal… La nourriture est la plupart du temps dans ce qu’on appelle communément une cuisine. Tu connais ce mot ? Dit-elle, sarcastique.— Haha ! Très drôle ! Qu’est-ce qu’on rigole ! Et elle est où ta cuisine, grosse maligne ? Répondis-je, vexé.Zoé pointa un panneau accroché bien en évidence. Il indiquait "Cuisine" et une flèche en indiquait la direction.— À tout hasard, je dirais par là ! Me railla-t-elle.Ma mère prit la parole.— Et si vous alliez vous chamailler en cuisine plutôt ? Allez préparer le petit-déjeuner pendant que je fignole avec Judie et Satyne le plan de la journée !J’acquiesçai et je suivis Zoé qui s’était déjà élancée d’un bon pas vers la cuisine. Je la rattrapai assez rapidement et je me mis à sa hauteur. Nous arrivâmes quelques instants plus tard devant une porte en métal sur laquelle un petit écriteau indiquait "Cuisine, réservée au personnel habilité". Je saisis la poignée et fis pivoter la porte sur ses gonds, provoquant un vacarme assez insoutenable.— Elle aurait besoin d’être huilée cette porte ! Dis-je simplement.Nous entrâmes tous les deux à l’intérieur de la pièce. C’était moins sale que ce à quoi je m’attendais. Presque propre. Il y avait un plan de travail en inox avec une planche à découper. Zoé se dirigea vers une seconde porte où il était indiqué "Réserve - Garder au frais". Elle actionna la lourde poignée qui faisait penser à celle d’un réfrigérateur et tira de toutes ses forces. À l’intérieur, une montagne de nourriture se dressait. Les murs étaient suffisamment isolants pour conserver la fraîcheur car il y faisait aussi froid que dans un congélateur.— C’est quand même mieux qu’à la réception, hein champion ?! Dit Zoé en me taquinant.— Ouais, ouais…Je saisis un sac de farine, des œufs, du lait et du sucre que je posais sur le plan de travail.— On peut faire des pancakes avec ça ! Proposai-je.— Bonne idée ! Je suis la reine des crêpes, donc les pancakes ne devraient pas me résister bien longtemps ! Répondit Zoé, sautillant d’excitation.Nous sortîmes le matériel nécessaire : saladier, fouet, poêle et huile. Nous dénichâmes un livre de recette assez imposant et cherchâmes celle des pancakes. Une fois trouvée, nous nous mîmes au travail sans plus attendre. Je mélangeai levure, farine, sucre et vanille tandis que Zoé mélangeait 2 jaunes d’œuf avec du lait. Nous mîmes en commun nos deux mixtures comme que la recette l’indiquait. — Y a quoi ensuite ? Demandai-je, ayant fini mon mélange.— Du sel.— Il n y en a pas.— Zut.— C’est pas dramatique ! On verra pas la différence.— Ok. Il faut laisser reposer 15 minutes alors ! Dis Zoé.Je poussai le bol et je m’assis sur un des tabourets en métal qui se tenait devant le comptoir qui permettait de relier la salle à manger du restaurant. Zoé me fixait à l’autre bout de la pièce.— Qu’est-ce qu’il y a ? Lançai-je.La jeune fille sourit malicieusement.— Tu m’as espionné dans la douche tout à l’heure, avoue !Mes joues s’empourprèrent.— Euh… je ne vois pas de quoi tu parles, balbutiai-je, à court de répartie.Cela fit rigoler Zoé encore plus. Son rire cristallin me faisait frissonner.— Pourquoi tu n’as rien dit quand ta mère t’as demandé comment tu savais que j’étais dans la douche ?Mes épaules se relâchèrent. Argument imparable. Je ne pouvais qu’admettre ma faute.— Je suis vraiment désolé ! Je ne sais pas ce qui m’as pris ! Je ne suis pas comme ça d’habitude mais l’apocalypse m’a sûrement fait disjoncter ! Dis-je, malheureux.Zoé vient s’asseoir sur le tabouret à côté de moi. L’odeur de son shampooing parvenait à mes narines.— Je te fais envie ? Demanda-t-elle, malicieuse.— Je crois…Elle baissa les yeux sur mon entrejambe. — Tu crois ? Ta bite semble sûre, elle !Je bandais comme un fou. — C’est involontaire ! Je suis vraiment désolé ! Dis-je en cachant le tissu distendu de mon pantalon de mes mains.— Tu sais, il faut pas en avoir honte… Quand les deux partis sont consentants, ça peut devenir très amusant… me chuchota-t-elle à l’oreille.Son souffle chaud se répandit sur ma peau.— Alors, je te fais envie ? Redemanda-t-elle, en faisant descendre sa main le long de mon bras.— Ouu...Oui… Répondis-je, maladroit.— Tu t’es déjà masturbé en pensant à moi ?J’acquiesçai, honteux.— C’est vrai ? Quand ça ?— Hier soir… Ta nuisette était tellement sexy… Elle était parfaite sur toi !— Hoho ! Merci, beau gosse ! Mais Judie n’a pas dormi avec toi cette nuit ? Tu t’es branlé à côté de ta sœur ?— Non non ! Je n’arrivai pas à dormir à cause de ma trique. Donc, je me suis terminé aux toilettes…— "Terminé aux toilettes". Quelle formulation mignonne !Elle regarda sa montre.— Il reste 10 minutes de levée pour les pancakes. Ça nous laisse du temps !— Pour faire quoi ? Demandai-je.— Bah pour te sucer, gros malin ! Ça fait une éternité que j’ai pas eu une queue en bouche !Surpris par sa proposition, je restai de marbre quand elle déboutonna mon pantalon et libéra mon pénis dur comme la pierre.— Belle pièce ! Comment je vais bien pouvoir faire rentrer ça dans ma bouche ? Dit-elle, admirative.Elle me fit pivoter sur mon siège et s’installa à genoux sous le comptoir.— Appuie toi sur le comptoir ! Comme ça t’as une vue imprenable de la salle à manger pour me prévenir si quelqu’un arrive !Je suivis ses ordres sans discuter. Je ne pus m’empêcher néanmoins de glisser ma tête sous la table pour voir la blonde s’activer autour de ma verge. Je dois dire qu’elle savait y faire. Elle me regarda en avalant et me fit un clin d’œil.— Eh ou u a a e i o u ee i e o e a i e ! Dit-elle, ma bite dans la bouche.— Quoi ? Je comprends pas ce que tu dis !Elle retira mon amas de chair de sa glotte et répéta en me fusillant du regard :— Mets tes coudes sur la table et regarde si personne ne vient, gros malin !— D’accord, d’accord !Je m’exécutai et regardai la pièce vide qui s’offrait à mes yeux tandis que Zoé reprenait sa fellation. Je me demandai comment elle parvenait à engloutir autant de chair avec une si petite bouche. Mon gland devait pénétrer sa gorge à chaque aller-retour ! Qu’est-ce que c’était bon ! Rien à voir avec la branlette minable d’hier soir !— T’es incroyable, Zoé ! Elle ne répondit pas mais accéléra la cadence comme pour me remercier de mon compliment. J’allais fermer les yeux pour savourer au maximum cet instant mais je vis, au fond de la salle à manger, Judie entrer à grands pas.— Judie se pointe ! Arrête tout ! Chuchotai-je à ma bienfaitrice.Zoé s’exécuta et cracha mon morceau hors de sa bouche. Toutefois, elle resta sous le comptoir sans bouger, hors de vue de ma sœur. Cette dernière s’approcha enfin du comptoir après avoir traversé l’immense pièce qu’était cette salle à manger.— Resalut, frérot ! Vous vous en sortez avec le préparation du petit-déjeuner ?— Oui oui ! On fait des pancakes !— Génial ! Trop bon !Judie passa la tête à travers l’ouverture du mur et regarda à droite et à gauche. Quelques centimètres de plus et elle aurait pu voir Zoé à mes pieds.— Où est Zoé ? Elle est pas avec toi ? Demanda-t-elle.— Les pancakes montent. Elle est partie aux toilettes entre temps ! Répondis-je du tac au tac.— D’accord ! Et ils seront prêts quand, ces pancakes ?— Oh je dirais dix ou quinze minutes le temps de les cuire !— Niquel ! Je vais dire ça à maman !Et elle repartit en trottinant en direction de la sortie de la salle à manger. Une fois la porte refermée, je reculai mon tabouret et dis à Zoé :— C’était moins une ! Si elle avait un peu plus avancé la tête, elle aurait pu voir facilement ce qui se passait en dessous !Les yeux de Zoé étincelèrent.— C’est ça qui est le plus excitant : le risque de se faire prendre !Puis elle passa ses mains sur mes cuisses nues.— Tu sais que tu étais plus dur que jamais quand ta sœur était là ? Tu n’as pas débandé ! Comme si… ta sœur t’excitait !— Mais n’importe quoi ! C’est ma sœur ! Je suis resté dur parce que je t’imaginais en train de me sucer ! Dis-je, sur la défensive.— D’accord ! T’énerves pas ! Je te crois, Casanova !Et elle reprit ardemment sa fellation. Mais, je n’étais pas sûr moi même de ce que j’avais ressenti, la bite à l’air en présence de ma sœur jumelle. Je n’avais pas pu m’empêcher de jeter un coup d’œil à ses fesses quand elle s’était dandinée vers la sortie. Ses jolies fesses bien rondes et sculptées par sa pratique sportive.J’étais tellement perdu dans mes pensées que j’en oubliai presque mon Aphrodite qui pompait mon dard sans réserve aucune. Pour manifester mon enthousiasme, je la complimentai de nouveau :— Oh bordel, Zoé ! Tu suces à la perfection !Et je ne mentais pas ! Ses lèvres glissaient sur la fine peau de mon sexe et sa langue titillait intelligemment mon gland. Que rêver de mieux pour sa première pipe ? — Par contre, je vais pas tarder à lâcher la sauce ! La prévins-je.Elle se stoppa et me laissa le temps de calmer mes hormones. Après quelques instants, son regard s’illumina et elle me saisit la bite pour me faire lever.— J’ai une idée ! Dit-elle, le plus simplement du monde.Elle me dirigea vers la table où la préparation à pancakes levait. Elle se plaça derrière moi et commença à me branler au-dessus du saladier. Je tentais de me dégager mais elle tint bon.— Mais qu’est-ce que tu fous ? Tu vas pas mettre mon sperme dans la préparation ! Dis-je.— Mais non t’inquiètes ! Je vais te faire jouir dans ce petit bol ! — Pour quoi faire ?— Pour créer une sauce à la sauce du chef !— Eurk ! Tu vas être la seule à la manger alors ! Et tu vas dire quoi à ma mère et mes sœurs ?— Que c’est la sauce du Chef ! On est pas obligé de leur dire la vérité entière ! Et puis elles ne sont pas obligées d’en prendre ! En plus, je parie que tu aimeras le goût !Et elle continua ainsi à me masturber au-dessus du bol. Ne pouvant me retenir plus longtemps sous ses caresses expertes, je dus lâcher la sauce. J’éjaculai sept longs jets de sperme qui atterrirent parfaitement dans le récipient.— Tu vois ! C’était pas compliqué ! S’exclama ma compagne avant de m’essuyer la bite d’un coup de langue.— Pfff. Très bien ! Faisons cuire tout ça ! Dis-je en reboutonnant mon pantalon.Aussitôt dit, aussitôt fait. Quelques minutes plus tard, après avoir pas mal galéré à allumer le feu au gaz, une vingtaine de pancakes s’alignaient sur une grille. J’avais à peine éteint le feu quand ma mère et les sœurs débarquèrent dans la salle à manger.— C’est l’heure de manger ! Dit Zoé.Et nous rejoignîmes ma famille en apportant le plateau de pancakes et toutes sortes d’accompagnements : chocolat fondu, sucre, confiture de fraise, sirop d’agave ou encore crème de noisettes… sans oublier la "Sauce Du Chef" comme le disait Zoé. Judie et Satyne se pourléchaient déjà les lèvres quand nous entrâmes dans la pièce.— Ça sent super bon ! S’exclama ma mère.Nous déposâmes toute la nourriture au milieu de la table à laquelle elles s’étaient installées. Elles se jetèrent sur le plateau et commencèrent à dévorer les pancakes à pleines dents. De son côté, Zoé avait attrapé un pancake et le recouvrait de sa sauce personnalisée qu’elle avait mélangé avec de la poudre de cacao pour masquer la couleur caractéristique de mon sperme. Elle pris une bonne partie de la sauce et recouvrit son premier pancake par un deuxième. C’était littéralement un "Sandwich de Pancakes à la sauce sexuelle cacaotée". Tout en mangeant mon pancake nature, je fixai Zoé qui dégustait mon sperme à pleines dents. Mon érection en revint presque.À mon grand soulagement, ni mes sœurs, ni ma mère n’avaient pris cette sauce spéciale et se contentaient de crème de noisettes et de sucre. Lorsque le dernier pancake fût englouti, nous partîmes chacun de notre côté afin de récupérer nos affaires dans nos chambres -------Merci d’avoir lu jusqu’au bout cette histoire ! N’hésitez pas à la liker si vous l’avez appréciée !