Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 88 J'aime
  • 2 Commentaires

Séverine

Chapitre 2

Hétéro
On s’installe à la terrasse du petit resto "la salad’hyéres". Elle semble gênée par le fait qu’elle soit nue sous sa jupe et son tee-shirt.
M- Et ton mec, il sera là cet après-midi ?
S- Non, hier il a fait son sac et doit se barrer ce matin... Je lui ai dit que l’on en reste là... Je l’ai foutu dehors... Je l’ai laissé dormir chez moi une dernière fois, mais sur le canapé.
M- OK... Et toi, l’appartement ?
S- Il est à mon père.
La serveuse nous apporte les salades que nous dégustons rapidement. On rejoint ma voiture et on se met en route vers Cuers. On monte à son appartement, au premier étage d’une vieille bâtisse. Elle entre. Son mec est parti. Elle va prendre une douche mais avant elle me dit de prendre une bière dans le frigo et de faire comme chez moi. J’allume la TV et je matte les essais du GP de F1. Au bout d’un quart heure, elle revient et me dit :
S- Tu veux prendre une douche ?
M- Oui, bonne idée...
Une fois mes ablutions faites, je retourne au salon. Là, stupeur. Elle est à poil, à quatre pattes sur la table de salon. Elle se touche la chatte en fermant les yeux.
M- hum....
Elle me sourit. Elle se penche en avant.
S- Encule moi, s’il te plaît. J’adore cela... Mets la moi bien au fond...
A la voir ainsi offerte, je bande comme un taureau.

S- S’il te plaît, j’ai envie de jouir du cul, cela fait longtemps. Mon mec ne m’enculait pas, il trouvait ça sale...
Quel con. Je m’approche et j’ajuste la hauteur avec son bassin. Je la lubrifie avec sa mouille et ma salive. J’appuie sur sa petite rondelle. Mon gland est absorbé d’un coup. Elle se mord les lèvres. Le pousse un peu plus loin, je suis à la moitié de ma bite. Je continue et quand mon engin est à fond, je reste bloqué sur ses fesses.
S- Putain que c’est bon.... Oui, Trop bon.... Vas y, défonce ma rondelle... A fond !!!!
Je commence par de cours aller-retour. Elle gémit. Puis je vais et je vient plus longuement, laissant mon gland à l’intérieur. Elle commence à râler. Elle se dandine. Je lui administre une fessée.
S- OUI, bat moi, fesse moi, VAS Y !
Sous ses encouragements, je gifle ses fesses. Elles commencent à rougir. Je sort mon sexe entièrement et replonge jusqu’à la buttée de son gros cul. Je transpire. Elle aussi. Je rentre plus vite, plus fort. Je claque ses fesses.
M- Ma grosse cochonne, tu l’aimes ma bites ?
S- Humpf, OUI, JE JOUI, PUTAIN QUE C’EST BON, VAS Y, DÉCHIRE MOI... OUIIIIII.
Après 10 où 15 minutes de ce traitement, elle a les fesses marquées d’un rouge vif. Puis dans un long râle, je joui dans son fondement. Mes jets de sperme inondent son cul. Je m’affale sur elle. Elle tourne la tête et m’embrasse. Je fait alors trois petit aller-retour, puis me retire en lui claquant une dernière fois les fesses. Elle gémit et me dit :
S- Putain, que c’est bon... Hummm, merci, merci.
Elle se relève et va dans la salle de bain, je la suit. On prend une douche réparatrice. Ses fesses sont d’un rouge pivoine. Elle se regarde dans la glace.
S- Piou, tu ne m’a pas loupé... Mon salop, tu es un vrai démon !!!
M- Tu me l’a demandé, j’ai obéi.
Elle me prend par le cou et m’embrasse. 18 h 00, déjà ? Je lui demande se quelle veut faire.
S- j’en sais rien... Que proposes tu ?
M- Je ne sais pas si j’ose...
S- Vas y, s’il te plait. N’ai pas peur, j’ai entendu bien des choses avec mon mec. Enfin mon ex.
M- OK, je connais une boîte de nuit un peu spéciale.
S- Un peu spéciale comment ?
M- C’est une boîte pour couples libertins. Mais tu n’es pas obligées à participer. On boit un coup au bar et on verra.
S- Tu y es déjà allé ?
M- Non, mais cela fait un bout de temps que j’y pense.
Elle me regarde. Elle m’embrasse fougueusement.
S- OK, on y va. Quelle tenue ? A quelle heure ?
M- Tenue de salope. Mini jupe, chemisier blanc, si tu as. Pas de bas ni collant, pas de culotte, sous tif autorisé et chaussures à talons haut. On aura le temps d’aller manger un morceau. Je te laisse te préparer, il faut que j’aille chez moi pour me préparer.
S- Bien, Monsieur. Hihihi.
Je part chez moi. Je prend une douche. Je m’habille d’un jean noir, d’un tee-shirt blanc et de chaussures noires. Je passe prendre Séverine. Mon cœur palpite. Quand elle arrive, elle est belle, magnifique. Comme convenue, elle porte une mini jupe noire, une chemise blanche et des talons hauts, qui lui font une cambrure plus que bandante. Elle est maquillée, très légèrement. Un rouge à lèvres très discret, un léger fard à paupière qui souligne ses yeux marrons et un parfum subtile.
M- Prêtes ?
S- Oui, enfin, pour le resto ça risque d’être un peu provoquant, non ?
M- J’ai appelé la boite, ils sont ouvert à partir de 19 h 00. Pour l’été ils proposent un buffet froid et boisson à volonté. Je me suis dit que cela ne te dérangerai pas. J’ai donc réservé.
S- Hummm, je suis toute chose. Je peux fumer un pétard ?
M- Attend que l’on arrive à la boite...
On arrive au "Cyrano", petite boîte dans la zone industrielle de " La Garde".
S- J’ai trop hâte, pour le pétard, on verra plus tard.
M- Allez, passe devant.
Sa démarche chaloupée m’excite. Son cul imposant danse dans sa jupe. Elle sonne... Une femme, la cinquantaine nous ouvre.
— Bonsoir, vous avez réservé ?
M- Oui, Hervé et Séverine...
— Oui, tout à fait. ( Elle regarde dans son gros cahier). Moi c’est Caroline, Caro pour les intimes. Je vous fais visiter ?
Elle pose la main dans le dos de Séverine et nous entraîne dans la discothéque.
Caro- Voilà le bar, ici, le buffet...
Elle nous précède. Nous entraîne dans un couloir très sombre.
Caro- Là, des Glory-Hole, à droite les toilettes et douches communes... Au fond jaccusi et hammam. A gauche des cabines semi-individuelles et là une salle commune pour les petits couples coquins. Voilà, on a fait le tour. Faites comme chez vous. Il y a déjà quatre petits couples. Allez, venez vous restaurer.
S- Je crois que je mouille !!!
Je glisse ma main sous sa jupe.
M- (à l’oreille) Je confirme, ma petite salope.
S- Hihihi... Je suis trop bien, allez on s’installe où ?
Caro nous rejoint. Elle nous indique une place dans le fond de la boite.
Caro- Vous serez bien. Vous voulez boire quelque chose ?
M- Deux vodka orange.
Caro- Ne bougez pas, je reviens.
S- Elle est charmante cette Caro, tu ne trouves pas ?
M- Si, si.... Elle est bandante.
C’est vrai qu’elle était belle. Entre 50 et 55 ans, 1 m 70, environ 60 kg, blonde décolorée, des seins magnifique et un cul de négresse. Elle revient avec trois verres.
Caro- Je peux me joindre à vous, il me semble que vous êtes novices.
M- je vous en pris.
Caro- Alors, les couples déjà présents sont tous des habitués. Les deux du fond est un couple illégitime, celui du milieu est un couple candauliste, quand aux deux autres, c’est plus traditionnel, la pluralité, la baise en groupe. Je vous tiendrez informé lors de l’arrivée des autres personnes attendues.Elle allait se relever. Je la saisit par le bras et lui demanda :
M- J’aimerai baiser avec ma copine et avec vous. Vous plaisez à Séverine, vous me plaisez et ...
Caro- OK, finissez votre verres, mangez un peu. Voilà un clé qui ouvre le salon privé, au fond du couloir à droite. J’accueille les derniers invités et je vous rejoint d’ici une petite heure. On déguste des langoustines à la créole, du porc au caramel, du magret de canard fumé, du saumon et des œufs de lymphes. Cela fait, à peu prés, une heure que Caro nous a abandonné. Je prend Séverine par la main. J’ouvre la porte désignée. Là, stupeur. Une salle digne des romans de Sade. Une croix de Saint André, Une table gynécologique, un cheval darçon et, au plafond, des poulies et des chaînes.
S- Tu ne t’ais pas trompé ?
M- Je ne crois pas, la clé a ouvert la porte...
S- Il y a un mot sur la table... C’est Caro, elle nous demande de nous mettre nus et de m’attacher à la croix et de l’attendre.
Je demande à Séverine si elle veut aller plus loin.
S- Oui, je le veut, Monsieur.
On se déshabille. J’attache Séverine à la croix.
Diffuse en direct !
Regarder son live