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Séverine

Chapitre 3

Hétéro
La porte s’ouvre. C’est Caro.
Caro- Non, non,non. C’est toi Hervé que je veux attacher, pour que tu ne puisses pas nous déranger.
Elle entre et referme la porte à clé. Elle détache Séverine et m’attache. Elle met ensuite Séverine sur la table gynécologique, les pieds et les mains attachés par des sangles en cuir.
Caro- A tu déjà été dans cette position ?
S- Non, mais cela m’excite.
Caro- Je le vois, petite salope, je le vois...
Elle écarte les étriers au maximum. Elle prend un flacon de lubrifiant aromatisé au melon. Elle en enduit tout le corps de Séverine. Elle se penche sur son visage et l’embrasse, tout d’abord avec tendresse, puis telle une furie, elle lui insère sa langue. Séverine, peu habituée à ce genre de baiser, se laisse mener. Les mains de Caro sont très joueuses. Caro descend sur le le nombril de Séverine. Elle continue sa progression jusqu’au clitoris et commence à le pomper. Séverine se cambre sous cette caresse. Elle commence à gémir.
Caro- Ta gueule, petite putain. Chut, ce n’est que le début. Regarde ton mec. Il bande pour toi. Allez, regarde le. Tu la veux sa bite ?
S- Oui, je la veux dans mon cul !!!
Caro- La petite truie que voilà, pas de suite. Avant tu vas subir ma perversion. Rien de bien méchant mais j’ai terriblement de t’entendre jouir. Tu vas gueuler, ma belle !!!
Caro pénètre Séverine avec sa langue et joue avec ses parois intimes. Ce n’est plus des gémissements mais des cris de bonheur.
Caro- Gueule tant que tu veux, c’est insonorisé... Vas y, lâche toi. Hummm, oui, comme cela. Regarde ton mec combien il bande. Je vais te faire jouir comme jamais... Et toi mon salop, on s’occupera de toi un peu plus tard.
Elle se retourne vers Sév (c’est son surnom au boulot) et commence à lui triturer les mamelons en les étirant, les pinçant. Sév se pince les lèvres, se dandine sur la table. Elle transpire de tout son corps. Caro introduit deux doigts dans le sexe gluant de Sév. Elle l’a branle violemment, sans ménagement. S hurle sa jouissance. Caro ne s’arrête pas là, elle plonge sa main dans le con de Sév. Son poing rentre et sort sans difficulté. Sév se cambre. Elle essaie de le prendre plus profondément. Caro rigole et enfonce son demi bras dans la chatte de sa prisonnière. Sév et rouge écarlate. Des larmes coulent sur ses joues. Elle a du mal à reprendre son souffle pendant les assauts de Caro.

Caro- Hum, tu es vraiment une grosse cochonne. Tu me plaît, vraiment, une petite comme toi on en trouve pas tout les jours. Hummm... Pourtant j’en ai vu, mais des petites comme toi, rarement.
Caro retire son poing et le lèche avec Séverine. Elles se régalent du jus abondamment produit par Séverine. L’odeur me parvient aux narines. Quelle douce odeur.
Caro- Je n’en ai pas fini avec toi, ma catin...
Elle l’a détache.
Caro- Suis moi...
Elles sortent et referment la porte à clé. Moi, toujours attaché, je regarde la flaque de cyprine laissé par ma collègue de travail. Hummm, j’ai trouvé chaussure à mon pied. Je ne sais pas combien de temps elles sont parti. J’entend tourner la clé et je vois rentrer Caro, suivie de Séverine. Elle est maculée de sperme.Dans les cheveux, sur sa poitrine, son ventre et sur son visage.
Caro- Ouhouhouhou... Quelle petite vicelarde. Elle aime les gloryholes. Elle à pomper quinze verges. Encore heureux que je voulais revenir, sinon elle y serait encore... Hihihi.
Elle essuie le visage de Séverine puis la place à plat ventre sur la table et l’attache fermement. Elle me détache et me demande de sodomiser Séverine, là, maintenant, à sec. Elle a son cul à la bonne hauteur. Caro les écarte les miches.
Caro- Vas y, bien profond, elle n’attend que ça...
Elle prend ma bite et la dirige sur la rosette de Séverine.
Caro- La pute, elle pousse comme pour chier. Hum, qu’elle grosse putain tu m’as amené. Je pousse à peine et me voilà en train de sodomiser pour la deuxième fois la petite militaire. Je peux la voir dans un miroir. Elle se mord les lèvres. Caro ne résiste pas et vient me gober les couilles. Je lime profondément Séverine, en sortant mon gland à chaque assaut. Je ne tient pas longtemps, vu l’excitation que j’ai subit toute la soirée et décharge dans le cul de Séverine en de longs jets puissants. Je n’arrête pas de limer le gros cul de mon amante et Caro ne manque pas de lécher ma semence qui déborde.
Caro- Vous revenez quand vous voulez, mes chéris. Vous êtes mes invités.
Elle détache Séverine et nous emmène vers les douches. Je prend Séverine dans mes bras.
M- Pas trop déçu ?
S- Tu rigoles ? je me suis éclatées.... Je me suis fait éclater... Trop bon...
On se lave et on se rhabille et on rejoint Caro au bar.
Caro- Voilà ma carte avec mon 06, appelez moi quand vous serez décidé à revenir. Vous me plaisez tout les deux...
On boit un dernier verre et on quitte le club. Elle m’invite chez elle, j’accepte. Il est 5 heure du matin. Notre retour se fait dans le silence. Normal, elle s’est endormie.Je me gare en bas de chez elle. Elle dort à moitié. Elle monte les escaliers d’une démarche qui trahie son corps. Elle ne passe pas par la douche. Elle va dans son lit et s’endort. Je suis réveillé par un tendre bisous.
S- Coucou, le p’tit déj est prêt...
M- Hummm
Elle me dit qu’elle a pris sa douche, qu’elle est allées à la boulangerie. Elle est pratiquement nue. Un string noir et un tee-shirt sans manche. Je me lève et je part prendre ma douche.
S- Que fait on aujourd’hui ?
M- Ce que tu veux. On retourne à la plage ?
S- Mouais, j’ai pas trop envie. Je pensai aller à "Carrouf" faire deux courses...
M- OK, comme tu veux. Allez, je m’habille et on file.
Pourvu que l’on ne croise personne que l’on connais. Elle a passé un short noir ras la moule, un tee-shirt blanc sans sou-tif. Elle déambule dans les rayons. Elle finie dans le rayon lingerie.
S- J’aimerai m’habiller plus sexy, plus chienne...
Sa phrase m’a surpris.
M- Je connais un endroit où tu trouveras ton bonheur.
Sév règle les "deux courses". C’est moi qui conduit vers le magasin proprement dit. C’est un "sex-shop" très sympa, pas du tout glauque, lumineux et très bien agencé. Elle est, tout d’abord étonnée, puis se laisse guider par une vendeuse. Moi, j’en profite pour mater le rayon des godes. Je sent que je avoir besoin d’aide pour assouvir les désirs et les envies de ma collègue de travaille. Il m’en fallait un énorme, vu ce qu’elle avait pris avec Caro. Un vendeur m’accoste.
Lui- Bonjour Monsieur, un renseignement ?
Il était petit, asiatique et habillé de façon décontracté.
Lui- Que recherchez vous ?
M- Un gode hors-norme. Ma copine aime cela... Vu ce qu’elle a pris hier soir...
Lui- Comment ça ?
M- Elle s’est fait fister par une amie.
Lui- Je vois, mais il ne faut pas trop lui déformer la matrice, sinon elle ne prendra plus de plaisir avec votre sexe... Et puis je vous conseil de varier les plaisirs. Je vous conseille celui là.
Ce gode double permet une pénétration vaginal et anal. Pas trop volumineux (5cm x 25cm) , un appendice plus petit (3cm x 13cm) et un "lèche clito" sur le devant. De couleur translucide bleue. Super pour des parties coquines, me dit il. Il me le sort et met les piles. La, la fureteuse se déchaîne. Rien qu’au niveau 1, il vibre de partout.
Lui- Vous voulez passez de bon moments ? mettez le en route une fois introduit, sinon, vous risquez de louper les cibles.... Hihihi.
M- OK, vous m’avez eu. Je le prend...
Lui- Paquet cadeaux ?
M- Bin.... Oui, s’il vous plaît.
Je cherche Sév. Elle et la vendeuse ne sont pas revenues. lui, me tendant le paquet me dit:
Lui- Ne vous inquiétez pas, si vous voulez, on peut allé voir ce qu’elles font ?
Sév réapparaît. plus rayonnante que jamais.
M- Tu as trouvé ton bonheur ?
S- Oui, oui, j’ai hâte de te monter ma tenue.
M- Pourquoi pas maintenant ?
S- Quoi ici ?
M- Oui,et tu gardera toute l’après midi.
S- Non, je ne peux pas...
La vendeuse- Mais si et votre ami ira chercher la voiture et vous attendra dans la cours, derrière le magasin.
S- Mais où va-t’on ensuite. Pas chez moi !!!
M- Ça, surprise.
S- Bon, OK. Mais ne fait le con. S’il te plaît...
M- Ne t’inquiète pas. Je crois même que cela va te plaire.
Elle partie se changer, accompagnée de la vendeuse. J’ allai chercher la voiture et je la gare dans la petite court. Je dépose mon achat dans la boîte à gants et remonte vite fait les escaliers.
La vendeuse- Monsieur est prêt ?
Séverine apparue. Vêtue d’un petit haut en satin blanc, s’arrêtant au dessus du nombril. Une jupe ras la moule en cuir noir. De petits escarpins noirs de 10 cm de talon. Des bas noirs auto-fixant. un fin collier de cuir noir vient parfaire sa tenue.
M- Et bé, pour être chienne, tu es une grosse chienne.
S- Bon, où tu m’emmènes ?
M- Chez Caro. Je lui est téléphoné, elle nous attend. Elle a une villa pas trés loin de la boîte et elle vie seule.
S- La voiture est où ?
M- Elle est en bas dans la cour. Allez c’est par là.
On roule en direction de la villa de Caro. Ne sachant où elle se trouve, je roule lentement. Les piétons, les chauffeurs de bus et de camions se régalent de ma passagère.
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