Je me gare à l’arrière de la discothèque et entre par la porte des employés. Caro est dans un petit réduit transformé en bureau. Caro- Entre, vient voir, elle est de toute beauté ta copine. Sur un premier écran, je peux voir Séverine, en tenue, servir les boissons et amuse-bouche au clients déjà présents. La clientèle est des plus raffinée. Des couples, des femmes et des hommes de tous âges. Au bar il y a des couples qui papotent. Des femmes seules en train de siroter leurs verres sur un mange-debout et deux hommes seuls qui discutent tout en matant ces dernières. Deux charmantes serveuses, derrière le comptoir, s’activent au service de tout ce petit monde. Sur une seconde TV, je peux voir le coin des tables basses, leurs banquettes et fauteuils. Il y a plusieurs couples qui y dégustent les mets raffinés que leur apporte Séverine. Sur le troisième écran, on peut voir le couloir menant aux différentes salles privatives de la boîte. Caro- allons rejoindre ce petit monde. Allez, suis-moi… Elle me prend la main tel un couple et m’entraîne jusqu’au bar. Sev- Coucou, tu me trouves à ton goût ? Moi- Toujours aussi bandante. Caro- Arrête, tu vas la distraire… hihihi. Que bois-tu, mon chou… Moi- Un gin tonic, S’il te plaît. Caro- Isa, un gin-to et une téquila-sunrise…. Et de quoi grignoter. Moi- Mais je la connais celle-là. (en montrant une petite brune accoudée au mange-debout.) C’est la nana du sex-shop !!!! Caro- Oui c’est une très bonne cliente. Elle est Bi et très, très gourmande. Veux-tu que je l’extirpe des griffes de ses amies ? Je fais les présentations et vous pourrez vous asseoir et manger tranquillement ? Moi- Oui Pourquoi pas.
Caro s’éloigne en direction de sa proie et après deux ou trois palabres, revient avec une charmant petite jeune femme (je dirais la vingtaine, la même taille que Séverine, cheveux mi- longs bouclés, brune, les yeux verts, habillée d’une robe noire légère). Caro- Kathy, Hervé. Hervé, Kathy. On se fait la bise et déjà une main sur l’épaule de cette jeune demoiselle et l’autre sur la hanche Aucun signe de recul, au contraire, elle se fait une place entre Caro et moi. On discute de tous et de rien, J’apprends qu’elle à 18 ans, qu’elle étudie à l’université de Toulon et travaille au sex-shop pour, à la fois payer ses études et parce qu’elle aime le côté sympa et relax de son job et qu’elle y est épanoui. Caro avait raison, pas farouche la damoiselle. On continu à parler de tout et de rien quand… Kathy (Kat)- C’est ta copine ? (en me montrant Sev) Moi- Oui, depuis peu, on peut dire que c’est ma copine et relation de travaille. Nous sommes marins tous les deux et travaillons ensemble. Kat- Elle est charmante. A mon goût. Vous êtes tous les deux à mon goût. Et l’idée de la tenue, c’est de toi ? Moi- Non c’est Caro, mais où est-elle ? Kat- Elle nous prépare, avec Sev, une table, là-bas, au fond. Effectivement, Caro nous dresse une table dans un coin très intimiste, avec les tapas et champagne au frais. Elle nous fait signe. On la rejoint prestement. Caro- Mes choux, vous êtes mes invités. Ne manger pas trop, j’ai commandé de quoi poursuivre chez moi notre soirée. Kat sourit et me rappelle que l’établissement ferme à 20h le Dimanche. Que Caro ouvre que pour mettre en relation les protagonistes de soirées plus épiques. Je M’installe dans le canapé et sert le Champagne. Sev arrive en nous demandant : Sev- Vous désirez quelque chose ? Kat- Non, ça va, ça va…. Sev- Bien, alors je vous laisse faire plus ample connaissance. Elle s’éloigne et nous gratifiant d’un sourire et d’un clin d’œil approbateur. Caro se lève et s’assoie à mes côtés. Kat- Charmante, je peux être franche avec toi ? Moi- Oui, mais je crois que j’ai deviné. Tu en ferais bien ton quatre heure. Kat- Oui, mais avec les femmes, je suis très autoritaire, si tu vois ce que je veux dire… Moi- Je pense qu’elle ne serait pas contre, enfin, c’est ce qu’elle m’a montré avec Caro. Je lui raconte les soirées mémorables que nous avons passées récemment. Entrant dans les détails. Notre baise sauvage, la sodomie, le fist-fucking, les Glory et la plage naturiste. Je lui avoue que j’aimerai en faire une bête de sexe, Une amante parfaite, une Muse. Qu’elle découvre les joies, les jeux de la soumission et de la perversion. Kat- Jolie programme et je peux t’aider à obtenir d’elle ce que tu désires. Elle en connaît déjà pas mal, mais avec moi, ce sera un peu plus poussé. Pas de violence gratuite, mais lui apprendre à jouir des sévices que tu lui infligeras. Alors deal ? Je la regarde, elle pose sa main sur ma cuisse et m’embrasse d’un baiser torride. Puis elle se met à califourchon sur moi. Son regard a changé. Ses yeux brillent. Moi- Deal, ok, mais il faut qu’elle soit d’accord. Kat- Ça, c’est mon problème, je m’en occupe Mes mains remontent sous sa robe le long de ses cuisses. Elle a toujours les yeux plantés dans les miens. Elle se pince la lèvre inférieure. J’arrive sur l’élastique de ce que je devine être un string, Je continue ma progression et je plonge dans son dos et dégrafe son soutien-gorge. Je ramène mes mains sur le devant en prenant soin de tirer délicatement sur celui-ci. Elle à ses petits seins libres. Comme ma queue, ils bandent. ils sont d’une dureté incroyable Moi- Et avec les hommes, comment es-tu ? Kat- Chienne, panthère, salope, pute et soumise. Je lui pince les tétons. Elle ferme les yeux. Ses mains me griffent à travers mon tee-shirt. Nos bouches se soudent et nos langues partent dans une joute obscène. Elle descend sur la fermeture éclair de mon jean. Elle l’abaisse et déboutonne mon pantalon Doucement elle me caresse mon pieu à travers mon boxer. Je bande comme un âne Je lui ôte sa robe. Je peux l’admirer dans sa quasi nudité, seul son string nous gêne. D’une main, elle défait les petits nœuds qui le retiennent et c’est un sexe glabre qui s’offre à mon regard. Elle penche la tête en arrière et commence à se frotter la vulve sur mon jean. Elle m’inonde les jambes de son jus. Une odeur de marée m’enivre. Cette odeur si forte et si agréable me saoule. Je porte les doigts de ma main à son mont de vénus. Il est trempé. Je place mes doigts entre nos lèvres . Kat et moi, nous mettons à les lécher, les sucer. Moi- Tu sens bon, ton jus est si bon… Kat- Ça me rend dingue, j(ai envie de toi mais il faut se retenir, la nuit s’annonce longue.
