Dimanche matin, 06h00. Je me lève fourbu et comme toujours Flo est déjà debout. Le petit déjeuner est prêt sur la table du salon de jardin. Encore un petit mot sur la table.— Je suis partie acheter petits pains et croissants. Reviens de suite. Bises. Florence.Je me sers un café, quand Flo revient de sa petite course. Elle est belle, ce qui se traduit chez moi par un début d’érection. Elle m’embrasse et on déjeune. — Elle n’est pas encore levée la charmante Sév ? — J’ai entendu du bruit, elle doit être dans la salle de bain. — Je vais voir, j’ai quelque chose à lui demander. Je reste seul et l’envie d’un petit bain me pousse vers la piscine. Sév et Flo reviennent, elles sont habillées « sagement ». Sév, d’un body en satin blanc et d’une micro-jupe de la même couleur. Flo, porte un mini tee-shirt sans manche et un mini short en jean. Elles sont toutes les deux craquantes. Elles déjeunent et me disent aller chercher des « trucs » chez Flo et qu’elles reviendront pour midi. Abandonné par mes deux déesses, je gonfle un matelas de plage, le jette au milieu de la piscine et monte dessus. Qu’il est bon de se prélasser au soleil levant. Je m’endors. Le retour des filles est des plus revigorants. Effectivement, Flo s’est déshabillée et doucement c’est approchée du matelas et me l’a retourné, me réveillant par le fait. Elles sont toutes les deux mortes de rire et, quand je refais surface, je peux voir Sév, habillée, en train d’aider Flo à sortir de l’eau mais ce qui devait se passer se passa, Flo la tire dans l’eau et sort hélico-presto avant que l’on ne puisse la chopper. Sév peste contre sa copine. Elle l’insulte de tous les noms d’oiseaux existants. Je la faire taire en lui remettant la tête sous l’eau. Flo, quant à elle, elle est pliée de rire. Debout et nue elle fait une danse improvisée de vainqueur. Sév refait surface et ses deux gros seins sont moulés dans son body. Je me jette dessus et je lui descend cette pièce de tissus en dessous de sa poitrine et lui gobe les tétons tour à tour. Sév démarre au quart de tour et m’entoure de ses jambes. Mon sexe tendu est coincé entre mon ventre et sa jupe. Je la lui remonte et fourre mon engin dans son accueillant fourreau. Elle m’embrasse fougueusement et regarde par-dessus mon épaule et fait un doigt d’honneur à son amie. — Elle mérite une petite correction, me dit-elle, elle ne perd rien pour attendre, la salope. Puis elle retourne à notre jeu de langues. On ne bouge ni l’un ni l’autre. Juste sentir les muscles de son vagin me branler et les contractions de ma bite dans son vagin, c’est l’extase totale. La petite se calme et nous voyant ainsi prendre notre pied, elle file au bar faire sa mou. Sév en rajoute en poussant de petits cris. On ne la laisse pas longtemps toute seule. Je la rejoins pendant que Sév va se changer. Je prends Flo dans mes bras et je pose mes mains dur son cul. Elle me lèche le cou et me mordille. Sév arrive en courant nue et choppe les bras de Flo et la projette dans l’eau. — Voilà, ex-æquo, la balle au centre. Tu veux manger quoi mon chéri ? — Ta chatte !!!— Roon !!! Ce sera peut-être ton dessert. — Flo, tu veux manger maintenant ? — Nan, pas faim !!!
— Bon on boit l’apéro quand même… dit Sév. — Oui, oui, oui, c’est moi qui fais, lui répond Flo en sortant de l’eau. Flo nous prépare des Ricard bien tassés et bien frais. Nous nous accoudons au bar, Sév à ma droite et Flo derrière le comptoir. — Bon les filles, on est en train de tomber dans la routine, alors il va falloir trouver des petits jeux sympas. — Style qu’elle est notre plus gros fantasme ? Questionne Sév. — J’en ai un mais je ne sais pas si c’est faisable, répond Flo. — Dis toujours, on verra… lui rétorque Sév. — Vous promettez de ne pas rire. Bon, je me lance. J’aimerais faire l’amour avec Kate. Elle m’excite grave. Voilà… — Cela ne doit pas être si difficile que ça à la convaincre, dit Sév, vu comment elle te matait lorsqu’elle servait l’autre soir. Tu as son tél Hervé ? — Non, mais Isa doit l’avoir. Je vais l’appeler. Attendez-moi, je reviens. Je vais m’isoler sans le salon et appelle, donc, Isa, la sœur de Flo. — Isa, salut comment tu vas ? — Bien et toi ? Et ma petite sœur ? — Bien, bien. Elle apprend vite. Hihihi. Dis-moi, tu n’aurais pas le 06 de Kate des fois. — Si, pourquoi ? Tu veux te la faire ? — Hum, euh, non, pas moi…Hum, hum. — Ce n’est pas ma sœur quand même. Quoique cela m’étonne qu’à moitié. De la façon que Kate reluquait ma sœur la dernière fois cela ne m’étonne pas. Enfin elle est grande. Tu veux que je l’appelle ? Je te phone de suite après. — OK, sympa. A toute…. Je retourne dehors retrouver les girls. Elles préparent la table. On reboit un apéro. Mon Téléphone Sonne. C’est Isa. — Ah, Ok, comme tu veux… 15h00 ? On sera là. Hum, hum… Ok, bise… Oui, oui je vois où c’est, pas de problème… Ciao. (Je raccroche) Bon, cet après-midi, playa à 15h00. On mange, on s’habille et on file. On a rendez-vous à la plage du LAYET. — Kate sera là ? Me questionne Flo. — Alors là, je n’en sais rien…. On finit le repas et elles partent s’habiller. C’est vêtues de fins paréos qu’elles réapparaissent. Pour ma part, je revêts mon short blanc et un tee-shirt noir. Sév prend le volant, Flo monte devant, donc moi derrière. En ce dimanche après-midi, pas grande circulation et nous arrivons à l’heure. Isa nous attend sur le bord du parking où sont garées seulement les voitures d’Isa et de Kate. — Toi, petite salope, tu es attendu derrière les rochers là-bas. Allez, file… dit Isa. Quant à nous trois, farniente et bronzage au programme, vous en avez besoin. Flo nous quitte. Nous étendons nos serviettes sous le parasol d’Isa. Isa nous tend un pot de graisse à traire pour parfaire notre bronzage. — Non, pas de suite, avant, allons-nous baigner. — Ok, me répondent Sév et Isa. Je les suis. Qu’elles sont belles. Les deux culs se balancent nonchalamment au gré des pas des deux charmantes déesses. Nous passons un bon moment dans l’eau. Une fois de retour à nos serviettes, on s’enduit les corps de graisse, sans oublier la plus petite parcelle de nos corps. Cela fait une heure et demie que Flo s’est éclipsée. On entend, par moment et au gré du vent, des cris émis par la petite Flo. On rigole en plaisant, en imaginant les deux filles en train de se donner du plaisir. — Elle n’aura pas besoin de berceuse ce soir. Nos prévient Isa. Je connais Kate, avec les nanas, elle peut être très dure et autoritaire. — Tant mieux, cela nous fera des vacances… Dis-je avant d’éclater de rire. On s’assoupi. A notre réveil, Sév, s’inquiète de ne pas voir Flo revenir et se lève et décide d’aller furtivement ce qui se passe. Après avoir dandinée du cul cent mètres et escaladée les rochers, elle se penche pour mieux épier. Elle se relève pour nous faire son rapport. - Elles ne sont plus là ! Elles se sont barrées ! Elles sont où ? Elles auraient pu nous prévenir ! — Ne t’inquiète pas, répond Isa, j’appelle Kate et on sera fixé. Elle compose le numéro et parle à son amie. — Kate, vous êtes où ?.…… ah, vous auriez pu prévenir…. OK, fais gaffe quand même, c’est ma petite sœur…. OK, tu as intérêt… Allez, Ciao, bisous. Elle raccroche et nous dit que Kate est rentrée chez elle en compagnie de Flo, qu’elles étaient passé près de nous mais que l’on dormait, alors elles ont décidé de partir et de nous rejoindre en fin de soirée. — Bien, cela me rassure. Bon que fait-on les filles ? Resto ? Ça vous tente ? — Non, on rentre tous les trois à la villa et on improvise. Dit Sév.
