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Séverine

Chapitre 16

Avec plusieurs femmes
Après cette séance, il est 22h00. Moi et Sév, nous allons nous coucher dans la chambre d’amis. Isa et Kate dans le baisodrome. Camille, quant à elle, rejoint Flo dans la chambre de Caro. On s’endort paisiblement, bercé par le chant des grillons. Au petit matin, enfin, il est presque 10h00, je me réveille Sév est déjà levée. Je vais faire le pipi matinal. Je passe par la salle de bain pour prendre une douche. Sur un coin du lavabo trônent 2 gélules bleues ainsi qu’un petit mot. « Prends les et rejoints nous dehors, bises. Séverine ». Quelles Garces, elles ne vont pas me laisser une journée de repos. Je me sèche, prend les pilules et me dirige vers la terrasse. Elles sont toutes les cinq attablées sous le parasol. Je passe derrière chacune d’elle et leur fait un tendre bisou dans le cou. Je m’installe entre Sév et Flo.
— Alors Flo, remise de tes émotions d’hier ?
— Putain j’ai ramassé. Vivement que l’on remette ça. Répond Flo en lançant un regard coquin vers Flo.
— Quand tu veux mais aujourd’hui c’est repos. Je bosse moi… Le sexshop ne vas pas tourner tout seul…. Allez ! J’y vais. Bisous le monde, à ce soir…
Je me lève et parle à Kate à part.
— Dis-moi on peut passer à ton magasin ? Avec Camille et Flo ?
— OK, venez entre les midis, on est lundi, il n’y a pas grand monde et vous passerez par la porte de derrière.
— Pas de problème. A toute.
Je retourne auprès de mes quatre salopes, et je dis à Sév et Isa de me suivre au salon.
— Bon, j’ai le feu vert de Kate pour emmener les 2 petites au sexshop. Mais avant, petit passage à la salle de bain pour votre hygiène intime.
— Bon d’accord, mais avant il faut que je passe chez moi… On prend la voiture de Caro… Dit Isa.
— Merci mon chou. Je faire une épilation intégrale à la petite nouvelle, je sais que tu n’aimes pas les poils. Il reste ses aisselles, ses jambes, ses bras et sa raie du cul.
Elles font rentrer les deux petites dans la salle de bain et s’y enferment.
Ma bite se tend. Je pars la refroidir dans la piscine. Elles réapparaissent 1h00 plus tard. Elles sont toutes apprêtées à l’exception de Camille.
— Elle ne veut pas s’habiller comme une pute… S’exclame Sév.
Il est vrai que les trois autres filles sont des plus aguicheuses avec des jupes raz la touffe, tee-shirts sans manche et, évidemment, pas de dessous. Je sors de l’eau et approche de Camille, qui baisse instinctivement les yeux.
— OK, Flo tu lui passeras un string. Sév, tu lui fourniras un tee-shirt sans manche qui lui découvrira la naissance de ses tétés. Quant à toi, Isa, tu lui filera ton petit short en jean blanc. Et toi Camille, ne fait pas ta mijaurée. Sache qu’ici, en l’absence de Caro, c’est moi qui décide des tenues à porter. COMPRIS !!!
— Oui, fit elle timidement.
Elles retournèrent toutes vers les chambres. A leur retour, j’étais déjà dans la voiture. Elles montèrent toutes les quatre. Sév à ma droite, les trois autres à l’arrière. On roule durant 10mn, on passe rapidement chez Isa, qui ressort avec un sac de sport. Pas ou peu de circulation en ce Lundi midi. On arrive dans l’arrière cours du magasin. Je sonne. On m’ouvre. On gravit les marches qui nous mènent dans le fond du magasin. Il y règne une ambiance des plus sexy. Petite musique de fond, odeur agréable. Kate nous accueille.
— Salut mes chéris. Alors Hervé, pourquoi as-tu emmené ce petit monde ici ?
— C’est pour habiller Camille. Petite tenue sexe avec laquelle elle va pouvoir se montrer dehors. Je vous laisse toutes les quatre vous occupez d’elle, je vous attends ici dans une heure. Je vais en face parfaire mon épilation.Je sors par la porte principale. Je traverse la rue et j’entre dans le salon de beauté. Une jeune femme m’accueille. Elle est petite, brune, pas ou très petite poitrine. Elle est en blouse jaune.
— Bonjour Monsieur, que puis-je pour vous ?
— Parfaire mon épilation. La dernière fois c’est une amie qui me l’a faite, je ne suis pas sûr que cela soit parfait.
— Epilation intégrale ?
— Oui.
— Déshabillez-vous cabine 2, je suis à vous de suite.
Je pénètre dans la salle, j’enlève mon short, mon tee-shirt et me positionne sur la table, sur le ventre. Elle arrive et me dit que cela ne devait pas durer longtemps, vu le peu de poil qu’il reste à ôter. Elle m’enduit de cire, puis m’applique des bandelettes. Elle tire rapidement dessus. Ça picote mais c’est plus supportable qu’avec Sév. Une pro quoi. Elle demande de me retourner.
— Waouh… Quel engin…. Elle doit déguster votre copine ? Non ?
— C’est devenue une assoiffée. Dès qu’elle peut, elle se la fou au fond d’un de ses trois trous…
— La vache, quel courage. Moi je ne pourrais jamais.
— Question d’entrainement.
— Bon je vois qu’il reste des poils disgracieux sur votre verge et vos testicules. Pour le reste ça me semble bon.
Elle saisit ma queue du bout des doigts et me demande de la maintenir à la verticale.
— Il n’y a qu’une douzaine de poil. Dommage de vous faire souffrir inutilement, Je vais vous faire ça à la pince à épiler.
Un à un, mes poils tombes. Ma verge et mes testicules sont débarrassées de tout poil.
— Je vais vous passer une lotion apaisante.
Elle verse de la crème dans ses mains et me masse les couilles et la verge. Très professionnellement, mais en se pinçant la lèvre inférieure.
— Dommage que vous m’ayez enduit de crème. Vous auriez pu y goûter.
— Elle est comestible… Murmure-t-elle.
Alors je lui pose la main sur la nuque et pousse sa tête vers mon sexe. Elle gobe mon gland. Je sens sa langue virevolter. Elle me branle délicatement et me masse les deux valseuses.
— Humm, que votre bouche est exquise. Un vrai régal.
— Je ne pourrais pas vous prendre plus.
— Pas grave, je me contenterai de ce vous pourrez me donner.
Elle me reprend en bouche, descend sur quelques centimètres. Ma main quitte sa nuque et s’égare sous sa blouse. Je remonte le long de sa cuisse et arrive bientôt à sa vulve. Un rempart de coton me sépare de son minou. Je la branle de la tranche de la main. Elle mouille !!!! Elle m’enlève la main.
— Non, j’ai d’autres clients. Ils ne vont pas tarder. Dit-elle à grand regret.
Elle s’acharne sur mon phallus, fait de grand allez retour avec sa main. Je sens mon jus bouillonner à l’intérieur de mon sexe.
— Han, han, je vais venir…
Elle continue de me branler en gardant mon gland en bouche et en jouant avec mon méat.
— Putain que c’est bon…. JE JOUIS !!!!!!
C’est une avalanche de sperme qui se déverse dans sa bouche. Elle avale tout, ne laissant aucune goutte du précieux jus se perdre. Je me cambre et pousse sa tête sur ma bite.
— Même si tu ne l’a pas prise à fond, tu es une sacrée pipeuse.
On entend la clochette de la porte d’entrée. Elle me laisse, va se rincer la bouche dans le lavabo. Elle se réajuste.
— Pour vous ce sera gratuit. Vous m’avez payé en liquide. Dit-elle en me faisant un sourire coquin.
Je vais prendre une douche et je me rhabille. Je cale ma bitte sous l’élastique de mon short. Je sors du salon et je vais rejoindre mes cinq petites truies. Je grimpe quatre-à-quatre les escaliers qui me mènent au magasin. Là je retrouve les quatre complices.
— Mais où est Camille ?
— Ah, te revoilà. Me dit Kate. On t’a fait un petit cadeau. Allez, Camille, montre-toi !!!
Elle sortit de derrière le paravent. Mon dieu quelle beauté… Elle est plus que rayonnante. Kate se lève et prend la main de Camille.
— Superbe petite robe blanche avec un petit côté Grèce antique. Elle a un décolleté profond et un petit bijou en forme de cœur. Derrière un très profond dos nu qui s’arrête juste au niveau des fesses. Sur les côtés, des ouvertures dévoilent la taille et la naissance des seins. Petites espadrilles en coton blanc.
Et soulevant la robe, elle rajoute.
— Evidemment, pas de soutien-gorge, ni de culotte. Alors Monsieur.
— Ravissante, excitante, bandante.
Kate la pousse dans mes bras. Je la saisis par les hanches.— Tu es magnifique, Camille.
Je l’embrasse. Les quatre autres filles nous entourent. Elles nous caressent. Leurs mains s’égarent sur les seins les hanches de la petite black. D’autres mains s’aventurent dans mon short. Je me retrouve à poil, ainsi que Camille, au milieu du magasin. On est conduit sur un petit podium recouvert de mousse. On m’appuie sur les épaules. Je me retrouve allongé sur le dos, ma bite tendue vers le plafond. Sév et Flo se déshabille également. Kate film la scène. Camille vient se positionner au-dessus de mon sexe et s’accroupie dessus. Elle l’engloutie entièrement, d’un seul trait. Sév et Flo se caresse tout en suçant les seins de Camille. Elle entame de longs mouvements, s’aidant de ses mains, en appuie sur ses cuisses. Elle se mort la lèvre inférieure, tout en fermant ses yeux. Elle s’empale sur toute la longueur. Elle transpire. Des clients du sexshop nous regardent avec envie. Il y a des hommes et des couples, qui ne manquent rien à notre spectacle. Deux clients ont même sorti leur bite et se branle lentement. Kate ne loupe rien avec sa caméra. Je demande à Sév et Flo de la mettre en levrette. Elles la prennent et la positionnent face au demi-cercle de clients qui s’est formé. C’est accroupie que je vais la chevauchée. Sév présente ma queue sur l’entrée de son puits d’amour. Elle est ruisselante de cyprine, de sueur. Je pousse et rentre d’abord mon gland. Je poursuis ma progression et mon ventre vient en butée sur ses fesses. Les spectateurs sont abasourdis. Comment une si frêle créature accepte un pieu de cette longueur et de cette largeur. Je commence par des mouvements amples et lents. La respiration de Camille déforme ses narines. Elle se mort la lèvre inférieure avec rage.
— Lâche toi, ma puce, si tu jouis, exprime toi, ils sont là pour nous voir....
Je remonte en laissant mon gland bien au chaud, puis je pousse un peu plus fort, un peu plus rapidement à chaque aller-retour. Elle commence à se lâcher, à gémir. Je ressors complètement mon sexe pour le replanter de plus belle. Elle ahane sous mes coups de boutoir. Elle s’affale sur ses avant-bras mais elle est très vite remontée par Sév et Flo. Isa, qui était resté inactive, vient derrière moi, entre les jambes de Camille, lui titiller le clito et me gober les couilles. Je la tiens par les épaules. Je la ramone de plus en plus vite. Mon pubis vient claquer sur ses fesses et mes couilles heurter son bouton d’amour. Je sens mon jus qui bouillonne depuis mes couilles jusqu’à ma verge. On éclate tous les deux, simultanément, dans une jouissance interminable. Mes jets sont longs et fournis. Isa récupère le surplus de jus, délicieux mélange de sperme et de cyprine. Je me retire et c’est un gros « plop » qui termine cette pénétration. Elle s’écroule, transpirante, haletante.
— Merci, ouf, han, Hervé….
— De rien ma puce j’y ai pris un pied immense.
Les spectateurs nous applaudissent. On se relève et nous nous dirigeons vers les douches.
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