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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Séverine et la découverte du v&eacut

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
Mon ami - avec qui je vis depuis 8 ans - a toujours eu un fantasme, c?est de me voir coucher avec une femme. Le fantasme ultime des hommes contemporains ! Il m?en a parlé la première fois deux ou trois ans après que nous nous soyons installés ensemble, puis plusieurs fois depuis, mais je lui ai toujours donné la même réponse : on verra plus tard.    Mais le bougre est patient. Appelons le Serge, et nommons-moi Séverine.    Serge est le genre de bel homme bien dans son corps bien dans sa peau qui fait tourner la tête de ses employées. Il s?habille bien, sait se tenir à table, ne dépasse jamais sa dose limite d?alcool, fume un peu mais pas trop, ne radote pas inutilement. Presque parfait !    Je suis toujours souriante mais ça cache un caractère de cochon, j?aime m?habiller avec des vêtements neufs souvent, j?ai été une adepte des mini-jupes mais je me suis calmée, je suis peintre, il m?entretient, et je suis une fine cuisinière. Voilà.    L?été dernier, nous sommes aller dans notre maison en province pour une semaine. Et là, dés le premier soir, patatrac, il remet le couvert sur son envie d?exhibitionnisme saphique.     Je mentirai en disant que j?y ai jamais pensé et plusieurs fois dans ma vie - j?ai 33 ans - des femmes m?ont fait de l?effet. Mais pas suffisamment toutefois pour faire le premier pas d?une part, et tromper mon ami d?autre part. J?ai des principes, on y peut rien.     - Tu sais que tu es un beau salop de t?acharner sur moi comme ça...    - Dis moi oui, et ce sera fini !    Je le regardais droit dans les yeux :    - Ecoute, trouve moi une belle fille et on verra après.    Il sourit et en resta là.    Je savais que je venais d?ouvrir la boite de Pandor.    Il releva ma chemise de nuit et me fit l?amour.    - Je sais que tu vas aimer ça ! dit-il tranquillement en s?enfonçant en moi.    - On verra ça...    C?était tout ce que je pouvais répondre. Il me pénétrait avec douceur, je fondait sous ses caresses expertes. Il était très excité.     Trois jours passèrent tranquillement, à jongler entre la cuisine, la piscine surtout, et les courses. Il m?annonça alors que sa soeur viendrai demain, d?un air anodin, mais d?un ton qui ne cachait rien de ses pensées.    - J?espère que tu ne fait pas référence à ce dont on parlait l?autre soir ? dis-je, soudain inquiète.    Il se servit un Whisky et me tendit un Martini Blanc glacée.    - Si.    Et puis il plongea dans la piscine.    Je ne savais plus où me foutre. Le rouge aux joues était virulent.    Sa soeur s?appelle Virginie. Elle est blonde, elle est belle, elle est bien foutue, et elle est intelligente. C?est une excentrique mais elle est attachante. Ce trou du cul avait calculé son coup : il savait que je l?a trouvais belle et excitante, il me l?avait demandé un soir après un resto bien arrosé. Je me plongeais dans l?étude d?un livre sans intérêt.    Elle débarqua comme à son habitude, bruyante et exubérante, habillée comme une fille facile. Seulement là, je la regardais différemment et je me demandais ce que ça pouvait bien faire de lui faire l?amour. Avec ses jambes dénudées, à remonter mes mains sous sa petite jupe, à lui caresser les seins, à l?embrasser... Mon coeur battait la chamade. Autant dire que mon attitude n?était pas naturelle, et elle s?en aperçut, sinon ça n?aurait pas été drôle.    - Tu vas bien ? me demanda-t-elle pendant le repas.
    - T?inquiète pas pour moi !    La fraîcheur de ma réponse l?incita à ne pas aller plus loin.    Serge était aux anges. Il avait compris. Je ne savais plus où me foutre.     Dans le lit, il me baisa littéralement. Il ne me fit pas l?amour, non, il me prit comme une bête, sans un mot. Je me laissais faire. J?aimais ça. Il me traita de pute et je ne lui dis rien. Il continua avec tous les mots qui lui venais à l?esprit. Je le suppliais de continuer. Il me retourna et assez violemment, me prit par derrière. Je me caressais. Je ne savais plus où j?étais. J?ai criée en jouissant.    Au réveil, il me dit simplement :    - A toi de jouer !    Toutes mes bases fondamentales venaient de s?effondrer. J?avais envie d?elle et le fait de passer à l?acte soumettrai mon cher Serge à ma volonté. Oui, moi aussi, j?avais des fantasmes peu classique, de soumission conjugale, de voyeurisme, de domination ; mais je n?en avais jamais parlée... Le simple fait d?y penser me donnait à la fois une chaleur dans le corps et un frisson glacial. Je suppose qu?après 8 ans de vie commune, un peu de piment ne fait pas de mal. Mais une question me taraudais. Je la lui posait pendant qu?il se rasait.     - Tu as déjà coucher avec elle, n?est ce pas ?    Il se paralysa.    - Ca se voit, pas la peine de me mentir.    Il s?assit sur le bord du lit.    - Quand j?avais 17 ans et elle 15, on a fait l?amour ensemble, c?est vrai. C?était la première fois pour nous deux. Ca ne s?oublie pas.     - Tu veux que je sois ton substitut, c?est ça ?    - Oui ! avoua-t-il dans un souffle.    - Ne t?inquiète pas, ton fantasme va se réaliser.     Je l?embrassais et allait m?habiller.    Quand ils me virent arriver dans le salon, je constatais que je faisait de l?effet. Au programme : bottes en daims noirs montantes, jupe plissé grise, un petit haut tranquille mais qui avait pour habitude d?attirer le regard des hommes dans la rue.    Nous nous rendîmes en ville et nous fîmes des courses. A chaque occasion, je prenais Virginie par la taille, lui touchait le bras ou lui prenait la main pour la traîner jusqu?à un rayon soi-disant intéressant. Serge nous observait. A un moment, il accompagna sa soeur dans une cabine d?essayage pour lui conseiller ce qui allait bien à sa personnalité. Ils revinrent étrange. J?allais apprendre plus tard qu?il l?avait embrassé par surprise. L?excitation, sûrement. Elle le lui avait rendu - son baiser, fougueusement, se collant à lui de tout son corps en des mouvements langoureux.    Le soir, à la maison, nous organisâmes un bon repas. Pendant que je préparais les tomates, Virginie vint tout contre moi et me demanda si j?avais besoin de quelque chose. Je sentais son parfum, et sa jambe contre la mienne, et son souffle un peu trop rapide pour être honnête. Notre regard ne fut pas naturel. On se fixa pendant quelques secondes droit dans les yeux puis elle s?éclipsa, visiblement gêné par l?intensité de notre échange visuelle.     Longtemps après le dîner, alors que nous étions affalés sur le canapé du jardin à regarder la piscine, tous les trois côte à côte, moi au milieu, Serge craqua et dit d?une manière tout ce qu?il y a de plus naturelle :    - Embrassez-vous !    Mon coeur s?emballa.    Virginie posa ses yeux dans les miens. Ses lèvres tremblaient un peu et sa respiration augmenta rapidement. Elle posa sa main sur ma cuisse et me caressa quelques secondes. Je me penchais et l?embrassais. D?abord doucement puis de plus en plus avidement. On s?enlaça et on continua comme ça pendant un temps qui me parut trop court. On se mordait, on se titillait, on se suçait, on se léchait. Je m?abreuvais à ses lèvres. Son rouge à lèvres fondait sous moi et j?adorais ça.     Elle me repoussa, déboutonna sa courte robe pendant que je roulais une pelle à Serge puis elle m?obligea à lui sucer les seins en m?attrapant par ma queue de cheval. Je me coulais sur elle. Ma bouche la mordillais, la tétais, la suçais. Elle gémissait. Je lui retirais sa culotte. Je me plongeais en elle, sans complexe. Elle était brûlante. Elle était humide. Je la mangeais, je la buvais, littéralement. Son sexe avait une drôle d?odeur. Elle se mit à gémir bruyamment en me pressant la tête avec force.    Serge se leva, se déshabilla et présenta son sexe tuméfié par le désir devant la bouche de sa soeur. D?un regard, elle lui demande si c?était bien ça qu?il voulait. Pour tout réponse, il la lui enfonça entre les lèvres.     J?insérais des doigts dans les fesses de ma maîtresses. Elle se cambra, offerte. J?accentuais ma pression tout en lui prodiguant des coups de langues que je savais expert, malgré mon inexpérience en la matière.     Elle jouit. Elle attrapa ma tête et la plaqua du plus fort qu?elle put sur son sexe en criant de plaisir. Manquant de m?étouffer, j?accentuai mes mordillages, lui offrant un total instant de bonheur. Tout son corps en transpiration vibrait sous mes doigts.     Et elle, elle suçait, sans s?arrêter, mécaniquement, comme une professionnelle. Elle engloutissait la bite de son frère avec une avidité non feinte. Serge haletait. Je la rejoignit et nous suçâmes toutes les deux son sexe en nous roulant régulièrement des pelles profondes et baveuses. Serge enfonça sa bite au plus profond de sa bouche et jouit puissamment     - Avale tout !    Ce qu?elle fit, ses beaux yeux verts plantés dans les miens, avalant par à coups saccadés le sperme de son frangin. Et puis elle m?embrassa à fond et notre baiser dura un long moment, ponctué de caresses sur tout le corps. Je m?allongeais par terre. Serge l?embrassa à son tour en lui mettant trois doigts dans le vagin d?un geste sec qui lui arracha un petit cri. Implorante, elle nous dit :    - Je vous en supplie, prenez-moi tous les deux !     Serge l?installa sur moi puis s?enfonça dans ses fesses. Il la burina littéralement et elle cria, cria et cria encore, jusqu?à ce qu?elle s?effondre de plaisir et de fatigue, les lèvres suintantes de ma salive.     Sans hésitation, j?insérai mes cinq doigts dans son sexe et forçai jusqu?à ce que mon poignet entre en entier.    Elle hurla, m?attrapa le poignet et poussa pour que j?entre encore plus loin en elle. Tout son corps était secoué de soubresauts. J?enfonçai mon poignet le plus loin possible, en faisant des va et vient. Elle s?accrocha aux pieds du canapé de jardin, les larmes aux yeux, me suppliant encore et encore de continuer. Ca dura plus d?une heure. Elle perlait de sueur, criait des insanités, pleurait de plaisirs et de douleurs. Je ne sentait même plus ma main.    Serge était à plat et il se masturbait doucement en nous regardant.    - Je savais que tu aimerai ça, dit-il simplement.    - Je voudrai que jamais ça ne s?arrête, lui répondis-je en me mordant les lèvres jusqu?au sang.    Au réveil, troublée à un point extrême par notre nuit de débauche, ne sachant plus si j?étais hétéro ou lesbienne, je descendis à la cuisine et y trouvait Virginie en train de petit-déjeuner. On se regarda d?un air gêné. Quelques minutes passèrent, dans un silence pesant. C?est elle qui fit le premier pas. Elle se leva, s?approcha de moi et me donna le plus tendre baiser qu?on ne m?ai jamais fait.    - J?ai encore envie de toi, me souffla-t-elle dans l?oreille, une main sous ma jupe.    - Baise-moi tout de suite.    Elle resta toutes les vacances. Je lui fit l?amour au moins cinquante fois. Serge nous regarda faire, hébété par tant d?énergies et de jouissance. Au moment du départ, alors qu?il fallait se séparer, elle m?embrassa et me dit :    - je suis amoureuse de toi.    - Je t?aime, lui répondis-je.    Ce n?était que le début d?une très belle et très longue histoire d?amour, car depuis un an, nous nous voyons tous les jours. Et Serge m?a quitté.
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