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Séverine, directrice et esclave.

Chapitre 5

Avec plusieurs hommes
Suite :
Nous arpentons les rues de la ville et croisons à deux reprises des clochards que Robert ne connaissait pas. Je l’ai alors senti plus gêné au moment de leur proposer mes services. Ivres, ils n’ont d’ailleurs guère compris les sous-entendus de Robert et se sont contentés de me demander à voir mes seins. Ils m’ont donc simplement reluqué et malaxé les seins sans que cela n’aille plus loin, ce qui m’arrangeait vu que nous étions au milieu de la rue. Malgré ma discrétion pour sortir ma grosse poitrine de ma chemise, j’ai eu droit à quelques regards choqués de la part des passants et nous avons dû ensuite changer de rue afin de nous faire oublier du voisinage.
A l’écart d’une rue un peu moins passante, nous rencontrons un autre SDF installé dans une impasse. Il s’était constitué un petit abri de cartons et de palettes et semblait avoir fait de ce coin discret son repère.
Robert lui donne de l’argent puis lui tient le même discours qu’aux autres sdf croisés aujourd’hui. Je vois alors immédiatement dans le regard du clochard qu’il comprend très bien de quoi son riche bienfaiteur lui parle et me déshabille déjà des yeux.
Après avoir glissé l’argent de Robert dans sa poche, il s’approche de moi et me dit :
— Alors comme ça, tu es prête à assouvir mes moindres désirs ?— C’est tout à fait cela, lui répondis-je en essayant de paraitre la plus sûre de moi possible.— Voyons cela, poupée… Commence par te déshabiller.— Oui, monsieur…
Avec le mince espoir que cette expérience sera aussi rapide et aussi peu « pénétrante » que les dernières, j’ouvre mon chemisier, baisse ma minijupe et me retrouve en sous vêtement devant le sdf. Celui-ci me regarde avec des yeux bien salaces et me fait signe de continuer. Mon soutien-gorge en dentelles tombe alors puis c’est au tour de mon string de glisser le long de mes jambes. Je suis donc entièrement nue dans cette impasse, certes sordide et peu fréquentée mais au coin d’une rue passante. J’entends d’ailleurs derrière moi le brouhaha de la ville alors que le sdf se rapproche encore de moi, pose une main sur un de mes seins et me dit :
— Tu te désapes devant un clodo en pleine rue sans rien dire… Et bien, soit tu es vraiment l’esclave de Robert, soit tu es la pire des salopes !— C’est un peu des deux, monsieur, lui répondis-je alors avec un sourire provocateur qui masquait à peine ma crainte de ce qui allait suivre.   — Alors je ne vais pas te décevoir, salope… A genoux !
A peine ais-je le temps de me mettre à genoux devant lui qu’il sort sa vieille queue dégoutante et me la colle dans la bouche. Elle pue horriblement la pisse et la sueur et est à peine dure. Il la rentre donc sans aucune peine dans ma bouche, si bien que mon nez est plongé dans ses poils pubiens crasseux, collant de sueurs. Elle était loin la timidité ou l’incrédulité des premiers SDF rencontrés…
Petit à petit, son sexe se durcit et je peux enfin tenter de le sucer normalement sans être frottée à ses poils. Je salive et crache énormément pour, en quelque sorte, laver sa bite et faire partir cette odeur et ce gout horribles. Son sexe est à présent bien dur, bien que toujours assez petit, et je sens déjà des gouttes de liquide séminale suinter de son gland.
Mais alors que je pensais qu’il allait jouir dans ma bouche, il se retire, me prend par les cheveux et me fait mettre à quatre pattes sur un carton lui servant de « plancher ». Il enfourne sa tête entre mes fesses et commence à me dévorer la chatte, me mordant parfois les lèvres. Il me lèche aussi avec envie l’anus puis, enfin, se redresse pour me pénétrer. Je dis « enfin » car bien que j’adore les cunnilingus, celui-ci n’était absolument pas agréable. Sa barbe broussailleuse et son attitude violente rendait cet acte particulièrement pénible.
C’est donc presque avec soulagement que je sens son petit sexe ma pénétrer. Il s’agrippe à mes fesses et tape fort dans ma chatte. A chaque coup de boutoir, ma tête s’enfonce un peu plus dans sa cabane de cartons, m’infligeant ainsi un cocktail d’odeurs particulièrement nauséabond. J’ai aussi droit à un flot ininterrompu d’insultes auxquelles je réponds par une absence totale de gémissements ou autre signes de plaisirs.
Enfin, dans un ultime coup de hanche, le sdf se vide en moi, se souciant peu de savoir si j’étais d’accord pour me faire remplir le vagin de son sperme. Il me met une bonne claque sur les fesses en guise de félicitation et se relève.
Moi-même je me hâte de me redresser pour me rhabiller mais je passe d’abord par une position accroupie pour que le foutre du clochard sorte de moi. Aucune envie alors d’en récupérer pour y gouter. Pour une amatrice de sperme comme moi, c’est vous dire si, à ce moment, j’étais complètement dégoutée.
Je récupère ensuite mes habits, les enfiles puis sort de l’impasse sans dire un mot au clochard.
Celui-ci, amusé par mon attitude, me lance alors :
— Haha, tu ne dois pas être une si bonne salope que ça si tu es choquée par ce que je viens de te faire ! Je lui aurais bien répondu que, si je le veux, je peux être la plus grande des salopes… Mais hors de question de rentrer dans son jeu. Je presse donc Robert pour que nous repartions au plus vite.— J’espère que vous avez été ravi du spectacle, Président, lui dis-je, encore en colère.— Sachez, Séverine, que je préfère nettement lorsque vous éprouvez également du plaisir.— Alors rentrons et laissez-moi me masturber devant vous ! Ce sera plus simple pour tout le monde…— Voire trop simple… Allez, plus que 40 minutes de soumission pour cette semaine. François, amenez-nous au PMU de la rue Jean Moulin. J’y ai deux bons amis, joueurs de musique.
Nous arrivons donc devant ce bar pas très frais, voire carrément délabré et rencontrons deux hommes en train de jouer de la musique pour quelques piécettes. L’un joue de la guitare et l’autre de l’accordéon et tous d’eux chantent péniblement des classiques de la variété française. Il n’y a qu’un type, apparemment ivre, sur une table en terrasse pour les écouter, tandis qu’à l’intérieur, le patron regarde la télé depuis son comptoir. En nous voyant arriver, les deux hommes s’arrêtent de jouer et viennent saluer Robert.
Nous nous essayons à une table à l’intérieur et Robert commande 2 Picons pour ses amis artistes. La conversation s’engage alors de manière plaisante et je comprends que les deux hommes sont sdf surtout par choix, par rejet de la société.
Une deuxième tournée est commandée et, enfin, Robert en vient à expliquer ma présence. Robert ne prend même pas la peine de parler à voix basse pour expliquer ce que j’ai à proposer, si bien que le patron, qui me reluquait déjà les jambes depuis mon arrivée, me sourit à présent vulgairement.
Les deux hommes, eux, montrent plus de respect et complimentent surtout mon corps. L’idée de les satisfaire ne met déplait pas mais je me sens affreusement sale et j’interviens donc dans la discussion en chuchotant :
— Messieurs, pour votre confort comme pour le mien, je vais devoir aller aux toilettes avant toute chose… Veuillez m’excuser.
Et sans leur laisser le choix, je me lève et me dirige vers les toilettes. Le patron me lance alors :
— C’est pas la peine d’aller au coin des dames, ma jolie, c’est hors service depuis un moment. Et vu le nombre de gonzesses qui viennent ici, c’est pas prêt de changer ! Allez chez les messieurs, vous ne serez pas dérangée, c’est désert aujourd’hui.
Je lui fais un sourire de remerciement mais suis dégoutée d’avance de devoir me laver au milieu de pissotières. J’entre pourtant dans la petite pièce et allume le robinet de l’évier.
Au moment où je commençais à soulever ma jupe pour me laver le sexe, la porte des toilettes s’ouvre, laissant entrer les deux sdf, suivis de Robert. Alors que je m’apprête à les virer de là, l’un des musiciens me dit :
— Désolé, Séverine, mais toute cette bière, ça donne envie de pisser, vous comprenez ?— Bon, je vous laisse, alors, dis-je en me dirigeant vers la sortie.— Attendez, me dit alors l’autre en bloquant la porte, Robert nous a dit que vous aviez passé un mauvais moment tout à l’heure et que vous aviez besoin de vous nettoyer.— Oui…. C’est vrai… — Alors venez par-là, on va s’en charger !
Sachant exactement ce qui m’attendait, je baisse la tête, dépitée et me laisse alors entrainer vers la seule cabine de toilette de la pièce. Ils me déshabillent entièrement puis me font m’assoir sur le siège, jambes écartées. Ils me demandent de prendre mes jambes pour les relever encore, offrant ainsi totalement ma chatte. Puis, l’un deux enfonce deux doigts en moi, fouille un peu et commente :
— Effectivement, c’est poisseux, la dedans ! Allez, on va vous faire une toilette !
Il retire alors ses doigts, ouvre son pantalon, sort son sexe déjà un peu durcit et, sans hésiter, commence à me pisser dessus. Le flot est abondant mais assez peu odorant, du fait sans doute des 2 bières avalées rapidement. Le sdf promène son jet de pisse sur mon sexe, insistant sur mon vagin bien ouvert mais arrosant aussi mes cuisses et mon ventre.
Sur le côté, Robert regarde la scène avec des yeux surexcités, fixant le flot d’urine s’abattre sur mon vagin, puis ruisseler dans la cuvette des toilettes ou vers le sol déjà dégelasse.
A peine le jet d’urine du premier sdf faiblit que le second se place à côté de lui et commence à me pisse dessus également. Même programme : rincer ma chatte. Mais celui-ci m’asperge aussi plus haut, visant ma poitrine. Je suis d’ailleurs obligée de relever la tête pour que les gouttelettes de pisse de m’éclaboussent pas au visage.
Alors que sa vessie est à son tour vide, je me lâche mes jambes et me redresse un peu pour que la mare de pisse qui stagnait sur mon ventre s’écoule dans les toilettes. Les deux hommes s’approchent alors de mon visage, réclamant à l’évidence un nettoyage en règle de leur queue, ainsi que, très probablement, un visage de couilles.
Sous le regard admiratif de mon président, je chope donc les deux bites mi molles qui se présentent à moi, commence par les débarrasser à coup de langues des derrières trace d’urine puis les pompe comme je sais si bien le faire. Pendant que j’en suce un, je branle l’autre et joue avec ses couilles.
Cette double fellation, couplée à la séance de pissing bien dégradante comme je les aime, commence à m’exciter vraiment, d’autant que je n’ai pas eu le moindre petit orgasme de l’après-midi. Je me caresse donc timidement d’une main, pendant que l’autre branle une queue et que ma bouche se fait bien remplir.
Évidemment, en me doigtant, je sens la pisse et le sperme froid me souiller encore. Mais cela tendrait plutôt à m’exciter d’avantage. Tout comme les commentaires salaces des 2 sdf qui me donne de sympathiques qualificatifs… 
Enfin, les mecs craquent l’un après l’autre en décidant de jouir sur mon visage. Ils se vident donc les couilles sur moi, me recouvrant une bonne partie du front, des joues et du menton. Puis, en se renfroquant, eux et Robert me regardent me diriger vers les éviers pour me nettoyer.
Le président semble aux anges en me voyant ainsi nue dans les toilettes homme d’un bar miteux, recouverte de pisse et de sperme, la chatte encore dégoulinante. D’autant que malgré l’humiliation, il me sait excitée et désireuse de jouissance.
Toujours est-il qu’il me regarde me rincer et m’essuyer le corps et le visage puis quitte les lieux avec les deux SDF alors que je me rhabille. Je constate alors que mon string a disparu et c’est donc sans culotte que je sors des toilettes. 
Soudain, dans le couloir me ramenant à la salle principale du bar, je tombe nez à nez avec le patron. Celui-ci me coince contre un mur et me dit à voix basse :
— Je ne sais pas ce que les deux clodo t’ont fait dans les toilettes mais, les connaissant, si j’y vais maintenant, je suis sûr de trouver une mare de pisse par terre.— Laissez-moi passer, s’il vous plaît…— Et toi, salope, vu ton odeur, tu as du recevoir une bonne dose de foutre… Tu as de la chance que je n’ai pas pu quitter le comptoir, parce qu’avec moi, tu aurais bu ma pisse jusqu’à la dernière goutte ! Et bien plus encore… Les salopes comme toi ne méritent aucun respect !
Et en crachant ces mots, il me soulève ma minijupe et découvre mon sexe dénudé.
— J’en étais sur… rajoute-t-il en posant une main sur ma chatte. Et en plus tu mouille ! Deux inconnus te pissent dessus et, toi, tu mouilles ! T’es pire qu’une chienne, en fait…
Et alors qu’apeurée, j’essaie de me dégager de son emprise, il me retourne, me plaque contre le mur, toujours jupe relevée sur mes fesses, et me met une première fessée très forte. Cela me fait pousser un cri de douleur mais ne l’empêche pas de recommencer. Il me claque ainsi les fesses plusieurs fois de suite, de plus en plus fort, m’arrachant à chaque fois des cris de douleurs.
Mais heureusement pour moi, François apparait alors à l’entrée du couloir en disant :
— Séverine, M. le Président vous demande de le rejoindre.
Le patron regarde alors François et je me rends compte d’une chose qui m’avait échappé jusqu’ici : François était bien plus grand et baraqué que je ne l’avais remarqué et devait manifestement servir de garde du corps à Robert.
De par son regard et son charisme uniquement, François domine complètement le patron qui le libère sans rien dire. Je sors alors précipitamment du couloir en remettant en place ma minijupe et rejoins Robert. Nous sortons rapidement du bar et saluons nos « amis » puis continuons notre chemin. Robert m’annonce :
— Vous étiez magnifique, Séverine. Désolé pour ce qui s’est passé avec le patron…— Ce sont les risques du métier, dis-je comme pour me rassurer sur le fait que je suis sans doute pire qu’une chienne…— Bien, rentrons à la voiture mais, sur le chemin, j’aimerais que nous fassions un dernier arrêt.— Oh, M. le Président, je ne suis pas sûr que pourrai endurer une autre séance comme celle-là…— Rassurez-vous, l’homme que nous allons voir est un ami, une personne en qui j’ai tout à fait confiance. C’est un homme bien !
A suivre...
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