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Séverine, une mère de famille attentionnée...

Chapitre 4

Inceste
Le lendemain matin se passa comme d’habitude et j’arrivai à mon travail à 9h00. Je n’avais pas oublié la demande d’Hugo et j’avais bien l’intention de me masturber dans divers lieux de mon boulot et de lui envoyer de belles photos ! La première fois fût à 11h aux toilettes pour faire une « pause orgasme » après de 2h de dossiers pénibles à traiter. Je pris une photo avec mon portable de ma chatte bien écartée et trempée et l’envoya à Hugo. Il me répondit dans la foulée : Parfait, continue !
Dans la journée, je me suis masturbée (ou parfois juste touchée) à mon bureau pendant que mon assistante était en pause, dans un locale technique, dans un coin discret du parc dehors et même dans le bureau de mon boss, à l’étage du dessus, pendant sa (longue) pause déjeuner. A chaque fois, Hugo avait droit à une photo. J’étais épuisée de jouir autant et mon clito me faisait mal tellement je l’avais sollicité dans la journée. Mais Hugo répondit à mon dernier MMS : « On dirait que tu aimes ça… continue salope ! ». C’est vrai que j’aimais ça et je voulu contenter mon fils en pimentant un peu le jeu.
Vers 18h00, alors que les bureaux commençaient à se vider, je décidai donc de rester encore un peu pour achever mon œuvre.
Après avoir vérifié que les locaux étaient vides et prévenu le gardien que j’avais un rendez-vous téléphonique et que j’allais donc rester encore un peu, je me mis entièrement nue dans mon bureau. Je me sentais libre, folle et dévergondée. Je pris quelques photos de moi dans plusieurs positions sexy (voire porno, du genre à quatre pattes avec un crayon 4 couleurs dans le cul…) et me mis à déambuler dans les locaux !
Je me fis un café à poil, fis des photocopies à poil, passa un vrai coup de fil à un client depuis le poste de mon boss, jambes écartées en train de me caresser. Je m’assis dans les fauteuils de mes collègues en frottant bien ma chatte sur dessus, m’allongea nue sur certains bureaux, m’enfonça dans le cul divers objets que je trouvais ça et là, puis les reposaient. Je faisais tout ce qui à de plus pervers quand on est toute nue sur son lieu de travail, pourvu que ça fasse une bonne photo ! Cela me permettait aussi de relâcher d’une certaine manière une énorme pression professionnelle accumulée depuis des semaines dans une sorte de « je vous emmerde » général…
Excitée par ce petit jeu, je finis par me masturber pour de bon en plein milieu du couloir, jambes bien écartée comme offerte à toute mon entreprise, même si j’étais seule. Je me suis imaginée dominer et fouetter mon connard de boss, me faire baiser en tournante par tout le service technique et me faire recouvrir de sperme, me faire enculer sauvagement par un jeune collègue qui, dans la réalité, était mignon mais pas très discret quand il me reluquait. Je me suis même imaginé bouffer la chatte de mon assistante, Virginie, une belle jeune femme blonde, souvent habillée sexy que tous les mecs de la boîte draguaient sans succès.
Aidée par ces idées lubriques, je me fis jouir une énième fois aujourd’hui, ici, dans le couloir de mon travail. Je pris une dernière photo, l’envoya à Hugo, me rhabilla et rentra chez moi.
Il était tard et mes enfants étaient déjà à la maison. Chloé me dit bonjour comme si rien ne c’était passé hier et Théo, comme d’habitude, ne voulu pas de bise de sa « vieille mère ». Il allait voir comme la vieille allait le chauffer ce weekend ! Hugo descendit de sa chambre pour me saluer puis me glissa discrètement que mes photos étaient parfaites et que ses copains avaient adorés !
— Quoi ??? Tu les as montrés à tes potes ?? Lui demandais-je discrètement mais fermement— A ceux qui t’ont baisé l’autre jour maman… et je les ai gardés dans mon téléphone. Ils ne les ont pas.— Et s’ils en parlent, tu imagines les conséquences pour mon travail ?— Ils n’ont dis à personne qu’ils t’avaient baisé à 10, que tu t’étais pris des kilomètre de queues et bu des litres de sperme ! Alors je ne crois pas qu’ils vont parler de photos de mauvaise qualité où on ne voit pas ta tête ! — mouai…. Mais fait attention Hugo, si un jour ça se sait, c’est toute notre vie qui est foutue… A toute la famille, pas qu’à moi ! — Je sais… Bon, en parlant de famille, tu n’oublie pas que ce weekend, tu dois allumer Théo comme une grosse coquine ?— T’inquiètes pas, c’est prévu !
Il me claqua les fesses, fière de sa salope personnelle.

Le soir même, le petit jeu commença. En cette chaude soirée d’été, je me suis d’abord changée pour passer une robe courte très légère et des sous-vêtements qui se distinguaient en dessous. Puis j’ai préparé le repas ainsi, en me penchant pour tendre les fesses dès que Théo entrait dans la cuisine. Ma tenue devait lui plaire car il me proposa son aide, du jamais vu depuis, je dirais,… 17ans ! Il pu observer mes fesses, mon string, mon décolleté et mon entre-jambe de nombreuses fois. Il faut dire aussi que j’ai été très maladroite et faisant sans cesse tomber des choses !
Le repas s’est déroulé normalement. Apres avoir débarrassé la table, je demandai à tout le monde s’ils avaient des devoirs et, constatant que Théo en avait beaucoup, lui proposa de l’aider dès ce soir pour qu’il ait le weekend tranquille. Il accepta.
Nous nous sommes installés à la table du salon, lui devant ses bouquins, moi assise à coté, tournée vers lui. J’ai ainsi passé 1h à croiser et décroiser les jambes le plus haut possible pour lui montrer mon string, tant en lui expliquant ce qu’était une asymptote. Le bas de ma robe était à mi cuisse et je faisais en sorte qu’elle remonte le plus possible. A chaque croisement de jambe qui révélait mon entre-jambe, il ne perdait pas une miette du spectacle. Je posais parfois une main affectueuse sur sa cuisse lorsqu’il ne comprenait pas un problème. Il était complètement déboussolé et n’arrivait plus à rien avec ces devoirs. Après lui avoir reproché de ne pas être concentré, nous avons stoppé les devoir et il est allé dans sa chambre.
Je suis allé à la salle de bain, ai enfilé ma chemise de nuit puis ai fait le tour des chambres des enfants pour leurs demander leur linge sale. Chloé, toujours aussi dévergondée, c’est déshabillée devant moi pour me donner sa culotte et son soutif’ et a ouvert ma chemise de nuit pour me regarder nue. Hugo, lui, n’avait pas de linge sale mais m’a demandé de lui faire une petite pipe, ce que je fis avec plaisir. J’étais debout, cul tendu, en train de sucer mon fils qui était sur son lit alors que n’importe qui pouvait rentrer dans la chambre… En l’absence de mon mari, je perdais toute forme de pudeur ou de prudence et devenais la trainée officielle de mes enfants. Il n’a pas eu le temps de jouir mais m’a donné rendez-vous dans le salon d’ici 1 heure, quand tout le monde serait couché.
Enfin, pour finir a tournée de linge sale, je desserre un peu ma chemise de nuit et vais voir Théo pour son linge. Des chaussettes et des caleçons trainaient partout et je du me pencher pour les ramasser. Je ne portais rien en dessous et espérais bien qu’il avait pu voir une partie de mon sexe. Je reste longtemps ainsi, cul tendu au nez de mon fils en train de ramasser ses vêtements. En me relevant, un sein s’échappe de la chemise et je le range avec un « oups » innocent face à un Théo médusé. Je me penche une dernière fois pour un T-shirt qui traine et, cette-fois ci, fait en sorte d’écarter un peu les jambes pour que ma chatte lui soit entièrement visible. Cela ne dure qu’un instant mais j’imagine très la tête qu’à du faire cet ado plein d’hormone en voyant ainsi mon beau cul tendu, révélant ma chatte et mon anus. Puis je sorts, lance une machine et retourne dans mon lit pour bouquiner en attendant d’aller me faire baiser dans le salon.
Une heure plus tard, je me rends dans le salon alors qu’Hugo m’y attend, assit sur le canapé, la bite à l’air et bien dure. Il fait tomber ma chemise au sol et m’invite à le sucer à nouveau. A genoux devant lui, je lui fais une belle pipe, lui pompe le gland, lui gobe les couilles, lui lèche de bas en haut son long sexe. Mais je n’arrive pas à le prendre très loin dans ma bouche et ai des haut-le-cœur à chaque fois que j’essaie de la prendre dans ma gorge. Il n’aura donc pas droit à une gorge profonde cette fois, on ne peut pas être au top tout le temps… Néanmoins excitée et trempée, je stoppe la pipe, me mets à cheval sur lui et m’empale sur son gros sexe qui m’écarte la chatte et me pénètre sans aucune difficulté.
— Alors, satisfait de mon allumage ? lui demandais à vois basse, entre 2 gémissements discrets de plaisir.— C’est parfait. Théo est venu me demander si je te trouvais normale ce soir… Je lui ai dit que je ne voyais pas de quoi il parlait ! — Mmmmmh….. tu crois… qu’il s’est… branlé ?— C’est sur, vu la gaule qu’il avait, il a du se soulager ! — Il en a une grosse, aussi ?— Pas mal… Un peu plus petite que moi mais plus grosse que celle de Valentin, tu te souviens ?— Mmmmmhh, oui je me souviens !
Comment oublier celui qui avait fait en sorte qu’un simple strip-tease finisse en gangbang et qui m’avait baisée en long, en large et en travers ! Pendant que nous parlions, Hugo continuait de me limer calmement et à me lécher les seins.
— Et… tu crois qu’il voudrait me baiser ? Tu crois que Théo aussi voudrait me sauter sur ce canapé ?— Toute le monde veut te baiser, maman ! Théo, mes copains, le voisin, tes collègues… tu pourrais te taper qui tu veux ! Mais…. tu as envie de te faire baiser par Théo ???— Non ! Enfin je ne sais pas, il est jeune et…. enfin peut être…. Mmmmm
Il me prit les fesses à pleines mains et accéléra la cadence. Moi, je ne faisais rien d’autre que me faire défoncer en le tenant par le cou, gémir de plaisir et délirer sur ce que Théo voudrait me faire :
— Ooohh, tu crois qu’il voudrait…. me prendre en double….. comme tes amis ?— J’en suis sûr ! Tu aimerais avoir les 2 bites de tes fils dans la chatte ? Hein ?— Ohhh oui…. Vous pourriez me remplir la chatte…. Et tu crois qu’il voudrait m’enculer, comme toi ?
Et sur ces mots, je me soulève un peu, extrais sa bite de mon vagin et le place devant mon anus. Je me rassois sur lui et sens son sexe forcer l’entrée de mon petit orifice. Contrôlant la pénétration, je fais en sorte de ne pas avoir mal et cherche enfin à ressentir vraiment du plaisir par le cul. Hugo respecte mon rythme et se contente de bien m’écarter les fesses.
— tu as pris gout à la sodomie, on dirait… C’est parfait ! Tu aimerais que Théo t’encule aussi ? — ooohh mon dieu, j’adore me faire enculer, dis-je en gémissant alors que son sexe progressait tranquillement dans mon colon encore étroit. — Tu veux te faire enculer par Théo, ou pas ? Dis-le !— Oui, je veux que Théo me sodomise…. Je veux que Théo me défonce la chatte et le cul… Je veux boire son sperme… Ohhhh
Je devenais folle d’excitation et ne savais plus ce que je disais. Je savais juste qu’à ce moment précis, je voulais que Théo soit là pour me prendre en double avec son frère. Je voulais plus de bites, je voulais les bites de mes fils ! Le sexe d’Hugo était alors presqu’entièrement rentré dans mon cul et décrivait des allers retours très agréables. Pas de douleur cette fois, à part une sensation d’écartement à la limite de la déchirure. Mais j’adorais les vas-et-viens de sa bite alors que jamais je n’avais pensé qu’on pouvait éprouver du plaisir par là.
— Ohh mon dieu que c’est bon ! Je voudrais… mmmmhh…. Que Théo me prenne aussi. Je voudrais que vous me preniez en double… Ooohh continue, défonce moi ! — Pas de problème, je vais te le défoncer ton cul !!!! Haaaa ! Très bientôt, c’est Théo qui te le défoncera !
Et il accéléra son mouvement brutalement. Nous chuchotions toujours (machinalement) mais nous ne pensions absolument plus à autre chose que notre plaisir. Chloé et Théo pourraient être là en train de regarder, je ne les aurais pas remarqués. Il me limait le fion comme un fou mais la douleur se faisait toujours discrète. Par contre, le plaisir, lui, était vif et allait en augmentant.
— Oh mon dieu, ne t’arrête pas !!! Je crois que je viens… je crois que je vais jouir du cul ! — Ahhhhh ma salope, tu vas jouir du cul ??? — Ouiii ça vient ! Mon dieu, c’est divin !!! Ooohhhh !
Un orgasme puissant me secoua soudain les entrailles tandis que je me mordais la lèvre pour ne pas crier. Je ne sais pas si c’est la sodomie en elle-même qui m’a fait jouir, ou la pression du sexe d’Hugo sur mes muscles vaginaux, ou le fait de m’imaginer prise en double par mes 2 fils mais ce fut merveilleux ! Je serrais mon cul le plus possible autour de la bite de Hugo et fis en sorte de me caler sur lui, ses 25 cm enfoncés entièrement.
— Tu as joui mon chéri ?— Non, j’ai d’autres projets !
Il se retire alors, me soulève et me met à genoux par terre. Il se met debout devant moi et me présente son sexe dur.
— Allez, finis-moi !— T’es dégelasse ! Elle sort de mon cul, dis-je dégoutée.— Je sais, mais ça fait partie de ton apprentissage. Si tu ne peux pas sucer une bite qui sort de ton cul, comme tu veux qu’on te prenne à plusieurs par là ?? — Arrête, Hugo ! C’est répugnant !— Tu t’y habitueras ! Allez, suce-moi ! Dit-il en me prenant la tête.
Puis il frotte alors son gland sur mes lèvres et je sens une odeur très forte. Puis, cédant à la pression et encore sous l’effet de mon orgasme, je le prends timidement dans la bouche. Il est clair que le gout était affreux mais je fus pragmatique : plus je le sucerais, plus le gout partirait vite. Je décide donc de le lécher avidement en salivant le plus possible. Je recrache de la bave nauséabonde et recommence mon nettoyage ainsi jusqu’à avoir dans la bouche une bite bien propre.
— Tu vois, c’étais pas si terrible ! Allez, ouvre la bouche, je vais de donner ta récompense !
Il se saisit alors de son sexe et se masturbe au dessus de moi. Je suis là, assise devant lui, bouche ouverte, dégoulinante de bave, attendant comme une chienne que mon maître me donne un sucre. Sauf que ce ne fut pas un sucre que je reçu mais des jets de sperme chaud et épais. Le premier, puissant, me recouvrit le visage d’un large trait allant du menton au front. Les suivants finirent dans ma bouche. J’avalai cette grosse gorgée de foutre et pompa les dernières gouttes directement à la sortie du gland de Hugo.
— C’est très bien, tu es une belle salope ! — Et toi un sacré pervers…
Je repris ma chemise de nuit, me lava le visage et alla me coucher. Je me fis la réflexion que j’avais encore envie que Théo me fasse toutes les choses que j’avais dites… ce n’était donc pas que l’effet de l’excitation. C’était décidé : ce weekend, je m’enverrai en l’air avec mes 2 fils et ils me feront tout ce qu’ils voudront avant que leur père ne revienne. Et avec Chloé aussi, pourquoi pas. Je me suis à nouveau masturbée pour calmer mes pulsions et me suis endormie juste après un énième orgasme aujourd’hui.
Je n’imaginais alors pas à quel point ce weekend allait être de la pure orgie.
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