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Séverine, une professionnelle dévouée

Chapitre 3

Avec plusieurs hommes
Suite :
Il est 9h00 et je m’apprête à dire oui à la proposition de mon patron.
J’ai les traits tirés car j’ai très mal dormi : mon mari est rentré tard et nous avons eu une longue conversation. Il m’a supplié de ne pas partir pour ne pas lui prendre les enfants, que l’argent lui importait peu. Il y a eu beaucoup de larmes, des insultes, des tentatives de mots tendres, des reproches et au final, j’ai accepté de ne pas partir, uniquement pour les enfants, mais que nos rapports seraient maintenant réduits au minimum. Nous serons deux étrangers vivant sous le même toit. Et quand les enfants seront indépendants, tout sera finit. Même s’il m’a promis de ne plus me tromper, je lui ai dit que je m’en moquais et que moi-même je n’excluais pas d’aller voir ailleurs si j’en sentais l’envie. Je ne lui ais rien dit de mes expériences sexuelles récentes, les gardant éventuellement comme moyens de le faire souffrir. Je l’ai tout de même prévenu que mon poste allait évoluer et que je ferai plus d’heure qu’avant, même en soirée.
— Alors vous avez réfléchis ? Me demande mon patron en entrant dans son bureau, me tirant de mes pensées pénibles de la nuit dernière.— Oui, M. Roland. Je crois que je vais accepter votre proposition…— Formidable ! Vous verrez, vous n’aurez pas à le regretter et je suis convaincu que vos nouvelles… « attributions » ne seront pas si pénibles et prenantes que ça. — Cela ne me dérange pas, lui répondis-je avec un regard provocateur. — Hum…parfait… Que diriez-vous que je vous invite à déjeuner pour fêter cela ? me demande-t-il en rougissant.— Merci M. Roland, mais je pense que nous avons suffisamment fêté cela l’autre soir…
Je me dirige alors vers la porte de son bureau et au moment de sortir, je lui dis :— D’ailleurs, pour l’efficacité de notre organisation, il serait préférable que ce genre de choses ne se reproduise pas… Puis, en lui faisant dos, j’ajoute « en tout cas pas de manière régulière »…
Je lui jette un œil, constate qu’il sourit comme un gamin à qui ont a promis un gros cadeau, et contente de moi, sort de son bureau.
J’ai ensuite annoncé à mon assistante, Virginie, la belle blonde dont je vous ai déjà parlé dans mon récit précédent, que nous changions de bureau pour un plus grand, qu’elle aussi allait être augmentée et que nos missions allaient évoluer.
Les semaines qui ont suivis ont été assez calmes niveau personnel (mon mari et moi ne nous adressons la parole que pour le strict nécessaire) et également professionnel, mon rôle dans les diners d’affaires et les négociations se résumant à être habillée sexy et à croiser et décroiser les jambes de manière négligée. Cela me faisait en fait plaisir de chauffer les sens de tous ces hommes qui finissaient par céder à nos conditions commerciales. J’ai quand même dû user de plus de persuasion envers le directeur d’une petite entreprise qui se plaignait des délais de paiement. Mon patron m’ayant demandé de désamorcer cette affaire, cette personne a eu droit à une belle fellation, ce qui a rapidement calmé sa colère.
A part une gorgée de sperme chaud et mon entre-jambe un peu dévoilée, rien n’a vraiment justifié ma généreuse augmentation. Cela allait changer cette semaine…
La semaine a en effet commencé avec un client fort mécontent de notre gestion de ses affaires, qui avait pour plusieurs dizaines de milliers d’€ de contrats avec nous et qui avait pris rendez-vous avec mon patron en fin de journée alors que les bureaux étaient presque vides. Il m’a évidemment demandé d’assister à ce rendez-vous pour tenter de le dissuader d’aller chez la concurrence comme il l’entendait.

Après avoir subit sa colère et ses menaces, mon patron prend la parole, disant qu’il comprenait son agacement et que lui-même était énervé car la faute venait de sa collaboratrice : moi ! J’étais totalement étrangère à ce dossier mais je voyais où il voulait en venir : faire en sorte que je me fasse pardonner de n’importe qu’elle manière que ce soit.
— Je vous assure que ma collaboratrice sera sévèrement punie ! déclare solennellement mon boss.— J’aimerai bien voir cela ! répond, furieux, le client. C’est encore une de vos déclarations dans le vent !— Je vous assure que non. Séverine, venez ici ! me crie-t-il.
En faisant mine de baisser la tête, je m’approche du bureau de mon patron. Il se lève alors, me fait me pencher en avant sur son bureau et remonte le bas de ma jupe devant le client médusé. Il peut ainsi admirer mes fesses tendues mises en valeur par une belle culotte noire à dentelle et des bas assortis.
— Mais… mais… que faites-vous M. Roland ? bafouille alors le client — Et bien je vais la punir pour les fautes qu’elle a commit dans la gestion de votre dossier, M. Schmitt.— Oh je suis désolée, répondis-je alors, je vous assure que cela ne se reproduira plus.— Vous m’avez déjà dit cela la dernière fois, Séverine !
Et sur ces mots, il lève la main et l’abat fermement sur la fesse dans un grand bruit de claquement. Je pousse un petit cri de douleur en me disant qu’il jouait bien la comédie mais que cette claque n’avait rien de simulée… Il me met une autre claque sur l’autre fesse et me voyant peu réagir, enchaîne avec une autre, bien plus puissante, qui m’arrache un cri de douleur. Heureusement qu’à cette heure et à cet étage (réservé à la direction), personne ne peut donc nous entendre.
— Cessez cela, M. Roland ! Je suis sûr qu’elle a compris son erreur… et ce n’est pas ce que j’attends de vous !— Si j’arrête maintenant, elle recommencera sans crainte… Et je ne peux le tolérer !
Et là-dessus il continue à me claquer le cul plus ou moins fort. Je sais qu’il s’agit d’une mise en scène mais la douleur n’est pas simulée, ni l’excitation de me faire punir en public qui commence à m’échauffer le bas ventre d’ailleurs. Mes cris deviennent des gémissements, des Mmmhh, des Ahhh, des Ooohh de plus en plus expressifs.
— M. Roland, vous pouvez arrêter, on dirait qu’elle apprécie plus qu’autre chose… fit remarquer le client.
Mon patron en profite pour pousser sa chance car M. Schmitt ne semble pas prêt à lâcher l’affaire aussi facilement.
— Ah vous aimez ça, Séverine ? Et bien on va passer un cran au dessus, alors…— Oh non, M. Roland, je vous en supplie… Laissez-moi partir !
Mais sans me répondre et tout en fixant le client de plus en plus intéressé, il saisit ma culotte à 2 mains et la baisse d’un coup. Il m’écarte les fesses et passe un doigt sur mon sexe alors très humide.
— Vous aviez raison, dit-il au client, elle aime ça ! Regardez comme elle mouille…— Oh mon dieu… c’est trop humiliant ! Laissez-moi partir M. Roland, s’il vous plait !
Le client, dont la vue de ma chatte chaude et humide commence à faire s’évaporer son éthique, passe lui aussi, mais plus timidement, un doigt sur mon sexe pour constater mon degré d’excitation. C’est y est, me dis-je, il est ferré !
— Désirez-vous la punir vous-même ? demande mon patron au client — Non, ce ne serait pas... et puis pourquoi pas !
Et là-dessus il se met à me frapper le cul à son tour. D’abord timide, il prend vite de l’assurance et me fouette de plus en plus violement. Alors que je sentais que mon patron se retenait parfois, lui donne son maximum à chaque coup. Mes fesses chauffaient sous les claques et je sentis que je ne pourrais plus tenir ce traitement longtemps. Mon patron, de nouveau assit à son bureau me regardait de face me faire corriger avec un sourire complice. Je lui dis, sans émettre de son, un « j’en peux plus » qui le fit intervenir :
— Mouille-t-elle encore ? Demanda mon patron— Oh oui, votre collaboratrice aime vraiment se faire punir… Ah si je pouvais traiter tous mes litiges comme cela ! — Alors c’est que la punition n’est pas adaptée… Si se faire frapper lui procure plus de bien que de mal, nous allons essayer autre chose.
M. Roland me contourne alors, caresse mon sexe dégoulinant et insère un doigt dans ma chatte.
— Vous aimeriez bien vous faire baiser, n’est-ce pas ? Vous voudriez jouir, hein Séverine ?— Oh mon dieu oui, je n’en peux plus M. Roland. J’ai envie qu’on me prenne !
Et alors qu’il continuait de me doigter la chatte, il s’adresse au client :
— S’il y a bien une chose que j’ai appris des femmes, c’est que peu d’entre elles apprécient la sodomie… Certaines la tolèrent pour l’homme qu’elles aiment mais peu apprécie l’acte… surtout quand c’est un inconnu qui le pratique… à sec.
Il retire alors son doigt de mon vagin et l’insère dans mon cul.
— N’est-ce pas Séverine… Vous avez voulu « enculer » ce monsieur dans son contrat, il va vous rendre la monnaie de votre pièce.— Oh non pas là !! feignais-je. Je ne l’ai jamais fait, il va me déchirer !!— Au moins, cela vous fera retenir la leçon. M. Schmitt, elle est à vous.
J’entends alors le client se défroquer et, sans doute attiré par mon sexe trempé et bien ouvert autant que par mes supplications pour qu’il me baise la chatte, je le sens s’enfoncer dans mon vagin. L’engin de monsieur est semble-t-il de taille très correcte et me fait de l’effet immédiatement. Mais aussitôt, M. Roland intervient :
— M. Schmitt, vous devez lui donner une leçon, non pas lui donner du plaisir !
Le client se reprend, sort de ma chatte et fait pression sur mon anus. Mon expérience grandissante de ce coté de mon anatomie fait qu’il s’enfonce facilement dans mon cul et en totalité. Au fur et à mesure où il m’enfile, je le supplie d’arrêter, le supplie de me baiser normalement mais pas par là. Et plus je le supplie d’arrêter, plus il semble excité de continuer.
Au bout de quelques instants, ce client mécontent me lime déjà sans ménagement le fion, s’enfonçant le plus profondément et le plus brutalement à chaque fois. Son ventre tape sur mes fesses en rythme avec mes gémissements simulés de douleurs. Car en réalité, ce n’est ma foi pas désagréable... Mon cul est tout de même généreusement défoncé, même si le traitement n’est pas du même niveau que ce que mes pervers de fils m’imposent régulièrement.
Soudain, M. Schmitt se retire, me prend par les cheveux et me place par terre à quatre pattes, tête plaquée contre le sol, cul bien relevé. Sans écouter mes fausses supplications, il me pénètre à nouveau le fion et continue la sodomie à un rythme effréné.
— Oohh… assez, s’il vous plais, je n’en peux plus ! lui dis-je au bout de quelques minutes en tendant la main vers mon patron qui, lui, ne disait rien et regardait la scène, subjugué.
Je sens alors le client accélérer puis craquer dans un dernier coup de boutoir en m’envoyant tout son foutre au fond de mon intestin. Puis il se retire et se rhabille me laissant dans cette position humiliante, cul relevé, anus bien ouvert.
— Très bien Séverine, me dit mon patron, rhabillez-vous et laissez nous. Nous allons pouvoir maintenant régler cette affaire, M. Schmitt ?— Certainement, M. Roland, je considère que l’incident est clôt, déclara le client.
De mon coté, je me redresse difficilement, réajuste ma jupe, récupère ma culotte sans la remettre et sort du bureau en serrant les fesses et sans demander mon reste. Après m’être vidé l’intestin du sperme de M. Schmitt et avoir attendu son départ, M. Roland m’appelle dans son bureau.
— Vous avez été parfaite, Séverine. Et tout c’est arrangé…— Vous ne m’avez quand même pas loupé ! Je me suis quand même fait enculée bien profond… au sens propre du terme ! Sans parler des claques…— Je sais mais j’ai bien sentis que celui-ci ne craquerait pas avec juste une belle paire de jambes… Et il semble que vous avez plutôt apprécié les claques, n’est-ce pas ?— Tout de même, ça vous a effleuré l’esprit que la sodomie m’effraie vraiment ?— Je suis désolé, c’était dans le feu de l’action.Mais ça c’est finalement bien passé... Et d’ailleurs, cette scène a été terriblement frustrante pour moi… vous voyez ?— Et vous croyez que je n’ai pas été frustrée quand vous lui avez interdit de me baiser ? Mais j’ai une solution pour cette… frustration.
Je m’approche alors du fauteuil où il est assis, relève ma jupe pour l’enjamber, lui montrant au passage que je n’ai pas remis ma culotte, mais au lieu de m’assoir sur lui comme il s’y attend sans doute, je m’assois sur son bureau derrière moi et écarte largement les jambes juste en face de lui. Je déboutonne ensuite mon chemisier et fait apparaitre son soutien gorge noir, qui est en fait un redresse sein (je mets souvent cela en rendez-vous car ça me permet d’avoir un beau décolleté et les tétons qui pointent sous ma chemise…), laissant donc apparaître la totalité de ma poitrine.
Ainsi exposée devant mon patron je commence à me caresser le sexe et les seins en me trémoussant.
— Regardez ma chatte, M. Roland. Regardez comme je suis encore excitée par vos fessées… Mmmhh...
En disant cela, j’écarte largement mes lèvres avec 2 doigts pour dévoiler entièrement mon vagin.
— Et vous savez, dis-je en commençait à me caresser me clito, c’est vrai que la plupart des femmes n’aiment pas la sodomie… Sauf que moi j’adore ça !
Alors que je prononçais ces mots et m’enfilais 2 doigts dans la chatte, mon boss avait sortit son sexe de son pantalon et se masturbait. J’étais terriblement excitée et je sentais bien que je ne serais pas longue à venir.
— Mmmhh, j’adore me faire défoncer le cul par une grosse bite. J’adore…. avoir la sensation qu’il va me…. Mmmhhh…. déchirer et qu’il s’enfonce au plus profond de mes entrailles….
J’accélérais le rythme sur mon clitoris et sentais l’orgasme venir…
— Oohhh, j’adore aussi quand plusieurs hommes me prennent et...mmhhh... passent de mon cul à ma chatte. Oh mon dieu, c’est bon, je vais jouir, M. Roland !!!
Ma main se fait encore plus rapide sur mon clito, tournoyant à toute vitesse, m’enfonçant parfois 2 doigts au passage.
— Ohhh… et surtout ...j’adore quand j’ai 2 bites en même temps ... dans ma chatte ou mon cul ! Oh mon dieu ça vient !!!
Un orgasme puissant me crispe alors tous les muscles et pendant que ma main se fige sur mon clito, celle qui malaxait mes seins les serre le plus fort possible
— Mmmhh, mon dieu, ça va déjà mieux… dis-je, satisfaite à mon patron qui, lui, n’avait pas joui.
Et la dessus, je pousse son fauteuil à roulettes avec mon pied, descends du bureau, réajuste ma jupe, reboutonne ma chemise et commence à sortir du bureau. Mon patron s’exclame alors :
— Hein ?? Vous n’allez pas me laisser comme ça ??— M. Roland, mes prestations sont pour les clients de la société, pas pour un usage interne…— Espèce d’allumeuse ! s’écrie-t-il en se levant de sa chaise et en me rattrapant dans le couloir.
Il me plaque alors contre le mur du couloir, relève ma jupe et, sans me demander mon avis, m’enfile sa queue dans ma chatte encore humide. Il me baise frénétiquement en me tirant les cheveux et en m’insultant de tous les noms :
— Alors salope, tu croyais que tu pourrais m’exciter comme ça ? Je te baiserai quand je veux, compris ?— Oh oui, allez-y défoncer moi ! répondis-je en gémissant, car j’avais bel et bien envie de me faire baiser depuis tout à l’heure— J’étais sûr que derrière tes airs de coincées, tu étais la reine des salopes !! J’ai fait le bon choix avec toi… Dire qu’on pensait tous que t’étais un "cul serré", tiens prend ça !
Le « ça » c’était sa bite qu’il venait de sortir de ma chatte pour l’enfoncer directement dans mon cul, sans précautions ni politesses d’usages…
— Oh putain oui, plus fort !! lui criais-je. Défoncez-moi le cul, plus vite ! — Bordel, c’est vrai que t’aime te faire éclater le fion ! Putain, je vais te l’exploser !
J’étais en transe et alors qu’il limait comme un fou, j’en demandais encore plus. A ce rythme il ne résista pas longtemps et se vida rapidement dans mon fion. Il poussa de grands râles à mon oreille, collé contre mon dos et toujours emboité en moi. Puis il se retira et rangea son engin.
— Ooohhh, vous m’avez mis dans un de ces états, dis-je, le souffle court, en caressant mon anus bien ouvert et dégoulinant de sperme. — Hum, excusez-moi Séverine, je me suis un peu… emporté… Il faut dire aussi que vous m’avez bien cherché ! Allez, rentrer chez vous rejoindre votre mari.— Ce n’est rien M. Roland, le plaisir était pour moi… Au fait, vous ne voulez pas savoir si tout ce que je vous ai dis tout à l’heure à propos de ce que « j’apprécie » est vrai ?— Non… mais je suis sûr que je pourrais le constater de mes yeux un jour ! Bonne soirée Séverine.— Bonne soirée M. Roland. Ah, j’oubliais : les prochaines fois que vous solliciterez personnellement mes compétences, vous mes les compterez en heures sup’… Celle là était pour moi.
Après être repassée aux toilettes pour me vider à nouveau et avoir finalement remis ma culotte, je suis rentrée à la maison, fatiguée et endolorie. Les garçons m’ont demandés si je voulais les rejoindre dans la nuit mais j’ai décliné l’invitation… Je suppose donc que Chloé a pris cher ce soir là !
Et la semaine ne faisait que commencer !
A suivre...
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