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Séverine, une professionnelle dévouée

Chapitre 5

Avec plusieurs hommes
Suite :
Le lendemain matin, je me rendis directement sur le lieu de la réunion de chantier dont m’avait parlé mon patron, celui-ci étant assez loin. La visite des travaux en elle-même se passa bien et je me disais que je serais rentrée à la maison rapidement. Mais une fois dans l’algeco du chef de chantier, je sentis la tension monter.
Les gérants d’une société sous traitante, les frères Da Silva, nous y attendaient pour se plaindre des délais de paiement. J’ai insisté sur le fait qu’il s’agissait d’une sous-traitance, que cela ne nous concernait pas et qu’il fallait voir cela avec le chef de chantier. Mais celui-ci refusait de payer, prétextant une close dans notre contrat. Bref, un dialogue de sourd s’est installé et cela pouvait vite dégénérer.
Je demande donc aux Da Silva de nous laisser un instant pour régler cela en privé avec le chef de chantier. Nous rentrons dans le préfabriqué et je lui dis alors fermement qu’il a choisi de sous-traiter et que donc c’est à lui de payer. Mais il me sort notre contrat et me montre un article qui précise qu’effectivement, dans des cas bien particulier, cela pourrait être à nous de payer.
Sa position était bancale et mais il n’est pas dit qu’en cas de recours, la situation aurait tourné en notre faveur. Bref, je pris le partit de négocier à ma minière un compromis.
— M. Muller, nous savons tous les deux que nous ne sommes pas du tout dans la situation que vous évoquer… Mais nous savons tous les 2 qu’un recours serait négatif pour tout le monde.— Certes, mais la somme en question est ridicule pour vous.— Peut être mais cela créera un précédent et, un jour, toutes les entreprises nous demanderons de payer les sous traitants à leur place…— Ce n’est pas mon problème… me dit-il alors d’un air provocateur.
Je pose alors une main sur sa cuisse et tout en parlant, je commence à le caresser :
— Vous avez 2 possibilités : soit vous allez au conflit et je vous promets que je ferai tout pour vous donner une réputation telle que dans 6 mois vous mettez la clé sous la porte— Soit ? me demande-t-il en regardant ma main remonter vers son entre jambe— … soit vous payer sans broncher ce sous traitant et je vous promets que je vous n’allez pas le regretter. Alors ?
Au moment de prononcer ce « alors ? », ma main était sur son entrejambe, palpant un paquet généreux et en train de durcir.
— Et bien, après tout, il n’y en a pas pour des millions… Voyons tout de même ce que vous avez à proposer avant de me décider !— Très bien, voici un petit échantillon.

A ce moment, je déboutonne son pantalon et sors son sexe, déjà bien dur. Il est plutôt petit, rien de bien effrayant pour moi. Je commence à le masturber doucement en le regardant droit dans les yeux, la plus provocatrice possible. Je baisse ensuite ma tête jusqu’à son sexe, évite de trop respirer car il sent fort, et lui gobe le gland. Il pousse un soupire de plaisir, j’en profite alors pour me redresser et lui demande :
— L’échantillon vous convient-il ?— C’est en effet prometteur… — Alors je vous propose de signer le chèque des frères Da Silva dès maintenant et nous pourrons passer à la version complète.— Marché conclu !
Il se dirige alors vers son bureau, toujours la bite à l’air et signe un chèque du montant indiqué sur la facture en question. De mon coté, j’enlève ma veste et me à l’aise avec simplement un débardeur blanc. Rien de spécialement sexy aujourd’hui, pour les visites de chantier, je suis en pantalons et grosses chaussures ! Mais je sais que mon jean met bien en valeur mes fesses.
Une fois cela fait, il se retourne alors vers moi :
— A vous de faire votre part du contrat maintenant !
Je me mets alors à genoux devant lui, lui baisse complètement son pantalon et recommence à le sucer. L’odeur me dégoute d’abord un peu puis disparait petit à petit, diluée dans ma salive. J’avale sans difficulté la totalité de sa petite bite, ce qui le prend au dépourvu et le fait soupirer de surprise et de plaisir. Je sens qu’il ne tiendra pas longtemps à ce rythme et que l’affaire va être vite réglée.
Mais il se reprend un peu et me saisi alors la tête. Voyant que je peux lui gober la totalité de la queue sans difficultés, il se met à me baiser la bouche avec ardeur, comme s’il profitait du fait qu’il pouvait enfin le faire ! Cette gorge profonde n’était pas vraiment un défi pour moi mais il ne me ménageait pas pour autant. Je recrachais de longs fils de baves qui venaient souiller mon débardeur blanc, entre mes seins. Sans vraiment me demander mon avis, il commença à enlever mon haut. Je fis non de la tête en essayant de le retenir mais il insista :
— Avec le cheque que je viens de faire, je peux au moins voir les nibards d’une directrice adjointe ! Et puis, vous allez finir par le tacher, votre beau débardeur…
Son sexe toujours plantés au fond de ma bouche, je finis par céder et le laisser enlever mon haut. Je me retrouve donc en soutif en train de sucer cet homme qui travail pour ma boite…
Soudain, il se retire de ma bouche, et me demande de m’allonger sur la table centrale de l’algeco. Puis, ainsi sur le dos, il me penche la tête en arrière et, depuis le bord de la table, se remet à me baiser la bouche. Dans cette position, je ne peux absolument rien faire et suis obligée de subir la fellation. Il en profite aussi pour me ploter les seins sur et sous mon soutien gorge. Il faut vraiment que ça se finisse vite car je sens que ça peut dégénérer à tout moment.
Se penchant sur moi, il tente de déboutonner mon jean et de passer sa main en dessous. Mais je considère alors que ça va trop loin et me dégage d’un coup.
— Tout doux ! lui dis-je alors. C’est une pipe et rien d’autre !— Pardon ?!? 15 000 € de travaux pour une pipe ?? Vous êtes plutôt chère Madame…— Non, non… C’est 15 000€ qui sont de toute façon à votre charge et la pipe, c’est un geste commercial de notre part…. nuance ! Mais je peux aussi m’arrêter là, si cela ne vous convient pas…— C’est bon, continuez… j’admets que vous êtes carrément douée ! dit-il finalement
Reprenant le contrôle de la situation, je me remets à genoux devant lui et lui gobe la bite, l’avalant entièrement à chaque aller-retour, lui pompant le gland, lui léchant les couilles. Cette fois, vu ses râles, je sais qu’il va craquer d’un instant à l’autre. D’ailleurs, il me prend la tête par les cheveux, me cale sa queue au fond du gosier et se vide directement dans mon estomac. Son foutre chaud est abondant et épais, je suppose que cela fait un moment qu’il ne s’est pas soulagé. Je retire un peu son sexe de mon gosier pour reprendre ma respiration et le laisse finir de se vider dans ma bouche.
J’aspire les dernières gouttes et donne encore quelques petits coups de langues sur sa queue quand j’entends soudain derrière moi une voix s’écrier :
— Et bien, en s’emmerde pas ici !
Je me retourne alors effrayée vers la porte de l’algeco et découvre les frères Da Silva à l’entrée, sourire aux lèvres. Je ne peux absolument rien dire pour ma défense : je suis en soutien gorge, jean ouvert, à genoux devant mon maitre d’œuvre, du sperme dégoulinant encore de la bouche. Lui-même a le pantalon baissé et la bite à l’air. Je m’attendais à ce qu’il les engueule ou essaie de s’expliquer mais je l’entends dire :
— Ça c’est du timing impeccable, les gars ! Je viens de terminer, à votre tour, messieurs…
A suivre...
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