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Séverine, une professionnelle dévouée

Chapitre 7

Avec plusieurs hommes
Suite :
Leur intrusion nous figea tous d’un coup et j’avais la bouche ouverte de terreur en les voyant tous rentrer en une file interminable.
— Bon les frangins, vous laissez votre place… vous finirez après ! ordonna Muller aux Da silva qui étaient encore enfoncés en moi.— Mais… tenta Miguel— Ya pas de mais, tu fais ce que je te dis. C’est à mes gars de se détendre un peu avant de retourner au boulot ! — Vous êtes malade ! criais-je alors. Vous ne croyez quand même pas que…— Ta gueule pétasse ! Tu as voulu jouer à la salope, tu assumes.
Puis il se tourne vers ces ouvriers :
— Messieurs, je vous présente Séverine, pute professionnelle, grassement payée par notre employeur pour nous satisfaire pleinement. Elle est à vous, vous pouvez lui faire ce que vous voulez, même si elle dit non, c’est une bonne comédienne. Son patron la paye aussi pour ça.
Sans en avoir le choix, les Da Silva me libèrent donc et je vois 5 ou 6 ouvriers s’approcher de moi. J’étais totalement impuissante et en même temps excitée comme jamais par la double que j’étais en train de subir, tous mes trous dilatés n’attendant qu’à se faire bourrer à nouveau. Ma chatte dégoulinait de mouille et mon anus était largement ouvert. N’importe qui en aurait conclu que je n’étais qu’une salope bonne à baiser à volonté. Je n’ai même pas essayé de résister et ai subi l’assaut de toute une équipe d’ouvriers.
Vous raconter tout en détail serait beaucoup trop long alors je vais résumer.
Des hommes tous plus baraqués les uns que les autres m’ont soulevés et m’ont mis à genoux sur le siège de bureau, cul tendu vers eux. Ils m’ont prise à tour de rôle dans cette position, aussi bien dans la chatte que dans mon cul. En tout cas au début car, comme la plupart des hommes, ils se sont rapidement concentrés sur mon fion et ne l’on plus lâché.
Je me contentais de m’accrocher au dossier, bouche grande ouverte à cause de l’intensité de cette tournante, pendant que, derrière moi, des hommes dont j’ai perdus le compte abusaient de mon cul à tour de rôle. Toutes sortes de bites m’ont pénétrés l’anus : des grosses, des petites, des noires, des blanches, des tordues, des bien droites…
Au bout d’un moment, mon fion commençait vraiment à me faire souffrir mais je serais les dents pour ne rien exprimer. Idem pour les commentaires des ouvriers, tous plus insultants les uns que les autres. Ils déversaient leur frustration sexuelle sur moi avec autant de considération que pour une poupée gonflable. Quatre gars étaient restés de coté et se contentaient de se branler en regardant car, d’après ce dont je me souviens, ils voulaient restés fidèles à leurs femmes.
Les autres eux ne chôment pas, mais étant donné leur nombre, certains trouvent le temps long en attendant leur tour. Et ce qui devait arriver arriva, ils décidèrent de s’introduire à plusieurs en moi. Je suis donc à nouveau placée au sol, empalée sur un gars laid comme un pou pendant que les autres me prennent en double à tour de rôle. Je subissais complètement les évènements et ne contrôlais absolument rien. On me baisait la bouche avec des bites puantes, on me tenait les mains pour que j’en branle d’autre. Bien sur, je gémissais, je criais, mais c’était moins par plaisir que du fait de la douleur ou de la fatigue. Et mon excitation déclinait au profit de la douleur, de l’humiliation et de l’envie d’en finir.

Sur les conseils avisés de leur patron, les ouvriers deviennent de plus en plus pervers. Ils me crachent dessus, me font lécher leur cul puants, me mettent des claques, me giflent avec leurs bites. Ils se déchainent comme des furies et me rabaissent autant qu’ils le peuvent. Profitant d’un vide momentané dans mon colon, celui dans ma chatte se retire et s’enfonce dans mon cul pour en profiter à son tour. Mais ceux qui ce succédaient derrière moi se retrouvent privés de trous et n’ont que deux possibilités : arrêtez de me baiser ou me prendre eux aussi dans le cul et donc m’en mettre deux en même temps ! Vous devinez bien ce qu’ils ont choisis…
Encouragé par le patron et les autres ouvriers hystériques, un premier mec tente cette pénétration inédite pour lui. Je subis donc une première double anale sauvage sans que j’émette un son, puis une seconde, une troisième et ainsi de suite. Tout le monde veut essayer cela et mon cul est plus que jamais dilaté. J’ai envie de pleurer de douleur mais fait tout pour me retenir car cela ferait trop plaisir à Muller.
Enfin, après des dizaines de minutes de pénétrations multiples, celui sous moi qui me baise et m’encule depuis un moment jouit enfin alors que son compagnon d’orifice se retire pour ne pas être « souillé ».
M. Muller en profite pour se placer derrière moi et contempler mon anus grand ouvert dégoulinant de sperme. Me complimentant sur mes aptitudes exceptionnelles de ce coté de mon anatomie, je le sens essuyer le sperme dégoulinant avec un mouchoir et insérer 2 doigts dans mon cul. Puis constatant la facilité avec laquelle ils sont passé, il en enfonce 3 puis 4 et enfin toute la main. Lubrifié et dilaté, mon anus ne met pas longtemps à céder et son poing s’introduit finalement dans mon fion.
Malgré toute ma résistance (et mon expérience de la chose), je ne peux m’empêcher de hurler.
Satisfait du résultat, ce batard n’hésite pas à m’enfoncer son poing le plus possible et je le sens progresser plus loin que ce que je n’ai jamais eu dans mon cul. En me retournant pour regarder la scène, je constate qu’il est enfoncé bien plus loin que son poignet. Parmi ses ouvriers, certains prennent des photos en gros plan de ce fist-fucking incroyable. Il continue encore à s’enfoncer mais mes supplications sont telles qu’il se retire finalement en riant, et exhibe fièrement la limite sur son bras jusqu’à laquelle il est allé. Les prises de photos de mon anus largement dilaté continuent et l’orgie reprend.
Apparemment lassés de mon cul distendu, ils me placent par terre sur le dos et me prennent par la chatte à tour de rôle. On me tenait les jambes bien écartées de chaque coté et on me baisait la bouche. J’aimerais vous dire que j’y ai pris du plaisir mais mon cul me faisait tellement mal et j’avais tellement hâte que tout cela cesse que je ne ressentais rien. Ce chassé-croisé durait depuis 20 minutes quand enfin les premiers craquèrent et se répandirent dans ma chatte. Après avoir reçu le foutre de 3 ou 4 gars, mon vagin débordait de sperme et dût dégouter les suivants… qui s’empressent de m’enculer à nouveau pour se vider. On me mit donc à quatre pattes et 2 ou 3 ouvriers virent à la suite jouir dans mon cul. Celui-ci ne ressemblait plus à rien non plus et était remplis de sperme.
Ce batard de Muller me demanda alors de me redresser et récupéra le sperme qui s’écoulait de mes orifices dans un mug à café récupéré à son bureau. Pendant qu’il faisait le plein, ceux qui n’avaient pas encore jouis venaient me baiser la bouche et juter sur mon visage ou dans mon gosier.
Parmi ceux qui n’avaient pas participé à l’orgie pour cause de « fidélité », 3 virent se branler au dessus de mon visage pour me recourir de leur foutre et l’autre « cotisa » au mug de jus d’homme que Muller était en train de remplir. J’étais entièrement recouverte de sperme, tout mon visage n’était que foutre tiède dégoulinant, j’en avais dans les cheveux, sur la poitrine et une mare de liquide blanchâtre stagnait entre mes jambes. J’avais un œil fermé depuis qu’un jet chaud m’avait atteint à cet endroit. Ma bouche grande ouverte récupérait ce qui dégoulinait de mon visage.
Mais cette séance de pure débauche humiliante n’était pas tout à fait finie car l’autre arriva avec son mug rempli de foutre dont le plus gros sortait de moi et était sans doute maintenant froid. D’habitude j’aime le sperme, mais froid et dans ce contexte, j’en étais dégoutée d’avance. Pour abréger l’épreuve, je bus le mug cul sec, en plusieurs gorgées successives, devant les ouvriers impressionnés en train de se rhabiller.
Muller qui n’avait pas joui lors de cette dernière séance voulu m’humilier à sa manière. Il sortit son sexe mou et commença à me pisser dessus ! Son jet d’urine vint d’abord me souiller le ventre et la poitrine. Puis il visa mon visage mais je réussis à me protéger à peu près avec mes mains. Les dernières gouttes tombèrent au sol et il rangea sa queue. Il me félicitât finalement pour ma prestation en me crachant au visage et ordonna à ses ouvriers de reprendre le travail. Puis il s’adressa aux frères Da Silva, rhabillés et restés en retrait jusqu’à maintenant :
— Bon, les portos, vous pouvez en faire ce que vous voulez maintenant… la trainée est à vous !
Et il sortit de son bureau. Miguel et Manuel, déboussolés et énervés durent avoir pitié de moi car ils ne se finirent pas et, au contraire, m’aidèrent à me nettoyer et me rhabiller. J’étais ravagée, humiliée, épuisée et incapable du moindre mouvement. C’est eux qui m’ont remis mes vêtements et ils n’abusèrent à aucun moment de la situation. Ils me reconduisirent à ma voiture mais devant mon état de fatigue proposèrent de me ramener chez moi.
Nous arrivèrent en milieu d’après midi à la maison, qui était heureusement vide et ils repartirent après que je les ai remerciés. Je pris une douche en pleurant et passa le reste de la journée à dormir.
Même si les Da Silva n’avaient pas jouis aujourd’hui, je peux vous assurer qu’ils se sont ensuite rattrapés car, en remerciement, j’ai fait en sorte que mon entreprise fasse souvent appel à leur service en traitant à chaque fois l’affaire moi-même avec le plus grand soin…
Quand à M. Muller, ses locaux ont accidentellement brulés quelques mois plus tard et il paraît qu’il a été agressé par deux inconnus. Il aurait ensuite déménagé sans donner de nouvelles.
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