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Séverine, une professionnelle dévouée

Chapitre 8

Avec plusieurs hommes
Suite :
Après une nuit rendue agitée par les souvenirs de cette terrible journée, la douleur dans mes orifices et la sensation que mes nouvelles fonctions finiraient par avoir ma peau, je retourne au bureau avec les traits tirés. Rien de spécial de prévu aujourd’hui, des coups de fils, des mails à traiter… rien qui puisse m’emporter à nouveau dans les extrêmes d’hier.
Virginie remarque sans difficulté mon visage marqué et est au petit soin avec moi toute la journée. Sa tendresse n’est pas totalement gratuite puisqu’à la moindre occasion, nous nous embrassons, nous caressons mais n’avons jamais l’occasion de pousser cela plus loin. Elle me demande d’ailleurs si je peux rester plus tard ce soir. Je suis trop épuisée pour cela mais je me rends compte que j’ai très envie d’elle et je lui propose qu’on se voie le lendemain soir.
Mais mon chef allait ruiner nos plans car en milieu de journée, il m’annonce qu’il a un diner d’affaire avec un futur client le même soir et qu’il veut que je sois présente pour l’amadouer. Je décline d’abord l’invitation mais il me fait rapidement comprendre que je n’ai pas le choix.
— Très bien M. Roland, mais je vous préviens, la journée d’hier a été très rude pour moi et je suis épuisée…— Comment ça, rude ?— Et bien disons que la situation était un peu conflictuelle entre M. Muller et des sous traitant et j’ai dû… négocier. — Et ça c’est bien terminé ?— Par la boite oui… pour moi par contre c’était limite dangereux.— Ah bon, à ce point ??— Ils ont été très durs en affaire et m’ont en demandé beaucoup… dis-je, gênée, ne voulant pas donner de détails humiliants.— ILS… au pluriel ?— Oui M. Roland… ILS !
Et sur ces mots je sorts de son bureau, ne voulant pas trop m’étendre sur ce sujet.
Je m’excuse donc auprès de Virginie qui est évidemment déçue et me questionne sur ces nouvelles fonctions qui me prennent tant de temps. J’évite la question.
La journée se termine par un tendre baiser avec ma collègue et maîtresse et je rentre à la maison pour me reposer. Le lendemain, je me rends au bureau avec la tenue que j’allais porter le soir : mini jupe, veste et chemisier décolleté, porte-jarretelles, string, talons hauts. Sexy mais pas trop, et tout de même un peu Pro.
Durant la journée, je note que ma tenue a un succès remarquable auprès de mes collègues masculins qui se succèdent dans mon bureau pour me parler de vagues projets ou de dossiers sans caractères d’urgence. Il y a notamment Julien, un jeune collaborateur qui s’occupe de la partie « environnement » de nos dossiers et qui s’arrange pour être toujours près de moi (ou plutôt derrière moi) à la machine à café ou à la photocopieuse. Je le trouve plutôt séduisant et lui accorde, alors qu’il me parle de bestioles que nous devrions protéger sur nos chantiers, le privilège d’un croisement de jambes négligé puis d’une vue plongeante dans mon décolleté. Je sens que le jour où je voudrai me faire baiser à la pause de 10h, ce beau gosse fera parfaitement l’affaire.

20h, je suis au restaurant pour ce dîner d’affaire et là, une surprise de taille m’attendait. Le client de M. Roland était Noir. Un superbe Noir d’environ 2 mètre de haut dans un costume très classe qui laissait deviner un corps musclé. Sa voix était grave et profonde et ses yeux envoutant. Lors qu’il ma serré la main, j’ai eu l’impression d’être une gamine devant un géant.
Je n’ai jamais été attirée par l’exotisme et est toujours eu un fond, disons..."méfiant" vis-à-vis des étrangers, sans trop savoir pourquoi. Je sais, c’est mal… mais ces dernières semaines m’avaient considérablement élargis l’esprit (en plus de mes orifices…) et à présent, le simple contact de sa puissante main me chauffait le bas ventre.
Le dîner promettait d’être intéressant.
Après 2h de discussions politico-économiques dont vous vous moquez du continu, j’en suis sûre, M. Diallo, c’est le nom du beau black, nous fait clairement comprendre que notre proposition commerciale est intéressante mais nous demande pourquoi il nous choisirait, nous, plutôt qu’un concurrent.
Histoire de ne pas jouer toutes nos cartes d’un coup, nous argumentons sur nos compétences, notre professionnalisme, nos résultats.
— C’est très bien, nous avoue-t-il, mais je vais devoir convaincre mes administrateurs avec toute ma détermination. M. Roland, si j’en juge à ce que je vois ce soir, votre équipe me semble fort... sympathique. Ne pouvez-vous rien faire de plus ?— Et bien, déclare alors mon patron, ma collaboratrice ici présente possède des compétences très appréciables que n’ont pas ces vieux fossiles que vous avez contacté chez nos concurrents...
Pendant qu’il prononçait cette phrase, j’avais enlevé mon pied de mes talons hauts et, sous la table du restaurant, avait entrepris de faire du pied à M. Diallo, d’abord au niveau du mollet puis carrément entre ses jambes.
— Hum, je vois, dit-il alors en me souriant. Les française sont décidément très douée pour la négociation. Pourrais-je voir une partie de ces... compétences ?— Mais bien évidemment, répondis mon patron sans me consulter ... Je vous propose d’aller chez moi pour prendre un verre.— Excellente idée, se réjouit M. Diallo. Je vous suis avec ma voiture...
Et se tournant vers moi, du haut de ses 2 m et avec une voix très grave, il me dit : — J’ai hâte d’y être, chère Séverine.
Cette simple phrase suffit à me faire frissonner et à durcir mes tétons d’excitation !
Nous payons le resto et nous montons en voiture. Je monte en voiture avec M. Roland et M. Diallo nous suit derrière.
— Vous faites appel en mes compétences de plus en plus rapidement, M. Roland ! Je me demande comment vous faisiez pour négocier sans moi...— J’y arrivais, Séverine, mais j’avais juste un taux de réussite moins bon! Haha !— Bon... je vous préviens, je ne suis pas totalement remise d’avant-hier... Je peux compter sur vous pour que ça n’aille pas trop loin ?— Il faudra quand même qu’il retourne chez lui satisfait !— Un petit strip-tease et éventuellement une petite pipe devraient suffire...— Je l’espère pour vous...— Et bien si ça ne suffit pas vous vous débrouillerez, moi je ne pourrais pas, le préviens-je fermement.— Mais à la fin, que c’est-il passé l’autre jour ??— Si vous voulez tout savoir, je me suis fait baiser par une dizaine d’ouvriers dans toutes les positions et tous les trous pendant 2h... tout ça pour faire vous faire économiser une misère.— Ils vous ont violé ? demanda-t-il, l’air vraiment inquiet.— Au début, c’est moi qui ai provoqué mais ça a dérapé et à la fin, je ne contrôlais rien. Disons qu’ils se sont déchainés sur moi comme si j’étais pire qu’une pute et que je les ai laissé faire même si je n’étais pas franchement partante.— Je… je vois... j’essaierai de vous préserver ce soir.— Merci.
Nous arrivons à son appartement et montons avec M. Diallo. Tandis que je suis assise à ses cotés dans le canapé, M. Roland, au bar, nous sert un whisky. Il pose les verres sur la table basse devant nous et nous buvons une première tournée, puis un deuxième. Une fois mon verre vidé, M. Diallo me demande quelles sont ces fameuses compétences dont mon patron lui a parlé.
— Je vais vous montrer… dit alors M. Rolland. Levez-vous, Séverine.— Oui M. le Directeur…
Il me prend par la main pour me placer debout, face à M. Diallo et se met à coté de moi. Puis il commence à déboutonner mon chemisier tout en parlant
— Vous voyez M. Diallo, Séverine est diplômée de HEC, mention spéciale du jury. Elle parle couramment l’anglais et l’allemand…
Au fur et à mesure qu’il décrit ainsi mon CV, il enlève ma veste et déboutonne ma chemise pour finir par la sortir de ma jupe. Puis il passe à mes expériences passées tout en enlevant complètement ma chemise. Je me retrouve ainsi en soutien gorge devant M. Diallo avec mon patron qui complimente mon parcours professionnel.
Il passe ensuite derrière moi et baisse la fermeture latérale de ma jupe en décrivant mes aptitudes de chef de service et la laisse tomber au sol. Je suis donc en string, porte-jarretelles… et je commence à être sérieusement excitée par ce déshabillage.
— Vous voyez, notre société, au même titre que Séverine, a de très gros atouts pour satisfaire votre conseil d’administration, dit sérieusement mon patron en me malaxant les seins. Mais, laissez-moi vous en dire plus.— Je vous en prie, répondis M. Diallo comme si tout était normal.
Tout en félicitant mes facultés à gérer des gros dossiers, M. Roland commence alors à dégrafer mon soutien-gorge et le fait tomber à mes pieds. Il masse ensuite mes seins nus, joue avec mes tétons, tire un peu dessus et leur donne quelques coups de langues. Alors qu’ils durcirent sérieusement, il dit avec un sourire :
— Vous pouvez d’ailleurs constater que derrière sa grande générosité, Séverine sait être ferme quand il le faut !
Puis il glisse une main dans mon string et commence à me caresser le sexe. Constatant mon état d’excitation, il commente :
— Mais en fait, une de ces plus grandes qualités est la chaleur humaine… Vous savez, cette capacité à accueillir ceux qui sont dans le besoin, quelle que soit la taille de leur problème et à tout faire pour les satisfaire.
Et tandis qu’il prononce ces mots, mon string tombe à mes pieds et un doigt va et vient délicatement dans ma chatte. Ainsi exposée, uniquement vêtue d’un porte-jarretelle et de talons hauts, je fixe intensément M. Diallo qui me dévore des yeux. Malgré ma volonté de rester impassible, je ne peux m’empêcher de me mordre la lèvre de plaisir du faut des caresses de mon patron. Celui-ci me retourne, me penche en avant pour que je tende les fesses vers le client et me les écarte généreusement, exposant ainsi ma chatte humide et mon anus. Puis, tout en évoquant mon ouverture d’esprit, il glisse sa main entre mes cuisses, place 2 doigts sur mon sexe et écarte mes lèvres pour bien montrer mon beau vagin à M. Diallo.
— Vous voyez, dit mon patron, Séverine est un atout important qu’il nous faut absolument conserver et j’essaie donc de satisfaire tout ses besoins… Venez par ici, Séverine, je suis sûr que M. Diallo sera ravi de vous faire plaisir…
Je m’approche donc de lui et, sur l’ordre de M. Roland, me place sur la table basse, jambes écartées. Avec un regard de braise, je saisis la main du grand Black, la porte à ma bouche et lui suce le majeur. Puis je fais glisser sa main sur mes seins, qu’il n’hésite pas à palper, et enfin sur mon sexe. Je lui laisse alors le relais et m’avachis en arrière, attendant comme une reine mon orgasme.
Il commence à me titiller le clito, me caresse, m’enfonce un doigt… un doigt si gros et long que cela est plus efficace pour moins que la plupart des rapports que j’ai eu avec mon mari ! Il écarte mes lèvres, dégage bien mon petit bouton et me donne de vigoureux coups de langues qui me font immédiatement gémir. Il m’enfonce à nouveau un doigt pour accompagner son cuni et décrit des allers retours qui me font me cambrer un peu plus en arrière, comme si j’étais possédée.
— Ooohh oui, encore ! Plus vite !!
Il accélère donc ses rotations de langues en même temps que ses vas-et-viens avec son doigts et me déclenche en moins de 20 secondes un magnifique orgasme qui m’arrache un cri de plaisir bestial ainsi que des soubresauts dans tout mon corps.
Je m’allonge ainsi comblée sur la table basse et mets quelques instants pour reprendre mon souffle.
— Vous savez, M. Roland, je sens que l’on va faire un excellent travail ensemble, et moi aussi je peux me montrer très généreux. Mais moi aussi j’ai besoin d’être satisfait.— Je comprends tout à fait, M. Diallo. Séverine, mettez vous à genoux et donnez lui autant de plaisir qu’il vous en a donné !
Je voyais bien que par cet ordre en apparence brutal, M. Roland me préservait d’une énième partie de baise intense et imposait sans le dire une simple pipe à M. Diallo. Celui-ci eu d’ailleurs un regard un peu déçut mais sembla finalement se satisfaire de la proposition.
Il se lève du canapé et se place à coté de moi. Je descends de la table basse et me place à genoux, à ses pieds. Du haut de ses 2 m, il me domine tel un géant. Sans attendre et pour ne pas lui donner l’occasion de changer d’avis, j’ouvre sa braguette pour sortir son sexe.
— Vous ne pourrez pas la sortir comme ça… ma dit-il alors que je mets ma main sans son pantalon.
Je n’ai pas tout de suite compris le sens de sa phrase, la surprise fut donc énorme. Ma main palpait en effet une masse gigantesque, dure comme du béton, qui semblait de pas avoir de fin. Impossible de la sortir par la seule ouverture de braguette ! J’ouvre donc totalement son pantalon, baisse lentement un boxer déformé et libère ainsi le plus gros sexe que je n’ai jamais vu, y compris sur internet !
— Oh putain, j’y crois pas !! m’exclamais-je alors, un peu prise au dépourvu.
Son engin était monstrueusement long et large, mais je serais bien incapable de vous en donner les dimensions exactes… Je sais juste, pour avoir comparé, qu’il était presque aussi long que mon avant bras et plus large que mon poignet. Sur toute la longueur du membre ébène qui transpirait la virilité, des veines pulsaient aux rythmes de ses battements de cœur. Au bout, un énorme gland marron me faisait face, luisant d’excitation et terminé par un trou dans lequel on pouvait presque glisser un petit doigt. Une véritable bite de cheval ! Et encore, je peux vous dire que j’ai vu des chevaux en érection avoir un truc plus mou et moins impressionnant que ce qui me dominait à ce moment !
Après quelques secondes de contemplation durant lesquelles je ne savais pas si je devais être excitée ou effrayée, je me saisi du membre pour commencer à la branler et le sucer. Surprise : je n’arrive pas à en faire le tour avec mes doigts ! Je le prends donc à 2 mains et commence à le branler doucement, comme une débutante, tant ce sexe m’impressionne. Puis j’embrasse le bout de son gland et donne quelques coups de langues sur son frein. Je soulève la bête pour admirer ses testicules qui sont à l’échelle du reste : énormes. J’en lèche une et essaie de la gober mais suis incapable de la prendre entièrement dans ma bouche. Je retourne donc à sa bite et la lèche de bas en haut dans un mouvement qui me paraît interminable tant elle est longue.
Enfin, après quelques instants de léchouille, j’entreprends de le sucer réellement. J’enfourne son gland dans ma bouche et me rend compte que je dois ouvrir ma mâchoire au maximum. Ma langue tourne autour de son gland et j’essaie d’en prendre un peu plus. Mais au bout de quelques centimètres, je constate que ma bouche est remplie et que mon gosier est incapable d’avaler un truc de cette taille. Je me contente donc de lui sucer du mieux que je peux le bout de sa queue et branler le reste avec mes 2 mains.
Cela ne semble pas entièrement le satisfaire car il me saisit la tête et essaie de m’enfoncer sa queue plus loin. J’ouvre à fond la mâchoire et ferme les yeux pour faire mon maximum. Mais son gland tape au fond de ma bouche. Il s’agace et essaie à nouveau sans beaucoup plus de succès, le seul résultat étant de m’étouffer !
— Stop, s’il vous plaît ! Je ne peux pas la prendre plus loin, elle est trop grosse…
En colère, il range alors son sexe et crie à M. Roland :
— C’est ça les qualités exceptionnelles de votre collaboratrice ?? Incapable de me sucer, tout juste bonne à aguicher ! Je n’imagine même pas le cinéma si j’avais voulu la baiser !!— Mais M. Diallo… tenta mon patron.— Inutile d’insister !! Vous vouliez négocier un contrat à plusieurs millions avec cette allumeuse bonne à rien ?? Vous vous moquez de moi ?
Et malgré les tentatives de rattrapage de M. Roland, M. Diallo commence à se diriger vers la porte de l’appartement pour partir. Alors qu’il a la main sur la poignée, je croise le regard désemparé de mon patron et l’espace d’un instant, j’ai l’impression qu’il me supplie de faire quelque chose. Je ne sais pas si c’est mon « professionnalisme » qui a parlé ou l’alcool, mais en tout cas des mots sortent alors de ma bouche sans que je le veuille réellement :
— Et si je vous laisse m’enculer ?
A suivre...
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