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Séverine, une professionnelle dévouée

Chapitre 10

Avec plusieurs hommes
Suite :
Après un weekend un peu mouvementé (voir l’anniversaire de mon fils dégénère), je m’empresse, dès le lundi d’aller voir M. Roland pour lui demander qu’elle est sa fameuse solution au fait que, d’ici quinze jours je vais me faire prendre par un troupeau de Blacks tous plus membrés les uns que les autres.
— Pour moi, Séverine, la solution est que vous ne soyez pas seule à assumer tous ces hommes. Il vous faut l’aide d’une autre fille qui divisera par deux le nombre de membres à soulager et qui, de mon point de vue, ne fera qu’augmenter la satisfaction de nos clients. — Franchement, je ne vois pas qui… lui répondis-je même si je voyais là où il voulait en venir— Ah bon ? Il me semble pourtant que vous travaillez avec une jeune femme tout à fait charmante…— Virginie ?? Vous ne la ferez jamais coucher pour le boulot… ni coucher tout court, elle est lesbienne !— Oh je sais, et votre partie de jambes en l’air la semaine dernière ne m’a pas échappé !— Vous étiez là ??— Et oui… Je sais aussi que Virginie a eu un fiancé avant de venir travailler chez nous. Elle est peut donc sans soucis renouer avec la gente masculine, au moins pour cette fois.— Jamais vous ne la convaincrez.— Pas moi, mais vous, oui !— Moi ? Vous rêvez !!— Vous ais-je donné le choix ? Soit vous la convainquez de participer et la former pour qu’elle ne déçoive pas nos clients, soit, d’une part, vous irez seule vous faire défoncer, d’autre part, je la fous à la porte et je montre à l’ensemble de mon carnet d’adresse vos prouesses avec M. Diallo…— Vous ne pouvez pas me faire ça ! Après tout ce que j’ai fait pour cette boite ! Avec tout le pognon que je vous ai ramené ! — Je sais… Mais le pognon que l’on pourrait perdre sur ce coup, vous y pensez ?? C’est l’avenir de la société qui se joue. Nous aurions pu laisser M. Diallo filer mais c’est vous qui l’avez appâté avec votre cul ! Aujourd’hui, il demande que plusieurs de mes collaboratrices participent à cette partouze, alors on le fera ! Virginie est une belle femme et il est certain qu’elle plaira à M. Diallo. Débrouillez-vous !
Je sors de son bureau à la fois en colère et désespérée. Si Virginie refuse, c’est la fin de ma belle situation et le début de l’humiliation. Il faut que je la convainque !
— Virginie, lui dis-je en entrant dans notre bureau, ça te dirait qu’on mange ensemble ce soir ?— Avec plaisir… Chez moi ?— Parfait !
Après un repas rapide et sans intérêt, nous avons passé une bonne partie de la soirée à faire l’amour, partout dans son appartement. Tous les prétextes étaient bons à doigtage, léchage, godage (Virginie avait une impressionnante collection de jouets, de toutes formes et de toutes tailles). J’ai jouis dans toutes les pièces et toutes les positions sans ressentir la moindre douleur… Cela fait aussi du bien de n’avoir que du plaisir et de la tendresse… Après plusieurs heures de baise, nous sommes enlacées dans son lit et je dû réunir tout mon courage pour prendre la parole :

— Virginie, je dois te parler… dis-je avec l’air grave.— Ah, d’accord…— M. Roland m’a confié une importante affaire et il voudrait que tu m’assistes. — Ok… en quoi cela consiste ?— Et bien, depuis quelques semaines, tu as remarqué que je me comportais différemment avec les clients, que je m’habillais de manière plus… provocante, n’est-ce- pas ?— Oui, mais je ne vois pas le rapport…— Le rapport c’est que ce sont mes nouvelles attributions. Disons que je dois négocier des contrats ou désamorcer des conflits avec des clients, et ce à n’importe quel prix.— C’est-à-dire ? demanda-t-elle inquiète.— Et bien… S’il il faut que j’allume un client en ne mettant pas de culotte, je le fais. S’il faut sucer un maître d’œuvre pour alléger une facture, je le fais. S’il faut qu’on me passe dessus pour un gros contrat, je le fais !— Quoi ??? Tu baises pour le boulot ? Tu fais la pute ! Ce n’est pas possible…— Eh, tout doux, ma belle ! Ton nouveau bureau, ton augmentation, tes horaires flexibles, c’est aussi grâce à mon cul que tu les as ! Et, j’ai à la base signé en pensant que j’aurais juste à me montrer peu farouche lors de diners… Mais M. Roland m’en demande toujours plus, comme la fois où tu m’as vu dans un état déplorable. Si bien que je commence à être dépassée par les évènements, tu comprends ? — Tu ne devrais pas faire ça, ça finira par te tuer… Mais…. attends un peu: qu’est-ce que j’ai à voir là dedans ?— Justement, j’y viens…
Ne voulant pas l’effrayer d’avantage en lui disant la finalité de la chose, j’essaie de noyer un peu le poisson :
— … M. Roland souhaite que tu m’accompagne en réunions ou en soirées pour m’assister et me soulager dans mes tâches.— Alors là il rêve, ce pervers !! Je préfère encore démissionner ! — Il ne s’agit pas que de toi ! Il a des photos et des vidéos de certains de mes exploits et n’hésitera pas à les diffuser si tu refuse. — Il ne peut pas faire ça ! — Il peut faire ce qu’il veut… il est connaît beaucoup de monde— Je…. je suis désolée, Séverine…. Je ne peux pas… Je…. Il vaut mieux que tu partes…
C’était foutu.
Le lendemain, nous étions dans le bureau de M. Roland avec Virginie qui devait lui présenter sa démission.
— Ce n’est pas exactement ce à quoi je m’attendais, Séverine, me dis-t-il sévèrement en voyant la lettre de démission.— Je suis désolée, Monsieur…— Elle n’y est pour rien, intervint Virginie, je ne veux pas devenir….— Toi, ta gueule ! lui cria-t-il sèchement. Séverine avait une mission et elle a échoué !
Il se lève alors de son bureau et me mets une grande gifle qui me fait tomber au sol. Celle-là, contrairement à la dernière fois où je me suis fait punir dans ce bureau, n’était pas feinte. Virginie crie de surprise et lui demande d’arrêter.
Mais il me relève, retire complètement sa ceinture et soulève ma minijupe. Il me penche sur son bureau et me fouette le cul avec le cuire de sa ceinture. Au troisième coup, Virginie est en pleur et le supplie d’arrêter. Il lui tend alors sa lettre de démission et lui dit :
— SI vous voulez que j’arrête, reprenez votre lettre et donnez un peu de votre beau cul pour sauver celui de Séverine. Je vous demande juste une soirée ! — Je… je ne peux pas…. Dit-elle en pleurant— Très bien… Séverine, demain, votre mari, vos amis et vos collègues recevront une copie de vos ébats avec M. Diallo. Cela devrait vous faire une belle réputation…— NON ! Mes enfants, ma vie va être foutue… criais-je, désespérée.
Pour seule réponse je reçu encore deux coups de ceinture et j’allais m’en reprendre un troisième quand Virginie déclara :
— D’accord, je le ferai ! Je vous en supplie, laissez là tranquille…— Et bien voilà ! Vous voyez que vous n’êtes pas si farouche… Séverine, vous avez deux semaines pour que cette mijaurée devienne la reine des salopes et fasse en sorte que M. Diallo et ses collègues n’oublient pas leur séjour.— Oui, M. Roland, dis-je en replaçant ma jupe péniblement
De retour dans notre bureau, j’expliquai à Virginie ce qui nous attendait dans 15 jours. Elle fut paniquée à l’idée de devoir subir des assauts de tous les mâles membrés comme des chevaux alors qu’elle n’avait pas connu d’homme depuis des années.
— Je sais ma chérie… Écoute, j’ai plein de rendez-vous ces deux prochaines semaines où je devrai sans doute donner de ma personne. Tu vas m’accompagner et on fera en sorte que tu ais un max d’expériences. Je ne te promets pas que ce sera facile mais au moins nous serons deux et tu te réhabitueras aux hommes et leurs perversité.— Putain…. Je vais devenir une putain….— Je suis désolée… Si j’avais su que la situation dégénèrerait à ce point et que ça retomberait sur toi, jamais je ne me serai embarqué la dedans. Par ailleurs, je ne te remercierai jamais assez d’avoir accepté. Je te suis éternellement reconnaissante.— Je ferais n’importe quoi pour toi… Je…
Aucune de nous n’a terminé cette conversation même si l’on savait bien ce que cela voulait dire.
— Je vais organiser mes rendez-vous, repris-je pour changer de conversation, pour que tu te remettes dans le bain tranquillement. — Je te fais confiance…
Ça, faites-moi confiance… Ces quinze jours ont été un feu d’artifice qui s’est terminé par une apothéose incroyable.
A suivre...
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