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Séverine, une professionnelle dévouée

Chapitre 14

Avec plusieurs hommes
Suite :
Alors qu’elle ne s’y attend pas, je l’attrape par les cheveux et l’oblige à me sucer fermement. J’appuie sur sa tête pour qu’elle avale mon sexe de caoutchouc aussi loin qu’elle peut. Puis je la jette au sol et lui baise la chatte en l’insultant, comme tant d’hommes ont fait avec moi. Je la prends en missionnaire puis la retourne et la mets à quatre pattes. Je continue de lui défoncer la chatte, assez violemment je dois dire, alors qu’elle semble franchement aimer ça. Elle me réclame de lui claquer les fesses, ce que je fais avec plaisir.
Je lui besogne donc la chatte avec vigueur en me cramponnant à ses hanches et en lui mettant des claques relativement fortes (à mon sens) sur les fesses. Puis de ma main droite, j’enfonce mon pouce dans son cul, le plus loin possible et sens alors le gode rentrer et sortir de son sexe. Étrange sensation car d’habitude, c’est moi qui suis pénétrée…
Toujours est-il que je me retire de sa chatte et présente le bout du gode à l’entrée de son cul. Alors que j’enfonce le faux gland de taille assez impressionnante, je sens la réticence de Virginie.
— Attends Séverine ! C’est trop gros….. Ouhhhh…. Non ça ne passera pas…..— Je m’en fous pétasse, dis-je alors en imitant un homme, certes assez mal. Soit ça passe, soit je te casse le cul !!
Je retire alors le gland, crache dessus pour bien lubrifier le plastique et salive également dans l’anus de Virginie pour que ça passe. Puis je renfile, plus facilement cette fois, la bite en plastique et m’enfonce en elle doucement.
— Ooohhh putain tu me déchires salope !! Aaahhhh— Ta gueule, pétasse !!! Je suis presqu’à fond !
En fait le gode n’était enfoncé qu’à moitié mais c’était déjà plus qu’honorable pour une débutante… Je commence donc mes allers-retours qui m’excitaient également au plus haut point, me faisant devenir un peu brutale. En effet, alors que j’enculais Virginie depuis quelques instants, je lâche ses hanches et attrape ses beaux cheveux blonds et le tire vers moi. Elle crie de douleur mais cela ne m’empêche pas de continuer la traction si bien qu’elle se redresse et finit par se coller à ma poitrine, tête tirée en arrière. De mon bras gauche, j’entoure sa gorge et l’étrangle un peu, sans exagérer non plus. Par contre, j’accélère mon mouvement de bassin et lui défonce littéralement de cul avec le gode ceinture.
Ainsi à genoux et redressée en cambrée vers moi, son cul est beaucoup moins dégagé et son fion et nettement plus resserré. A part le fait que cela rend les vas-et-viens plus difficiles, cela ne change rien pour moi car je ne ressens pas cette pression mais j’imagine bien que pour un homme, ce doit être jouissif. Par contre, Virginie, elle, semble sentir la différence car elle crie de douleur à chacun de mes coups de boutoirs. De ma main droite je lâche ses cheveux et descends vers son sexe bien accessible maintenant et commence à lui caresser le clito. Immédiatement, les cris de douleurs changent et je peux clairement sentir du plaisir chez elle.
J’accélère à la fois le rythme de la pénétration et des caresses tout en serrant un peu plus sa gorge. Elle hurle à présent de plaisir, sans retenue et sans une once de douleur.
— Alors, lui crie-je dessus, tu aimes te faire défoncer le cul ??— Aaahhhh…. Oui….. Oooohhh— Dis-le, salope !
— J’aime… me faire… défoncer le cul !!!— Encore ! Dis que tu aimes la bite !— J’aime la bite !!! J’aime qu’on me baise !!! Ohh je veux des bites dans tous mes trous ! — Tu es une salope, en fait ?— Ouiii je suis une grosse salope…. Oohhh une salope qui bouffe des bites !
Folle d’excitation, je m’allonge brusquement sur le dos en entrainant Virginie avec moi, toujours empalée sur mon gode. Elle se retrouve donc en cowboy inversé sur moi, les pattes en l’air et le reste du corps allongé sur le mien. Je l’encule alors aussi vite et aussi violemment que je peux tout en la masturbant de la main droite et en lui massant les seins de la main gauche.
Ses cris se font de plus en plus forts et rapprochés et soudain un hurlement bestial m’indique qu’elle jouit intensément. Je reste donc enfoncé en elle, la main calé sur sa chatte pendant que les spasmes qui la secouent se calment un peu. Mais, pour ma part, je suis toujours en transe. Je la repousse sur le coté, me retire de son cul, totalement dilaté.
— C’est bien ma cochonne, maintenant tu vas me faire jouir ! Allez, suce-moi la queue !!
Elle était à la fois fatiguée de son orgasme et perdue face à mon ordre.
— Tu…. Tu veux que je suce ça ??— Tu suce ma queue… dis-je avec une grosse vois grave.Puis avec ma voix normale :— … et tu t’arranges pour me faire jouir.
Elle s’approche alors un peu dégoutée de la bite en plastique sortant tout juste de son cul et donne un timide coup de langue dessus. Voyant sa mine écœurée, je l’encourage :
— Il faut que tu t’y prépare… Tu ne t’habitueras jamais à ce gout-là mais sache que plus tu suce et tu salive, plus vite il passe !
Elle ravale donc son dégout et se met à son sucer le gode à l’odeur de fion. Elle le lèche et crache dessus et finit apparemment par venir à bout du mauvais gout. Puis, se rappelant qu’elle doit aussi me faire jouir, elle détache le gode ceinture de ma taille et commence à me masturber.
— Tu ne m’as pas épargnée, salope… me dit-elle alors, avec un air vicieux.— Je sais mais rien ne vaut une bonne mise en situation…— Tu as tout à fait raison…
Alors que j’avais les yeux fermés, profitant de ses caresses habiles, elle se saisit du plus gros gode qu’elle avait sous la main et, sans me demander quoi que ce soit, me l’enfile dans le cul, celui-ci étant à peine lubrifier ma la mouille qui coulait de ma chatte. J’ouvre les yeux en grand de surprise mais elle saute sur moi, place ses fesses sur mon visage et continue d’enfoncer l’énorme chibre dans mon cul.
— Alors, voyons ce que l’experte en enculage peut faire…
Ma tête était entre ses fesses et je ne voyais rien de la scène. Je sentais juste mon fion être étiré par un énorme truc et j’entendais Virginie jubiler. Elle continuait également de me masturber si bien qu’après la surprise, je reprends mes esprits et essaie de profiter un peu. Pour montrer à Virginie qu’elle peut me libérer, je me saisis du gode en mettant ma main sur la sienne et l’enfonce encore un peu plus.
Virginie s’enlève donc de mon visage et se place entre me jambe. C’est maintenant elle seule qui dirige la pénétration, me contentant de mon coté de me masturber. Elle enfonce le machin encore un peu plus, puis encore, puis encore pour enfin arriver à un stade où rien d’autre n’est jamais rentré aussi loin. Jamais je n’avais un corps étranger aussi profond dans mon cul. Mais ce n’était pas finit, car Virginie continue d’enfoncer le gode cm par cm, en faisant à chaque fois des vas-et-viens prudents.
— Putain, mais tu n’as aucunes limites ??? — Oooohhh…. J’en avais…. Tu es en train de les….. dépasser… Aahhh
J’avais en effet l’impression que le bout de gode était dans mon estomac. Sa largeur ne me faisait pas mal mais sa longueur était totalement inédite pour moi. Mais, sans doute dans un état second, je demande à Virginie d’insister :
— Encore…. Enfonce le encore….. vas-y plus loin ! — Mon dieu….
Elle enfonce donc le reste du gode puis finit par atteindre la ventouse qui composait l’autre extrémité.
— J’ai tout enfilé !! Incroyable, tu pourrais prendre n’importe quoi dans ton cul…— Ooohh mon dieu, c’est énorme !!! C’est divin, j’ai l’impression d’être transpercée ! Vas-y, fait des allers retours….
Elle se met alors à me pénétrer l’intestin avec ce gode et rentre et sort une bonne partie de la longueur à chaque fois. Croyez-le ou non, mais je pose alors ma main sur mon ventre et sens sensiblement le gode aller et venir en moi ! Puis, la sensation d’irritation dans une zone de mon corps où rien n’est censé rentrer commence à devenir très douloureuse.
— Ouuuhhh, arrête Virginie…. C’est trop…
Je la vois alors retirer ce truc de moi et en constate alors la longueur. Ce retrait semble durer une éternité et au final, ce sont entre 35 et 40 cm de silicone qui étaient enfoncés en moi. Inimaginable !!
— Tu es incroyable ma chérie, me dit alors Virginie qui se remet à me masturber.
Quelques secondes suffisent à me faire venir, quelques secondes suffisent à ce que nous nous endormions profondément. Cette séance d’entrainement fut incroyable et a postériori, nous fut diablement utile !
Je ne rentrai chez moi que tard dans la nuit, en ayant donné rendez-vous le lendemain à Virginie pour une semaine de rendez-vous qui allait être intense.
A suivre...
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