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Séverine, une professionnelle dévouée

Chapitre 15

Avec plusieurs hommes
Suite :
Cette semaine fut riche en expérience et, comme à mon habitude, je ne vais pas vous raconter tout en détails. Durant ces journées, Virginie a eu l’occasion de ce faire sodomiser, enfin, par un client que je savais correct avec les femmes. Elle a aussi baisé avec trois ouvriers et a adoré se faire prendre le cul, la chatte et la bouche à tout de rôle, mais ne s’est pas risquée à la double pénétration. Elle a connut également une séance un peu violente, un peu trop à mon gout, avec un entrepreneur vicieux qui s’est déchainé sur elle : insultes, gifles, sodomie brutale, crachats et éjac’ facial abondante. Virginie a eu plus de mal à ce remettre de cette séance et c’est sentie profondément humiliée… C’est malheureusement le lot des femmes qui, comme moi, s’adonne aux activités sexuelles les plus perverses et extrêmes. Nous rencontrons forcements des hommes pour qui les femmes ne sont que des trous… Et il faut énormément de travail sur soi pour différencier la femme fière et honorable au quotidien, et la salope prête à tout lorsqu’on se fait couvrir de foutre…
Toujours est-il que la fin de semaine arrivait, que le gout de Virginie pour le sexe, y compris anal, était acquit mais qu’elle n’avait toujours pas testé la double pénétration, étape finale mais indispensable pour se préparer au gangang prévu d’ici quelques jours. Or je n’avais plus de rendez-vous susceptible de nous permettre cette expérience. Je décide donc de me tourner vers des valeurs sûres, vers des gens en qui j’ai toute confiance et qui baiseront avec plaisir cette jeune beauté, sans la violenter : Hugo et Théo, mes fils, et pourquoi pas, après, les frères Da Silva à qui je dois toujours une séance de rattrapage après la situation délicate dont ils m’avaient tirées (voir plus haut).
Parallèlement à cela, j’avais réussis à obtenir un rendez-vous avec le Président de ma société, un vieux monsieur qui préside le conseil d’administration depuis 25 ans et avait lui-même recruter M. Rolland alors que la boite n’était encore qu’une modeste entreprise. Justement, je voulais lui parler de M. Roland, des Africains, de l’avenir de la boite, avec un plan bien précis en tête.
Deux jours avant de donner en pâture Virginie à mes enfants, je me rends donc seule dans le bureau particulier du Président, à son domicile, pour parler de cette affaire. Petit détail : mon Président est en fauteuil roulant depuis des années et est, d’après la rumeur, de ce fait impuissant. J’allais du coup devoir faire preuve d’imagination pour le convaincre. Un homme en costume me reçoit à la porte et me conduit au bureau du Président.
— Bonjour Séverine— Bonjour M. Le Président, merci de me recevoir.— Merci François, vous pouvez nous laisser.
Le majordome s’incline et quitte la pièce. Je ne pensais pas un jour voir en vrai une scène si « cliché » !
— Alors, Séverine, qu’elle est donc cette proposition qui nécessite mon aval mais sans que votre directeur ne doive en être averti ?
Je lui explique alors la situation : mes talents de négociation, l’opportunité offerte par le futur accord avec les africains, le comportement de M. Rolland… et lui présente un document dont je vous tairai pour l’instant le contenu. Il le lit, puis embarrassé, me dit :
— Vous rendez-vous compte des changements que cela engendrerait ? Et pourquoi M. Rolland ne pourrait pas s’en charger ?— Justement, M. Le Président, c’est lui qui se chargerait du lien entre les africains et nous. Et voyez surtout l’opportunité financière d’un tel accord !— Moui…. Admettons. Puis-je vous poser une question : comment comptez-vous convaincre le CA de voter pour un tel changement ?— Je comptais vous convaincre vous, le CA suivra ensuite votre avis… comme d’habitude.
— Hum, je vois… avec les méthodes que vous employez sur vos clients, y compris M. Diallo d’après le CD envoyé par M. Rolland ?
Je blanchis d’un coup en entendant ces mots et bafouilla :— Comment ? Mais je … enfin vous….— Je sais tout, oui… Je sais toujours tout !— Je suis désolée…. Je…— Ne vous excusez pas, très chère. Vous m’avez offert un spectacle ravissant… Et une sodomie de toute beauté. Je suis sûr que le CA a également apprécié !— Tout le CA a eu le CD ?? M. Roland n’aurait jamais du faire ça ! Le salop…— Ne soyez pas en colère, je suis sûr que les membres du CA, tous des hommes presque aussi âgés que moi, on largement appréciés la performance. Mais effectivement, ce genre d’acte est indigne de M. Roland. Cela montre les limites de la confiance que l’on peut avoir en lui… — Et donc vous seriez tout de même prêt à signer ce document ?— J’y songe… Mais… pour tout vous dire, votre corps m’obsède depuis que j’ai visionné ces images. Très chère, puis-je vous demander de me le montrer ici ?— Mais enfin…. Je ne sais pas si….— Rassurez-vous, Séverine, cela fait des années que le bas de mon corps ne répond plus à mes ordres et que je me satisfais par la contemplation. Montrez-moi juste ce formidable outil de persuasion qu’est votre corps.— Hum…Très bien.
Je m’apprête alors à me lever de ma chaise mais le Président m’arrête :
— Attendez Séverine, suivez juste mes indications. A la lettre.— Heu… d’accord.
Il désigne alors mes jambes avec deux doigts et les écarte. J’écarte donc mes jambes doucement et lui montre ainsi mon string et mes bas. Puis il me fait signe de remonter ma jupe et d’écarter les jambes un peu plus. Il désigne ensuite ma veste, que j’enlève aussitôt, puis mon chemisier qu’il m’ordonne de déboutonner. Je fais donc sauter chacun des boutons et me retrouve ainsi en soutien-gorge, toujours jambes grandes écartées. Lui se contente de regarder avec l’œil d’un amateur d’art regardant une œuvre.
Il redirige son doigt vers mon entrejambe et me fait signe d’écarter mon string. Je me saisis donc du bord du tissus et lui montre mon sexe. Je me permets une initiative et écarte mes lèvres. Ses pupilles s’écartent et il se mord discrètement les lèvres. Je maintiens mon sexe ainsi exposé quelques secondes en regardant mon président intensément. Puis, il me fait signe de remettre en place le string et me demande de me lever. Je m’exécute.
Il m’indique d’enlever ma jupe, ce que je fais, puis d’ôter mon soutien-gorge. Ainsi seins à l’air, il me demande de m’approcher de lui, de me retourner et de me pencher en avant, jambe légèrement écartées. Mon entrejambe est à quelques cm de son visage. Je sens alors qu’il passe un doigt sur le fin tissu de mon string. Il caresse délicatement mon sexe au travers et s’attarde également sur mon anus. Il me caresse également les fesses, les écarte légèrement afin d’avoir une vue encore plus dégagée sur mon intimité à peine couverte. Puis il écarte mon string pour regarder mon sexe à nu et caresse d’un doigt mes lèvres et mon clito. Il contemple et caresse mon vagin quelques instants puis remets délicatement le string en place. Il sent, le nez plaqué contre le tissu, les effluves qui s’échappent de mon sexe et qui trahissent mon excitation. Puis il commence à enlever mon string, toujours dans cette position. Il baisse très lentement mon string et révèle ainsi mes orifices, le cul bien tendu. Je sens la mouille enduire le tissu alors que celui-ci se décolle de ma peau. Aucun doute, m’exhiber en suivant des ordres m’excite terriblement…
— C’est superbe, Séverine. Vous êtes magnifique. Redressez-vous et bougez un peu pour moi, que je puisse contempler votre beauté.
Je me mets donc face à lui, mes talons comme uniques vêtements, et commence à me trémousser. Je me déhanche lentement tout en me malaxant les seins. Je me pince les tétons et me retourne parfois pour écarter mes fesses, lui montrant ma chatte humide et mon anus légèrement ouvert à quelques cm seulement de son visage.
Ce petit show dure quelques minutes au court desquelles je vois le Président appuyer sur un bouton fixé à son bureau. Peu de temps après, François, son majordome, rentre dans la pièce et me surprend totalement nue devant son employeur. Je suis surprise mais lui à l’air d’être totalement coutumier de ce genre de scène…
— François, approchez-vous et baisser votre pantalon.— Bien, monsieur.
Il s’exécute et se met en caleçon.
— Séverine, voulez-vous bien sucer François jusqu’à ce qu’il vienne dans votre bouche ?— Certainement…
Je me mets accroupie, essayant à la fois de bien montrer la fellation au Président et de lui exposer ma chatte. Je baisse le caleçon de François et découvre un sexe mou, relativement petit. Je le prends en bouche et le pompe afin de le faire durcir, ce qui ne prend pas très longtemps. Puis je le suce du mieux que je peux, alternant pompage de gland, gobage de couilles, gorge profonde et léchage de queue. A la demande du Président, je mets mes mans dans le dos et laisse François me baiser la bouche « aussi fort et aussi longtemps qu’il veut » d’après l’ordre. La gorge profonde n’est pas très compliquée pour moi, vu le calibre modeste, mais doit être jolie à voir de l’extérieur… Le président semble en tout cas apprécier.
François, serviteur fidèle et habitué aux caprices de son maître n’est pas pour autant un amant extraordinaire et jouit assez vite dans ma bouche.
— Venez me montrer, me dit alors le Président
Je me relève et m’approche de lui pour lui montrer le sperme contenue dans ma bouche.
— Très bien… avalez.
J’obtempère aussitôt et avale la semence de François en une seule gorgée. Puis je remontre ma bouche vide au Président.
— Magnifique… François, vous pouvez disposer. Séverine, cela vous a-t-il excité ? — Oui M. Le président.— Alors monter sur mon bureau et masturbez-vous. Je veux vous voir jouir.— Avec plaisir…
Je monte donc sur son bureau, me place face à lui et écarte les jambes. Etant réellement excitée, je ne perds pas de temps en préliminaires inutiles et place ma main directement sur ma chatte. J’écarte me lèvres et enfonce deux doigts pour bien montrer que mon excitation n’est pas feinte puis commencer à faire tournoyer mes doigts sur mon clito. J’alterne doigtage et caresses et commence à ressentir un plaisir grandissant. Suivant un ordre du président, je dégage mon clito et sort à l’air libre mon petit bouton. Puis je le frotte doucement, déclenchant un plaisir puissant mais presque douloureux tant la zone est sensible. Puis mes doigts retournent dans ma chatte et j’accélère la cadence en gémissant sans retenue devant mon vieillard de Président et attrape mes gros seins pour me lécher les tétons. Enfin, au bout de quelques minutes, je jouis bruyamment en souillant le bureau de mouille qui coule abondement de ma chatte.
Satisfaite, je regarde mon Président en attendant ces nouvelles instructions.
— Vous pouvez vous rhabiller, Séverine. C’était merveilleux… Je vous remercie.
Et sur ces mots, il signe et met un coup de tampon sur le document que je lui avais donné.
— Vous avez mon soutient et celui du CA dans cette affaire. Vous pouvez lancer la procédure avec M. Diallo et commencer les démarches que je finaliserai la semaine prochaine, une fois que les Africains auront signés.— Merci de votre confiance, M. Le président, dis-je en enfilant mon string. — Par contre, cette confiance a un prix : vous viendrez ici une fois pas semaine pendant une heure. — Cela me convient…— Je vous préviens, durant cette heure vous devrez m’obéir au doigt et à l’œil. Vous ne serez plus Séverine, directrice, mais mon esclave. Une heure par semaine.— Je comprends et j’accepte.
Alors que je me dirigeais vers la sortie, il me dit :
— Autre chose… Certains membres du CA vont se montrer inquiets de ce bouleversement et voudront certainement avoir un entretient avec vous. Il faudra vous montrer persuasive… — Je m’en doutais un peu, M. Le Président, répondis-je avec un sourire coquin. Au revoir.— A bientôt, Séverine.
Alors que je marchais dans la rue avec le dossier qui allait tout changer sous le bras, je repense à la phrase de mon président à propos de mes méthodes : « je sais toujours tout ». Evidemment qu’il sait toujours tout ! C’est pour cela que j’ai moi-même envoyé une copie de ce CD aux membres du CA en faisant croire que cela venait de M. Roland ! Et mon plan marche à présent comme sur des roulettes : j’ai le Président dans la poche, le CA va vouloir me passer dessus, ce que je peux gérer et M. Roland est passé pour un enfoiré et est discrédité… Comme sur des roulettes !
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