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Séverine, une professionnelle dévouée

Chapitre 18

Avec plusieurs hommes
— OH PUTAIN !!! hurlais-je alors !! T’es fous ??!!??
Mais en fait, les deux énormes sexes venaient de pénétrer sans difficulté mon cul et étaient maintenant bien enfoncées en moi.
— Bordel j’y crois pas !! s’écria Manuel, ça rentre tout seul… Deux grosses bites dans son cul et ça passe sans problème…— Ca ne vous fait pas mal ? demanda Miguel sous moi.— Non…. Je… haaaa…. J’adore ça…. Au fait… Mmhh…je crois qu’on peut…. Oohhh… se tutoyer !
Virginie à coté de moi n’en revenait pas. Elle m’embrassait en me félicitant de la performance.
— Chérie, si tu voyais ton cul… Il est complètement dilaté, étiré. Voir ses deux manches y rentrer et en sortir, c’est juste incroyable !
Leurs sexes rentraient et sortaient de mon fion en même temps ou de manière décalée. Ils se chevauchaient et se croisaient en moi et je pouvais sentir leurs deux glands au fond de mon intestin. A plusieurs reprises Manuel se retire de mon cul pour se faire sucer par Virginie puis y retourne avec la même fougue : il s’enfonce dans mon cul déjà occupé sans précaution, se contentant de fourrer sa grosse d’un coup. La dilatation de mon anus ne m’empêche pas d’hurler de surprise à chaque fois et de craindre que, cette fois-ci, mon cul ne s’en remette pas… Mais au final, mon dieu, quelle sensation extraordinaire de sentir deux sexes en soit et de savoir que très peu de femmes sont capables de cela !
Ils continuent ainsi à m’enculer en tandem mais, alors que Manuel me tire un peu en arrière vers lui pour m’embrasser le cou et me peloter les seins, je sens une sensation nouvelle. Cette nouvelle position devait resserrer un peu mon cul et la double pénétration provoque alors une décharge de plaisir en moi. Je gémis de plaisir, je couine, je crie, le plaisir est phénoménal. Les garçons sentirent d’ailleurs la même chose que moi puisque leurs râlent s’accélérèrent, ainsi que leur cadence et Manuel dit alors :
— Oh merde, je sens que je vais venir si on continue…— Je t’en prie, le suppliais-je alors, reste, je crois que je vais jouir aussi ! Putain, je vais jouir du cul !!— Ok… Miguel tu pourras venir aussi ? On lui remplit le cul ensemble ?— Honnêtement, je me retiens depuis un moment tellement c’est bon !!!— Alors allez-y les gars, accélérez, déchirez-moi le cul et remplissez-moi…
Manuel me plaque alors complètement sur lui et accélère la cadence en même temps que son frère. Celui-ci se saisi de mes tétons bien exposés et les pinces de toutes ses forces. Leurs sexes ne sont plus synchronisés mais me défoncent sans retenue le cul jusqu’au plus profond de mes entrailles. Cela ne dure que quelques dizaines de seconde avant que je sente l’orgasme me submerger, tout comme le foutre abondant des frangins.
— Allez-y, je viens…. Encore…. Encore…. ARRRHHHHHH !!!

Un orgasme d’une puissance inédite et surtout uniquement déclencher par une pénétration anale, provoque chez moi des spasmes incontrôlables qui me font mordre de plaisir le bras de Manuel que me maintenait contre lui et qui font jouir dans la foulée les garçons qui se vident en moi. Je sens leur sperme chaud envahir mon intérieur en jets puissants. Ils se vident en même temps et nous nous écroulons les uns dans et sur les autres dans le plaisir est intense.
Mais rapidement, les spasmes font ressortir les sexes moins fermes de mon fion. Je roule alors par terre, sur le dos et je sens une mare de foutre s’écouler de mon cul, mon anus étant encore incapable de se fermé complètement. Je suis trop épuisée et étourdie par la jouissance pour penser à récupérer ce sperme, mais Virginie est là. Elle se place entre mes jambes et lèche le foutre suintant de mon orifice. Je la vois avaler une gorgée ou deux puis venir, la bouche pleine, au dessus de mon visage. Elle ouvre ma bouche et y déverse une belle quantité de sperme encore tiède que j’avale avec plaisir.
Puis elle se retourne vers les garçons et leur suce la bite pour les nettoyer et aussi les remettre doucement en forme, car comme il le dit alors d’un ton ferme :
— Vous avez intérêt à rebander vite fait !! J’ai eu droit ni à un orgasme, ni à une double et ma pauvre petite chatte est toute trempée…
Pour une fois, c’était les garçons qui étaient le plus sollicités dans une orgie et non la pauvre demoiselle obligée de satisfaire pleins de mâles…
Alors que j’étais allongée sur ce sol poussiéreux de travaux, Virginie était à quatre pattes, le cul tendu vers moi et suçait les Da Silva pour les remettre d’aplomb. Je voyais sa tête passer d’une bite à l’autre à grands renforts de « Mmmmhhh » de plaisir. Sa chatte était effectivement trempée et des gouttes de cyprine étaient suspendues à ses lèvres. Certains tombaient au sol ou ruisselaient le long de ses cuisses lorsqu’elle remuait du derrière. Cette vision était incroyablement excitante car elle montrait l’état de transe de Virginie et l’intensité de la baise qui allait suivre.
N’y tenant plus et malgré mon cul ravagé, je rampe vers elle comme une chienne en chaleur, m’accroche à sa croupe et soulève ma tête pour aller lécher cette chatte trempée. Mes coups de langues et mes insertions de doigts font immédiatement gémir Virginie. Les frangins ont l’air d’apprécier également la vision de ces caresses lesbiennes puisqu’ils commencent à reprendre la situation en main et à, j’imagine, rebander sérieusement.
Virginie relève la tête en les branlant des deux en même temps et leur demande :— Vous êtes prêts pour me faire ma fête ?— Attends deux minutes…. souffle alors Manuel. Heu, ya que des nympho comme ça dans votre société, ou c’est juste vous deux ??— Moi je suis prêt, répond Miguel, vient pas là ma belle…
Il se saisit alors de Virginie, la soulève comme un fétu de paille et la pause sur un petit échafaudage contre le mur, sans doute pour poser du papier. Placé entre ses jambes largement ouvertes, il l’embrasse langoureusement alors qu’elle prend sa bite en main et l’approche de son vagin. Puis, d’un coup de rein, il la pénètre et la baise ainsi amoureusement.
Alors que je m’occupe à présent de Manuel qui a plus de mal de se remettre en forme, j’entends Virgnie gémir de plus en plus fort et de plus en plus intensément. Soudain elle pousse un long soupir et serre ses jambes autour de Miguel. L’orgasme est long et intense.
Après lui avoir laissé quelques instants pour profiter des spasmes de plaisir, Miguel attrape Virginie et la soulève. Elle a les jambes autour de sa taille et s’accroche à ce géant pas son coup. Lui est toujours enfoncé et elle et la porte par les fesses qu’il écarte généreusement d’ailleurs.
— Frérot ? Ca y est, tu es prêt ?— Ouai ! Tu veux que je lui fasse les fesses je suppose ?— Comment tu as deviné ?? dit-il, amusé, alors que l’anus de Virginie était honteusement exposé et ouvert…
Manuel s’approche donc du couple et abord Virginie par derrière en crachant dan sa main.
— Allez-y doucement… dit-elle comme une vierge effarouchée.
Manuel lubrifie alors son petit trou, badigeonne également son gland avec de la salive et commence à s’enfoncer en elle. Toujours allongée au sol, je me place juste sous le trio et observe la double pénétration d’un point de vue totalement inédit. Manuel, très doux, progresse doucement dans son fion tandis que Miguel gère la position de Virginie en fonction de ses réactions, en la soulevant plus ou moins. Puis la grosse queue finit par rentrer presqu’à fond et les deux frangins commencent alors à aller et venir prudemment.
Mieux placé, Manuel reprend en main les fesses de Virginie et gère sa pénétration anale à sa guise. Miguel en profite pour limer mon assistance avec plus de vigueur en se contentant de lui maintenir les jambes bien levées. Voir Virginie prise en sandwich dans cette position de marionnette désarticulée est particulièrement excitante. D’autant que les deux bites au dessus de mon visage rentrent et sortent d’elle à un rythme soutenu. J’imagine très bien qu’elle doit être le plaisir de Virginie qui d’ailleurs gémit de bonheur à en pleurer presque.
Très excitée et très inoccupée, je me caresse tout en jouant le charognard cherchant des bouts de nourriture au milieu des lions… Je profite de ma position pour lécher les couilles ballantes des garçons, je retire le sexe de l’un pour le sucer et le remettre en place puis je lèche l’anus de l’autre, la tête enfouie entre des fesses poilues. Je me surprends d’ailleurs à trouver cela très plaisant malgré le coté anti-glamour de la chose…
Ils pilonnent ainsi Virginie, qui d’ailleurs à jouit une deuxième fois, depuis un moment quand ils décident d’échanger de position. Manuel, qui l’enculait, s’allonge sur le dos, l’attire la belle blonde sur lui pour qu’elle le chevauche et lui enfonce sa grosse queue dans la chatte. Miguel, se place derrière et l’enfile à son tour dans son cul encore largement ouvert. Et la double reprend alors intensément, à grands renforts de râles plaisirs. De mon coté, je me place à quatre pattes à coté et attends mon tour en me caressant.
Je vois alors Virginie ouvrir grand les yeux de surprise. Miguel venait en effet de sortir de son cul et tentait de s’insérer en même temps que son frère dans la chatte de Virginie. Mais contrairement à l’expérience avortée avec mes fils, elle ne refusa pas mais se contenta de leur demander la plus grande prudence :
— Ooohh Miguel, vas-y doucement…. C’est la première fois ! Je… OOOOhhhhh, doucement !— T’inquiète, ma belle, je vais faire attention.
Il commence donc à s’enfoncer dans son sexe écartelé et se colle à la bite de son frère pour pouvoir passer. Puis il arrive à insérer une bonne partie de sa queue et commence à aller et venir. L’expérience semble pénible pour Virginie qui lutte pour résister mais finit, au bout de quelques instants, par demander à Miguel de se retirer. Conciliant mais avide de sexe, il sort de sa chatte et retourne dans son cul pour la défoncer de plus belle !
La double pénétration durait maintenant depuis un moment pendant lequel Virginie n’en pouvait plus de jouir et moi, je n’en pouvais plus d’attendre en me caressant. Ma compagne commençant sérieusement à fatiguer et à souffrir, Miguel se retire de son cul et me pénètre la chatte d’un coup en me pilonnant sans ménagement. Manuel continue de son coté à baiser Virginie en s’enfonçant dans son cul de temps en temps. Mais elle éprouve de plus en plus de mal à suivre la cadence et demande à Manuel de la libérer.
Celui-ci la laisse donc se relever et vient se planter directement devant moi pour que je le suce. Plus exactement, je me contente d’ouvrir la bouche tandis que lui m’enfonce son pieu jusqu’aux amygdales. Puis, apparemment inspiré, il m’enjambe, met son dos contre son frère et oriente sa bite vers mon cul. Miguel est d’ailleurs obligé de se reculer un peu pour lui laisser de la place mais ne sort pas de moi. Si bien que dans cette position acrobatique et plutôt agréable, je suis à nouveau prise en sandwich.
Cette double pénétration originale me provoque rapidement un magnifique orgasme qui me fait m’écrouler sur le ventre. Les garçons me libèrent alors mais, eux, n’ont pas jouis.
— Mesdames… on ne voudrait pas abuser mais… on encore besoin de vous…
Et, avant que Virginie ou moi-même ayons pu répondre, l’un des frangins m’attrape et me baise à nouveau la chatte tandis que l’autre en fait de même avec Virginie. Nous somme donc toutes les deux allongées sur le ventre, épuisées par plus d’une heure de baise intense, en train de nous faire ramoner par deux frères insatiables. Les croupes relevées, nos sexes, en tout cas le mien, commençaient à nous faire souffrir mais si cela restait globalement agréable. Les Da Silva ne nous ménageaient pas et essayaient de se finir rapidement en nous. Pour ma part, j’eu droit à nouveau à quelques brèves sodomies car Miguel passait son temps à changer de trou. Virginie, elle recevait les assauts constants mais puissants d’un Manuel déterminer à la faire crier.
Mais finalement, l’un après l’autre, ils craquent et se répandent dans nos vagins meurtris. Ils restent quelques secondes enfoncés en nous embrassant puis se retirent et se lèvent pour boire une bière. Par contre, Virginie et moi-même somme incapable de nous relever tant nous sommes épuisées et endolories. Nous nous regardons avec un sourire béat de plaisir aux lèvres et nous endormons là, sur ce sol poussiéreux.
Une minute ou une éternité plus tard, je ne sais pas exactement, j’émerge de mon sommeil, réveillée par les bruits de machines électriques et de coups de marteaux. J’ai, comme Virginie qui dort encore, une vielle couverture sur le dos et du sperme qui suinte encore de mon sexe.
Je me lève, vais aux toilettes qui heureusement fonctionnent et boit avec plaisir le café thermos proposé par Miguel, remis au travail.
— On a dormit longtemps ?— Un peu… une heure, dit-il en regardant sa montre. — Quand même…. Il faut qu’on y aille, faut que j’aille chercher mes enfants… et que je me change avant ! Merci pour tout, c’était génial !— Merci à vous, Séverine, vous repasser quand vous voulez, sur ce chantier ou un autre !— Avec plaisir, lui répondis-je en déposant un baiser sur ses lèvres.
Je retourne dans la salle de débauche où Virginie est réveillée et est en train de se rhabiller. Pour ma part, il me suffit de remettre mon imper sur ma lingerie. Nous saluons les garçons et rentrons chez nous.
— Ma chérie, dis-je à Virginie devant chez elle, profite du dimanche pour te reposer. Mardi c’est le grand jour. Et M. Roland voudra certainement de voir demain…— Je m’en doutais un peu… A lundi ma chérie.
Nous nous embrassons langoureusement et nous séparons. J’ai moi aussi besoin de repos avant l’épreuve qui nous attend.
A suivre…
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