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Séverine, une professionnelle dévouée

Chapitre 20

Avec plusieurs hommes
Suite :
M. Diallo lève alors son verre et trinque à notre santé puis dit à M. Rolland :
— Merci à vous M. Roland, vos collaboratrices sont magnifiques et, j’en suis sûr, satisferont pleinement mon conseil d’administration. Je vous invite à repasser dans deux bonnes heures… je pense que nous auront finis.— Mais, je… commence-t-il — M. Roland, vous avez déjà eu l’occasion de profiter d’elles et vous en aurez encore l’occasion à volonté. Vous comprenez que certaines personnes de ce conseil ne veuillent se dénuder devant un inconnu, qui plus est futur collaborateur… Nous vous appelleront lorsque nous auront finis.— B… bien, j’attendrai à la réception de l’hôtel…— Ah oui, et veillez à ce que le Champagne arrive régulièrement et que, mis à part cela, on ne nous dérange pas.— Bien…
M. Roland sort alors de la pièce, tout penaud et nous laisse donc seules, Virginie et moi en pâture à une douzaine d’inconnus.
Les hommes se mettent à nous entourer, certains se déshabillent, d’autres (souvent les plus âgés) sortent simplement leur sexe de leur pantalon. Une douzaine d’hommes avec d’énormes bites nous encerclent donc tandis que des mains nous caressent les cuisses, les fesses, les seins.
Un homme me soulève la jupe et m’enfile directement un doigt dans la chatte en écartant mon string pendant que Virginie se fait sucer les tétons par deux papys affamés qui ont ouvert sa robe jusqu’au ventre. Sa cravate est toujours entre ses gros seins mais le bas de sa robe est maintenant sur ses fesses avec, comme pour moi, des doigts en elle. Les mains se glissent partout : sur mon ventre, sur mes fesses, sous ma robe, sur mes seins. Ils jouent avec mes tétons, avec mon clito, avec mon trou du cul. Cela fait deux minutes que la fête à commencé et j’ai déjà les fesses et les seins à l’air. Virginie se fait peloter ses gros seins et pincer les tétons. Celui qui la doigtait à maintenant le visage enfoui dans ses fesses.
Nous ne sommes pas inactives nous plus puisque nous branlons toutes les bites qui s’offrent à nous. Elles sont toutes très grosses mais de formes diverses.
Ce petit jeu d’excitation dure depuis quelques minutes quand, poussée par l’envie, je vois Virginie s’agenouiller et prendre en bouche le mec en face d’elle. Je l’imite et m’accroupis pour avaler le sexe devant moi, un pieu immense, très large, qui me rappelle un avant-bras… Je donne d’abord des coups de langue sur le gland puis lèche la hampe de bas en haut et avale enfin la queue démesurée. Je la suce jusqu’au tiers puis arrive, avec difficulté, à en gober la moitié mais le reste n’arrive pas à rentrer pour l’instant. Cela ne m’empêche pas d’être efficace car l’homme que je suce, nu comme un ver et musclé, semble largement apprécier. D’autres hommes me pressent et je passe alors à une seconde bite en renouvelant coups de langue, léchage, pompage. Mes deux mains sont également prises car je masturbe, de manière assez distraite, des hommes dont je ne regarde même pas le visage.
Le groupe d’homme c’est séparé en deux et, ainsi, Virginie et moi nous occupons de six étalons chacune. Je ne distingue pas ma secrétaire, étant entourée d’hommes, tout comme moi, mais j’entends clairement des bruits de gorge et les râle de plaisir des blacks.
De mon coté, j’ai maintenant la jupe sur la taille, le string trempé et tiré sur le coté et M. Diallo qui fouille profondément en moi, dans ma chatte et mon cul. Alors qu’un vieux me tient la tête et m’enfonce son énorme pale dans le gosier, M. Diallo ne manque pas d’indiquer à ses partenaires mes formidables aptitudes au niveau de mon anus. Du coup, celui-ci m’enfonce son doigt à fond, joue avec mon intestin puis en enfonce un deuxième et pivote en moi pour me détendre les sphincters.
Je me doute alors que mon vagin va n’être que secondairement sollicité et que la plupart vont vouloir surtout me casser le cul. Cela ne tarde d’ailleurs pas à se confirmer puisqu’alors que je suce depuis un moment toutes les bites se présentant à moi, certains deviennent plus pressants. On m’enlève ma chemise pour me mettre en soutif et on commence à me lubrifier le cul. Alors que des mains se saisissent de mes tétons, je sens un gland immense forcer l’entrée de mon anus, heureusement déjà bien détendu. L’homme m’embrasse le cou et continue de s’introduire doucement mais surement. Il a beau être très tendre, la taille de son calibre m’écartèle l’anus terriblement et il me faut la plus grande maîtrise pour ne pas crier de douleur.
Virginie et moi ne disons rien à par juste gémir, soupirer, crier, etc. Nous ne protestons pas, ne donnons pas notre avis. Nous sommes des cadeaux d’entreprise et n’avons pas notre mot à dire sur ce qu’ils vont faire de leur cadeau… Notre soumission est totale.
Par contre eux, sont très bavards. Nous sommes qualifiées à la fois des beautés et des salopes blanches, des femmes d’affaires dévouées et de trous à bites… Ils s’extasient de notre capacité à leur procurer autant de plaisir et sur la plastique de nos corps.
Celui qui m’encule me dit d’ailleurs :— Alors, tu aimes les grosses queues à ce qu’il parait ?? Tu aimes te faire déchirer le cul par une belle queue de Black ? Tu ne vas pas être déçue… Tout le monde ici veut tester ton fion !— Mmmhhhh, répondis-je la bouche pleine en hochant de la tête.— Je suis le premier à passer car je suis nouveau… Une sorte de cadeau de bienvenue ! Mais tu vois la personne assise là-bas ? Et il s’agit de notre président et il t’enculera quand il le voudra. Mais il ne pouvait passer en premier et tu comprendras bientôt pourquoi…
Effectivement, je n’avais pas remarqué qu’un des Blacks ne c’était pas levé (ils sont donc treize au total) et regardait pour l’instant la scène avec un air sérieux.
Mais pour le moment, celui dans mon dos me limait joyeusement le fion et écartant largement mes fesses tandis que les autres me baisaient la bouche. J’avais enfin réussit à les prendre à fond et à accueillir leur gland au fond de mon gosier. Plutôt presque tous car certains étaient vraiment bien membrés, soit en longueur, soit en largeur et éprouvaient mes limites.
Je profite d’un instant où on me laisse respirer pour me rendre compte de mon état (la bave macule mon torse et mon soutient gorge, mon string a été déchiré par celui qui m’encule et ma jupe n’est qu’une bande de tissus sur mon ventre) et surtout pour regarder comment s’en sort Virginie.
Je constate qu’elle est déjà, elle aussi, en train de se faire baiser. Elle est à quatre pattes, la robe à peine relevée, les seins à l’air ballotant d’avant en arrière (en même temps que sa cravate) sous l’effet de l’homme assez gros qui semble lui défoncer la chatte. Sa bouche est pleine et, sans avoir le nez dans le pubis du gars, elle a sa queue profondément enfoncée dans son gosier. Derrière elle, les homme se succèdent rapidement et lui baisent la chatte à tour de rôle. J’entends ses cris de plaisirs étouffés et cela m’excite encore plus mais me fruste aussi. Car il est vrai que, de mon coté, c’est exclusivement mon fion qui les intéressent pour l’instant…
Alors que l’homme derrière moi se retire pour laisser sa place à un collègue, j’entends distinctement un claquement de doigts venant du président assis sur le fauteuil, ce qui fige tout le monde dans l’action.
— Amenez-moi Séverine, dit-il d’une voix caverneuse.
Les hommes que je suçais me soulèvent alors et m’emmènent vers leur patron. Ils me placent à genoux devant lui. Celui me regarde alors et dit :
— On m’a dit que vous étiez, entre autre, une experte en fellation, chère Séverine. Même avec les membres imposants… Voulez-vous bien me faire une démonstration ?— Avec plaisir, Monsieur.
Je déboutonne alors son pantalon et ouvre sa braguette. La bosse qui déforme son boxer est gigantesque. Je baisse l’élastique et sort alors le plus gros sexe que je n’ai jamais vu, encore aujourd’hui. Je ne peux alors m’empêcher de lâcher, en essayant de rester discrète :
— Oh mon dieu ! Ce n’est pas possible !!
Son engin est un peu plus long que celui de M. Diallo (que je trouve pourtant colossal), mais il est surtout beaucoup plus large. Alors que je le sors de son sous vêtement, je constate avec une pointe de panique qu’il me faut mes deux mains jointes pour en faire le tour. Son gland est démesuré et chacune de ses testicules a la taille d’une orange. J’avais dit que M. Diallo avait presque un sexe de cheval… Et bien je vous affirme que celui que j’avais sous les yeux était effectivement aussi gros que la bite de certains poneys.
— Et bien, qu’attendez-vous ?— Excusez-moi mais votre sexe ne peut passer dans aucun de mes orifices… Il est juste immense !— Je le sais très bien mais en écoutant la description de vous que m’a fait Djibril, je pensais que ce ne serait pas un problème. Me serais-je trompé, Séverine ?
Voyant la menace sous-entendue, je me décide à y mettre toute ma bonne volonté :
— Non, je… je vais y arriver. Je vais même vous faire jouir comme vous le l’avez jamais fait.— J’aimerais bien voir ça…
Espérant ne pas avoir parlé trop vite, je commence à la branler et à le lécher. Mes deux mains vont et viennent le long de l’immense masse noire pendant que je lèche, suce et pompe son gland. Celui-ci peine à entrer dans ma bouche pourtant grande ouverte tant il est volumineux et il est évidemment hors de question de tenter une gorge profonde. Par contre, je me montre particulièrement habile avec le haut de sa bite et titille son frein et le trou de son urètre avec ma langue. A sa tête, je vois qu’il y prend du plaisir.
J’accélère la cadence en le branlant plus vite et en prenant plus loin sa queue dans ma bouche. Elle est entièrement pleine et son gland bute dans le fond de ma bouche mais pourtant, seul un quart de la bête est rentrée. Par contre j’arrive assez bien à aller et venir sur cette zone, si bien que je sens quelques gouttes de liquide séminal suinter.
Totalement excitée, je lui demande en chuchotant, avec de la bave coulant de ma bouche, si M. Diallo peut venir me baiser. Il accepte et appelle donc son employé qui avait rejoint le groupe de Virginie qui se faisait baiser la bouche et la chatte par tous les gars. La pauvre… ou la veinarde plutôt !
Queue fièrement tendue en avant et luisante de la salive de Virginie, il s’approche de moi alors que j’ai repris ma pipe sur le big boss. Il place son gland sur mon vagin, pousse à peine et rentre la quasi totalité de sa grosse queue en moi. Je pousse immédiatement un cri étouffé de plaisir tant j’attendais enfin de me faire baiser.
M. Diallo me lime énergiquement pendant que je suce tant bien que mal son chef qui a tout de même l’air d’apprécier. Djibril se retire soudain et je sens qu’il est immédiatement remplacé par un collègue, bien membré également, qui prend possession de ma chatte et me baise avec ardeur. Ils sont ainsi plusieurs à se succéder en moi durant de longues minutes pendant lesquelles j’ai un très bel orgasme.
En me retournant de temps en temps, je constate que le plus gros de la troupe est tout de même restée sur Virginie qui est maintenant presque nue et se fait baiser depuis un moment déjà. Je m’en veux un peu de lui laisser le gros du boulot mais je constate aussi que les hurlements qui s’échappent de sa bouche ne sont pas de la douleur mais bien de la jouissance.
Le big boss me tire alors de mon observation avec une phrase qui m’inquiète un peu :
— Préparez là pour moi…
A suivre...
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