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Séverine, une professionnelle dévouée

Chapitre 21

Avec plusieurs hommes
Suite :
Celui qui me baisait se retire alors et je sens immédiatement des doigts rentrer dans mon sexe. Pas la peine de vous faire un dessin, Djibril s’apprêtait à me fister pour préparer ma chatte à la bite de son patron. Il joue d’abord avec moi en enfonçant 3 puis 4 et enfin ses 5 doigts et doit insister un peu pour faire passer tout le poing. Mais au bout de quelques étirements douloureux, je parviens à avaler son gros poing ainsi qu’une partie de son avant-bras.
— Tu as quand même dégotté une salope hors classe sur ce coup, Djibril, lui dit son patron.— Et vous n’avez encore pas tout vu, Monsieur !!
M. Diallo me distendait le vagin depuis quelques instants déjà quand il s’arrête enfin, estimant sans en être sûr (c’est rassurant) que j’étais prête. Je me redresse, et me mets à cheval sur le patron, les pieds bien encrés entre les accoudoirs du fauteuil et ses jambes écartées. Je me saisis de sa bite, et place le gland à l’entrée de mon vagin. Puis, la bouche grande ouverte de sensations où la plaisir, la douleur, l’excitation et la peur se mêlent, je me laisse m’empaler doucement sur le monstre. Lorsque l’étirement de mes chairs devient trop intense, je remonte un peu, fait quelques allers-retours et reprends ensuite la progression.
Mais, a priori, je suis bien trop lente au gout du patron. Celui-ci pose alors ses grosses mains sur mes épaules et appuie brusquement dessus. Je m’empale alors d’un coup sur son sexe en poussant un terrible hurlement de surprise et de douleur. Puis il commence à bouger ses hanches de bas en haut et me fait monter et descendre sur lui en me prenant par les fesses. Il me défonce la chatte sans retenue.
De mon coté, je crie à chaque fois que sa bite va et vient tant le traitement est intense. Ma chatte n’a jamais autant été écartée et ramonée sur une telle longueur et à un tel rythme. J’avoue que le moment que je suis en train de vivre de me procure que peu de plaisir mais je sais que je dois le faire…
Et comme si cela ne suffisait pas, Djibril sans doute excité par mes fesses écartées, ma chatte délattée et mon anus bien ouvert, se place derrière moi et commence à enfoncer son gland dans mon cul.
— Ooohh mon dieu, non ! le suppliais-je. Je suis complètement remplie…. Je…NON ! AAAHHHHH
Il vient en effet de s’enfoncer dans mon cul malgré mes supplications. J’ai déjà eu bien plus gros dans le cul que le sexe de M. Diallo mais jamais je n’ai eu un tel membre EN PLUS d’avoir la chatte remplie par un étalon.
Les deux compères vont et viennent dans mes conduits dont les orifices ne doivent plus ressembler à rien en râlant de plaisir. M. Sawaris m’attrape par les cheveux et me hurle :
— Alors, tu fais moins ta fière ?? Tu vois ce que c’est de te faire ramoner par de vrais hommes… Et je peux te promettre que tu vas encore prendre chère aujourd’hui, toi et ta copine, et autant de fois qu’on le voudra quand j’aurais signé le contrat !
Ce mec semblait prendre plaisir à me déchirer… Mais comme ils étaient déjà au maximum de ce qu’ils pouvaient me faire en me ramonant ainsi, je décide de lui tenir tête et de rentrer dans son jeu :
— Ooohhh mon dieu, allez-y !!!! Déchirez-moi ! Arrachez-moi en deux avec vos grosses queues de Blacks !!
Le regard du patron change alors immédiatement et, sans doute un peu décontenancé, diminue la cadence. Parallèlement à cette accalmie, mes orifices semblent s’habituer à la dilatation et je sens enfin cette double pénétration me procurer du plaisir.
Je parviens à me placer de manière plus confortable sur le fauteuil du Big boss, ce qui expose un peu plus mon cul et rend la pénétration plus facile. C’est donc avec plus d’ardeur que M. Diallo me lime le fion durant de longs (mais savoureux) instants puis laisse la place à une collègue très bien membré également. Celui-ci se fait d’abord timide, me demandant s’il ne me faisait pas trop mal mais prend rapidement de l’assurance en entendant mes cris de plaisirs. Ils sont ainsi nombreux à venir se succéder dans mon cul, les uns à la suite des autres, avec leurs bite parfois très longues, très larges ou les deux, et à me procurer une jouissance intense. Car plus du tout de douleur à présent, l’énorme de sexe du patron me décalamine la chatte depuis plusieurs minutes pendant que ses amis me déchirent le cul et tout cela va bientôt me déclencher un puissant orgasme.
En me retournant pour voir combien de mâle se succédait derrière moi, je constate que la majorité d’entre eux font la queue pour avoir mon cul et que seuls quelques un sont restés sur Virginie (mais peut être se relaient-ils…). Ceux-ci ont sans doute également eu envie de tester l’anus de Virginie car c’est maintenant dans son cul qu’ils la besognent. Elle est toujours à quatre pattes mais à maintenant sa tête sur le sol, tournée vers moi et gémit tout ce qu’elle peut comme une chienne en chaleur. Seul son cul est bien tendu en l’air et se fait perforer par des Blacks qui la chevauchent. Je vois donc clairement, et avec plaisir, sa chatte dégouliner de mouille et son cul se faire écarter par des beaux mecs ne me montrant que leur derrière. L’homme qui la sodomisait jusqu’ici se retire en laissant un anus grand ouvert et vient grossir le groupe qui attend derrière moi. Il est immédiatement remplacé par un collègue à la bite très large qui s’introduit dans le fion de Virginie. Celle-ci crie alors de surprise en sentant l’énorme masse dure écarté son anus puis se fait à la pénétration et gémit à nouveau de plaisir. Pendant le long moment où je l’observe du coin de l’œil, quatre hommes se succèdent en elle en lui déchirant un peu plus à chaque fois le cul. Ce qui m’excite terriblement, en plus de l’acte en lui-même, c’est de la voir prendre un plaisir fou à cela.
De mon coté, les hommes ne mollissent pas et s’échangent toujours mon fion avec bonheur. Par contre, je sens clairement que leur patron est, tout comme moi, au bord de la jouissance car il s’oblige à des pauses de plus en plus fréquentes pour ne pas envoyer la purée trop vite. Mais voulant à la fois jouir et le faire venir pour qu’il accorde un peu de répit à ma pauvre petite chatte, je me décide à être plus active et à bouger mon bassin afin d’accompagner le double pénétration.
Je me trémousse donc sur M. Sawaris et ne retient plus mes gémissements montrant que je suis à deux doigts de jouir. Voyant ce regain de plaisir, les hommes derrières moi s’activent et le patron sous moi se lâche complètement.
— Ooohh, je vous prie d’accepter mes excuses, Séverine… Je…. J’ai été impoli et…. il s’avère que vous allez effectivement me faire jouir comme jamais… OH Seigneur… Continuez à bougez ainsi !!— Oh oui je continue Monsieur…, lui répondis-je en pleurant de plaisir. Moi aussi je vais jouir !! Ooohhh vous me défoncez tellement bien…. — Putain que c’est bon…. Retirez-vous, vous autres !! Laissez-moi profiter de cette déesse seule un moment !
Celui qui était dans mon cul se retire alors sans discuter et certains vont voir Virginie pendant que d’autres restent pour se délecter de la scène en se branlant. Mon statut est passé de salope blanche à déesse, ce que j’apprécie évidemment, mais en même temps, cela ne m’aurait pas déplu qu’un homme de plus me remplisse un trou…
Mais il s’avère finalement que M. Sawaris s’active en moi frénétiquement pour se finir et que le traitement qu’il m’impose à lui seul est suffisamment intense. Il m’attrape les fesses, les écartent généreusement et m’impose avec ses hanches un rythme diabolique. Il enfonce et retire son gigantesque sexe à chaque fois entièrement dans ma pauvre chatte.
— Mon dieu Séverine, je vais venir… Continuez à bouger, je vais jouir !!— Oohhh moi aussi, ça vient !!! Mon dieu c’est énorme, allez-y défoncez-moi !!!
De sa main droite, il s’aventure alors près de mon anus et m’enfonce trois doigts. Cette stimulation finit de l’achever et je le sens alors se planter en moi d’un coup et commencer à se répandre. Le premier jet de sperme puissant et brulant me déclenche immédiatement un orgasme extraordinaire qui m’arrache un cri incroyable. Je me bloque sur lui, la queue entièrement enfoncée en moi et jouis durant de longues secondes au rythme de ces jets de spermes, terriblement abondants.
Puis, enfin calmés, nous nous enlaçons et restons ainsi assommés par le plaisir dans ce fauteuil.
— Vous… vous êtes extraordinaires, Séverine… Une déesse du sexe venue sur terre pour satisfaire les hommes Noirs.— Merci Monsieur… Mais je suis également disposée à satisfaire les blancs, les jaunes et toutes les autres couleurs qui voudront bien me baiser !
Un simple sourire et un baisé sur la joue me répondent. Puis, finalement, il se lève en me portant, toujours emboité en moi et va m’allongé sur le sofa, juste à coté. Il se retire délicatement et s’en va vers les toilettes, sans doute pour se nettoyer et se rafraichir. Alors que je me redresse pour m’assoir, je sens immédiatement des quantités impressionnantes de spermes couler en moi et se diriger vers la sortir de mon vagin.
— Passez-moi vite un verre !! dis-je au mec le plus près de la table où les verres de champagne vides étaient restés.
Je mets ma main en bouchon sur mon sexe pour retenir le précieux fluide en attendant qu’on m’apporte le verre. Puis je libère la marée blanche qui vient remplir la flute à champagne quasiment jusqu’au dessus. J’attends patiemment que toutes les gouttes tombent dans le verre et récupérant aussi se qui suinte de ma chatte avec mon doigt. Je constate au passage la taille inédite et l’aspect incroyablement dilaté de mon sexe dans lequel je rentre à plusieurs reprises ma main sans la moindre résistance. Puis je me lève et demande au patron qui sort des toilettes :
— Vous avez vu la quantité que vous avez juté ??? Depuis combien de temps n’aviez-vous pas joui ?— Hum… j’ai honoré ma femme juste avant de prendre l’avion… C’est une quantité assez classique pour moi… même si l’orgasme était absolument divin, je vous rassure.— Mon dieu ! En tout cas, voici un breuvage que j’apprécie bien plus que le champagne…
Je commence donc à boire le foutre encore tiède du patron. J’avale d’abord une première gorgée pour le gouter, puis une deuxième rasade qui vide en partie le verre. Je me dirige alors vers Virginie qui était maintenant en cowboy inversé sur un mec lui besognant toujours le cul et lui verse dans la bouche le fond du verre. Puis je lui roule une pelle après lui avoir dis :
— Ça te donnera de l’énergie pour ce qui va suivre.
Ce qui allait suivre ? Vu sa position où son cul était occupé et sa chatte libre et bien exposée, il ne faisait aucun doute que Virginie allait très rapidement tester la double avec les calibres les plus gros qu’elle n’a jamais vu.
A suivre...
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