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Séverine, une professionnelle dévouée

Chapitre 22

Avec plusieurs hommes
Suite :
Cela ne tarde d’ailleurs pas car à peine nous finissons notre baiser qu’un mec avec un dard de 25 cm de long se place devant elle, entre ses jambes.
— Oh mon dieu, Séverine, je ne sais pas si ça va passer !!!— Mais si, mon amour, ta chatte va avaler cette belle queue sans difficulté et tu vas prendre ton pied comme jamais.— Je… Oohhh il la rentre !! Putain …. j’ai deux énormes bites en moi !!— Et tu vas adorer ça….
L’homme entre ses jambes s’insère doucement en elle, avec précaution et la pousse un peu en arrière pour la pénétrer plus aisément. Celui sous elle, dans son cul, s’est arrêté un instant pour laisser son collègue faire sa place. Puis, doucement, les deux compères reprennent leurs vas-et-viens et liment de manière synchronisée Virginie dont les gémissements deviennent des cris.
Pour ma part, à quatre pattes à coté d’elle, je l’embrasse et la soutiens avec des mots doux. Mais les dix autres étalons en rut ne comptent, évidement, pas juste regarder cette scène touchante. Rapidement, l’un d’eux se place derrière moi et rentre dans mon cul.
Et c’est repartit pour un tour ! Alors que les hommes se succèdent dans la chatte de Virginie pour la prendre en double, d’autres s’échangent mon cul avec plaisir. Des bites toutes plus impressionnantes les unes que les autres rentrent entre mes fesses et dilatent mon fion en largeur comme en profondeur. Certains testent à nouveau mon vagin mais celui-ci étant encore un peu douloureux après le passage de leur patron, je leur demande (c’est un comble vous me direz…) de se concentrer sur mon cul. Virginie est littéralement assaillie avec une bite dans la bouche, une dans la chatte, une dans le cul et d’autres dans ses mains. Pour ma part, je me contente de gémir comme une chienne et de sucer avec application celles qui passent devant moi, certaines sortant manifestement de mon cul, et laissent le soin aux Blacks de me défoncer le fion à leur guise.
Cela fait maintenant un moment que nous baisons tous joyeusement et certains commencent à montrer des signes de fébrilité tandis que d’autres ont exprimé l’envie de faire une pause et de boire à nouveau du champagne. J’ai d’abord cru que cette pause nous concernerait également. Mais en réalité, ils étaient si nombreux que nous en avions toujours plusieurs à vouloir nous troncher même si la majorité se reposait.
Du champagne est finalement commandé et certains se décident à jouir pour mieux revenir dans la partie plus tard. Deux hommes me remplissent successivement le cul et un autre me jute au visage une quantité impressionnante de foutre. Il en va de même avec Virginie qui se fait remplir de sperme la chatte et le cul puis se prend deux faciales à la suite. Puis ils nous laissent gisantes au sol, épuisées et maculées de spermes.
Le même groom que la première fois arrive avec du Champagne et n’est qu’à peine surprit de la scène : deux femmes blanches avachies au sol et maculées de sperme, entourées d’hommes noirs nus. Normal.
— Merci, dit M. Diallo au jeune homme. Si vous voulez profiter un peu d’elles, c’est le moment… Nous prenons une pause !— Bien monsieur. Merci.
Le mec s’approche alors de nous et regarde alors de manière dégoutée nos visages recouverts de sperme. Sans nous dire un mot, il nous ausculte et constate que nos chattes et nos culs suintent également de foutre épais.

— J’en ai vu défiler des putes dans cet hôtel… Mais des trainées de votre espèce, jamais. Je n’ai pas du tout envie de vous baiser et de tremper dans deux litres de foutre. Venez avec moi, sales chiennes.
Il nous prend alors par les cheveux et nous oblige à le suivre à la salle de bain. Les autres, qui eux boivent du champagne dans la partie salon, n’y prêtent que peu d’attention. Il nous place dans la douche (spacieuse et luxueuse) et se saisi de la pomme de douche. Il nous envoie de l’eau froide sur le visage puis nous fait nous retourne et nous fait mettre à quatre pattes, l’une à coté de l’autre, le cul bien tendu en l’air.
— Les trainées de votre genre ne méritent aucun respect. Alors vous allez rester bien tranquille sinon j’appelle la sécurité et je vous fais embarquer pour prostitution !
Il nous nettoie alors les fesses du sperme qui le macule encore et commence à fouiller dans nos orifices. Je le sens rentrer sa main dans ma chatte et y enfoncer le jet d’eau. La pression du jet d’eau est désagréable et son geste en moi est tout sauf délicat. Son but est clairement de nous humilier.
— J’ai toujours rêvé d’enfoncer mon poing dans des chattes et des fions... Mais je n’ai jamais eu de putes suffisamment chienne pour accepter ! Vous vous rendez compte, mes putains, vous êtes encore plus salopes que la pire des trainées !!
Virginie se redresse alors pour contester mais le groom lui rebaisse alors violement la tête vers le sol et lui claque le cul un grand coup !
Il passe d’ailleurs à Virginie et lui enfonce sa main dans la chatte puis semble la « curer » de l’intérieur à grand renfort d’eau. Il enfonce ensuite ses doigts dans son cul puis, en utilisant le gel douche et s’y prenant à plusieurs fois, réussi à enfoncer toute sa main. Virginie se fait fister pour la première fois, et pas dans les meilleures conditions… Le groom sort d’elle puis s’enfonce dans mon fion, avec moins de difficulté.
— On va faire un concours… Celle qui prend mon bras le plus loin gagne !! Hahah
A grand renfort de gel douche, il s’enfonce de plus en plus en moi. Je sers les dents pour endurer l’intromission. Alors que je pense avoir sa main dans mon estomac, il se retire et retourne dans Virginie.
— Oohh je vous en supplie, arrêtez, gémit alors Virginie dont le cul est, j’imagine, plus dilaté que jamais. — Ta gueule, sale pute !! Si je veux rentrer mon bras jusqu’au coude, je le ferai !!
Ce pervers de groom, sans doute aux ordres de M. Roland après réflexion, nous maltraite encore quelques instants qui nous paraissent une éternité en nous enfonçant son bras dans le cul, de plus en plus loin et de plus en plus violemment. Il nous claque également les fesses violemment en nous ordonnant de nos taire, sans quoi il fait débarquer la police dans la chambre, ce qui serait, en particulier pour moi, une catastrophe. Puis, enfin, semble se lasser et nous ordonne de nous retourner et nous mettre en face de lui à genoux.
— Bon, pour le concours, c’est la veille qui gagne haut la main ! Ton cul est comme une fosse à purin : profonde, humide et puante. Toi la blonde, t’as encore du boulot mais on sent que tu as du potentiel ! Maintenant je vais me soulager sur vous comme vous le méritez. Il sort alors son sexe tout mou et se décalotte.
Je savais très bien à ce moment se qu’il allait faire mais Virginie semblait juste croire qu’il allait se branler. Je la prends alors par les épaules et lui souffle à l’oreille « ferme la bouche et les yeux et attend que ça se passe ».
A ce moment, un jet d’urine sort de sa bite et s’abat directement sur nos visages. Il vise la bouche de Virginie, fermement close, et lui en met dans les cheveux, sur la poitrine. Puis, il passe à moi et m’arrose copieusement jusqu’à ce que sa vessie soit vide. Il range sa bite en nous crachant dessus avec haine et nous dit :
— Maintenant, retourner vous faire baiser comme les chiennes que vous êtes !
Puis il sort de la salle de bain. Choquées et ne voulant pas parler, au risque d’avoir de l’urine dans la bouche, nous restons dans la douche et nous nettoyons vigoureusement.
M. Diallo entre alors dans la salle de bain :
— Le groom nous a dit que vous preniez une douche pour vous rafraichir… parfait. N’hésitez pas à nettoyer l’intérieur aussi, mon patron n’aime pas vraiment « patauger » dans le sperme de ses employés… « C’est déjà fait » me dis-je intérieurement.
Quelques minutes plus tard, et après avoir récupéré de l’humiliation du groom, nous nous présentons fraiches et dispo pour un autre round de baise.
A suivre...
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